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La légende de Hawkmoon
Jacques Guiod (traduit par)
Date de parution : 25/10/2007
Éditeurs :
Pocket

La légende de Hawkmoon

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Jacques Guiod (traduit par)
Date de parution : 25/10/2007

Le Comte Airain a perdu le désir de vivre. Sa fille, la douce Ysselda, a été enlevée et livrée au Dieu Fou. Dorian Hawkmoon, le fiancé de la belle, guerroie...

Le Comte Airain a perdu le désir de vivre. Sa fille, la douce Ysselda, a été enlevée et livrée au Dieu Fou. Dorian Hawkmoon, le fiancé de la belle, guerroie au loin contre les Granbretons. C'est pourtant lui qui, sur le chemin du retour, rencontre les adorateurs du Dieu Fou....

Le Comte Airain a perdu le désir de vivre. Sa fille, la douce Ysselda, a été enlevée et livrée au Dieu Fou. Dorian Hawkmoon, le fiancé de la belle, guerroie au loin contre les Granbretons. C'est pourtant lui qui, sur le chemin du retour, rencontre les adorateurs du Dieu Fou. Ces gladiateurs nus, luisants et drogués se reconnaissent à leur rire sauvage, pareil à celui de tous les damnés de l'enfer. Ils n'ont qu'un plaisir : détruire. Seul Hawkmoon pourra libérer Ysselda et anéantir le Dieu fou. Mais à quel prix ?

 

Deuxième volet des aventures de Dorian Hawkmoon. Le Champion éternel lutte cette fois contre un dieu et doit sauver celle qu'il aime. Mystère, magie, amours, batailles, une série épique ensorcelante par le maître de l'heroic fantasy, créateur du mythique Elric.

 

Une nouvelle édition de La légende de Hawkmoon va paraître chez Pocket : L'épée de l'aurore, tome 3, en novembre 2007 ; Le secret des runes et Le comte Airain, tomes 4 et 5, en décembre 2007 ; Le champion de Garathorn, tome 6, en 2008.

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EAN : 9782266172950
Code sériel : 5307
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266172950
Code sériel : 5307
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Devi 14/11/2022
    J'adore l'univers d'Hawkmoon. Le worldbuilding même s'il auraient pu être bien plus poussé est excellent. Moorcock quand a lui avance son histoire. Pas de temps mort, ni de longueur comme ont peut en trouver très souvent dans les romans de fantasy "plus moderne". Moorcock ça se lit vite et bien et c'est ça que j'aime chez lui.
  • aureliestrega 20/07/2021
    Ce deuxième tome nous offre encore quelques beaux passages de steampunk et de fantasy. Des chats géants tirant des carrosses, des machines faisant disparaitre des villes. On suit toujours Hawkmoon et son compagnon mais on découvre de nouveaux personnages complexes et amusants. Un peu d’humour malgré la présence de plus en plus envahissante de l’Empire sur le monde. De beaux combats mais aussi quelques rudes péripéties pour nos voyageurs. La fin pourrait presque être une fin de saga mais puisque tel n’est pas le cas j’ai hâte de lire la suite.
  • lehibook 26/07/2019
    Suite du Joyaux noir et de la croisade de Dorian Hawkmoon contre l'empire maléfique de Grandbretanne . Il combat cette fois le Dieu fou et son armées d''Amazones dans les steppes d'Ukraine . Toujours inventif .
  • Roijaune 23/10/2016
    La série commence très bien, une fois le background mis en pkace et nos repères retrouvés on plonge sans prendre de bouffée d'air dans l'univers de Hawkmoon... Je crois que j'aurais aimé recevoir davantage de détails mais avec tous les éléments qu'on reçoit on peut allègrement faire travailler notre imagination pour combler les espaces vides
  • BazaR 16/08/2015
    Avec ce deuxième livre sur Hawkmoon j’ai fait le chemin inverse du précédent : j’ai peu aimé le début, j’ai tenu et finalement j’ai trouvé qu’il se laissait lire gentiment. But de l’exercice pour Hawkmoon et son sidekick Oladahn : rejoindre la Kamarg en partant de la lointaine Persia sans se faire prendre par les Granbretons. Il devra en chemin se frotter au Dieu Fou qui « règne » sur un d’Ukraine grâce à une Amulette qui a son rôle à jouer dans cette histoire. Les péripéties du début m’ont désolé au point que je me suis dit que j’allais arrêter là. Mais j’ai décidé de continuer. Oh ça n’a rien d’un chef-d’œuvre mais ça tient la route comme divertissement sans prétention. Le regain d’intérêt est à porter sur un nouveau personnage en demi-teinte, Huillam D’Averc, qui m’a rappelé Benjamin Linus de la série Lost. On ne sait jamais si on doit lui faire confiance. Il tranche avec le manichéisme ambiant qui nous est asséné à travers des clichés de gentils et de méchants monochromes (genre le Granbreton gras et paillard qui veut profiter de force des charmes de la serveuse de l’auberge qui va se marier). Le Dieu Fou Stalnikov est pathétique. Il m’a fait penser à Gollum avec son Amulette. Et il faut bien avouer que les soldats Granbretons, avec leurs masques d’animaux et leurs langues secrètes, sont aussi bien trouvés que les Stormtroopers de Star Wars. Ils ont le même rôle de chair à pâtée pour héros ; ça fait toujours du bien de les voir se faire découper en tranches :). D’autant plus qu’ils semblent innombrables. Comment un pays si petit que la Granbretanne peut-il en fabriquer autant ? Mystère ! Un bémol concernant le mystérieux Guerrier d’Or et de Jais. Il fait trop Deus ex machina dans l’histoire. C’est lui qui dit à notre héros assez fade où aller, quoi faire, comment préparer le café, etc. C’est Moorcock sous un casque. Je ne suis pas fan. Mais bon, toute l’histoire tournant autour d’un Bâton Runique guide des destinées, normal que ce genre de personnages soit présent. L’ambiance générale est beaucoup moins sombre qu’Elric. L’esprit de camaraderie règne. Il m’a rappelé La Belgariade de Eddings. La fin est assez bien troussée ma foi. Je ne m’y attendais pas. Allez, c’est décidé, j’irai au bout. Après tout, les livres sont très courts. Terminons par la tirade finale du Baron Meliadus, ennemi juré du héros: "Ah, Hawkmoon, je t'aurai!" Avec ce deuxième livre sur Hawkmoon j’ai fait le chemin inverse du précédent : j’ai peu aimé le début, j’ai tenu et finalement j’ai trouvé qu’il se laissait lire gentiment. But de l’exercice pour Hawkmoon et son sidekick Oladahn : rejoindre la Kamarg en partant de la lointaine Persia sans se faire prendre par les Granbretons. Il devra en chemin se frotter au Dieu Fou qui « règne » sur un d’Ukraine grâce à une Amulette qui a son rôle à jouer dans cette histoire. Les péripéties du début m’ont désolé au point que je me suis dit que j’allais arrêter là. Mais j’ai décidé de continuer. Oh ça n’a rien d’un chef-d’œuvre mais ça tient la route comme divertissement sans prétention. Le regain d’intérêt est à porter sur un nouveau personnage en demi-teinte, Huillam D’Averc, qui m’a rappelé Benjamin Linus de la série Lost. On ne sait jamais si on doit lui faire confiance. Il tranche avec le manichéisme ambiant qui nous est asséné à travers des clichés de gentils et de méchants monochromes (genre le Granbreton gras et paillard qui veut profiter de force des charmes de la serveuse de l’auberge qui va se marier). Le Dieu Fou Stalnikov est...
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