Fullmetal Alchemist - VIII (tomes 16-17)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• BazaR 06/11/2016

  Signaler
  Pauvre Edward Elric ! Comme si sa situation n’était pas assez compliquée, il doit porter la croix du nom qu’il s’est choisi. Aussi, quelle idée de s’appeler Fullmetal, alors qu’il n’a qu’un bras et une jambe mécaniques et qu’il est accompagné de son frère Alphonse, qui lui est littéralement une armure ambulante. Chaque fois que quelqu’un rencontre le duo, il a droit à un « C’est toi Fulmetal ? Ta réputation est bien justifiée »… alors qu’il s’adresse à Alphonse ! Alors on désigne Edward : tout petitpetit. Psss ! Il s’en passe des choses dans ce tome. L’équipe du colonel Mustang est éparpillée et lui-même est paralysé par la menace qui pèse contre sa belle lieutenant Hawkeye. Pas si paralysé que ça en fait. Il manœuvre, à l’insu de l’armée qui le surveille, et prépare son prochain coup sur l’échiquier en demandant l’aide du vieux et malin général Grumman, chef de l’armée de l’Est. Scar l’ishbal et May Chang la petite du pays de Xin recueillent le docteur Marcoh, qui a participé à la création de la pierre pilosohphale. Tous partent vers le Nord pour retrouver le manuscrit du frère de Scar, contenant les secrets permettant d’unifier les alchimies de Xin et d’Amestris (le pays où tout se passe hein). Les frères Edward sont à la poursuite de May. Ils veulent eux aussi en savoir plus sur son « alchimie à distance » qui avait fonctionné dans la tanière des homonculi, alors que la leur était neutralisée. Ils arrivent à la frontière nord dans la forteresse de Briggs où règne la belle et terrifiante générale Armstrong. Pas de traitement de faveur là ; seul le plus fort survit (gasp !). Là apparaît un nouveau homonculus, Sloth – grosse masse puissante toujours fatiguée – qui creuse un tunnel apparemment infini autour du pays d’Amestris. L’alchimiste écarlate, maître de l’explosion Kimblee y arrive aussi, au service de l’armée et des homonculus. Armstrong et les frères Elric doivent jouer un jeu délicat pour contrer leurs actions sans avoir l’air de le faire, car l’armée a toujours Winry Rockbell, la grande amie des Elric, en otage. Au moindre geste de travers, couic ! Les révélations sur le plan des homonculi, un plan sur plusieurs siècles, commencent à sortir. C’est impressionnant. Bon, vous l’aurez compris, c’est plutôt un résumé qu’une vraie critique. Mais au bout de 8 tomes, vous avez dû comprendre que j’adore ce manga. Je ne vais pas répéter mes arguments intelligents autant qu’imparables chaque fois, non mais ! ^^ Pauvre Edward Elric ! Comme si sa situation n’était pas assez compliquée, il doit porter la croix du nom qu’il s’est choisi. Aussi, quelle idée de s’appeler Fullmetal, alors qu’il n’a qu’un bras et une jambe mécaniques et qu’il est accompagné de son frère Alphonse, qui lui est littéralement une armure ambulante. Chaque fois que quelqu’un rencontre le duo, il a droit à un « C’est toi Fulmetal ? Ta réputation est bien justifiée »… alors qu’il s’adresse à Alphonse ! Alors on désigne Edward : tout petitpetit. Psss ! Il s’en passe des choses dans ce tome. L’équipe du colonel Mustang est éparpillée et lui-même est paralysé par la menace qui pèse contre sa belle lieutenant Hawkeye. Pas si paralysé que ça en fait. Il manœuvre, à l’insu de l’armée qui le surveille, et prépare son prochain coup sur l’échiquier en demandant l’aide du vieux et malin général Grumman, chef de l’armée de l’Est. Scar l’ishbal et May Chang la petite du pays de Xin recueillent le docteur Marcoh, qui a participé à la création de la pierre pilosohphale. Tous partent vers le Nord pour retrouver le manuscrit du frère de Scar, contenant les secrets permettant d’unifier les alchimies de...

  Lire la suite

  En lire moins