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Juste une mauvaise action
Isabelle Chapman (traduit par)
Date de parution : 22/09/2016
Éditeurs :
Pocket

Juste une mauvaise action

Isabelle Chapman (traduit par)
Date de parution : 22/09/2016
Jusqu’où peut-on aller pour aider un ami ? Lorsque l’adorable fillette de son voisin pakistanais, Hadiyyah, est enlevée par sa mère, puis kidnappée sur un marché toscan, le sergent Barbara... Jusqu’où peut-on aller pour aider un ami ? Lorsque l’adorable fillette de son voisin pakistanais, Hadiyyah, est enlevée par sa mère, puis kidnappée sur un marché toscan, le sergent Barbara Havers ne se pose même pas la question. Elle ira jusqu’au bout. Quitte à flirter avec l’illégalité, frayer avec de... Jusqu’où peut-on aller pour aider un ami ? Lorsque l’adorable fillette de son voisin pakistanais, Hadiyyah, est enlevée par sa mère, puis kidnappée sur un marché toscan, le sergent Barbara Havers ne se pose même pas la question. Elle ira jusqu’au bout. Quitte à flirter avec l’illégalité, frayer avec de louches personnages, manipuler les tabloïds et entraîner l’ami et célèbre inspecteur Thomas Lynley dans une affaire qui se révélera bien plus complexe qu’un simple enlèvement…
Sous le soleil de l’Italie ou la grisaille de Londres, l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions…

« C'est du grand George, pour initiés ou pas. » ELLE

« Elizabeth George joue volontairement avec les nerfs du lecteur, l'emmenant lentement au cœur d'une intrigue aux multiples ramifications. » Le Figaro littéraire
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EAN : 9782266260152
Code sériel : 16397
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 912
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266260152
Code sériel : 16397
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 912
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Elizabeth George joue volontairement avec les nerfs du lecteur, l’emmenant lentement, très lentement au cœur d’une intrigue aux multiples ramifications. » Le Figaro littéraire

« C’est du grand George, pour initiés ou pas. » ELLE

« Alors que l’on pourrait s’attendre à un roman policier classique, l’auteure américaine distille une modernité et une perversion parfaitement dosée. Ses personnages, aux caractères complexes, entraînent nos déductions au-delà de l’imagination et rendent l’intrigue passionnante. » Point de vue

« Elizabeth George, en grande forme, a concocté un plan machiavélique et parvient à nous tenir en haleine pendant ses 695 pages. Un tour de force qui mérite l’admiration. » Version Femina

« Une écriture enlevée et captivante emporte un lecteur conquis dès les premières lignes. » L’amour des livres

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Luria 06/12/2023
    "Elle exerçait sur lui un charme indéniable. Peut être à cause de tout ce qu'elle dissimulait au regard du monde." J'ai lu que ce tome ne fait pas l'unanimité. Pour moi il reprend au tout début, des personnages du premier livre d'Elizabeth George que j'ai lu, le Rouge du péché, aussi a t il un goût particulier. Il célèbre des retrouvailles. D'autant plus que depuis la fin de l'été, je n'avais pas ouvert d'autres livres de la série. Il est donc possible que mon engouement soit en partie du au fait que Dame Elizabeth m'avait manqué. Surtout, pour moi qui les lit dans le désordre et ai commencé la série assez tard (c'est un peu le Silmarillion auquel je serais entrée direct au second âge), c'est le PREMIER roman où Thomas Linley m'apparaît sympathique. Là c'est Barbara (mon personnage préféré) qui mérite des baffes. Et qu'on a envie de prendre dans ses bras tout à la fois. L'enquête au cœur du livre, suivant directement le dernier tome, est pleine de rebondissements. Trop peut être ? Mais bon depuis quelques temps je trouve que notre propre actualité semble plus farfelue que celle du gorafi, donc... Pourquoi pas, ça ne m'a pas plus dérangée que ça. J'ai cela dit trouvé que vers la fin, quand même, on atermoyait pas mal. Avec du sirupeux sentimental en prime. Un poil longuet. Dommage sinon ça aurait été presque parfait. Enfin, une grande partie de l'intrigue a lieu en Italie. Pour les natifs de langue latine que nous sommes c'est un régal de deviner la signification des nombreux dialogues. Un jeu caché. J'adore jouer, surtout à ce que je ne suis pas. "Elle exerçait sur lui un charme indéniable. Peut être à cause de tout ce qu'elle dissimulait au regard du monde." J'ai lu que ce tome ne fait pas l'unanimité. Pour moi il reprend au tout début, des personnages du premier livre d'Elizabeth George que j'ai lu, le Rouge du péché, aussi a t il un goût particulier. Il célèbre des retrouvailles. D'autant plus que depuis la fin de l'été, je n'avais pas ouvert d'autres livres de la série. Il est donc possible que mon engouement soit en partie du au fait que Dame Elizabeth m'avait manqué. Surtout, pour moi qui les lit dans le désordre et ai commencé la série assez tard (c'est un peu le Silmarillion auquel je serais entrée direct au second âge), c'est le PREMIER roman où Thomas Linley m'apparaît sympathique. Là c'est Barbara (mon personnage préféré) qui mérite des baffes. Et qu'on a envie de prendre dans ses bras tout à la fois. L'enquête au cœur du livre, suivant directement le dernier tome, est pleine de rebondissements. Trop peut être ? Mais bon depuis quelques temps je trouve que notre propre actualité semble plus farfelue que celle du gorafi, donc... Pourquoi pas, ça ne m'a pas plus dérangée...
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  • Mag13 19/09/2023
    J'ai enchaîné ce livre directement avec la ronde des mensonges qui nous laissaient sur la disparition d'Angelina et d'haddiyah. Si j'ai trouvé la première partie de l'histoire un peu longue, la deuxième partie m'a plus tenu en haleine. Néanmoins si j'ai beaucoup apprécié l'intrigue et le développement de la relation entre lynley et dairdre (qui est certes secondaire ), j'ai trouvé quelques éléments négatifs qui m'ont empêché d'entrer vraiment dans l'histoire. Déjà le dépaysement de la majeure partie de l'histoire en Toscane ne m'a pas emballée, malgré le personnage de Salvatore. Après ce qui m'a le plus heurté c'est le comportement d'Havers qu'on a quand même très envie de secouer et qui perd quand même toute mesure dans cette histoire. J'ai trouvé que Lynley avait une patience énorme ! Enfin j'ai trouvé certaines longueurs qui auraient pu être évitées. Tout de même un opus intéressant à l'arrivée !
  • paroles 08/08/2021
    Chère Barbara, quel genre d’amie êtes-vous pour risquer ainsi votre carrière à Scotland Yard, pour cette petite voisine hadiyyah qui vient d’être kidnappée par sa propre mère ? Peu vous importe ! Vous irez jusqu’au bout et rien n’entravera votre détermination. Ni votre hiérarchie, ni votre ami et collègue Thomas Linley, ni cet autre collègue prêt à tout pour vous faire tomber, ni les tabloïds et leurs journalistes foireux, ni ce détective privé ébloui par l’appât du gain facile, ni même l’Italie et sa langue si imagée que vous ne connaissez pas... Il faut ruser, surfer sur le fil de l’illégalité, se méprendre, bluffer l’entourage. Et bien soit, vous le ferez car quand un ami sollicite votre aide, c’est toute entière que vous vous jetez dans la bataille. Sergent Barbara Havers, soyez sûre que tout le monde rêverait d’avoir une amie telle que vous ! J’ai adoré cette nouvelle enquête (enfin nouvelle dans le sens de la découverte car du point de vue éditorial deux autres enquêtes après celle-ci sont déjà parues) dans laquelle on découvre encore mieux la personnalité et le physique du sergent Havers : têtue, jusqu’au-boutiste, intelligente, rusée, fonceuse, mais aussi terriblement seule, petite et rondelette, aux yeux bleus et au sourire charmant, sans oublier ses tenues vestimentaires extravagantes et son appétit d’ogre. «  Barbara avait eu le temps d’engloutir quatre kebabs et une pomme de terre en robe des champs au fromage et au chili. Les restaurateurs lui jetaient des regards intrigués. Peut-être se demandaient-ils de quel trouble alimentaire souffrait ce gros tas mal fringué qui avait élu domicile derrière leur devanture. Ils n’en acceptèrent pas moins son argent et lui servirent tout ce qu’elle demandait avec des sourires engageants. Ils voulurent savoir si elle était célibataire. Peut-être imaginaient-ils qu’elle ferait un bon parti pour un fils quelque peu retardé qu’ils cachaient quelque part ? » Et puis avec cette enquête, nous quittons les brumes de Londres pour le soleil de la Toscane, et en particulier la ville de Lucques (Lucca) où l’auteur nous servira de guide touristique pour nous vanter la beauté des lieux. Un voyage qui ne se refuse pas ! D’autant que nous y apprenons aussi le fonctionnement de la police italienne, avec l’inspecteur Salvatore Lo Bianco et le procureur-boxeur Piero Fanucci. Une enquête aux multiples rebondissements et ce qui ne gâche rien un humour bienvenu qui détend les zygomatiques quand la tension est intense. Juste une mauvaise action mais par amour ou par amitié, on pourrait presque pardonner. Chère Barbara, quel genre d’amie êtes-vous pour risquer ainsi votre carrière à Scotland Yard, pour cette petite voisine hadiyyah qui vient d’être kidnappée par sa propre mère ? Peu vous importe ! Vous irez jusqu’au bout et rien n’entravera votre détermination. Ni votre hiérarchie, ni votre ami et collègue Thomas Linley, ni cet autre collègue prêt à tout pour vous faire tomber, ni les tabloïds et leurs journalistes foireux, ni ce détective privé ébloui par l’appât du gain facile, ni même l’Italie et sa langue si imagée que vous ne connaissez pas... Il faut ruser, surfer sur le fil de l’illégalité, se méprendre, bluffer l’entourage. Et bien soit, vous le ferez car quand un ami sollicite votre aide, c’est toute entière que vous vous jetez dans la bataille. Sergent Barbara Havers, soyez sûre que tout le monde rêverait d’avoir une amie telle que vous ! J’ai adoré cette nouvelle enquête (enfin nouvelle dans le sens de la découverte car du point de vue éditorial deux autres enquêtes après celle-ci sont déjà parues) dans laquelle on découvre encore mieux la personnalité et le physique du sergent Havers : têtue, jusqu’au-boutiste, intelligente, rusée, fonceuse, mais aussi terriblement seule, petite et rondelette, aux yeux bleus et au...
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  • garanemsa 24/02/2020
    Georges Elisabeth Juste une mauvaise action J’aime beaucoup les femmes écrivains policier mais chez cet auteur je n’ai jamais, je ne sais pourquoi, apprécié ses deux protagonistes de Scotland Yard Lynley et Harvers. Je préfère celui de Fred Vargas ou de Martha Grimes. Donc déjà un mini recul par rapport à cela. Ici, ouille un livre de plus de 900 pages, certes ien écrit ; écriture qui vous incite à poursuivre. Mais cette fois l’histoire est assez banale pour moi et téléphonée car après une centaine de pages on peut facilement imaginer la suite.. Le voisin de l’inspecteur Harvers est au désespoir, sa fille et sa compagne ont été kidnappe pour lui ; tout a disparu. Sont-elles vivantes, mortes ? puis de nouveau on apprend un nouveau kidnapping de la jeune fille sur un marché toscan en Italie. Harvers ira jusqu’au bout mais en dérogeant aux règles policières de base, à frayer avec des personnages louche et de flirter avec l’illégalité
  • lehibook 25/05/2019
    Une autre aventure du duo Lynley/Havers (Qui est ici la vraie vedette …), toujours une intrigue fouillée (700 pages tout de même), des personnages bien typés et du suspens . Bonus:une partie de l’intrigue se passe à Lucques en Toscane ce qui a ravivé mes souvenirs de cette superbe cité . Malus : un certain manque de rythme et puis comme un goût d’inachevé .On attend beaucoup de l’intrigue et finalement la résolution laisse un peu sur la faim.
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