Lisez! icon: Search engine
La Chartreuse de Parme
Date de parution : 21/02/2019
Éditeurs :
Pocket

La Chartreuse de Parme

Date de parution : 21/02/2019
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

En 1838, emporté par sa passion pour l'Italie, sa patrie de cœur, terre de liberté et d'héroïsme, Stendhal dicte La Chartreuse de Parme en 52...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

En 1838, emporté par sa passion pour l'Italie, sa patrie de cœur, terre de liberté et d'héroïsme, Stendhal dicte La Chartreuse de Parme en 52 jours.
Ivre de gloire napoléonienne, Fabrice Del Dongo est le petit prince et le grand seigneur adoré des femmes de la...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

En 1838, emporté par sa passion pour l'Italie, sa patrie de cœur, terre de liberté et d'héroïsme, Stendhal dicte La Chartreuse de Parme en 52 jours.
Ivre de gloire napoléonienne, Fabrice Del Dongo est le petit prince et le grand seigneur adoré des femmes de la minuscule cour de Parme. Faute d'exploits militaires, il devient un curieux théologien comblé de maîtresses. Ayant par aux intrigues qui l'entourent et d'un naturel fougueux, il est jeté en prison malgré la protection de sa tante, la sublime duchesse de Sanseverina. Captivité bénie puisqu'à l'intérieur de la forteresse vit l'amoureuse et brûlante Clélia Conti, fille du gouverneur...
L'amour, l'énergie, le bonheur, et l'art du roman sont ici portés jusqu'au ravissement.

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266289931
Code sériel : 6001
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266289931
Code sériel : 6001
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jelgertijmenbakker 04/04/2024
    Si nous ignorons le fond de pensée de Balzac à propos du Rouge et le Noir de Henri Beyle, plus connu sous son nom de plume Stendhal, nous avons un bel éloge de la main de Balzac à propos de La chartreuse de Parme, publié dans La Revue parisienne, dirigée et quasiment rédigée par Balzac seul, de juillet en septembre 1840. Il n'est pas étonnant de trouver cet article dans la revue de Balzac. Il était depuis longtemps un admirateur de l'œuvre de Stendhal, et c'est ce dernier qui avait envoyé fin mars 1839 un exemplaire de sa Chartreuse au grand romancier, en lui écrivant : "Si vous le lisez, dites-m’en votre avis bien sincèrement. / Je réfléchirai à vos critiques avec respect." Dans son long article élogieux et critique à la fois, Balzac écrivait entre autres : "La Chartreuse de Parme est à une si grande élévation, elle demande au lecteur une si parfaite connaissance de la Cour, du pays, de la nation, que je ne m’étonne point du silence absolu par lequel un pareil livre a été accueilli. Ce sort attend tous les livres qui n’ont rien de vulgaire." Et aussi : "M. Beyle a fait un livre où le sublime éclate de chapitre en chapitre. Il a produit, à l’âge où les hommes trouvent rarement des sujets grandioses et après avoir écrit une vingtaine de volumes extrêmement spirituels, une oeuvre qui ne peut être appréciée que par les âmes et par les gens vraiment supérieurs." Une pique aux journalistes à ce propos : "Ne soyez donc pas étonnés que, depuis dix mois que cette oeuvre surprenante a été publiée, il n’y ait pas un seul journaliste qui l’ait ni lue, ni comprise, ni étudiée, qui l’ait annoncée, analysée et louée, qui même y ait fait allusion. Moi qui crois m’y connaître un peu, je l’ai lue pour la troisième fois, ces jours-ci : j’ai trouvé l’oeuvre encore plus belle, et j’ai senti dans mon âme l’espèce de bonheur que cause une bonne action à faire."Si nous ignorons le fond de pensée de Balzac à propos du Rouge et le Noir de Henri Beyle, plus connu sous son nom de plume Stendhal, nous avons un bel éloge de la main de Balzac à propos de La chartreuse de Parme, publié dans La Revue parisienne, dirigée et quasiment rédigée par Balzac seul, de juillet en septembre 1840. Il n'est pas étonnant de trouver cet article dans la revue de Balzac. Il était depuis longtemps un admirateur de l'œuvre de Stendhal, et c'est ce dernier qui avait envoyé fin mars 1839 un exemplaire de sa Chartreuse au grand romancier, en lui écrivant : "Si vous le lisez, dites-m’en votre avis bien sincèrement. / Je réfléchirai à vos critiques avec respect." Dans son long article élogieux et critique à la fois, Balzac écrivait entre autres : "La Chartreuse de Parme est à une si grande élévation, elle demande au lecteur une si parfaite connaissance de la Cour, du pays, de la nation, que je ne m’étonne point du silence absolu par lequel un pareil livre a été accueilli. Ce sort attend tous les livres qui n’ont rien de vulgaire." Et aussi : "M. Beyle a fait un livre où le sublime...
    Lire la suite
    En lire moins
  • frandj 19/12/2023
    J'achève "La Chartreuse de Parme", livre lu une première fois il y a plus de 50 ans. Tout a été dit à ce sujet, car c'est indiscutablement l'un des plus cités dans la littérature française. Que puis-je écrire ? D'abord, c'est un pavé imposant que j'ai mis beaucoup de temps à achever. L'écrivain l'a dicté vite, et cette rapidité est remarquable. Pour ma part, j'ai constaté qu'il y avait des interruptions abruptes dans le cours du récit, et son bref dénouement est même époustouflant. Par contre, j'ai trouvé des longueurs dans le livre. Cependant, elles sont bien rachetées par des morceaux de bravoure célébrissimes, notamment la bataille de Waterloo et la captivité du jeune héros dans la tour Farnèse, où il trouve enfin l'amour (le vrai). Les personnages principaux sont inoubliables: Fabrice, la duchesse Sanseverina (liée à son neveu par un amour inconditionnel) et Clélia. Celle-ci apporte une note d'absolu dans le roman. A l'époque, on pouvait encore faire le voeu de ne plus « voir » l'être qu'on aimait - quitte à faire une interprétation élastique de ce terme ! Peu importe... Tout ceci est très romantique et on prend un certain plaisir à suivre tous les rebondissements de la vie tumultueuse du héros. Par ailleurs, je note sans grande surprise qu'un homme pouvait embrasser la carrière ecclésiastique et faire d'admirables prêches, tout en courant les femmes sans vergogne. Un intérêt supplémentaire pour moi: j'ignorais quasiment tout de la situation de l'Italie du Nord, après 1815; l'empire d'Autriche (très réactionnaire sur le plan politique) avait une frontière sur le fleuve Pô !J'achève "La Chartreuse de Parme", livre lu une première fois il y a plus de 50 ans. Tout a été dit à ce sujet, car c'est indiscutablement l'un des plus cités dans la littérature française. Que puis-je écrire ? D'abord, c'est un pavé imposant que j'ai mis beaucoup de temps à achever. L'écrivain l'a dicté vite, et cette rapidité est remarquable. Pour ma part, j'ai constaté qu'il y avait des interruptions abruptes dans le cours du récit, et son bref dénouement est même époustouflant. Par contre, j'ai trouvé des longueurs dans le livre. Cependant, elles sont bien rachetées par des morceaux de bravoure célébrissimes, notamment la bataille de Waterloo et la captivité du jeune héros dans la tour Farnèse, où il trouve enfin l'amour (le vrai). Les personnages principaux sont inoubliables: Fabrice, la duchesse Sanseverina (liée à son neveu par un amour inconditionnel) et Clélia. Celle-ci apporte une note d'absolu dans le roman. A l'époque, on pouvait encore faire le voeu de ne plus « voir » l'être qu'on aimait - quitte à faire une interprétation élastique de ce terme ! Peu importe... Tout ceci est très romantique et on prend un certain plaisir à suivre tous les rebondissements de la...
    Lire la suite
    En lire moins
  • PatriceG 08/10/2023
    Au risque de décevoir l'amie MH17, Les 60 pages de Fabrice Del Longo à Waterloo sont sublimes. Que serait-ce la dimension universelle de Stendhal si on le privait de cette guerre perdue ? Personne ne souhaite la guerre, mais combien de pays belliqueux la font, parce que c'est au fond des hommes, le chef guerrier étant là juste pour envoyer une pichenette dans l'Histoire ; et ce serait bien dommage qu'on ne mêle pas à ça notre fin lettré qui en fait des pages anthologiques.
  • Esterelle 13/09/2023
    Ce livre est un classique de la littérature française. L'histoire est très intéressante et originale et la fin est impossible à deviner. Cependant, je trouve que le style d'écriture, spécifique à l'auteur, n'est pas simple à lire. Même si je sais que cette façon d'écrire n'est pas comparable aux romans qui sont publiés aujourd'hui. Deuxième ouvrage que je lis de cet auteur et je ne suis pas convaincue. Ce style ne doit pas me correspondre.
  • gerardmuller 05/07/2023
    La Chartreuse de Parme Stendhal (1783-1842) Dans la première partie de ce long roman, nous faisons connaissance de Fabrice del Dongo, un jeune noble qui rêve de gloire et de liberté et qui se trouve embarqué lors des Cent-Jours dans la bataille de Waterloo sans aucune expérience, lui qui veut à tout prix rencontrer l’Empereur. Il voit le feu pour la première fois. Sa tante Gina del Dongo, duchesse de Sanseverina est une âme généreuse, spirituelle et romanesque qui rêve pour Fabrice d’un brillant avenir. Elle envisage pour lui la carrière ecclésiastique. Suite à une rixe, il tue, en état de légitime défense, un comédien ; il doit alors fuir et se cacher. La duchesse, follement amoureuse de Fabrice va tenter de négocier sa libération. Fabrice del Dongo jusqu’à son entrée dans la citadelle, sa prison, est un casse-cou hardi, obéissant à des impulsions sans trop les comprendre, superstitieux et incapable d’un sentiment sérieux. Ce que pense la duchesse de Fabrice : « Fabrice n’était donc qu’un libertin tout à fait incapable d’un sentiment tendre et sérieux. » Et réponse de Fabrice : « J’étais amoureux de l’amour, disait-il à la duchesse ; j’ai fait tout au monde pour le connaître, mais il paraît que la nature m’a refusé un cœur pour aimer et être mélancolique ; je ne puis m’élever plus haut que le vulgaire plaisir… » C’est une fois en prison dans la citadelle de Parme que Fabrice connaît l’amour. Et il refuse de s’évader pour ne pas s’éloigner de la belle Clelia, son amour, qui est la fille du gouverneur de la prison. Dans ce roman, Stendhal, dans un style dépouillé, incisif et parfois lyrique, se livre à une satire de l’absolutisme en peignant une petite cour italienne vers 1820. La duchesse parviendra –t-elle à faire évader Fabrice, le anti-héros par excellence, pour enfin l’avoir auprès d’elle et l’aimer ? À lire, ce grand classique qui valut à Stendhal une grande célébrité et qui fut porté à l’écran trois fois, en 1948 dans un film de Christian Jaque avec Gérard Philipe, en 1982 puis en 2012. Un grand classique, oui, mais on peut rester un peu critique sur la construction de ce roman : Stendhal l’a écrit en quelques semaines et cela se ressent malgré les nombreuses corrections qu’il y apporta plus tard. Je trouve personnellement que ce roman a davantage vieilli que Le Rouge et le Noir, notamment pour ce qui concerne le style. Mais respectons Stendhal ! La Chartreuse de Parme Stendhal (1783-1842) Dans la première partie de ce long roman, nous faisons connaissance de Fabrice del Dongo, un jeune noble qui rêve de gloire et de liberté et qui se trouve embarqué lors des Cent-Jours dans la bataille de Waterloo sans aucune expérience, lui qui veut à tout prix rencontrer l’Empereur. Il voit le feu pour la première fois. Sa tante Gina del Dongo, duchesse de Sanseverina est une âme généreuse, spirituelle et romanesque qui rêve pour Fabrice d’un brillant avenir. Elle envisage pour lui la carrière ecclésiastique. Suite à une rixe, il tue, en état de légitime défense, un comédien ; il doit alors fuir et se cacher. La duchesse, follement amoureuse de Fabrice va tenter de négocier...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.