Lisez! icon: Search engine
Histoire de la Commune de 1871
Jean Maitron (préface de)
Date de parution : 13/01/2005
Éditeurs :
La Découverte

Histoire de la Commune de 1871

Jean Maitron (préface de)
Date de parution : 13/01/2005

Ce livre, vendu à plus de 65 000 exemplaires depuis sa réédition en 1967 dans la « Petite collection Maspero », reste un grand classique. Son auteur, acteur et témoin...

Ce livre, vendu à plus de 65 000 exemplaires depuis sa réédition en 1967 dans la « Petite collection Maspero », reste un grand classique. Son auteur, acteur et témoin de la Commune de Paris, se mit au travail au lendemain de la défaite et ce travail dura vingt-cinq ans....

Ce livre, vendu à plus de 65 000 exemplaires depuis sa réédition en 1967 dans la « Petite collection Maspero », reste un grand classique. Son auteur, acteur et témoin de la Commune de Paris, se mit au travail au lendemain de la défaite et ce travail dura vingt-cinq ans. Il a enquêté avec acharnement auprès de tous les survivants, dans l’exil à Londres, en Suisse, puis consulté tous les documents disponibles à l’époque.
Le résultat est cette « somme », qui n’est pas seulement un récit historique événementiel, de l’insurrection à la répression : elle est un tableau de tous les courants de la pensée sociale, de tous les affrontements internes, un bilan des réalisations ou des tentatives, « mesures éparses, tôt dispersées au vent de la lutte et des divergences, mesures significatives pourtant », qui caractérisent, pour Jean Maitron, cette Commune qui fut « un trait d’union plutôt qu’une coupure dans l’histoire du mouvement ouvrier français ».
« La dernière barricade des journées de Mai, écrit Lissagaray, est rue Ramponneau. Pendant un quart d’heure, un seul fédéré la défend. Trois fois il casse la hampe du drapeau versaillais. Pour prix de son courage, le dernier soldat de la Commune réussit à s’échapper. » La légende veut que ce dernier combattant anonyme ne fut autre que Lissagaray lui-même : tant il est vrai que chez lui la modestie de l’historien va toujours de pair avec la ténacité et l’intransigeance du militant.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782707145208
Code sériel : 12
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 532
Format : 125 x 190 mm
EAN : 9782707145208
Code sériel : 12
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 532
Format : 125 x 190 mm

Ils en parlent

« L'Histoire de la Commune de 1871,  dès sa parution, fut salué comme un chef-d'oeuvre. C'est un livre passionné et vrai, comme le souligne Jean Maitron dans sa préface à la présente édition. Journaliste et barricadier, Lissagaray réunit les qualités du documentaliste, de l'historien, du témoin et du proscrit. »

LA CROIX

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Arimbo 12/09/2022
    « Les yeux horribles des pontons ». Ma passion pour Rimbaud m'a souvent fait penser à cette période extraordinaire, que le jeune poète a connu et qui apparaît en filigrane dans certains de ses magnifiques poèmes. Mais, en réalité, je la connaissais mal, à part le fait qu'elle était porteuse des grandes idées sociales et politiques qui se concrétisèrent plus tard, ou ne sont pas encore achevées, comme l'éducation pour tous, la séparation de l'Eglise et de l'Etat, l'égalité homme-femme. Et aussi qu'elle a inspiré Marx qui était présent je crois à Paris au même moment, et aussi la révolution bolchevique, entre autres. C'est l'analyse passionnante de ce livre faite par mon « ami » babeliote Hulot, qui m'a incité à lire ce livre, tout en commençant au préalable par le Que-sais-je de Jacques Rougerie, spécialiste éminent de cette période décédé récemment. Le livre de Rougerie était pour moi une étape indispensable, car le récit de Lissaragay, long de près de 500 pages, est extrêmement dense et exhaustif. L'auteur, Prosper-Olivier Lissaragay est un journaliste, qui était présent lors des événements, et a participé à la défense de Paris lors de l'arrivée de l'armée dite des « Versaillais », armée aux ordres d'Adolphe Thiers qui avait pris le pouvoir de l'Assemblée Nationale réunie à Versailles. Proscrit, il avait fui à Londres, et c'est là qu'il a écrit, se servant à la fois de ses souvenirs, du recueil des témoignages de Communards exilés en Angleterre ou en Suisse, mais aussi en examinant une masse énorme de documents relatifs à cette période. Le livre a été publié une première fois en 1876, et avec des remaniements et ajouts en 1896, l'édition que j'ai eue en main. Et de ce fait, lectrice ou lecteur, accroche-toi, ça en vaut la peine, car c'est, précédé de la narration de la débâcle de l'armée française face à l'armée prussienne de Bismarck, de la chute de Napoléon III, un récit presqu'au jour le jour, mais passionné et passionnant de l'avènement et de la chute de la Commune de Paris. Parfois, on se perd un peu dans les détails, parfois, l'auteur se laisse entraîner à la vindicte ou au mépris, mais il faut le prendre comme ça, c'est un récit engagé et courageux. Je ne vais pas résumer ce qui est raconté dans le livre, mais vous faire part de mes impressions et sentiments. D'abord, je ne savais pas que ça a été si court, la Commune de Paris, un peu plus de deux mois seulement. Et pourtant deux mois porteurs d'avenir, car l'ampleur des mesures prises, effacement de la dette des petits commerçants et ouvriers, éducation pour tous, égalité homme-femme, etc..impressionne. Mais j'ai découvert aussi à quel point ce mouvement, dans lequel beaucoup ne voulaient pas de chef, était divisé, par exemple entre des partisans d'une gouvernance plutôt autoritaire et ceux qui voulaient une démocratie directe (ça résonne encore chez nous en 2022, ne trouvez vous pas); combien certains, avec lesquels l'auteur n'est pas tendre, parlaient beaucoup et agissaient peu; enfin combien l'impréparation, les tergiversations de toutes sortes que décrit Lissaragay, n'ont pas permis aux Communards de s'organiser et de résister longtemps à l'offensive des Versaillais, malgré leur courage incroyable. Et puis, il avait raison, ce peuple de Paris, de ne pas être d'accord avec une capitulation indigne devant la Prusse, et de vouloir garder ses canons et ses soldats de la garde nationale, soldats qu'au passage Thiers refusait de payer, et de ce fait de se révolter ce 18 mars 1871 pour garder ses canons et sa garde nationale, dans le but de se défendre. Et puis, le récit de la répression est bouleversant, écoeurant, une répression inique menée par Thiers, des massacres inouïs des populations civiles, une préfiguration, je trouve, des horreurs des guerres du 20ème siècle, des entassements horribles dans les abattoirs(« le sang coula aux abattoirs, dans les cirques » nous dit Rimbaud), sur les pontons, des déportations de masse, des procès sommaires, et j'en passe. Et aussi, il faut noter tous les récits partiaux et malveillants d'écrivains et de journalistes qui ont fait passer les gens de la Commune pour des brutes et des sauvages, alors que, par exemple, les responsables de la Commune avaient édicté des consignes strictes, certes pas toujours suivies, pour le respect des prisonniers. Mais, paradoxalement, si j'ai bien compris, c'est aussi cet épisode qui confortera l'avènement de la République et l'abandon complet de l'idée du rétablissement de la Royauté ou de l'Empire, République qui proclamera bien tard, en 1880, l'amnistie totale des Communards. Enfin, je suis ressorti de cette lecture avec l'idée que la Commune a sans nul doute payé le prix fort pour ses idées novatrices en matière d'égalité, d'éducation, de décentralisation des pouvoirs, bref, tous ces thèmes encore bien d'actualité. Évidemment, un témoignage indispensable à qui veut comprendre cet épisode emblématique, je trouve, de l'Histoire de France. « Les yeux horribles des pontons ». Ma passion pour Rimbaud m'a souvent fait penser à cette période extraordinaire, que le jeune poète a connu et qui apparaît en filigrane dans certains de ses magnifiques poèmes. Mais, en réalité, je la connaissais mal, à part le fait qu'elle était porteuse des grandes idées sociales et politiques qui se concrétisèrent plus tard, ou ne sont pas encore achevées, comme l'éducation pour tous, la séparation de l'Eglise et de l'Etat, l'égalité homme-femme. Et aussi qu'elle a inspiré Marx qui était présent je crois à Paris au même moment, et aussi la révolution bolchevique, entre autres. C'est l'analyse passionnante de ce livre faite par mon « ami » babeliote Hulot, qui m'a incité à lire ce livre, tout en commençant au préalable par le Que-sais-je de Jacques Rougerie, spécialiste éminent de cette période décédé récemment. Le livre de Rougerie était pour moi une étape indispensable, car le récit de Lissaragay, long de près de 500 pages, est extrêmement dense et exhaustif. L'auteur, Prosper-Olivier Lissaragay est un journaliste, qui était présent lors des événements, et a participé à la défense de Paris lors de l'arrivée de l'armée dite des « Versaillais », armée aux ordres d'Adolphe Thiers qui...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Voirac 06/03/2022
    HISTOIRE DE LA COMMUNE COMME SI VOUS Y ÉTIEZ. Lissagaray (1838-1901) était un journaliste de la gauche républicaine qui a rallié la commune dès le premier jour puis s’est exilé en Angleterre. Après l’amnistie des communards de 1880, il est revenu à Paris où il a décortiqué toutes les archives et interrogé les témoins directs pour retracer « l’histoire immédiate » de cette épopée patriotique socialiste et certainement utopique. Le peuple de Paris refuse la défaite contre les Prussiens et tente d’organiser un réarmément de la France en regroupant les forces vives de province. Les chiffres (effectifs, armement) nous apprennent qu’il était largement possible de repousser l’envahisseur. Mais comment soutenir un mouvement révolutionnaire contre une Assemblée élue au suffrage universel ? Nous ne sommes pas dans la Russie de 1917. Les masses paysannes ont pris l’habitude de voter comme tous les autres Français. D’autre part, le peuple est fatigué de la Révolution. La Commune attribue cette apathie ou cette hostilité à un manque d’informations. Or, elle n’a rien d’autre à proposer que la guerre civile ; et personne ou presque, n’est prêt à suivre les Parisiens révoltés sur ce chemin. Très vite la Commune se trouve isolée. Les tentatives de communalisme en province ont rapidement tourné court : à Lyon, les canuts, en pleine activité, ne songent pas à la moindre révolte. Le Midi rouge s’enflamme peu. Le « socialisme » confus et contradictoire associé au drapeau rouge effraie une bonne partie de la France. Ce livre nous fait vivre au jour le jour l’organisation des communaux, leurs comités directeurs (comité central, comité de salut public, les mairies d’arrondissements) spontanés mais souvent concurrents et désorganisés. Trop de démocratie ? manque d’un leader charismatique ? Cette belle utopie humaniste qui voulait ériger Paris en république indépendante va aller à l’échec. Assiégée à l’ouest par Thiers, à l’est par les Prussiens, elle va subir une répression épouvantable par une armée vaincue à Sedan qui a voulu reconquérir son prestige en fusillant 20.000 fédérés y compris femmes et enfants, en arrêtant 40 000 personnes, tout ça pour pour venger la mort de 64 otages et une résistance à une assemblée royaliste. Il semblerait en effet que la commune ait eu quand même l’effet positif d’avoir évité la restauration. Et contrairement à la propagande versaillaise, l’étude des archives n’a montré aucune trace de complot, de secte, de meneur. C’est sans doute le caractère disproportionné de la répression qui a contribué à créer le mythe de la Commune. Il est en effet difficile de ne pas compatir au sort des vaincus traités de façon ignominieuse et vengeresse. A noter que les deux grands écrivains de l’époque, Hugo et Zola ont sur la situation des opinions opposées : alors que le premier est plutôt favorable au mouvement et réprouve surtout sa répression, Zola écrira : « Le but des insurgés était bien d’anéantir Paris tout entier. […] Ceux qui brûlent et qui massacrent ne méritent pas d’autre juge que le coup de feu d’un soldat. » Ce livre est passionnant car il nous replonge «  en direct » dans une page d’histoire qui fait encore polémique, même si l’auteur a choisit son camp. HISTOIRE DE LA COMMUNE COMME SI VOUS Y ÉTIEZ. Lissagaray (1838-1901) était un journaliste de la gauche républicaine qui a rallié la commune dès le premier jour puis s’est exilé en Angleterre. Après l’amnistie des communards de 1880, il est revenu à Paris où il a décortiqué toutes les archives et interrogé les témoins directs pour retracer « l’histoire immédiate » de cette épopée patriotique socialiste et certainement utopique. Le peuple de Paris refuse la défaite contre les Prussiens et tente d’organiser un réarmément de la France en regroupant les forces vives de province. Les chiffres (effectifs, armement) nous apprennent qu’il était largement possible de repousser l’envahisseur. Mais comment soutenir un mouvement révolutionnaire contre une Assemblée élue au suffrage universel ? Nous ne sommes pas dans la Russie de 1917. Les masses paysannes ont pris l’habitude de voter comme tous les autres Français. D’autre part, le peuple est fatigué de la Révolution. La Commune attribue cette apathie ou cette hostilité à un manque d’informations. Or, elle n’a rien d’autre à proposer que la guerre civile ; et personne ou presque, n’est prêt à suivre les Parisiens révoltés sur ce chemin. Très vite la Commune se trouve isolée. Les tentatives de communalisme en province ont...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Hulot 21/11/2021
    Un sentiment de révolte, de honte et d'indignation. Prosper-Olivier Lissagaray fut un de ces derniers "communeux" qui réussirent à s’enfuir de Paris et ainsi échappèrent à la répression qui suivit. Il trouva refuge en Belgique d'abord puis en Angleterre où il vécut en exil. Il entreprit la rédaction de ce livre qui fait toujours référence aujourd’hui, cette "Histoire de la Commune de 1871". Il s'agissait pour lui, en faisant un véritable travail de journaliste et de recherche, et en mettant ses amis ex-communards à contribution, d'apporter un témoignage, le plus complet et le plus honnête possible, sur cette période mais aussi et surtout de rétablir des vérités afin de contrer toutes les affirmations mensongères répandues par les versaillais et surtout par Adolphe Thiers depuis la fin de la répression. L’auteur évoque les difficultés rencontrées par les chefs communards qui n’avaient pas envisagé la tournure des événements qu’ils n’avaient pas voulue ainsi, pas plus qu’ils n’étaient préparés à la gestion de la ville de Paris, de ses administrations à l’arrêt et souvent sabotées par Thiers et ses amis. Il fallut tout assurer à commencer par le ravitaillement, les aides sociales aux plus démunis, le service de santé, l’organisation d’élections. Ils élaborèrent également des programmes dans l’éducation, l’organisation du travail, la place des femmes dans la société, la culture qui malheureusement restèrent à l’état de projet faute de temps. Certains furent repris bien plus tard et sont encore en vigueur. Mais ce qui domine, à la lecture de ce livre, comme à la lecture de tous les ouvrages consacrés honnêtement à la Commune, c'est un sentiment de révolte. il faut tout de même savoir que tout ce qui est advenu, pendant les 72 jours de la Commune insurrectionnelle, le fut, au départ, à cause d'une guerre voulue et perdue par un empereur prétentieux mais aussi par la défaillance de l'armée française. Cette défaite va conduire à une situation dans laquelle les communards qui refusaient juste la paix honteuse signée par le gouvernement, vont finalement être les victimes expiatoires et serviront de bouc émissaire. C'est également un sentiment d'indignation et de honte car les coupables de toutes les exécutions sommaires, des massacres, pendant la semaine sanglante, de populations civiles - 30 000 morts environ, femmes et enfants compris, de toutes les déportations, ne furent jamais jugés et encore moins condamnés et pour beaucoup d'entre eux, à l'image d'Adolphe Thiers, donnent encore leurs noms à des places ou rues dans de nombreuses villes de France. Il s'agit donc d'un livre essentiel et très détaillé sur la Commune, une référence qu'il faut lire absolument car c’est un témoignage important pour aider à comprendre cette période. Toutefois, il est peut-être préférable d'avoir déjà lu sur ce sujet car l'auteur évoque beaucoup d'évènements, évidents pour lui, sans toujours les remettre dans leur contexte et surtout vous allez rencontrer évidemment, de très nombreux personnages, réels bien sûr, et vous risquez de vous perdre dans le récit. Malgré cette réserve, si ce "moment" de notre Histoire vous intéresse, surtout n'hésitez pas ! C'est une lecture indispensable sur les événements.Un sentiment de révolte, de honte et d'indignation. Prosper-Olivier Lissagaray fut un de ces derniers "communeux" qui réussirent à s’enfuir de Paris et ainsi échappèrent à la répression qui suivit. Il trouva refuge en Belgique d'abord puis en Angleterre où il vécut en exil. Il entreprit la rédaction de ce livre qui fait toujours référence aujourd’hui, cette "Histoire de la Commune de 1871". Il s'agissait pour lui, en faisant un véritable travail de journaliste et de recherche, et en mettant ses amis ex-communards à contribution, d'apporter un témoignage, le plus complet et le plus honnête possible, sur cette période mais aussi et surtout de rétablir des vérités afin de contrer toutes les affirmations mensongères répandues par les versaillais et surtout par Adolphe Thiers depuis la fin de la répression. L’auteur évoque les difficultés rencontrées par les chefs communards qui n’avaient pas envisagé la tournure des événements qu’ils n’avaient pas voulue ainsi, pas plus qu’ils n’étaient préparés à la gestion de la ville de Paris, de ses administrations à l’arrêt et souvent sabotées par Thiers et ses amis. Il fallut tout assurer à commencer par le ravitaillement, les aides sociales aux plus démunis, le service de santé, l’organisation d’élections. Ils élaborèrent également des programmes...
    Lire la suite
    En lire moins
  • lehibook 24/07/2021
    La Commune reste inscrite dans la mémoire française ,pour l'aduler ou la décrier ,comme en témoignent de récentes polémiques. Ce récit appuyé par les témoignages d'acteurs (les survivants) et rédigé par un participant n'est pas de l'histoire objective mais un récit engagé de ce qui fut une courte mais effroyable guerre civile française.
  • MrDimitriG 21/08/2020
    La première partie est un peu lourde, certes. Mais ensuite, quel livre ! Un grand moment d'histoire. Même le style n'a pas pris une ride. L'auteur a fait un travail colossal pour démontrer toutes les horreurs faites au nom de la République et s'opposer à ceux qui voulaient écrire l'histoire pour se donner le bon rôle. Même si l'on sait que l'issue est triste, se plonger dans la Commune de Paris c'est comprendre l'injustice de cette époque et sentir la volonté de construire une nouvelle société. Difficile de faire plus actuel.
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés