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Imperium
Natalie Zimmermann (traduit par)
Date de parution : 07/02/2008
Éditeurs :
Pocket

Imperium

Natalie Zimmermann (traduit par)
Date de parution : 07/02/2008

Rome, 71 avant J.-C. Par un froid matin de novembre, Tiron, secrétaire particulier du jeune sénateur Cicéron, ouvre la porte à un étranger terrorisé. Cet homme cherche à assurer sa...

Rome, 71 avant J.-C. Par un froid matin de novembre, Tiron, secrétaire particulier du jeune sénateur Cicéron, ouvre la porte à un étranger terrorisé. Cet homme cherche à assurer sa défense contre Gaius Verrès, le redouté gouverneur de Sicile, qui l'aurait odieusement spolié.
Pour Marcus Tullius Cicéron, qui rêve d'accéder à...

Rome, 71 avant J.-C. Par un froid matin de novembre, Tiron, secrétaire particulier du jeune sénateur Cicéron, ouvre la porte à un étranger terrorisé. Cet homme cherche à assurer sa défense contre Gaius Verrès, le redouté gouverneur de Sicile, qui l'aurait odieusement spolié.
Pour Marcus Tullius Cicéron, qui rêve d'accéder à l'imperium, le pouvoir politique suprême, cette affaire pourrait être l'occasion d'accomplir ses desseins. Car sans fortune ni naissance, ce brillant avocat ne peut compter que sur son éloquence pour réussir.
Son irrésistible ascension va pouvoir commencer...

« Un thriller bien écrit, terriblement efficace, qui nous plonge au cœur du pouvoir et qui sait aussi rendre attachants ses personnages. » Femme actuelle

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EAN : 9782266174060
Code sériel : 13387
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266174060
Code sériel : 13387
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un thriller bien écrit, terriblement efficace, qui nous plonge au cœur du pouvoir et qui sait aussi rendre attachants ses personnages. » Femme Actuelle

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JMP95 16/01/2024
    Deux Robert Harris (le second sommeil et celui ci) , deux demi déceptions. Est ce beaucoup ? Non je ne pense pas mais bon deux quand même. Et Alors ? me direz vous, tout ça est bel et bon mais ça n aide pas. Et en effet, ça n aide pas ;p. Bon j arrête mes bêtises, Imperium donc. Première chose à bien retenir, c est que ce livre reste un roman, très, TRÈS, bien documenté, mais tout de même un roman. Et de ce fait, j attendais quelque chose de plus vivant, de plus dynamique, et là, bah, c est pas trop ça quoi. Il y a pas mal de longueur, comme un peu de vide fait avec du remplissage quoi. La deuxième chose, mais là cela touche plus à du personnel, il y a pléthore de nom et de famille et moi ça m épuise de devoir me souvenir de tous les noms de personnages et de famille et on est bien servi dans Imperium. La troisième chose, et vraiment pour moi ce qui gâche le plus le plaisir de ce livre. C'est que l on est soit un féru de Rome dans sa période républicaine, soit on doit garder un wiki ouvert pour régulièrement comprendre le rôle politique et le but de carrière de chacun. Certes sans avoir une note en bas de chaque page ou une annexe de 20 pages. Mais quand même, j ai fini par me perdre dans ces rôles et ne plus y attacher d importance. Ce qui fait que j ai perdu un peu le sel de cette histoire. La majeure partie de ce roman étant sur la politique romaine, les postes que chacun veut obtenir, et la lutte des parties entre eux. Enfin ! en résumé, pas un mauvais roman (je vais tout de même tenter le deuxième tome) mais je pense réservé à ceux que la période intéresse et être prêt à s accrocher pour ne pas décrocher (oui je sais c est nul). Après ceci reste mon avis et je vous laisse vous faire le votre et le partager. Bonne lecture à tous. Deux Robert Harris (le second sommeil et celui ci) , deux demi déceptions. Est ce beaucoup ? Non je ne pense pas mais bon deux quand même. Et Alors ? me direz vous, tout ça est bel et bon mais ça n aide pas. Et en effet, ça n aide pas ;p. Bon j arrête mes bêtises, Imperium donc. Première chose à bien retenir, c est que ce livre reste un roman, très, TRÈS, bien documenté, mais tout de même un roman. Et de ce fait, j attendais quelque chose de plus vivant, de plus dynamique, et là, bah, c est pas trop ça quoi. Il y a pas mal de longueur, comme un peu de vide fait avec du remplissage quoi. La deuxième chose, mais là cela touche plus à du personnel, il y a pléthore de nom et de famille et moi ça m épuise de devoir me souvenir de tous les noms de personnages et de famille et on est bien servi dans Imperium. La troisième chose, et vraiment pour moi ce qui gâche le plus le plaisir de ce livre. C'est que l on est soit un féru de Rome dans sa période républicaine, soit on doit garder un wiki...
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  • Des_manga_envoila 26/09/2023
    Ne connaissant pas grand chose de la république romaine si ce n'est mes restes de cours de 6eme ou 5eme mais étant fan de romans historiques, je me suis attaqué par hasard à ce thriller politique et je n'ai pas été déçu. Le déroulement est tellement incroyable, Ciceron tellement impressionnant qu'on se prend à vérifier la véracité historique des faits constamment... Et à chaque fois on est surpris car oui, tous les moments marquants de ce thriller sont historiques et terriblement bien documenté. Un superbe roman, très bien écrit, prenant et juste qui permet de comprendre à la fois la chute de la république romaine, gangrenée par la corruption et le protectionnisme des élites et de faire des parallèles avec de nombreux moments clés de l'histoire récente. Robert Harris reussis a retranscrire la justesse et la maestria des discours de Ciceron en les rendant intelligible, sans en dénaturer la substance. Il réussit également le tour de force de rendre compréhensible les institutions et les jeux de pouvoirs de la république romaines sans y passer des pages, implicitement. A lire.
  • BazaR 25/05/2023
    Bon sang de bonsoir, quel livre ! J'ai enfin décidé de nettoyer le fond de ma PAL Babélio et je tombe sur ce roman historique qui trainait là depuis des années. Sous la poussière, un bijou. A travers la biographie romancée de Cicéron, sa montée des marches du cursus honorum depuis le Sénat jusqu'au consulat, c'est l'histoire de la fin de la République romaine que nous raconte Robert Harris. Il le fait sous la forme d'un véritable thriller politico-juridique narré par Tiron, l'esclave secrétaire particulier du grand avocat, qui joue un peu le rôle de Watson pour Sherlock ou d'Alfred pour Batman. C'est vivant, angoissant, jouissif, parsemé de rebondissements, de moments d'accablement avant le ressort au dernier instant. L'histoire de Cicéron est connue, ce qui pourrait limiter le suspense, et pourtant j'ai vécu chaque instant comme si j'ignorais ce qui allait arriver. C'est le propre d'un grand conteur. On découvre cette République finissante depuis les lieux de pouvoir, le forum de Rome essentiellement. Pour une fois, la dimension guerrière de cette civilisation, si souvent mise en avant, s'efface devant ses lois et ses manoeuvres politiques. Oh, ce n'est certes pas une utopie à la Thomas More. La République apparaît profondément corrompue. L'argent achète tout. La charge de gouverneur assure de s'en mettre plein la toge en exploitant, asséchant, pillant les peuples conquis (y compris la Sicile que je croyais à l'abri à cette époque). Qui n'est pas citoyen romain a du soucis à se faire. Mais le système juridique romain permet à ces non-citoyens de se défendre et, entre les mains d'un virtuose de la loi comme Cicéron, de faire payer même les plus inaccessibles corrupteurs de la République, tel l'ignoble Verrès. Il est à noter aussi le mouvement d'extension de la citoyenneté en cours, qui ne va pas non plus sans opposition aristocratique. Les institutions, bien que dominées par l'aristocratie, laissent quand même la parole à la plèbe, défendue par les tribuns. de plus les lois sont proposées par le Sénat qui n'embauche que des riches (ou des patriciens qui se font financer et donc acheter par des riches) et votées par tous les citoyens. Ce n'est pas l'égalité absolue, mais ce n'est pas non plus la monarchie moyenâgeuse ou moderne. Cette République brinquebalante, on commence à la voir vaciller sous les complots de gens qui souhaitent l'acheter, s'emparer du pouvoir effectif, ne laissant qu'une toge usée et sans signification, un paravent démocratique. Les Pompée, Crassus et César s'agitent. Robert Harris, à mon sens, prend partie. Il nous dit que cette République, si loin de l'idéal, est menacée par quelque chose de plus grave : un absolutisme de fait. Cicéron, qui n'est pas non plus un parangon de vertu et peut sceller des accords avec des individus dangereux, réagit pour l'instant en faveur de la République. Pourra-t-il poursuivre dans cette direction ? La suite me l'apprendra sûrement. J'attends avec impatience la narration de la conjuration de Catilina et de la montée du premier triumvirat. Bien sûr, du coup, ma PAL Babélio augmente avec les suites qui n'y étaient pas encore intégrées. Bah, c'est pas grave. Bon sang de bonsoir, quel livre ! J'ai enfin décidé de nettoyer le fond de ma PAL Babélio et je tombe sur ce roman historique qui trainait là depuis des années. Sous la poussière, un bijou. A travers la biographie romancée de Cicéron, sa montée des marches du cursus honorum depuis le Sénat jusqu'au consulat, c'est l'histoire de la fin de la République romaine que nous raconte Robert Harris. Il le fait sous la forme d'un véritable thriller politico-juridique narré par Tiron, l'esclave secrétaire particulier du grand avocat, qui joue un peu le rôle de Watson pour Sherlock ou d'Alfred pour Batman. C'est vivant, angoissant, jouissif, parsemé de rebondissements, de moments d'accablement avant le ressort au dernier instant. L'histoire de Cicéron est connue, ce qui pourrait limiter le suspense, et pourtant j'ai vécu chaque instant comme si j'ignorais ce qui allait arriver. C'est le propre d'un grand conteur. On découvre cette République finissante depuis les lieux de pouvoir, le forum de Rome essentiellement. Pour une fois, la dimension guerrière de cette civilisation, si souvent mise en avant, s'efface devant ses lois et ses manoeuvres politiques. Oh, ce n'est certes pas une utopie à la Thomas More. La République apparaît profondément corrompue. L'argent achète...
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  • Lamifranz 09/08/2022
    Si « Imperium » n’est pas le premier roman de Robert Harris que vous lisez, vous savez déjà que vous en aurez pour votre argent et même au-delà : que vous aurez une bonne histoire servie sur un beau plateau, avec du fond, de la forme, et que vous sortirez du bouquin moins bête qu’en y entrant, et même ravi. « Imperium » (2006) est le premier volume d’une trilogie consacrée à Cicéron. Il est suivi par « Conspirata » (2009) et se conclut par « Dictator » (2015). Ce ne sont pas directement les Mémoires de Cicéron, mais celles de son secrétaire Tiron. Ces Mémoires ont paraît-il existé mais le vent de l’Histoire les a emportés avec l’Empire romain. Ils renaissent ici sous la plume de Robert Harris qui, non seulement, à partir des sources les plus fiables, a reconstitué l’histoire de Rome dans les derniers jours de la République, mais encore, avec le talent qu’on lui connaît, a su donner vie à ces personnages que nous ne connaissons que sous formes de statues, ou de notices dans nos livres d’Histoire. Petit point linguistique à préciser : « imperium » ne veut pas dire Empire. L’Empire d’Auguste ne commencera qu’en 27 avant J.C. Or nous ne sommes qu’en 71 avant J. C. et donc encore sous la République. Et la signification d’« imperium » est « pouvoir », « commandement », et à ce moment là de l’Histoire, le pouvoir suprême, civil et militaire, est tenu par les deux consuls, désignés tous les ans par une assemblée du peuple romain, sous le contrôle du Sénat. Le titre du roman indique clairement le sujet : l’ascension de Cicéron vers cette fonction suprême. En 71 av J.C. Cicéron est un jeune sénateur, ambitieux, mais n’ayant ni naissance ni fortune, il n’a que son éloquence d’avocat pour réussir à monter les marches du pouvoir. L’occasion lui est donnée de se mettre en avant : Un homme lui demande de le défendre contre Verrès, gouverneur de Sicile, coupable de pressurer la population par des impôts illégaux, et d’autre part d’avoir détourné à son profit la plupart des trésors artistiques de l’île. Le procès gagné, Cicéron se lance dans la course au consulat. Robert Harris nous promène avec jubilation dans les coulisses du Sénat et de la vie politique romaine : on croise des personnages que l’on est appelé à retrouver : Jules César, les généraux Crassus et Pompée, Catilina, Hortensius et bien d’autres. Et nous entrons également dans la vie privée de Cicéron, illustrée par de réjouissantes joutes avec sa femme Terentia… Le talent de Robert Harris est tel que, bien qu’il décrive sans y toucher une institution complexe et a priori rébarbative, il y met tant de vie et de mouvement que non seulement on ne s’ennuie pas un seul moment, mais encore on se croirait à une élection contemporaine : les grenouillages, les dessous de table, les compromissions, les promesses fallacieuses, la propagande (et même les fake news) sont en balance avec l’engagement sincère des candidats (qui ne dure pas longtemps) et des électeurs soit intéressés (au sens pécuniaire du terme) soit fatalistes… (Si vous me dites que la politique ce n’est pas ça, c’est que vous êtes un politicien, si vous n’êtes pas d’accord, ce qui est votre droit, ne lisez pas ce que je viens d’écrire…) Faire un cours « d’Histoire » en racontant une belle « histoire », ça n’arrive pas si souvent, l’un des deux prenant souvent le pas sur l’autre. Harris réussit le tour de force de nous maintenir accrochés, en faisant de ses personnages des êtres de chair et d’os, et de sentiment, et de caractère, que nous pourrions accepter pour nos contemporains. Un peu comme la série « Rome », mais avec plus de passion et plus d’empathie pour les personnages. Ici le monde romain n’est pas un décor pour une intrigue, il fait partie de l’intrigue, il en est le cœur, il « est » l’intrigue. Nous le savons, nous qui avons été à l’école, « Impérium » décrit le début de la fin de la République, et le roman, petit à petit, nous confirme dans cette idée. Si « Imperium » n’est pas le premier roman de Robert Harris que vous lisez, vous savez déjà que vous en aurez pour votre argent et même au-delà : que vous aurez une bonne histoire servie sur un beau plateau, avec du fond, de la forme, et que vous sortirez du bouquin moins bête qu’en y entrant, et même ravi. « Imperium » (2006) est le premier volume d’une trilogie consacrée à Cicéron. Il est suivi par « Conspirata » (2009) et se conclut par « Dictator » (2015). Ce ne sont pas directement les Mémoires de Cicéron, mais celles de son secrétaire Tiron. Ces Mémoires ont paraît-il existé mais le vent de l’Histoire les a emportés avec l’Empire romain. Ils renaissent ici sous la plume de Robert Harris qui, non seulement, à partir des sources les plus fiables, a reconstitué l’histoire de Rome dans les derniers jours de la République, mais encore, avec le talent qu’on lui connaît, a su donner vie à ces personnages que nous ne connaissons que sous formes de statues, ou de notices dans nos livres d’Histoire. Petit point linguistique à préciser : « imperium » ne veut pas dire Empire. L’Empire d’Auguste ne commencera qu’en...
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  • Paroxetine 06/08/2022
    Il s’agit là d’un roman historique fascinant sur la vie de Cicéron racontée par son esclave Tiron qui est aussi son secrétaire particulier (qui est aussi accessoirement à l’origine de notre sténographie moderne !). L’auteur nous montre le parcours de Cicéron, simple avocat parti de rien (un handicap à Rome) vers les plus hautes sphères du pouvoir.
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