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Il est à toi ce beau pays
Date de parution : 28/05/2020
Éditeurs :
Pocket

Il est à toi ce beau pays

Date de parution : 28/05/2020
À qui est-il, ce beau pays ?
Aux Livingstone, Stanley, Brazza qui l’explorèrent et s’y perdirent – aux intrépides découvreurs des antipodes ?
Aux Léopold, Victoria ou Jules Ferry, chefs d'États aux...
À qui est-il, ce beau pays ?
Aux Livingstone, Stanley, Brazza qui l’explorèrent et s’y perdirent – aux intrépides découvreurs des antipodes ?
Aux Léopold, Victoria ou Jules Ferry, chefs d'États aux appétits voraces – grands saigneurs, esclavagistes, pilleurs et fossoyeurs de tout un continent au nom de la « civilisation »...
À qui est-il, ce beau pays ?
Aux Livingstone, Stanley, Brazza qui l’explorèrent et s’y perdirent – aux intrépides découvreurs des antipodes ?
Aux Léopold, Victoria ou Jules Ferry, chefs d'États aux appétits voraces – grands saigneurs, esclavagistes, pilleurs et fossoyeurs de tout un continent au nom de la « civilisation » ?
Aux descendants des Africains déportés aux États-Unis et devenus citoyens américains ? 
À tous, sans doute, sauf à Ota Benga, pygmée et bête de foire, arraché à sa forêt natale et emporté par-delà l’océan, là-bas où il n’est rien. Ce beau pays qu’on dépèce, entre deux siècles sanglants, c’est le sien, pourtant.
Ce roman le lui rend.

« Magistral. » Femme actuelle

« Un roman fort et foisonnant. Une fresque bouleversante. » Madame Figaro
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EAN : 9782266299640
Code sériel : 17686
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 848
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266299640
Code sériel : 17686
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 848
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une très belle histoire babylonienne du monde moderne. » Hubert Artus
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marcuyttendaele 26/09/2021
    Un livre magistral. Une oeuvre totalement accomplie. Une exigence de la mémoire. Une somme de connaissance qui est bien plus qu'un roman. Jennifer Richard, à partir d'un travail exceptionnel de documentation, raconte bien plus que la colonisation, elle révèle ce qu'est une prédation. La prédation de l'Afrique au prix d'un racisme premier, d'un cynisme totalement décomplexé qui ne rend fier ni d'être belge, ni d'être anglais, ni d'être européen.Une galerie de personnalités dans laquelle très peu suscitent le respect. Horrible Roi des belges, dépourvu de toute humanité... Egocentrisme désespéré et besoin maladif de reconnaissance de Stanley dont on comprend bien pourquoi et comment sa vie perd son sens quand il quitte l'Afrique. Il y aussi ces quelques personnages en avance sur le temps comme Brazza ou Booker T Washington qui dirige une école ouverte aux noirs. Un portrait aussi sans complaisance de Georges Washington Williams, éphémère député noir, écartelé entre son désir d'être reconnu et la volonté de combattre ségrégation et colonialisme. Bref un roman, mais bien plus que cela, tant avec ampleur, mais avec un scalpel l'auteur dit ce qui a été. En ces temps de culture woke, de logique décoloniale et de cancel culture, Jennifer Richard entretient... Un livre magistral. Une oeuvre totalement accomplie. Une exigence de la mémoire. Une somme de connaissance qui est bien plus qu'un roman. Jennifer Richard, à partir d'un travail exceptionnel de documentation, raconte bien plus que la colonisation, elle révèle ce qu'est une prédation. La prédation de l'Afrique au prix d'un racisme premier, d'un cynisme totalement décomplexé qui ne rend fier ni d'être belge, ni d'être anglais, ni d'être européen.Une galerie de personnalités dans laquelle très peu suscitent le respect. Horrible Roi des belges, dépourvu de toute humanité... Egocentrisme désespéré et besoin maladif de reconnaissance de Stanley dont on comprend bien pourquoi et comment sa vie perd son sens quand il quitte l'Afrique. Il y aussi ces quelques personnages en avance sur le temps comme Brazza ou Booker T Washington qui dirige une école ouverte aux noirs. Un portrait aussi sans complaisance de Georges Washington Williams, éphémère député noir, écartelé entre son désir d'être reconnu et la volonté de combattre ségrégation et colonialisme. Bref un roman, mais bien plus que cela, tant avec ampleur, mais avec un scalpel l'auteur dit ce qui a été. En ces temps de culture woke, de logique décoloniale et de cancel culture, Jennifer Richard entretient la mémoire, la crée même et la rend vive, démontrant qu'au-delà de l'idéologie toxique du moment, la connaissance de ce qu'ont été les pages sombres du passé doit faire partie de notre patrimoine commun. Lire ce livre est un devoir salutaire
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  • Squirelito 06/08/2020
    Congo, une histoire que d’aucuns nomment un « holocauste oublié ». Un pays, un peuple, des ethnies. Un terrain d’esclaves, une terre convoitée, un massacre avec l’approbation des soi-disant bienfaiteurs de l’humanité. De ce Congo la romancière Jennifer Richard dresse une fresque historique couvrant une période de près de 20 ans à la fin du XIX° siècle relatant en un triangle la colonisation en Afrique, la ségrégation en Amérique du Nord et l’enrichissement d’une poignée d’Européens et d’Arabes se disputant les richesses d’une terre et le marché de l’esclavage. Une conquête de territoires en se servant d’une cause morale : une mission salvatrice pour mettre fin à la servitude… Le roman fleuve commence par le personnage d’Ota Benga, authentique comme tous les autres protagonistes. Nous sommes en 1916, à New York. Cet homme originaire du Congo de la tribu des Pygmées se suicide avec une arme à feu. Il n’en peut plus, lui à qui on a volé son identité et son pays. Car ce pays du Congo était le sien mais arraché à sa terre natale par un missionnaire, qui était aussi homme d’affaires, il souffre corps et âme. Dans la réalité, Ota Benga fera partie de ceux qui seront... Congo, une histoire que d’aucuns nomment un « holocauste oublié ». Un pays, un peuple, des ethnies. Un terrain d’esclaves, une terre convoitée, un massacre avec l’approbation des soi-disant bienfaiteurs de l’humanité. De ce Congo la romancière Jennifer Richard dresse une fresque historique couvrant une période de près de 20 ans à la fin du XIX° siècle relatant en un triangle la colonisation en Afrique, la ségrégation en Amérique du Nord et l’enrichissement d’une poignée d’Européens et d’Arabes se disputant les richesses d’une terre et le marché de l’esclavage. Une conquête de territoires en se servant d’une cause morale : une mission salvatrice pour mettre fin à la servitude… Le roman fleuve commence par le personnage d’Ota Benga, authentique comme tous les autres protagonistes. Nous sommes en 1916, à New York. Cet homme originaire du Congo de la tribu des Pygmées se suicide avec une arme à feu. Il n’en peut plus, lui à qui on a volé son identité et son pays. Car ce pays du Congo était le sien mais arraché à sa terre natale par un missionnaire, qui était aussi homme d’affaires, il souffre corps et âme. Dans la réalité, Ota Benga fera partie de ceux qui seront exposés dans un zoo… Des Etats-Unis au Congo, de Bruxelles à Paris en passant par Londres, c’est un défilé de personnages historiques, plus ou moins connus, plus ou moins cruels, plus ou moins vénaux et seulement se détachent quelques figures humaines comme Roger Casement, Joseph Conrad, George Washington Williams ou Booker Taliaferro Wasshington. Le tout dans un récit absolument effroyable sur la condition noire, l’exploitation de l’Afrique en général et le Congo en particulier et sur les fausses bonnes intentions des prédicateurs d’humanité comme Léopold II, qui prétextant mettre fin à l’esclavage avait créé une entité afin d’asseoir son pouvoir hors Belgique et écarter les Arabes du marché de l’ivoire et de la main-d’œuvre gratuite… Pris en tenaille, les explorateurs, avides de gloire, ne reculant devant aucun danger, parfois culpabilisant sur les conditions de vie des indigènes mais continuant à permettre aux gouvernements européens de s’offrir des territoires inconnus au prix du sang. Au fil de la lecture, c’est l’incipit de « Tristes tropiques » de Claude Lévi-Strauss qui revient en mémoire « Je hais les voyages et les explorateurs » avec cette propension de l’Occident à faire de l’exotisme à la fois une distraction et un pillage. Quant à la ségrégation aux Etats-Unis, l’auteure décortique tout le machiavélisme qui a œuvré pendant des décennies, faisant des milliers de victimes, accroissant la pauvreté et laissant la haine se disperser. Malgré ses 800 pages, c’est un livre qui se lit sans pouvoir presque s’arrêter et pourtant doucement pour bien mesurer le pouvoir des mots pour décrire l’ineptie – euphémisme – du colonialisme et de toutes les violences qui ont suivies, et qui, hélas, de nos jours sont encore présentes ; le Congo étant toujours un terrain de tous les profits, de toutes les luttes pour récupérer les précieux minerais et où se commettent chaque jour des crimes dont des viols utilisés comme armes de guerre. Malgré les nombreux personnages et les multiples allers-retours entre Afrique, Europe et Amérique, à aucun moment le lecteur ne se sent perdu devant l’étendue de la narration des faits, seul un sentiment d’effroi revient régulièrement tant certaines descriptions sont insoutenables. Mais elles rejoignent les divers témoignages laissés en littérature et en journalisme. Une lecture indispensable pour mieux comprendre le monde du XXI° siècle encore victime de l’emprise hypocrite et barbare des puissants d’hier, d’avant-hier et de leurs fantômes quelquefois réincarnés dans les hommes d’aujourd’hui. Pour compléter, je ne peux que recommander également, entre autres, les ouvrages d’auteurs congolais – Alain Mabanckou, Philippe Moukoko, Chéri Samba, Sony Labou Tansi, Henri Lopes… – « Le rêve du Celte » de Mario Vargas Llosa et l’indispensable ouvrage sur le Congo de David Van Reybrouck. Et pour votre serviteur relire « Cœur des ténèbres » de Joseph Conrad pour mieux discerner cette plume qui narrait sur le vif cette partition mortelle qui s’est joué en Afrique entre exploitants et exploités. Et qui se joue encore dans ce beau pays qu’est le Congo, dans ce beau continent qu’est l’Afrique, berceau de l’humanité.
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  • Stelphique 09/06/2020
    Ce que j’ai ressenti: #9642;️Elle est à toi, cette sensation… C’est l’un des livres qui m’a été le plus difficile de lire, parce que j’avais l’impression d’avoir sous mes yeux, une blessure à vif…Une blessure ouverte, purulente…La condition du peuple noir est alarmante, et c’est encore malheureusement d’actualité… Ils ont subi au cours des siècles et sur tous les continents, l’esclavage, la ségrégation, l’indifférence, la haine. Avec ce roman-fleuve, qui retrace 20 ans d’Histoire, on va ouvrir les portes de ce beau pays qu’est le Congo, pour savoir que même avec l’abolition de l’esclavage, leurs sorts et leurs considérations ne se sont pas améliorés pour autant…J’ai eu la sensation d’une hypocrisie écoeurante en découvrant ce que ces hommes blancs conquérants ont mis derrière le mot « civilisation », et c’était loin d’être agréable d’aller voir ça de si près…Des fois, il m’a fallu poser le livre, parce que c’était trop d’émotions, trop de souffrances et qu’on ne se remet jamais tout à fait de cette sensation qui vient te perforer le cœur…C’était hier, mais c’est tellement aujourd’hui aussi, ce fléau raciste. Je ne sais pas encore combien de temps, ce roman va me hanter. Longtemps…Indéfiniment, j’imagine… On ne se remet pas de tant... Ce que j’ai ressenti: #9642;️Elle est à toi, cette sensation… C’est l’un des livres qui m’a été le plus difficile de lire, parce que j’avais l’impression d’avoir sous mes yeux, une blessure à vif…Une blessure ouverte, purulente…La condition du peuple noir est alarmante, et c’est encore malheureusement d’actualité… Ils ont subi au cours des siècles et sur tous les continents, l’esclavage, la ségrégation, l’indifférence, la haine. Avec ce roman-fleuve, qui retrace 20 ans d’Histoire, on va ouvrir les portes de ce beau pays qu’est le Congo, pour savoir que même avec l’abolition de l’esclavage, leurs sorts et leurs considérations ne se sont pas améliorés pour autant…J’ai eu la sensation d’une hypocrisie écoeurante en découvrant ce que ces hommes blancs conquérants ont mis derrière le mot « civilisation », et c’était loin d’être agréable d’aller voir ça de si près…Des fois, il m’a fallu poser le livre, parce que c’était trop d’émotions, trop de souffrances et qu’on ne se remet jamais tout à fait de cette sensation qui vient te perforer le cœur…C’était hier, mais c’est tellement aujourd’hui aussi, ce fléau raciste. Je ne sais pas encore combien de temps, ce roman va me hanter. Longtemps…Indéfiniment, j’imagine… On ne se remet pas de tant de souffrance. Si on n’y perd pas la vie, on y laisse son âme. #9642;️Elle est à toi, cette admiration… Jennifer Richard nous offre un roman magistral, aussi dense que remarquable. Entre aventure et histoire, légendes et réalité effroyable, on explore les terres africaines avec tout ce qu’elles recèlent de richesses, de folklore et de beautés pour un voyage absolument inoubliable. Pour autant, ce livre est aussi époustouflant que bouleversant…Parce que l’auteure nous raconte aussi toutes les horreurs possibles et inimaginables que l’Afrique a pu endurer pendant des années. La violence est omniprésente, les ravages considérables et l’ampleur des dégâts monstrueux. Plus je lisais, plus j’étais admirative de son style, de la puissance évocatrice, de sa perspicacité et son travail de recherche. Il est à toi ce beau pays, c’est une plongée immédiate et profonde dans la réalité de la colonisation du Congo, avec tout ce que ça comporte d’enjeux politiques, socials et économiques au détriment du peuple, de l’environnement et de ses valeurs. La nuit camouflerait peut-être la misère. #9642;️Il est à moi, ce coup au cœur… C’est un conseil, c’est sans aucun doute une évidence pour moi, il faut lire ce livre. Je pensais faire un voyage paisible avec un titre aussi joli, mais non…Et pourtant je ne regrette aucune minute de ce temps que j’ai accordé à cette lecture…Il est fort en émotions, très fort même, j’ai cru ramasser les miettes de mon cœur parfois dans des passages mais effectivement, il est beau ce pays. Dépecé, magique, brûlé, envoûtant, saccagé, mais incontestablement beau à en faire venir les larmes jusqu’à mes yeux. Ce beau pays. Et Jennifer Richard lui rend toute sa splendeur en près de 800 pages. Le danger, quand on vous aime trop, est de ne plus toucher terre. Ma note Plaisir de Lecture 10/10
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  • JPCorniou 30/03/2020
    Cette analyse magistrale de la colonisation de l'Afrique par les puissances européennes, avec en contrepoint les luttes des noirs américaines aux Etats-Unis, est une approche de la colonisation, au sens propre, suffocante. Il fallait que l'appât du gain et d cela gloire soit forte pour accepter de subir ce que les explorateurs, puis les marchands et soldats, ont subi dans cette conquête violente et pénible. Ils se sont bien vengés sur les populations locales. La conquête du Congo à titre personnel par le roi des Belges, Leopold II, est un chapitre sinistre de l'histoire des Européens en Afrique. Coup de poing violent, ce livre, long, détaillée, est une oeuvre majeure incontournable pour comprendre le rôle de l'Europe en Afrique mais aussi, en miroir, l'émergence du mouvement d'émancipation des noirs en Amérique.
  • mimipinson 20/09/2019
    L’ouvrage m’avait interpellé dès sa sortie, tant pour son sujet (rarement abordé) que pour l’esthétique de sa couverture. Et ce ne sont pas ses 700 pages bien sonnées qui m’auraient fait reculer ; il fallait juste trouver le bon moment pour lui accorder toute l’attention qu’il méritait. Parce qu’en effet, attention il lui fallait. Non pas qu’il était difficile, mais complexe, fouillé, vaste précis. On pourrait presque penser qu’il s’agissait d’un essai ; par je ne sais quelle magie du style, l’auteur a réussi à en faire un roman passionnant, glaçant, et sans l’ombre d’un doute historiquement irréprochable. Sur un quart de siècle (le dernier du 19ème) en débutant son propos par le suicide en 1916 en Virginie d’Ota Benga, homme du Congo, exposé telle une bête foire un peu partout pour finir ouvrier d’une manufacture de tabac. Le sort de ce pauvre homme résume à lui tout seul celui d’un continent : l’Afrique qui durant les 25 années précédentes fut livrée à ses fossoyeurs. Ainsi, tout au long de cet ouvrage, Jennifer nous raconte avec précision et érudition la colonisation de l’Afrique, alors que parallèlement s’installe aux USA la ségrégation à la suite de l’abolition du servage. Nous côtoierons donc tous les... L’ouvrage m’avait interpellé dès sa sortie, tant pour son sujet (rarement abordé) que pour l’esthétique de sa couverture. Et ce ne sont pas ses 700 pages bien sonnées qui m’auraient fait reculer ; il fallait juste trouver le bon moment pour lui accorder toute l’attention qu’il méritait. Parce qu’en effet, attention il lui fallait. Non pas qu’il était difficile, mais complexe, fouillé, vaste précis. On pourrait presque penser qu’il s’agissait d’un essai ; par je ne sais quelle magie du style, l’auteur a réussi à en faire un roman passionnant, glaçant, et sans l’ombre d’un doute historiquement irréprochable. Sur un quart de siècle (le dernier du 19ème) en débutant son propos par le suicide en 1916 en Virginie d’Ota Benga, homme du Congo, exposé telle une bête foire un peu partout pour finir ouvrier d’une manufacture de tabac. Le sort de ce pauvre homme résume à lui tout seul celui d’un continent : l’Afrique qui durant les 25 années précédentes fut livrée à ses fossoyeurs. Ainsi, tout au long de cet ouvrage, Jennifer nous raconte avec précision et érudition la colonisation de l’Afrique, alors que parallèlement s’installe aux USA la ségrégation à la suite de l’abolition du servage. Nous côtoierons donc tous les personnages de l’époque qui de David Livingstone, Stanley, Brazza, Joseph Conrad, Georges Washington Williams, à Léopold II de Belgique, pour le meilleur et surtout pour le pire ont d’abord exploré le continent, pour le livrer aux missionnaires et aux criminels. Passionnant, foisonnant et exigeant, ce livre mérite du temps et concentration. Il sort assurément des sentiers battus alors que son sujet - le sort du peuple noir en Afrique comme en Amérique du nord- est lui on ne peut plus universel et actuel. Un grand livre que je ne suis pas près d’oublier !
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