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Influenza
Les lumières de Géhenne
Date de parution : 20/10/2011
Éditeurs :
Pocket

Influenza

Les lumières de Géhenne

Date de parution : 20/10/2011

1943. Depuis deux ans, Alex Beaumont s’est retiré sur l’île de Wight, où il exerce la médecine. Shanghai n’est plus qu’un souvenir, Isaure D’Argreen et la LCS, des fantômes. Kathleen...

1943. Depuis deux ans, Alex Beaumont s’est retiré sur l’île de Wight, où il exerce la médecine. Shanghai n’est plus qu’un souvenir, Isaure D’Argreen et la LCS, des fantômes. Kathleen a renoué avec lui des liens amoureux. Mais son passé va le rattraper sous une forme inattendue. Et la traque...

1943. Depuis deux ans, Alex Beaumont s’est retiré sur l’île de Wight, où il exerce la médecine. Shanghai n’est plus qu’un souvenir, Isaure D’Argreen et la LCS, des fantômes. Kathleen a renoué avec lui des liens amoureux. Mais son passé va le rattraper sous une forme inattendue. Et la traque de la vérité sur la mort de son père, la recherche des souches du virus de la grippe espagnole vont reprendre.
De l’île de Wight au cœur du IIIe Reich, où la machine de guerre allemande prépare en grand secret un nouveau virus, Alex se jette à corps perdu dans la bataille…

« Un second volume aussi passionnant que le premier, avec en toile de fond un tableau très réaliste du quotidien dans l'Europe en guerre. »
L'Est éclair

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EAN : 9782266214988
Code sériel : 14711
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266214988
Code sériel : 14711
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un second volume aussi passionnant que le premier, avec en toile de fond un tableau très réaliste du quotidien dans l’Europe en guerre. » Est-Éclair

« (…) une reconstitution historique, particulièrement soignée, doublée d’une histoire d’amour contrariée. » Michel Vagner - Est Magazine

« Bien que fictive, l’intrigue est excellente et, sous un nom différent, la plupart des faits évoqués et des personnages représentés ont réellement existé. » Marcel Cordier - L’Écho des Vosges

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • barjabulette 15/10/2023
    Un second tome qui est, à mon sens, plus fluide que le premier. Le suspens est assez prévisible mais on se laisse porter par l'histoire. J'ai aimé le fait que l'auteur précise, à la fin, le vrai du faux. J'ai retrouvé, dans cette aventure, des traits de la "Bicyclette bleue" qui m'avait beaucoup plu. Eric Marchal est un de mes auteurs préférés et je n'ai encore jamais été déçue par ses romans.
  • struffieux 23/08/2021
    Après la lecture du 1er tome, Les ombres du ciel, je ne voulais pas trop attendre avant de retrouver Alex Beaumont après son retour mouvementé de Chine. On quitte la Chine pour une action en Europe. Je trouve cette suite plus réussie que le premier tome. Moins de longueurs, relations amoureuses moins nunuches, l'action gagne en dynamisme. Le talent d'Eric Marchal pour intégrer des éléments historiques à son roman ne cesse de me séduire. Il arrive très bien à nous restituer l'horreur des bombardements, alliés comme allemands, nous rappelant au passage que les alliés ont eux aussi commis leur lot d'attrocités.
  • Bebelle1725 11/07/2020
    Bien mais un peu longuet par moment.
  • feanora 15/03/2015
    Comme souvent, le deuxième tome est souvent moins passionnant que le précédent. Toutefois, je l'ai lu avec plaisir. On retrouve les mêmes personnages, chinois et allemands diaboliques, qui continuent à chercher à déclencher une épidémie d'influenza, ce qui permettrait de faire mourir des millions de personnes. On retrouve le même couple composé d'Alex Beaumont, médecin et Isaure, pilote d'essai qui va effectuer un périple palpitant au travers de l'Europe. Alex cherche également a comprendre la mort de son père qui a travaill sur la culture du virus. Mais quelles relations curieuses lient-elles ses supérieurs anglais aux américains?
  • Davalian 10/11/2012
    Le talent déployé par Eric Marchal dans Les ombres du ciel se retrouve dans Les lumières de Gehénne, qui clôt le cycle Influenza. Si le roman n’a été récompensé par aucun prix, il reste tout aussi captivant que son prédécesseur, ce qui relève déjà de l’exploit. Celui-ci n’est pas vraiment une suite, il faudrait plutôt parler de prolongement de l’intrigue. L’auteur aurait pu nous faire le coup d’une fin théâtrale. Il s’en est abstenu, laissant au lecteur le plaisir de la découverte inattendue d’un Alexandre Beaumont meurtri, abandonné de tous, coupé de tout ce qu’il a précédemment vécu. Tout au long de l’histoire, qui se laisse lire d’une traite (malgré un récit de plus six cent pages en version Pocket), l’écrivain vitelois parvient à surprendre constamment, laissant croire qu’il va s’embarquer dans un passage convenu pour s’en écarter avec malice. Les pistes les plus évidentes laissées là comme à dessein, en seront les premières à en faire les frais. Les surprises sont tellement nombreuses qu’elles redonneront espoir à n’importe quel bibliophile blasé. Plusieurs personnages font une nouvelle apparition : Isaure, Philips, Kathleen (légèrement sacrifiée) mais aussi Ashaï, Morani, Gebrauer et tant d’autres. D'autres disparaissent et de nouveaux font leur leur apparition. La manière dont l'auteur les exploite est magistrale ! L’histoire s’intéresse moins à la grippe espagnole du point de vue scientifique et privilégie les rapports de force entre services secrets. Il ne sera plus question d’une escapade à Shanghai sacrifiée pour Lausanne. D’autres horizons avec autant d’ambiances seront évoqués et notamment Londres (défiguré par le Blitz), Berlin et quelques autres villes du IIIe Reich tout aussi ravagées… mais par les Alliés ! Enfin, le final est tout simplement remarquable et justifie à lui seul la lecture de ce cycle. L’occasion est offerte de vivre une apocalypse de l’intérieur… rien que ça ! Deux romans historiques qui gagnent à être lus et connus. Ils entrent tous deux dans mon panthéon romanesque, resté inchangé depuis au moins quatre ans. Le talent déployé par Eric Marchal dans Les ombres du ciel se retrouve dans Les lumières de Gehénne, qui clôt le cycle Influenza. Si le roman n’a été récompensé par aucun prix, il reste tout aussi captivant que son prédécesseur, ce qui relève déjà de l’exploit. Celui-ci n’est pas vraiment une suite, il faudrait plutôt parler de prolongement de l’intrigue. L’auteur aurait pu nous faire le coup d’une fin théâtrale. Il s’en est abstenu, laissant au lecteur le plaisir de la découverte inattendue d’un Alexandre Beaumont meurtri, abandonné de tous, coupé de tout ce qu’il a précédemment vécu. Tout au long de l’histoire, qui se laisse lire d’une traite (malgré un récit de plus six cent pages en version Pocket), l’écrivain vitelois parvient à surprendre constamment, laissant croire qu’il va s’embarquer dans un passage convenu pour s’en écarter avec malice. Les pistes les plus évidentes laissées là comme à dessein, en seront les premières à en faire les frais. Les surprises sont tellement nombreuses qu’elles redonneront espoir à n’importe quel bibliophile blasé. Plusieurs personnages font une nouvelle apparition : Isaure, Philips, Kathleen (légèrement sacrifiée) mais aussi Ashaï, Morani, Gebrauer et tant d’autres. D'autres disparaissent et de nouveaux font leur leur apparition. La...
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