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Je suis venue te dire
Collection : Instants Suspendus
Date de parution : 02/06/2022
Éditeurs :
Archipoche

Je suis venue te dire

Collection : Instants Suspendus
Date de parution : 02/06/2022
Le parcours d’une jeune femme sur les chemins de la compréhension et du pardon. Une relation père/fille où les traumatismes du passé doivent se transformer en pardon. A l’approche de la fin de vie, seuls l’amour et le respect pourront les réunir.
À 28 ans, Rose a l’âge où l’on a d’ordinaire trouvé sa voie.
Or sa vie est sans charme ni éclat. Elle ne sait pas comment allumer l’étincelle qui la fera...
À 28 ans, Rose a l’âge où l’on a d’ordinaire trouvé sa voie.
Or sa vie est sans charme ni éclat. Elle ne sait pas comment allumer l’étincelle qui la fera briller, mais elle connaît la cause de ce désastre : son géniteur.
Après dix ans d’absence, elle regagne sa ville natale...
À 28 ans, Rose a l’âge où l’on a d’ordinaire trouvé sa voie.
Or sa vie est sans charme ni éclat. Elle ne sait pas comment allumer l’étincelle qui la fera briller, mais elle connaît la cause de ce désastre : son géniteur.
Après dix ans d’absence, elle regagne sa ville natale à la rencontre de ce père tant haï pour régler ses comptes et enfin se reconstruire. Mais, surprise, elle le découvre en soins palliatifs, dans l’incapacité de répondre à ses questions, ne pouvant que l’écouter.
Entre ses croyances d’enfant et ses rancoeurs d’adulte, Rose part à la découverte de l’autre pour s’accepter. Mais comment trouver la force du pardon quand on s’est construit dans la colère ?
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EAN : 9791039201193
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9791039201193
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Amelitdesmelo 13/03/2023
    Coup de coeur pour ce roman de Cynthia Kafka! A lire sans hésitation. Mais pourquoi? me direz-vous. Parce que ce roman est délicieux à lire, touchant et ne pourra pas vous laisser indifférent. Alors oui, le sujet est sensible, Rose, revient après dix ans d'absence dans sa ville natale pour faire ses adieux à son père et régler ses comptes avec lui. Malheureusement, ce dernier, hospitalisé en soins palliatifs ne pourra dialoguer avec elle puisqu'il ne peut plus parler, Rose va donc devoir monologuer auprès de celui qu'elle estime responsable de l'échec de sa vie. En effet, après le décès de sa femme, ce père n'a pas su se relever et endosser comme il fallait ce rôle de père. Rose parviendra-t-elle à vider son sac? Cela lui fera-t-il du bien? Est-ce que cette mise au point trop longtemps différée lui permettra de se construire enfin en tant qu'adulte et prendre sa vie en main? N'hésitez plus, foncez et découvrez ce destin de femme abîmée par la vie et qui a tenté de se construire autour de ses souvenirs. Moment poignant garanti.
  • Yvan_T 08/03/2023
    Ayant repéré « Contre vents et secrets » de Cynthia Kafka dans un top de fin d’année, je me suis mis à la recherche de l’ouvrage mais comme j’avais uniquement noté le nom de l’auteure, je me suis finalement retrouvé avec celui-ci entre les mains. Une erreur donc…qui après lecture, ne s’en avère finalement pas du tout une ! Celle qui est venue dire dans le titre se nomme Rose, une jeune femme de vingt-huit ans qui en a gros sur la patate au moment où elle regagne sa ville natale après dix ans d’absence. Elle compte d’ailleurs bien saisir cette dernière opportunité qui s’offre à elle, d’enfin pouvoir dire ses quatre vérités à ce père démissionnaire, à qui elle avait tourné le dos, mais qui vient d’être admis en soins palliatifs… En alternant passé et présent, Cynthia Kafka raconte d’une part le retour de Rose à Chantilly et ses derniers moments en compagnie de son père, tout en invitant d’autre part à découvrir le passé de cette héroïne qui a non seulement perdu sa mère à l’âge de quatre ans, mais qui s’est également progressivement éloignée de ce père qui a choisi de noyer son chagrin dans l’alcool, délaissant totalement sa... Ayant repéré « Contre vents et secrets » de Cynthia Kafka dans un top de fin d’année, je me suis mis à la recherche de l’ouvrage mais comme j’avais uniquement noté le nom de l’auteure, je me suis finalement retrouvé avec celui-ci entre les mains. Une erreur donc…qui après lecture, ne s’en avère finalement pas du tout une ! Celle qui est venue dire dans le titre se nomme Rose, une jeune femme de vingt-huit ans qui en a gros sur la patate au moment où elle regagne sa ville natale après dix ans d’absence. Elle compte d’ailleurs bien saisir cette dernière opportunité qui s’offre à elle, d’enfin pouvoir dire ses quatre vérités à ce père démissionnaire, à qui elle avait tourné le dos, mais qui vient d’être admis en soins palliatifs… En alternant passé et présent, Cynthia Kafka raconte d’une part le retour de Rose à Chantilly et ses derniers moments en compagnie de son père, tout en invitant d’autre part à découvrir le passé de cette héroïne qui a non seulement perdu sa mère à l’âge de quatre ans, mais qui s’est également progressivement éloignée de ce père qui a choisi de noyer son chagrin dans l’alcool, délaissant totalement sa fille. « Je suis venue te dire » est donc le récit d’une relation, voire même d’une confrontation, entre un père et sa fille. À l’instar de Marie-Sabine Roger dans « Dernière visite à ma mère », Cynthia Kafka narre un ultime rendez-vous entre deux êtres qui souffrent d’un vide affectif rempli de non-dits. Une dernière occasion de libérer une parole enfouie depuis trop longtemps, une sorte d’exutoire qui permettra d’enfin tourner la page et de se reconstruire. Mais comment trouver les réponses tant désirées lorsque, arrivée au chevet de son père, elle constate que ce dernier est incapable de communiquer autrement que par quelques clignements d’yeux ? « Je suis venue te dire » est donc l’histoire d’une reconstruction, celle de Rose, arrivée débordante de rancœur, espérant enfin trouver la paix intérieure qui lui permettra d’avancer. C’est également le récit d’un retour aux sources, qui renoue avec le passé et réveille des souvenirs enfouis, invitant souvent à les regarder sous un nouvel angle, avec le recul nécessaire. « Je suis venue te dire » est également un récit d’amitiés, de personnages attachants qui se retrouvent après tant d’années et qui vont s’entraider et se rapprocher au fil des pages. Tout comme Rose, le lecteur finit par se sentir bien en compagnie de sa mamie, de sa tata et de cette amie d’enfance tellement solaire, dorénavant infirmière, qui illumine les soins palliatifs de sa bonne humeur. Si vous aimez les romans “feel good” qui abordent des sujets aussi délicats que douloureux avec autant de légèreté que de justesse, tels que savent si bien le faire Virginie Grimaldi, Marie Pavlenko (« Je suis ton soleil », « Un si petit oiseau ») ou Anna McPartlin (« Les derniers jours de Rabbit Hayes », « Du côté du bonheur »), n’hésitez pas et foncez !
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  • Livresfleuris 07/03/2023
    Ce roman est à la fois doux et puissant. Rose fuit sa vie à Bordeaux pour aller aux chevets de son père, qu’elle n’a pas vu depuis 10 ans. Elle décide d’abattre tous les non-dits et de lui dire ses quatre vérités avant qu’il ne soit trop tard, mais aussi et surtout pour se libérer. Petit à petit, elle prend ses marques auprès de son géniteur, qui a été défaillant pendant son enfance. Elle ose enfin parler, mettre des mots sur ses maux. Grâce à ses confessions et remises en questions, elle se découvre, elle apprend à s’aimer, à se comprendre et à assumer ses envies et besoins. J’ai beaucoup aimé ce cheminement qui s’installe à travers ce qu’elle vit et les courts flashbacks de son enfance. Sans oublier les différents personnages secondaires, mais très importants pour Rose et le récit. Je n’ai pu empêcher les larmes de couler. C’était bouleversant.
  • La_Bibliotheque_de_Juju 03/03/2023
    Je suis venu te dire que si tu n’as pas pas encore lu Cynthia Kafka, sache que tu fais une erreur. Enfin, disons que tu rates un truc, quoi. Je dis ça, je dis rien. Je t’avoue qu’au départ, j’ai un peu flippé. Une nana qui revient dans sa ville natale, après de longues années d’absence, pour se retrouver au chevet de son père, en soins palliatifs, ça n’annonçait pas vraiment une franche partie de rigolade. Et bien, grâce à la délicatesse et à l’apparente simplicité, celle qui raconte avec talent ces émotions qui se bousculent en dedans de nous, j’ai passé un très beau moment de lecture. On s’émeut, on sourit, on tourne les pages, comme on rencontre une chouette personne que l’on n’a pas envie de quitter. D’un sujet casse gueule, elle évite embûches et chausses trappes, virtuose du « je te colle la petite larmiche mais je te redonne la banane, la page d’après », il y a tout ce que j’aime dans ce roman. La vie, la vraie, ses rencontres, ses personnages qui m’ont paru si quotidiens, ces êtes que je pourrai connaître, que je pourrai aimer. Et cette écriture, avec des phrases aussi jolies qu’un rayon de soleil... Je suis venu te dire que si tu n’as pas pas encore lu Cynthia Kafka, sache que tu fais une erreur. Enfin, disons que tu rates un truc, quoi. Je dis ça, je dis rien. Je t’avoue qu’au départ, j’ai un peu flippé. Une nana qui revient dans sa ville natale, après de longues années d’absence, pour se retrouver au chevet de son père, en soins palliatifs, ça n’annonçait pas vraiment une franche partie de rigolade. Et bien, grâce à la délicatesse et à l’apparente simplicité, celle qui raconte avec talent ces émotions qui se bousculent en dedans de nous, j’ai passé un très beau moment de lecture. On s’émeut, on sourit, on tourne les pages, comme on rencontre une chouette personne que l’on n’a pas envie de quitter. D’un sujet casse gueule, elle évite embûches et chausses trappes, virtuose du « je te colle la petite larmiche mais je te redonne la banane, la page d’après », il y a tout ce que j’aime dans ce roman. La vie, la vraie, ses rencontres, ses personnages qui m’ont paru si quotidiens, ces êtes que je pourrai connaître, que je pourrai aimer. Et cette écriture, avec des phrases aussi jolies qu’un rayon de soleil dans un ciel tristounet. Souvent, je me suis arrêté pour les contempler, comme on interrompt une promenade pour regarder autour de soi, pour respirer un peu la beauté du monde. Je crois qu’il s’est passé quelque chose à la lecture de cette histoire. Quelque chose qui ne s’explique pas mais qui fait du bien. Comme une conjonction de planètes et le sentiment de rencontrer une amie. Je sais que j’arrive un peu après la bataille mais il n’y a pas d’heure pour découvrir une plume. Bref, tout ça pour dire, que j’ai rencontré Cynthia Kafka. Peut-être le début d’une longue histoire !
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  • Joannie57 17/02/2023
    J'ai voulu, avec ce livre, découvrir la plume de Cynthia Kafka que j'avais découverte au travers des réseaux sociaux avec ses amies, Serena Giuliano, Virginie Grimaldi et Sophie Rouvier. Aimant déjà ces trois auteures, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman. Il ne m'a fallu qu'une journée pour comprendre que Cynthia Kafka était entrée dans le cercle de mes auteurs chouchous. J'ai adoré le personnage de Rose, cette jeune femme de 28 ans, abandonnée par son père quand elle avait le plus besoin de lui, qu'elle ne considère plus que comme un géniteur absent de sa vie depuis dix ans et qu'elle retrouve aujourd'hui en soins palliatifs. Peut-on dans ce cas pardonner, accepter les erreurs d'un père qu'on a choisi de rayer de sa vie? Entourée d'amis sincères et de sa tante, Rose va oser se faire confiance et accepter l'attention que les autres lui portent, elle qui en a tant manqué. Elle va apprendre à évacuer cette colère qui l'a rongée tant d'années pour pouvoir se reconstruire. Et puis elle découvrira au travers des autres son père comme elle ne l'a jamais connu. L'auteure va intercaler entre chaque chapitre, un souvenir d'enfance ou d'adolescence de Rose, ces souvenirs... J'ai voulu, avec ce livre, découvrir la plume de Cynthia Kafka que j'avais découverte au travers des réseaux sociaux avec ses amies, Serena Giuliano, Virginie Grimaldi et Sophie Rouvier. Aimant déjà ces trois auteures, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman. Il ne m'a fallu qu'une journée pour comprendre que Cynthia Kafka était entrée dans le cercle de mes auteurs chouchous. J'ai adoré le personnage de Rose, cette jeune femme de 28 ans, abandonnée par son père quand elle avait le plus besoin de lui, qu'elle ne considère plus que comme un géniteur absent de sa vie depuis dix ans et qu'elle retrouve aujourd'hui en soins palliatifs. Peut-on dans ce cas pardonner, accepter les erreurs d'un père qu'on a choisi de rayer de sa vie? Entourée d'amis sincères et de sa tante, Rose va oser se faire confiance et accepter l'attention que les autres lui portent, elle qui en a tant manqué. Elle va apprendre à évacuer cette colère qui l'a rongée tant d'années pour pouvoir se reconstruire. Et puis elle découvrira au travers des autres son père comme elle ne l'a jamais connu. L'auteure va intercaler entre chaque chapitre, un souvenir d'enfance ou d'adolescence de Rose, ces souvenirs qu'elle va aujourd'hui raconter à son père, afin de lui expliquer ce qu'elle a pu ressentir et qu'elle n'avait jamais osé lui dire avant. Est-ce plus facile maintenant que la maladie l'empêche de lui répondre? Petit à petit, quelque chose va se débloquer chez Rose, et chaque jour qui passe, chaque souvenir remonté à la surface va l'apaiser. Pour autant ce roman n'est pas du tout déprimant, au contraire, il insuffle de l'espoir dans la noirceur, de la vie dans les derniers instants, de l'amour dans les non-dits. Cynthia Kafka a réussi à mettre de la lumière et de la douceur dans cette histoire bouleversante. Je ferme ce roman en me disant qu'il faut profiter de chaque instant, vivre des expériences nouvelles et oser dire à ses proches qu'on les aime. Note : 19/20 https://labibliojoe.blogspot.com/2023/02/je-suis-venue-te-dire.html
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