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Don Quichotte - extraits
bilingue - extraits
Marie Ménéchal (traduit par)
Collection : Langues Pour Tous
Date de parution : 07/06/2007
Éditeurs :
Pocket

Don Quichotte - extraits

bilingue - extraits

Marie Ménéchal (traduit par)
Collection : Langues Pour Tous
Date de parution : 07/06/2007

MIGUEL DE CERVANTES SAAVEDRA (1547-1616)

Don Quichotte de la Manche
Don Quijote de la Mancha

Extraits traduits et présentés par Marie Ménéchal

Pour découvrir cet ouvrage majeur de la littérature espagnole, neuf moments emblématiques...

MIGUEL DE CERVANTES SAAVEDRA (1547-1616)

Don Quichotte de la Manche
Don Quijote de la Mancha

Extraits traduits et présentés par Marie Ménéchal

Pour découvrir cet ouvrage majeur de la littérature espagnole, neuf moments emblématiques des aventures de Don Quichotte et Sancho Panza ont été choisis :

  • les préparatifs de la grande aventure du gentilhomme campagnard...

MIGUEL DE CERVANTES SAAVEDRA (1547-1616)

Don Quichotte de la Manche
Don Quijote de la Mancha

Extraits traduits et présentés par Marie Ménéchal

Pour découvrir cet ouvrage majeur de la littérature espagnole, neuf moments emblématiques des aventures de Don Quichotte et Sancho Panza ont été choisis :

  • les préparatifs de la grande aventure du gentilhomme campagnard métamorphosé en chevalier errant,
  • les moulins à vent,
  • les interventions de Don Quichotte et leurs conséquences pour le héros et ses victimes,
  • quelques rencontres faites au hasard du voyage : un porcher, deux prostituées, un maître et son valet...
  • Sancho s'entretenant avec sa femme de l'avenir de leur fille,
  • les cancans de Dulcinée,
  • un cortège accompagnant la dépouille d'un riche gentilhomme,
  • un séjour dans le château du duc,
  • et enfin l'établissement de Sancho sur son île au poste de gouverneur.


La série BILINGUE PROPOSE :

  • une traduction fidèle et originale, accompagnée de nombreuses notes ;
  • une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les oeuvres d'auteurs étrangers.
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EAN : 9782266169226
Code sériel : 12732
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266169226
Code sériel : 12732
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Goldlead 11/10/2023
    Je ne voulais quand même pas mourir sans avoir lu (ou du moins essayé de lire) ce monument patrimonial de la littérature mondiale, et la passion et les gouaches hallucinées de Gérard Garouste (découvertes récemment à partir de sa belle autobiographie, L'Intranquille) m'ont servi de truchement et fait sauter le pas. Je m'attendais cependant à une lecture au long cours, avec courtes étapes, arrêts, reprises et excursions parallèles, comme pour ces traversées studieuses plus que véritablement plaisantes qu'on réserve aux livres dits « de chevet » et qui me semblait assez bien s'accorder à une vie de retraité. Et, après tout, ne serait-ce pas le rythme qui convient aux errances obsessionnelles du célèbre « chevalier à la Triste Figure », comme aussi au train dit « de sénateur » ou à la tocade très tendance des gens d'âge pour la croisière ? Quelle n'est donc pas ma surprise d'avoir couru d'une traite, ou presque, ces interminables aventures et lu ces 700 pages grand format en trois ou quatre semaines ! Voilà bien, comme dirait Don Quichotte, la preuve d'un étrange et puissant « pouvoir d'enchantement » qui, moi le tout premier, m'intrigue et m'interroge. Au départ pourtant, rien d'inattendu. On reconnaît tout de suite, même sans les avoir jamais connus, le paranoïaque grand style et grand coeur, à la tête farcie de récits de chevalerie, et son acolyte très rustre et un peu bêta, dont l'attelage paradoxal a servi de moule à toute une série de célèbres duos comiques. Et puis on se retrouve très vite dans la fameuse scène des moulins à vent, que tout le monde connaît même sans l'avoir jamais lue et répète machinalement comme on fait des proverbes, vague fond de pensée sans pensée. On sourit d'un air entendu aux farces et balourdises, blasé d'avance devant ce déferlement de gros comique burlesque et abracadabrantesque, qui, pour ascétique, idéaliste, raide, gigantophobe et donquichottesque qu'il se donne, n'en a pas moins un évident air de famille avec celui jouisseur, matérialiste, rebondi, gigantophile et gargantuesque de Rabelais… Même s'ils ne sont plus trop dans nos goûts actuels, on s'attendait à trouver tous les ingrédients du genre picaresque dans lequel, de taverne en château soudain surgi de nulle part, de village en ville portuaire, ou au hasard de chemins forestiers, se mélangent dans des aventures invraisemblables toutes les classes et catégories sociales, bergères accortes et riches héritières, ecclésiastiques et bandits de grand chemin, princes et soudards ou pirates, servantes délurées, paysans matois, marchands voyageurs, pèlerins et colporteurs, aubergistes roublards et seigneurs facétieux, tous aux prises les uns avec les autres dans des situations et relations cocasses et outrancières. Mais sous ce fatras d'invraisemblances on sent bientôt une sorte de réalisme vécu qui laisse deviner tout un fond d'expérience personnelle et d'autobiographie. Et, de fait, Cervantès, ancien soldat, ancien captif des Maures, récidiviste de l'évasion, aventurier autant qu'homme de plume, parle souvent ici en connaissance de cause et témoigne des préoccupations du temps. Ce qui, pour nous, lecteurs modernes, donne aussi au Don Quichotte comme un air de roman historique. Mais ce n'est encore qu'un des aspects surprenants de cette oeuvre foisonnante et polyphonique qui joue sur tous les tableaux et donne aussi bien dans la poésie (avec de nombreux sonnets, odes et passages versifiés), que dans la psychologie (avec un don Quichotte qui se révèle plus complexe qu'il n'y paraît et surtout un Sancho Pança qui prend de l'épaisseur au fil du récit et qui semble de plus en plus, à mesure qu'il s'émancipe de l'ascendant de son maître, jouir de cette lucidité du bouffon de cour qui en faisait le double anticonformiste d'un Grand), dans le marivaudage (avec de petits contes moraux ou comédies de moeurs intercalés), dans la théorie ou la critique littéraires (avec des considérations sur les romans de chevalerie, le métier d'écrivain et même un jeu de miroirs sur l'oeuvre qu'on est en train de lire dans le même temps où elle continue de se vivre et de s'écrire !)… Oeuvre « baroque » donc s'il en est, comme ces perles irrégulières et brutes auxquelles ce mouvement culturel doit son nom. On dit souvent qu'avec Don Quichotte on assiste à l'invention du roman moderne. Soit ; mais il faut alors ajouter que le genre n'en est donc pas encore fixé, que Cervantès s'essaie de fait à tous les genres, dans une profusion et un débordement gaillards et plutôt réjouissants, qu'il y en a par conséquent pour tous les goûts, ce qui peut aussi dégoûter les délicats ou les gourmets, mais que c'est bien cela qui lui donne sa saveur unique, déconcertante et parfois un peu lourde, mais addictive néanmoins. Car, il faut le dire et y insister : surtout, il y a le style, l'écriture (grâces en soient rendues aux traducteurs, et sans doute particulièrement au talent de Jean Cassou) qui, moins que jamais, ne saurait se réduire ici à une sauce d'accompagnement. Non, à elle seule elle fait le plat, savoureuse, onctueuse, avec des rondeurs passées de mode, des ingrédients et des aromates d'autrefois, des mots oubliés, remisés ou recréés sortis de derrière les fagots, des finesses de langue faussement guindées et franchement désopilantes… Bref, tout un art de l'aigre-doux ou du sucré-salé qui en fait un vrai bonheur de lecture ou, comme on tend à dire aujourd'hui (en cuisine plus qu'en chevalerie, qui l'eût cru ?!), une « véritable tuerie ». Je ne voulais quand même pas mourir sans avoir lu (ou du moins essayé de lire) ce monument patrimonial de la littérature mondiale, et la passion et les gouaches hallucinées de Gérard Garouste (découvertes récemment à partir de sa belle autobiographie, L'Intranquille) m'ont servi de truchement et fait sauter le pas. Je m'attendais cependant à une lecture au long cours, avec courtes étapes, arrêts, reprises et excursions parallèles, comme pour ces traversées studieuses plus que véritablement plaisantes qu'on réserve aux livres dits « de chevet » et qui me semblait assez bien s'accorder à une vie de retraité. Et, après tout, ne serait-ce pas le rythme qui convient aux errances obsessionnelles du célèbre « chevalier à la Triste Figure », comme aussi au train dit « de sénateur » ou à la tocade très tendance des gens d'âge pour la croisière ? Quelle n'est donc pas ma surprise d'avoir couru d'une traite, ou presque, ces interminables aventures et lu ces 700 pages grand format en trois ou quatre semaines ! Voilà bien, comme dirait Don Quichotte, la preuve d'un étrange et puissant « pouvoir d'enchantement » qui, moi le tout premier, m'intrigue et m'interroge. Au départ pourtant, rien d'inattendu. On reconnaît...
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  • vendee 16/07/2023
    Quel plaisir de lire ce classique de la littérature espagnol. Miguel de Cervantès nous fait suivre les aventures chevaleresques d Alonso Quixada , dit Don Quichotte , pauvre bougre a l esprit dérangé par ses lectures de romans de chevalerie . Nous connaissons forcément l attaque des moulins a vent, le très célèbre Sancho Panza son écuyer obsédé par la nourriture, Rossinante sa pauvre monture, et Dulcinée sa dame adorée mais on se laisse entraîner dès le livre ouvert par la drôlerie de ce roman Satire d une époque, roman comique? En tout cas un premier tome extraordinaire et résolument moderne
  • Tiguidou 04/06/2023
    Jusqu'à aujourd'hui tout ce que connaissais de Don Quichotte c'est qu'il se battait avec des moulins à vent. Tout ce que je connaissais de Miguel Cervantès c'est qu'il avait écrit Don Quichotte de la Manche sans savoir pourquoi il avait écrit cette histoire ni en quoi elle consistait, de plus je craignais qu'elle fut écrite en vers ce qui m.aurait rebuté. J'ai découvert une histoire ou des histoires très drôles, extravagantes et pour le moins rocambolesques. Certes l'Écriture est surannée, ampoulée mais cela fait partie du charme de ce roman. Cervantès a écrit cette épopée pour se moquer des romans de chevalerie en vogue à cette époque mais il a ajouté en plus quelques scènes inspirées et inspirantes telle que la tirade de Marcelle sur le comportement des hommes lorsqu'ils désirent une femme et aussi l'aventure du Curieux malavisé. ces deux passages à eux seuls sont de bijoux. Bref ce fut un excellent moment de lecture et avoir su j'aurais lu ce roman bien avant. IL y a une deuxième partie à l'histoire de Don Quichotte qui a été écrite dix ans plus tard et que je lirai dans quelques mois histoire de voir ce que dix ans ont changé dans la manière d'écrire de Cervant. Jusqu'à aujourd'hui tout ce que connaissais de Don Quichotte c'est qu'il se battait avec des moulins à vent. Tout ce que je connaissais de Miguel Cervantès c'est qu'il avait écrit Don Quichotte de la Manche sans savoir pourquoi il avait écrit cette histoire ni en quoi elle consistait, de plus je craignais qu'elle fut écrite en vers ce qui m.aurait rebuté. J'ai découvert une histoire ou des histoires très drôles, extravagantes et pour le moins rocambolesques. Certes l'Écriture est surannée, ampoulée mais cela fait partie du charme de ce roman. Cervantès a écrit cette épopée pour se moquer des romans de chevalerie en vogue à cette époque mais il a ajouté en plus quelques scènes inspirées et inspirantes telle que la tirade de Marcelle sur le comportement des hommes lorsqu'ils désirent une femme et aussi l'aventure du Curieux malavisé. ces deux passages à eux seuls sont de bijoux. Bref ce fut un excellent moment de lecture et avoir su j'aurais lu ce roman bien avant. IL y a une deuxième partie à l'histoire de Don Quichotte qui a été écrite dix ans plus tard et que je lirai dans quelques mois histoire de voir ce que dix...
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  • quentinpinjon 19/04/2023
    Une des histoires les plus anciennes que j'ai lues Sûrement, loin de mes standards habituels, je n'ai pas eu de réel coup de cœur même si les personnages portent à sourire de par leur action ou comportement la longueur du roman m'aura plus décourager à poursuivre la plupart du temps mis à part la première partie du livre que j'ai lu avec réel plaisir la suite ne m'aura pas conquis. En bref heureux d'avoir ajouté ce classique à mes connaissances et mis à part la première partie, je ne pense pas le rouvrir de si tôt.
  • LSH 18/12/2022
    Il ne faut pas avoir peur de se lancer dans la lecture d'un roman touchant les 1000 pages, mais malgré quelques longueurs elle est des plus agréable et a même quelque chose de moderne avant l'heure. De plus, un personnage devenu aussi iconique, que l'on place partout, surtout où il n'est pas, mérite bien cet effort. Bien m'en a pris, car un des premiers éclaircissements a concerné ces fameux moulins contre lesquels on reproche à notre héro de se battre. Jusqu'ici je comprenais cette image comme faisant référence à un combat perdu d'avance, contre un ennemi invincible, une aile du moulin suivant l'autre. Ai-je rêvé ou Camus cite à ce propos Don Quichotte dans son mythe de Sisyphe#8239;? Dans les faits, il serait plus juste de prendre Don Quichotte comme représentant de ceux qui combattent des ennemis imaginaires, parce qu'il voit dans ces paisibles moulins quelques géants maniant leurs épées. Cela n'est pas la même chose que de se battre contre des fantômes ou contre des Goliath#8239;! À moins que cela ne soit par enchantement que les dits géants se soient transformés au dernier moment en moulins#8239;? Ce qui est certain c'est que Don Quichotte et Sancho, son brave écuyer, ne manquent pas d'être «#8239;moulus#8239;» plus d'une fois durant leurs aventures#8239;! Sancho a d'ailleurs été ma deuxième découverte. On peut dire qu'il ne manque pas de superbe et finirait presque par faire de l'ombre à son maître dans le second tome du roman. Rêvant à la «#8239;possibilité d'une île#8239;» plusieurs siècles avant Houellebecq, sa sagesse proverbiale sort de sa bouche, comme l'eau de la fontaine. Quant à la supposée folie de Don Quichotte, le premier tome prouve à qui en douterait que si folie il y a, elle fait fort bien les choses. N'est-ce pas grâce à ce trublion errant que quelques couples finissent par se former si heureusement dans ce «#8239;château#8239;» dans lequel quelques esprits enchantés ne voient qu'une vulgaire auberge#8239;? C'est que Don Quichotte a la folie généreuse et que de ses moulins sort une très bonne farine. Le seul bémol est la fin du roman que je n'ai pas trouvée à la hauteur du personnage. Mais Cervantès pouvait-il deviner créer un personnage qui allait devenir aussi mythique#8239;? Pour finir cette note de lecture à la manière de Sancho, je dirais que les petits ruisseaux font les grandes rivières, que pierre qui roule n'amasse pas mousse et que oui décidément, les moulins, c'était mieux avant#8239;!Il ne faut pas avoir peur de se lancer dans la lecture d'un roman touchant les 1000 pages, mais malgré quelques longueurs elle est des plus agréable et a même quelque chose de moderne avant l'heure. De plus, un personnage devenu aussi iconique, que l'on place partout, surtout où il n'est pas, mérite bien cet effort. Bien m'en a pris, car un des premiers éclaircissements a concerné ces fameux moulins contre lesquels on reproche à notre héro de se battre. Jusqu'ici je comprenais cette image comme faisant référence à un combat perdu d'avance, contre un ennemi invincible, une aile du moulin suivant l'autre. Ai-je rêvé ou Camus cite à ce propos Don Quichotte dans son mythe de Sisyphe#8239;? Dans les faits, il serait plus juste de prendre Don Quichotte comme représentant de ceux qui combattent des ennemis imaginaires, parce qu'il voit dans ces paisibles moulins quelques géants maniant leurs épées. Cela n'est pas la même chose que de se battre contre des fantômes ou contre des Goliath#8239;! À moins que cela ne soit par enchantement que les dits géants se soient transformés au dernier moment en moulins#8239;? Ce qui est certain c'est que Don Quichotte et Sancho, son brave écuyer, ne...
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