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J'suis comme ça
Date de parution : 23/02/2017
Éditeurs :
Pocket

J'suis comme ça

Date de parution : 23/02/2017
Aussi dures et impitoyables les lois du milieu soient-elles, il est une règle tacite qu’il convient d’honorer : pas touche aux mamans. Ainsi quand à l’heure du déjeuner, San-Antonio retrouve... Aussi dures et impitoyables les lois du milieu soient-elles, il est une règle tacite qu’il convient d’honorer : pas touche aux mamans. Ainsi quand à l’heure du déjeuner, San-Antonio retrouve le jardinier assommé, le pavillon désert et la blanquette brûlée, son sang ne fait qu’un tour. Félicie ! Félicie disparue... Aussi dures et impitoyables les lois du milieu soient-elles, il est une règle tacite qu’il convient d’honorer : pas touche aux mamans. Ainsi quand à l’heure du déjeuner, San-Antonio retrouve le jardinier assommé, le pavillon désert et la blanquette brûlée, son sang ne fait qu’un tour. Félicie ! Félicie disparue ! Que des messieurs louches veuillent récupérer des documents ultraconfidentiels, c’est leur droit. Mais qu’ils enlèvent pour ce faire les mamans des gens, alors là, fallait pas le chercher, ça va saigner… Et c’est comme ça !

SAN-ANTONIO ANNÉES 60

Texte original
@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
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EAN : 9782266275699
Code sériel : 40
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266275699
Code sériel : 40
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LectureChronique 18/02/2024
    Bonjour, Voici un polar que je viens vous chroniquer rapidement en retour de lecture : "J'suis comme ça" de San-Antonio (Frédéric dard) aux éditions Fleuve Noir. Lu et chroniqué dans le cadre du Challenge San-Antonio que je relève sur Babélio. Tandis que Antoine rentre d'une mission périlleuse et doit remettre des documents confidentiel à son patron, il en profite pour aller se reposer chez lui, sa mère Félicie lui ayant concocté une bonne blanquette. Mais avant de manger il va jusqu'au bureau de tabac prendre des cigarettes et boire un verre de vin blanc. en revenant, il ne la trouve pas : sa mère a été enlevée. Il reçoit un coup de fil d'une dame lui réclamant les fameux papiers ou sinon elle tue Félicie. San-Antonio, qui ne peut se résoudre à ce qu'on touche un seul cheveux de sa mère, se met bille en tête de retrouver les coupables avant le délai des vingt-quatre heures terminé. Avec bérurier, son fidèle acolyte, ils vont s'employer à ramener Félicie en vie. J'ai bien aimé cet épisode qui s'attaque à Félicie et donc à l'aspect privé du commissaire. Pour une fois, Antoine est omniprésent dans l'action, il se démène de tous les diables avec bérurier pour attraper les commanditaires de cet enlèvement. Même si on retrouve la patte de notre écrivain, il va s'en dire que ce livre est bien mieux achalandé que ceux que j'ai lu jusqu'à présent. Le sérieux de la situation, les blagues pas très potaches de Bérurier alors que pour une fois il est vraiment un fin limier. Pinuche qui fait le pied de grue chez San-Antonio videra sa cave de vin. J'ai été quelque peu déçue de la réapparition soudaine de Félicie qui s'est faîte de cette façon. Je pensait qu'il allait en découdre davantage avec les méchants. Surtout la façon dont est appréhendé l'instigateur de tout ceci, la fin tombe à plat pour moi. Du reste, ce livre se lit facilement, c'est entraînant, comme un San Antonio classique. Bonne lecture amis LecteursBonjour, Voici un polar que je viens vous chroniquer rapidement en retour de lecture : "J'suis comme ça" de San-Antonio (Frédéric dard) aux éditions Fleuve Noir. Lu et chroniqué dans le cadre du Challenge San-Antonio que je relève sur Babélio. Tandis que Antoine rentre d'une mission périlleuse et doit remettre des documents confidentiel à son patron, il en profite pour aller se reposer chez lui, sa mère Félicie lui ayant concocté une bonne blanquette. Mais avant de manger il va jusqu'au bureau de tabac prendre des cigarettes et boire un verre de vin blanc. en revenant, il ne la trouve pas : sa mère a été enlevée. Il reçoit un coup de fil d'une dame lui réclamant les fameux papiers ou sinon elle tue Félicie. San-Antonio, qui ne peut se résoudre à ce qu'on touche un seul cheveux de sa mère, se met bille en tête de retrouver les coupables avant le délai des vingt-quatre heures terminé. Avec bérurier, son fidèle acolyte, ils vont s'employer à ramener Félicie en vie. J'ai bien aimé cet épisode qui s'attaque à Félicie et donc à l'aspect privé du commissaire. Pour une fois, Antoine est omniprésent dans l'action, il se démène de tous les diables avec bérurier...
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  • lehibook 01/11/2023
    Nul lecteur de la saga du beau commissaire ne peut ignorer que San-A. est un « fils à maman » . Pas un volume sans que soit inséré le passage larme à l’œil sur l’angoisse de la disparition de Félicie. Or cet opus commence par le kidnapping d’icelle par un gang d’espions dans le but de faire chanter le fiston à môman .On se dit que ça va être l’apocalypse nucléaire et non … Antoine choisit le devoir d’abord puis ,se mettant en quête, pédale longuement et laborieusement dans la choucroute (à la grande joie de Bérurier le boulimique ) . L’intrigue est particulièrement tordue et peu crédible et la résolution on ne peut plus naze …. Un sourire tout de même pour l’ultime péripétie. Bref, bof !
  • MrVladdy 23/07/2023
    Depuis que j’ai commencé mon cycle San Antonio, je dois bien avouer que je m’amuse beaucoup. La finesse est plus dans la forme que dans le fond, l’humour particulier de notre commissaire peut faire grincer quelques dents à notre époque mais que voulez-vous, moi aussi « J’suis comme ça », ça m’éclate. Pour cette quarantième enquête, la couverture de l’édition que je possède ne m’attirait pas des masses mais le résumé de ce récit qui met en scène le kidnapping de Félicie avait tout pour me plaire et c’est donc avec une certaine impatience que je me suis plongé dans ma lecture. J’ai beaucoup aimé cette enquête. On retrouve tous les ingrédients d’un San Antonio avec en prime, un petit vent de fraîcheur lié à la disparition de Félicie. Qu’il arrive des bricoles à notre héros ou à son comparse Béru, ça accentue un peu la tension mais comme notre protagoniste principal, quand on touche à la maman, on ne peut qu’éprouver une certaine tendresse. Cette tendresse de San Antonio vis à vis de sa mère, elle s’est déjà fait ressentir auparavant dans les autres enquêtes mais cette fois-ci, elle atteint un niveau plus élevé qui ne m’a pas laissé indifférent même si j’aurais aimé savoir Félicie plus en danger, qu’on en sache un peu plus sur son sort que ce final un peu brusque et un poil trop facile. Qu’importe, la lecture est toujours rythmé et cette aventure se lit même encore plus vite que d’habitude à mes yeux. « J’suis comme ça » ne prends pas beaucoup de risques dans la saga mais nous propose une belle aventure agréable qui me donne toujours envie de découvrir les autres.Depuis que j’ai commencé mon cycle San Antonio, je dois bien avouer que je m’amuse beaucoup. La finesse est plus dans la forme que dans le fond, l’humour particulier de notre commissaire peut faire grincer quelques dents à notre époque mais que voulez-vous, moi aussi « J’suis comme ça », ça m’éclate. Pour cette quarantième enquête, la couverture de l’édition que je possède ne m’attirait pas des masses mais le résumé de ce récit qui met en scène le kidnapping de Félicie avait tout pour me plaire et c’est donc avec une certaine impatience que je me suis plongé dans ma lecture. J’ai beaucoup aimé cette enquête. On retrouve tous les ingrédients d’un San Antonio avec en prime, un petit vent de fraîcheur lié à la disparition de Félicie. Qu’il arrive des bricoles à notre héros ou à son comparse Béru, ça accentue un peu la tension mais comme notre protagoniste principal, quand on touche à la maman, on ne peut qu’éprouver une certaine tendresse. Cette tendresse de San Antonio vis à vis de sa mère, elle s’est déjà fait ressentir auparavant dans les autres enquêtes mais cette fois-ci, elle atteint un niveau plus élevé qui ne m’a pas laissé indifférent même si j’aurais aimé...
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  • mikaelunvoas 02/06/2023
    Flic ou voyou, un peu des deux. Et même si il est terriblement misogyne, on l'aime San Antonio parce qu'il "est comme ça" et qu'il ne mâche pas ses mots. Il me fait rire quand il compare une page du Figaro à une journée maussade. Si certains jeux de mots ont vieilli, on ne connait plus le Vermot, ces digressions sur la gente humaine et ses défauts recèlent beaucoup de vérités. Notre commissaire aime sa maman et si quelqu'un s'en prend à elle, il fera le tour de la terre pour la retrouver. Dans ce tome, Sana roule beaucoup, rejoint par son fidèle Bérurier, l'intrigue se complique de chapitres en chapitres, jusqu'à nous mener dans une province de Suisse (la seconde fois je crois), appelée la Pleurésie. Pinuche est chargé de garder la baraque et comme dans un château dernièrement, la cave en fait les frais. Un bon petit moment dans le TGV (littérature de gare ! oui mais pas que...)
  • AlexandreAllamanche 01/06/2023
    Cet épisode est sans doute un des meilleurs de la saga San-Antonio pour moi. Car dès l'entame on sent que ça ne sera pas une aventure comme les autres puisque c'est cette fois la mère de notre commissaire préféré qui est enlevée : Félicie. Mais Tonio a de la ressources et des nerfs. Il ne se jette pas à corps perdu dans une enquête qui s'annonce une nouvelle fois salée, voire même carrément indigeste, mais décide de la jouer fine malgré l'inquiétude qui le ronge. Des papiers confidentiels ramenés de Barcelone ont été volés, et bientôt, San-A comprend que ceux qui devaient les avoir dérobés continuent à le menacer s'il ne leur rend pas... Késkecékecemerdié ? Pour le comprendre, il faudra encore un Béru des grands jour, un Saint-Bernard baveux, des clous bazardés en travers de la route et un appareil photo...
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