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Jane Eyre
Sylvère Monod (traduit par)
Date de parution : 07/02/2019
Éditeurs :
10/18

Jane Eyre

Sylvère Monod (traduit par)
Date de parution : 07/02/2019
Après une enfance éprouvante, Jane Eyre entre à 18 ans comme préceptrice au manoir de Thornfield Hall, pour s’occuper de la pupille du riche maître des lieux, Edward Rochester. Immédiatement... Après une enfance éprouvante, Jane Eyre entre à 18 ans comme préceptrice au manoir de Thornfield Hall, pour s’occuper de la pupille du riche maître des lieux, Edward Rochester. Immédiatement conquise par le manoir perdu entre landes et bruyères, la jeune fille va également succomber au charme du sarcastique et... Après une enfance éprouvante, Jane Eyre entre à 18 ans comme préceptrice au manoir de Thornfield Hall, pour s’occuper de la pupille du riche maître des lieux, Edward Rochester. Immédiatement conquise par le manoir perdu entre landes et bruyères, la jeune fille va également succomber au charme du sarcastique et ténébreux châtelain, malgré leur différence d’âge et de fortune. Des sentiments qui ne tarderont pas à être partagés. Mais Thornfield Hall et son maître abritent un lourd secret. 

Passion, mystère, coups de théâtre, depuis sa publication en 1847, Jane Eyre a conquis toutes les générations de lecteurs. Chef-d’œuvre romanesque, il offre l’inoubliable portrait d’une héroïne audacieuse et indépendante qui refuse de se soumettre à son destin dans l’Angleterre victorienne. 

Traduit de l’anglais par Sylvère Monod.
 
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EAN : 9782264073525
Code sériel : 5423
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 768
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264073525
Code sériel : 5423
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 768
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • oceaneclaer 29/02/2024
    C’est la troisième fois que je lis Jane Eyre ! La première, j’étais gamine, la seconde, jeune mariée, la troisième, disons plus mûre ! La première fois, j’avais été impressionnée par le côté gothique et je frissonnais à l’apparition de Grace Pool. La deuxième, c’est le romantisme de la relation amoureuse qui m’émouvait. Ce n’est qu’à la troisième que j’ai vraiment pointé son caractère féministe. Est-ce que c’est parce-que j’ai lu Jane Austen ? (Charlotte écrit trente ans après Jane Austen.) « On suppose généralement que les femmes sont très calmes, mais les femmes ont des sentiments tout comme les hommes ; elles éprouvent le besoin d’exercer leurs facultés, le besoin de disposer d’un champ d’action où appliquer leurs efforts tout autant que leurs frères, et c’est étroitesse d’esprit chez leurs semblables jouissant de plus de privilèges de dire qu’elles devraient se limiter à confectionner des desserts ou tricoter des bas […] » On se croirait chez Virginia Woolf et sa chambre à soi, deux siècles avant. Et forcément, ce n’est pas pour me déplaire. Elle a eu aussi (très jeune) un scepticisme sur la religion et Dieu, malgré l’endoctrinement qu’elle subissait dans son affreux pensionnat : « Où est Dieu ? Qu’est-ce que Dieu ? dit-elle à son amie qui va mourir. Et encore : « Tu es donc sûre Helen qu’il y a bien endroit comme le paradis, et que nos âmes peuvent y aller quand nous mourrons ? » Jane Eyre est une femme libre. Elle ne s’encombre pas de précautions oratoires quand elle a quelque chose à dire, même à son « maître » ou à sa marâtre. C’est étonnant que Charlotte Brontë, toute solitaire qu’elle fut, en 1847 ait pu concocter un personnage aussi moderne. N’oublions pas non plus sa fuite éperdue dans la sauvagerie de la lande, mourant de faim et de fatigue digne des cruelles aventures de Koh-Lanta. A la fin des 733 pages (sans compter la préface et la postface) qu’est-ce qu’il reste dans l’imaginaire ? Est-ce Rochester, à l’instar de l’autrice de la préface Dominique Barbéris « D’avoir rencontré Rochester comme beaucoup de lectrices au seuil de l’adolescence, nous ne nous remettrons jamais tout à fait » (En ce qui me concerne, je crois que je préfère Heathcliff des Hauts de Hurlevent.) Mais comme dans les Hauts de Hurlevent, j’aime la lande, les bois, le vent et la pluie. Et surtout, je pense que Jane Eyre est un personnage qu’on n’oublie pas. Elle est droite, elle peut résister au chantage (que ce soit celui de Rochester ou celui du pasteur Saint John), elle est téméraire, elle est amoureuse. Il n’y a rien à jeter chez Jane Eyre. C’est la troisième fois que je lis Jane Eyre ! La première, j’étais gamine, la seconde, jeune mariée, la troisième, disons plus mûre ! La première fois, j’avais été impressionnée par le côté gothique et je frissonnais à l’apparition de Grace Pool. La deuxième, c’est le romantisme de la relation amoureuse qui m’émouvait. Ce n’est qu’à la troisième que j’ai vraiment pointé son caractère féministe. Est-ce que c’est parce-que j’ai lu Jane Austen ? (Charlotte écrit trente ans après Jane Austen.) « On suppose généralement que les femmes sont très calmes, mais les femmes ont des sentiments tout comme les hommes ; elles éprouvent le besoin d’exercer leurs facultés, le besoin de disposer d’un champ d’action où appliquer leurs efforts tout autant que leurs frères, et c’est étroitesse d’esprit chez leurs semblables jouissant de plus de privilèges de dire qu’elles devraient se limiter à confectionner des desserts ou tricoter des bas […] » On se croirait chez Virginia Woolf et sa chambre à soi, deux siècles avant. Et forcément, ce n’est pas pour me déplaire. Elle a eu aussi (très jeune) un scepticisme sur la religion et Dieu, malgré l’endoctrinement qu’elle subissait dans son affreux pensionnat : « Où est Dieu...
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  • Auraayma 14/02/2024
    Il y'a des livres qui vous touchent et il y'a ceux qui vous bouleversent... Jane Eyre fait partie de la deuxième catégorie. On tombe sous son charme, sous le charme de son intelligence, de ses convictions, de l'homme qu'elle aime. On ne peut se défaire de sa destinée romanesque. Un classique à avoir dans sa bibliothèque.
  • thebookshereads 11/02/2024
    Un classique dont je repoussais la lecture depuis de nombreuses années et finalement j’ai eu tort d’attendre si longtemps car ce roman a été une très bonne lecture dans l’ensemble. C’est avec une écriture fluide et accessible et des personnages d’une étonnante modernité (gros plus pour Jane Eyre et son honnêteté sans faille) que Charlotte Brontë nous offre un grand classique de la littérature anglaise. J’ai eu beaucoup de plaisir à suivre Jane Eyre à travers les années et les épreuves. Cette femme est un véritable modèle de résilience et de féminisme qui ose affronter le monde pour améliorer ses conditions. Un passage de ce roman m’a cependant déplu et fait qu’à mes yeux ce roman n’est pas un coup de cœur. J’ai trouvé beaucoup de longueurs lorsque nous faisons la découverte de Saint John et de ses sœurs. Cette partie m’a semblé un peu tourné en rond et n’apportant finalement pas grand chose au récit. Dommage car à part cela, ce roman est d’une grande qualité que ce soit dans la narration ou dans la construction.
  • SebastienFritsch 06/02/2024
    Chef-d'oeuvre ! Pour son style, ample, vivant, précis ; pour la profondeur de ses multiples personnages, de classes sociales et de tempéraments divers, certains admirablement humains, tandis que d'autres ne sont que des monstres froids, justifiant leur mépris ou leur méchanceté derrière la tradition, les conventions ou la religion. Chef-d'oeuvre ! Pour la variété et la finesse et de ses décors, sombres ou paisibles ; pour sa large palette de situations, qui invite à la découverte de l'Angleterre rurale du XIXe, du côté des bonnes familles ou des gens simple, dans des intérieurs cossus ou des pensionnats sinistres. Chef-d'oeuvre ! Pour son suspense et ses mystères ; pour ses mises en scène et son architecture, pleine de rebondissements (parfois un peu trop beaux pour être vrais, mais on les accepte car on est pris par la narration, le style, notre attachement aux personnages... et l'envie de savoir comment tout ça se termine). Chef-d'oeuvre ! Pour ses dialogues et ses réflexions ; pour son ironie, son audace, sa vision féminine et féministe des relations et des traditions. Chef-d'oeuvre ! Pour son héroïne, intelligente, vive, courageuse, volontaire, altruiste et capable de s'affirmer face à l'injustice, aux abus de pouvoir et aux techniques de manipulation déployées par quelques hommes pour la faire plier (culpabilisation, appel à la pitié ou au devoir, voire à la volonté de Dieu... C'est pas joli-joli, tout ça, mais c'est parfaitement rendu par l'autrice). En un mot comme en cent, Charlotte Brontë a écrit un chef-d'œuvre... et je ne pense pas être le premier à l'affirmer. Ce roman initiatique est en même temps une fresque retraçant une époque, des lieux et des modes de vie disparus, mais il peut aussi être lu comme un manifeste pour exposer les capacités féminines et réclamer pour les femmes une réelle considération et la liberté de mener leur destin. Et ce roman est paru en 1847 !Chef-d'oeuvre ! Pour son style, ample, vivant, précis ; pour la profondeur de ses multiples personnages, de classes sociales et de tempéraments divers, certains admirablement humains, tandis que d'autres ne sont que des monstres froids, justifiant leur mépris ou leur méchanceté derrière la tradition, les conventions ou la religion. Chef-d'oeuvre ! Pour la variété et la finesse et de ses décors, sombres ou paisibles ; pour sa large palette de situations, qui invite à la découverte de l'Angleterre rurale du XIXe, du côté des bonnes familles ou des gens simple, dans des intérieurs cossus ou des pensionnats sinistres. Chef-d'oeuvre ! Pour son suspense et ses mystères ; pour ses mises en scène et son architecture, pleine de rebondissements (parfois un peu trop beaux pour être vrais, mais on les accepte car on est pris par la narration, le style, notre attachement aux personnages... et l'envie de savoir comment tout ça se termine). Chef-d'oeuvre ! Pour ses dialogues et ses réflexions ; pour son ironie, son audace, sa vision féminine et féministe des relations et des traditions. Chef-d'oeuvre ! Pour son héroïne, intelligente, vive, courageuse, volontaire, altruiste et capable de s'affirmer face à l'injustice, aux abus de pouvoir et aux techniques de manipulation déployées par quelques hommes pour la...
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  • sarah10378 01/02/2024
    J’ai adoré ma lecture. Ce fut mon premier classique en pavé. Les valeurs et moralités sont d’époque et il faut le prendre en compte car moi j’ai fait que critiquer les choix et certains personnages. J’adore Jane Eyre même si elle fait des choses pas très logique. À l’inverse, je déteste monsieur Rochester. Il est vraiment imbu de lui même et controversé dans son caractère. Par contre, les plot twist sont fous car je ne m’attendais à presque rien. Je n’ai pas aimé la romance et le point finale. Malgré tout ça, je tiens à préciser que ça n’as pas du tout impacté de façon négative ma lecture.
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