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La conversation
Date de parution : 27/09/2012
Éditeurs :
Pocket

La conversation

Date de parution : 27/09/2012

Un soir de l’hiver 1803-1804, aux Tuileries. Une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, ami et confident, Jean-Jacques Régis de Cambacérès. Au comble de la tension entre l’esprit...

Un soir de l’hiver 1803-1804, aux Tuileries. Une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, ami et confident, Jean-Jacques Régis de Cambacérès. Au comble de la tension entre l’esprit révolutionnaire et l’avidité de puissance, le vainqueur d’Arcole tente de rallier son complice à ses convictions. Une seule volonté anime...

Un soir de l’hiver 1803-1804, aux Tuileries. Une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, ami et confident, Jean-Jacques Régis de Cambacérès. Au comble de la tension entre l’esprit révolutionnaire et l’avidité de puissance, le vainqueur d’Arcole tente de rallier son complice à ses convictions. Une seule volonté anime le héros républicain : bâtir sa légende. L’empire, va-t-il démontrer avec éloquence, c’est la république qui monte sur le trône.

« Ce moment d'Histoire imaginée est plus vrai que beaucoup de récits scrupuleux. »
Laurent Joffrin – L'Obs

« Jean d'Ormesson capture cet instant, fragile, où l'ambition d'un homme bouleverse le cours du monde. »
François Busnel – L'Express

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EAN : 9782266226011
Code sériel : 15195
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266226011
Code sériel : 15195
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un pétillant dialogue (…). » Sud-Ouest
« Tous les propos qu’il prête à Bonaparte ont été tenus, et l’on voit se déployer le feu roulant des aphorismes napoléoniens tels que cet artilleur qui savait écrire aimait les employer (…). Ce moment d’Histoire imaginée est plus vrai que beaucoup de récits scrupuleux. » Laurent Joffrin – Le Nouvel Observateur
« Jean d’Ormesson réussit là une photographie palpitante : il capture cet instant, fragile, où l’ambition d’un homme bouleverse le cours du monde. » François Busnel – L’Express

« (...) l'académicien s'est appliqué à prêter au futur empereur que des mots qu'il a effectivement prononcés à un moment ou à un autre. Le résultat n'est pas que brillant, il est réjouissant. » Jean-Christophe Buisson - Le Figaro Magazine

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ThomasLe_Bret 31/01/2024
    Une lecture fort sympathique qui m'a fait un trajet en train. C'est assez beau la façon dont Jean d'Ormesson fixe cet instant (fictif) où Napoléon Bonaparte déballerait son ambition suprême à son ami Jean-Jacques Régis de Cambacérès qui nous transporte dans les coulisses de l'épopée napoléonienne. Une agréable lecture qui se finit d'une traite.
  • dancingbrave 12/01/2024
    1803. Nous sommes quelques temps après le coup d'état de Bonaparte du 18 Brumaire de l'an VIII. le général, de retour d'Egypte est adulé par les français. Il met fin au directoire et le remplace par le consulat dont il est le premier consul. Jean d'Ormesson, dans cette demi-fiction historique, imagine une conversation entre Bonaparte, un premier consul parfaitement conscient de ses capacités et de l'amour que le peuple lui porte et le second consul, Cambacérès, qui lui est totalement dévoué. Demi-fiction car si cette conversation n'a peut-être jamais eu lieu, tous les propos tenus par le futur empereur sont avérés. En quelques phrases bien senties l'auteur nous présente l'émergence de l'idée de l'Empire qui dirigera Bonaparte dès lors. Je ne suis pas féru d'histoire et j'avais du mal à comprendre comment, après avoir révolutionné notre pays et son régime, après avoir tué notre roi, nous avions pu accepter de voir s'établir un empereur. C'est à présent chose entendue. De ce texte ressort le dévouement complet de Bonaparte à la république, au peuple français, sa haine de l'ancien régime, la certitude qu'un gouvernement personnel est préférable à des assemblées. que le retour d'une monarchie est incontournable. Mais une monarchie en rupture complète avec les Bourbon. On le voit manoeuvrer, à coups de hochets, afin de mettre tout le monde dans sa poche, y compris, ses opposants, les anciens royalistes et l'église. Et c'est tout naturellement que se profile le titre d'empereur avec l'assentiment de tous. Le portrait du futur Napoléon 1er qui ressort de ce texte court, brillant et plein de l'humour légendaire de Jean d'Ormesson est celui d'un homme exceptionnel, pragmatique, conscient de ses facultés, exempt de toute humilité, droit dans ses bottes, véritablement assommé par les intrigues de son entourage et les agissements puérils de ses frères et soeurs .Un portrait plutôt flatteur. Bien sûr cela n'engage que moi qui, en matière d'histoire, ne voit pas forcément plus loin que le bout de son nez… En tous cas lire une telle prose est pur plaisir, pure douceur de la belle langue. Je trouve que cela relève de la politesse, du respect. C'est presque gratifiant. N'importe quel sujet devient soyeux, confortable avec D'Ormesson. 1803. Nous sommes quelques temps après le coup d'état de Bonaparte du 18 Brumaire de l'an VIII. le général, de retour d'Egypte est adulé par les français. Il met fin au directoire et le remplace par le consulat dont il est le premier consul. Jean d'Ormesson, dans cette demi-fiction historique, imagine une conversation entre Bonaparte, un premier consul parfaitement conscient de ses capacités et de l'amour que le peuple lui porte et le second consul, Cambacérès, qui lui est totalement dévoué. Demi-fiction car si cette conversation n'a peut-être jamais eu lieu, tous les propos tenus par le futur empereur sont avérés. En quelques phrases bien senties l'auteur nous présente l'émergence de l'idée de l'Empire qui dirigera Bonaparte dès lors. Je ne suis pas féru d'histoire et j'avais du mal à comprendre comment, après avoir révolutionné notre pays et son régime, après avoir tué notre roi, nous avions pu accepter de voir s'établir un empereur. C'est à présent chose entendue. De ce texte ressort le dévouement complet de Bonaparte à la république, au peuple français, sa haine de l'ancien régime, la certitude qu'un gouvernement personnel est préférable à des assemblées. que le retour d'une monarchie est incontournable. Mais une monarchie en rupture complète avec les Bourbon. On le voit...
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  • bfauriaux 26/05/2023
    Personnellement j'adore Jean D'Ormesson et ce livre me plait,conversation imaginaire cree par l'auteur.C'est un modele d'imagination et tout est tout a fait credible a la lecture.Un petit livre qui permet de decouvrir le style de l'auteur et se faire une idee sur l'oeuvre.
  • Les_livres_et_nous 01/12/2022
    C'est avec l'humour qu'on lui connaît que Jean d'Ormesson, académicien et auteur français bien connu, nous plante le décor de cette conversation entre Napoléon et son deuxième consul Cambaceres. Nous sommes en 1803, un soir d'hiver aux Tuileries. Les deux hommes parlent de tout et de rien, de politique et de questions privées... le tout en parfaite décontraction (enfin aussi décontracté que l'ont puisse être lorsqu'on s'adresse à un futur empereur 🙄) Ce livre est vraiment tres bien écrit et on a parfois l'impression d'etre dans la pièce avec eux. Et je dois reconnaitre que, sans etre fan de l'Empereur, j'en sais un peu plus maintenant sur lui et ses idées de conquête du monde... Un coup de coeur en cette fin d'année
  • Laveze 01/11/2022
    LA CONVERSATION de JEAN D'ORMESSON petit livre amusant et intéressant sur une discussion imaginaire entre Napoléon et Cambacérès qu’ils auraient pu avoir avant le sacre de l'empereur. Lecture facile rapide et passionnante autour d’un dialogue visant à la grandeur de le France
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