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Douze nouvelles, Buzzati
Christiane Cochi (traduit par), Mario Cochi (traduit par)
Collection : Langues Pour Tous
Date de parution : 06/05/2004
Éditeurs :
Pocket
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Douze nouvelles, Buzzati

Christiane Cochi (traduit par), Mario Cochi (traduit par)
Collection : Langues Pour Tous
Date de parution : 06/05/2004

DINO BUZZATI (1906-1972)

Douze nouvelles

Dodici raconti

Nouvelles traduites et présentées par Christiane et Mario Cochi

La Déclaration de revenus – Denuncia del reddito

Ça n'est jamais fini – Non è mai finita

Délicatesse – Delicatezza...

DINO BUZZATI (1906-1972)

Douze nouvelles

Dodici raconti

Nouvelles traduites et présentées par Christiane et Mario Cochi

La Déclaration de revenus – Denuncia del reddito

Ça n'est jamais fini – Non è mai finita

Délicatesse – Delicatezza

Cendrillon – Cenerentola

L'Honneur du nom – Il buon nome

Chez le médecin – Dal medico

Vieille voiture – Vecchia auto

Le Petit Papillon...

DINO BUZZATI (1906-1972)

Douze nouvelles

Dodici raconti

Nouvelles traduites et présentées par Christiane et Mario Cochi

La Déclaration de revenus – Denuncia del reddito

Ça n'est jamais fini – Non è mai finita

Délicatesse – Delicatezza

Cendrillon – Cenerentola

L'Honneur du nom – Il buon nome

Chez le médecin – Dal medico

Vieille voiture – Vecchia auto

Le Petit Papillon – La farfalletta 

Trois histoires de Vénétie – Tre storie del Veneto

L'Éléphantiasis – L'elefantiasi

L'Ubiquiste – L'ubiquo

L'Œuf – L'uovo

 

La série BILINGUE propose :

  • une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes ;
  • une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d'auteurs étrangers.
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EAN : 9782266139779
Code sériel : 2727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm
Pocket
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EAN : 9782266139779
Code sériel : 2727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marti94 10/04/2024
    Dino Buzzati est un nom qui sonne comme un souvenir de jeunesse car durant mes années d'études il était courant d'avoir en poche "L'écroulement de la Baliverna". C'est un autre recueil de nouvelles que j'ai choisi de lire pour le Challenge Solidaire et j'ai bien fait, "Le K" étant du même registre, oscillant entre le satirique et le fantastique. Avec une cinquantaine de textes courts, certes différents mais tous bien construits et d'une grande qualité littéraire, sans compter l'humour parfois cinglant, Buzzati prouve qu'il est un conteur hors pair. On retrouve le journaliste qu'il a été et je n'ai pas été surprise par son dernier récit "Voyage aux Enfers du siècle" dans lequel il se met en scène comme journaliste faisant un reportage en enfer, un enfer qui ressemble parfois à la réalité. Pour autant, il n'y a rien de déprimant dans ce livre car le ton est parodique. Ce titre intrigant "Le K" est dû à l'excellente première fable, terme plus adapté que "nouvelle" car les textes de Dino Buzzati ne sont pas vraiment des nouvelles pour moi. Mais là n'est pas la question, ce qui est notable ce sont les chutes toujours bien trouvées, jonglant souvent avec l'absurde. Si on retrouve des thèmes récurrents comme Dieu et la religion, la guerre froide et la politique, l'amour et la mort, ceux qui sont les plus marquants concernent le pouvoir et plus précisément ce qui touche à la domination du monde (les riches mais aussi l'automobile) et la création littéraire. A ce sujet, on sent que l'auteur italien sexagénaire est sensible à l'âgisme ainsi qu'à la renommée et la peur de la déchéance de l'écrivain mais toujours avec humour même s'il peut être grinçant. A lire donc sans modération. Challenge Solidaire 2024 Challenge Multi-défis 2024 Challenge XXème siècle 2024 Dino Buzzati est un nom qui sonne comme un souvenir de jeunesse car durant mes années d'études il était courant d'avoir en poche "L'écroulement de la Baliverna". C'est un autre recueil de nouvelles que j'ai choisi de lire pour le Challenge Solidaire et j'ai bien fait, "Le K" étant du même registre, oscillant entre le satirique et le fantastique. Avec une cinquantaine de textes courts, certes différents mais tous bien construits et d'une grande qualité littéraire, sans compter l'humour parfois cinglant, Buzzati prouve qu'il est un conteur hors pair. On retrouve le journaliste qu'il a été et je n'ai pas été surprise par son dernier récit "Voyage aux Enfers du siècle" dans lequel il se met en scène comme journaliste faisant un reportage en enfer, un enfer qui ressemble parfois à la réalité. Pour autant, il n'y a rien de déprimant dans ce livre car le ton est parodique. Ce titre intrigant "Le K" est dû à l'excellente première fable, terme plus adapté que "nouvelle" car les textes de Dino Buzzati ne sont pas vraiment des nouvelles pour moi. Mais là n'est pas la question, ce qui est notable ce sont les chutes toujours bien trouvées, jonglant souvent avec l'absurde. Si on retrouve des...
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  • hfon 29/03/2024
    Buzzatti : poète,visionnaire, grand écrivain...auteur du roman qui m a peut être marqué le plus profondément ( le désert des tartares) pendant qu on lit du Buzzatti, on a l impression d un chuchotement imperceptible au creux de son oreille...sa prose je trouve susurre des trucs directement à l inconscient.. Les nouvelles de ce recueil sont dans l ensemble cet acabit : merveilleuses, flippantes ou oniriques...du grand art !
  • BRIGITTEB 10/02/2024
    Le K constitue la première nouvelle de ce livre composé de 51 nouvelles. Il s'agit autant de contes que de récits, comme des rêves où surgit l'absurde et le fantastique. Les histoires s'inspirent du monde, avec sa violence et ses guerres, la vie et la mort, les sentiments, l'amour bien sûr, mais aussi l’angoisse et la souffrance. Le symbolique est beaucoup utilisé, notamment avec les animaux ou même les objets (les voitures par exemple), et donne des nouvelles amusantes. Mais l'ambiance générale est plutôt pessimiste et j'avoue avoir eu envie de finir rapidement cette lecture qui nous entraîne sans pitié dans les endroits les plus sombres de l'âme humaine. Dino Buzzati était journaliste et persuadé qu'il est nécessaire d'enrichir le travail de l'écriture par ce métier. Il était aussi peintre et poète.
  • LaGeekosophe 28/01/2024
    Un ami m’a offert le K de Dino Buzzati pour mon anniversaire. C’est parfait car je souhaitais lire plus de classiques. Je lis habituellement peu de nouvelles mais le ton fantastique de beaucoup d’entre elles m’a plu. Ce recueil en contient 51 au total, ce qui a assez impressionnant ! Alors qu’ai-je pensé de monument de la littérature italienne ? Imprégnée d’éléments absurdes, fantastiques et d’un humour mordant, l’ambiance de ces récits est profondément sombre, voire déconcertante. La lecture donne l’impression de parcourir une série d’événements anodins, peut-être liée à la formation journalistique de l’auteur, chacun dissimulant un sens caché. Ils révèlent successivement nos solitudes, nos fantômes, nos vertiges, nos attentes, nos folies, le temps, la vieillesse, la mort, et mille autres aspects selon la perception individuelle. On sent chez l’auteur un certain sens du nihilisme, comme si ce qui nous guidait avait quelque chose de profondément vain, inutile, pour nous faire sentir proches de l’insignifiance. À travers un subtil mélange de vraisemblance et d’invraisemblance, d’absurdité et de rationalité, Buzzati met en lumière la dimension fantastique de la vie. On ressent alors que, à n’importe quel moment de nos existences, à partir d’un élément apparemment anodin, quelque chose d’inquiétant peut surgir brusquement, ébranlant, voire détruisant nos croyances et nos certitudes. Les personnages de Buzzati semblent être atteints d’une forme de malédiction, parfois même littéralement, ce qui ajoute au vide existentiel qui habite ces différents récits. C’est comme une prise de conscience de la petitesse de sa propre existence. Par exemple, dans la nouvelle Le K qui donne son titre au recueil, l’auteur semble souligner à quel point les hommes ont tendance à fuir en avant, manquant l’essentiel au passage et ne s’en apercevant qu’aux portes de la mort. La plume de Buzzati fait mouche. Il a un style fluide qui se laisse suivre facilement. Entre exagérations et sens du sordide, il ne manque pas d’un certain humour noir, d’une ironie mordante et pathétique. Le tragicomique constant de ces nouvelles est parfaitement dosé. En conséquence, nous avons de nombreuses interprétations possibles à partir de ces courtes histoires, ce qui fait partie du génie de l’œuvre. L’auteur ne donne jamais de réponses toutes faites, ce qui fait également la force de certaines nouvelles. En quelque sorte, c’est parfois au lecteur d’y trouver sa propre explication à travers son angoisse existentielle. J’ai par exemple été très marquée par les progressions, de courts textes qui évoluent très vites. L’exercice de style m’a rappelé l’Oulipo, dont les contraintes d’écriture sont très marquées. Cependant, il est vrai que les historiettes n’ont pas toutes le même impact. Notamment car les chutes manquent parfois un peu de mordant ou que certains textes sont trop opaques pour rester en mémoire. C’est souvent le cas sur les recueils qui réunissent un grand nombre de textes. On sent que certaines nouvelles sont un exercice de style plutôt qu’une volonté de l’auteur de distraire un lecteur. Buzzati, maître du fantastique, explore avec une sensibilité exacerbée des thèmes universels tels que la solitude, la jeunesse, la guerre, et la mort. À travers un subtil mélange de vraisemblance et d’invraisemblance, l’auteur met en lumière la dimension fantastique de la vie, soulignant la fragilité de nos certitudes et la petitesse de notre existence. La plume fluide de Buzzati, teintée d’humour noir et d’ironie mordante, entraîne le lecteur dans des progressions rapides, rappelant par moments l’esprit de l’Oulipo. Cependant, la diversité des nouvelles engendre des réactions variées, certaines histoires laissant une impression plus marquante que d’autres. Cela contribue à enrichir les multiples interprétations possibles, laissant au lecteur le soin de trouver sa propre signification au travers de cette angoisse existentielle.Un ami m’a offert le K de Dino Buzzati pour mon anniversaire. C’est parfait car je souhaitais lire plus de classiques. Je lis habituellement peu de nouvelles mais le ton fantastique de beaucoup d’entre elles m’a plu. Ce recueil en contient 51 au total, ce qui a assez impressionnant ! Alors qu’ai-je pensé de monument de la littérature italienne ? Imprégnée d’éléments absurdes, fantastiques et d’un humour mordant, l’ambiance de ces récits est profondément sombre, voire déconcertante. La lecture donne l’impression de parcourir une série d’événements anodins, peut-être liée à la formation journalistique de l’auteur, chacun dissimulant un sens caché. Ils révèlent successivement nos solitudes, nos fantômes, nos vertiges, nos attentes, nos folies, le temps, la vieillesse, la mort, et mille autres aspects selon la perception individuelle. On sent chez l’auteur un certain sens du nihilisme, comme si ce qui nous guidait avait quelque chose de profondément vain, inutile, pour nous faire sentir proches de l’insignifiance. À travers un subtil mélange de vraisemblance et d’invraisemblance, d’absurdité et de rationalité, Buzzati met en lumière la dimension fantastique de la vie. On ressent alors que, à n’importe quel moment de nos existences, à partir d’un élément apparemment anodin, quelque chose d’inquiétant peut surgir brusquement,...
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  • SoWond 17/01/2024
    J'aime bien la plume de Buzzati, il est précis dans sa narration et son écriture coule naturellement. Je connaissais quelques-unes de ses nouvelles mais c'est le premier recueil complet auquel je m'attaquais. Mon verdict ? S'il est vrai que j'aime le ton et l'humour de l'auteur, je n'ai pourtant pas pu lire le recueil d'un coup. J'ai lu par blocs de 3 ou 4 nouvelles à la fois et je me changeais les idées avec autres choses entre chaque bloc. Pourquoi? Parce que le regard de Buzzati sur nos sociétés et sur la nature humaine est certes cru et dur mais il est surtout exact. Alors ça jouait un peu sur mon moral quand j'en lisais plusieurs l'une à la suite de l'autre. Ces nouvelles sont assez sombres et même si j'apprécie l'analyse sociale de l'auteur je ne veux pas trop m'en imprégner non plus. On sent bien le métier de journaliste qu'a occupé longtemps Buzzati, il rapporte les faits avec une belle netteté. J'ai bien aimé les nouvelles où il se met en scène, on voit qu'il ne se prenait pas trop au sérieux. Celle sur son voyage aux enfers est particulièrement intéressante, il y décrit si bien les comportements humains qui sont les plus dommageables pour notre espèce. Bref, je suis bien satisfaite de cette lecture et je reprendrai sûrement avec plaisir d'autres œuvres de Buzzati mais à dose contrôlée. J'aime bien la plume de Buzzati, il est précis dans sa narration et son écriture coule naturellement. Je connaissais quelques-unes de ses nouvelles mais c'est le premier recueil complet auquel je m'attaquais. Mon verdict ? S'il est vrai que j'aime le ton et l'humour de l'auteur, je n'ai pourtant pas pu lire le recueil d'un coup. J'ai lu par blocs de 3 ou 4 nouvelles à la fois et je me changeais les idées avec autres choses entre chaque bloc. Pourquoi? Parce que le regard de Buzzati sur nos sociétés et sur la nature humaine est certes cru et dur mais il est surtout exact. Alors ça jouait un peu sur mon moral quand j'en lisais plusieurs l'une à la suite de l'autre. Ces nouvelles sont assez sombres et même si j'apprécie l'analyse sociale de l'auteur je ne veux pas trop m'en imprégner non plus. On sent bien le métier de journaliste qu'a occupé longtemps Buzzati, il rapporte les faits avec une belle netteté. J'ai bien aimé les nouvelles où il se met en scène, on voit qu'il ne se prenait pas trop au sérieux. Celle sur son voyage aux enfers est particulièrement intéressante, il y décrit si bien les...
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