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La légende de Hawkmoon
Gérard Lebec (traduit par)
Date de parution : 14/02/2008
Éditeurs :
Pocket

La légende de Hawkmoon

Gérard Lebec (traduit par)
Date de parution : 14/02/2008

Hawkmoon rencontre le Congrès des Sages, les émissaires de la Loi en guerre contre le Chaos. Il doit trouver Tanelorn pour libérer ses enfants. Il lui faudra embarquer sur une...

Hawkmoon rencontre le Congrès des Sages, les émissaires de la Loi en guerre contre le Chaos. Il doit trouver Tanelorn pour libérer ses enfants. Il lui faudra embarquer sur une bien étrange nef, prête à partir pour la cité perdue où se prépare l'affrontement suprême entre l'Épée Noire et le...

Hawkmoon rencontre le Congrès des Sages, les émissaires de la Loi en guerre contre le Chaos. Il doit trouver Tanelorn pour libérer ses enfants. Il lui faudra embarquer sur une bien étrange nef, prête à partir pour la cité perdue où se prépare l'affrontement suprême entre l'Épée Noire et le Bâton Runique. Hawkmoon va-t-il mourir, comme toutes les incarnations du Champion Éternel ? Retrouvera-t-il ses enfants captifs dans les replis du multivers ? Est-ce enfin la mort pour les dieux et la vie pour les hommes ?

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EAN : 9782266173001
Code sériel : 5345
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266173001
Code sériel : 5345
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • aureliestrega 05/03/2023
    Dernière aventure pour Hawkmoon qui est rejoint ici par 3 autres incarnations du champion éternel. Une histoire déjà vue du point de vue d'Elric ce qui est intéressant. On voit les choses d'un autre personnage avec un autre passé et des enjeux bien différents. Une fin qui conclue bien l'histoire du champion Hawkmoon et donne envie de découvrir Erekose.
  • lehibook 16/05/2022
    Ce troisième volume de la Nouvelle légende Hawkmoon commence comme le précédent ,le héros se morfond en Kamarg :il a retrouvé son Ysselda mais pas ses deux enfants perdus les dieux savent où dans le complexe multivers Morckookien . Un cavalier arrive et c’est reparti ! Vont entrer en scène pour la parade finale quasiment tous les personnages précédents et , en particulier, les autres pièces du puzzle constituant le « Héros éternel » (Corum, Erekosë ,Elric) et les accessoires symboliques habituels ( Epée noire, Bâton Runique,Balance Cosmique… ) . Ensemble (et parfois fusionnés) ils vont vivre des aventures dont les explications ont la clarté du jus de chique et la rectitude d’un plat de spaghettis.Lecture divertissante tout de même.
  • Roijaune 22/02/2017
    Ouf! Ce dernier épisode des (nouvelles) Légendes d'Hawkmoon est plus intéressant que les deux précédents tomes. On y retrouve quelques "connaissances" bringuebalées à travers le multivers et qui ne manquent pas d'apporter quelques informations à propos de celui-ci et de son fonctionnement.
  • BazaR 16/08/2016
    La fin du cycle d’Hawkmoon a vraiment tout pour me plaire. Le final du sort de Hawkmoon et de ses amis constitue en fait la portion congrue de ce roman. La conclusion est plutôt à l’avantage du héros : même s’il a dû se battre ardemment pour la gagner, la fin de son histoire est celle qui, parmi les avatars du Champion Éternel, se rapproche le plus d’une fin de conte de fées. Non, le principal intérêt du livre, pour un amateur de comics cosmiques comme moi, c’est le crossover qu’il représente entre tous les avatars du Champion qui ont leur propre cycle : Hawkmoon, Elric, Corum et Erekosë. Moorcock met en jeu la structure même du multivers qu’il a construit, avec ses multiples plans d’existence. Les concepts de Justice, de Bien et de Mal qu’il a incarnés dans la Balance Cosmique, le Bâton Runique et L’Épée Noire sont malmenés et secoués comme dans un tambour de machine à laver. Une transformation radicale du multivers, un reboot pourrait-on dire, est à l’œuvre ici. On est très proche des récits de DC tels que « Crisis on Infinite Earths » ou de ceux des New Avengers actuels chez Marvel. En dehors du... La fin du cycle d’Hawkmoon a vraiment tout pour me plaire. Le final du sort de Hawkmoon et de ses amis constitue en fait la portion congrue de ce roman. La conclusion est plutôt à l’avantage du héros : même s’il a dû se battre ardemment pour la gagner, la fin de son histoire est celle qui, parmi les avatars du Champion Éternel, se rapproche le plus d’une fin de conte de fées. Non, le principal intérêt du livre, pour un amateur de comics cosmiques comme moi, c’est le crossover qu’il représente entre tous les avatars du Champion qui ont leur propre cycle : Hawkmoon, Elric, Corum et Erekosë. Moorcock met en jeu la structure même du multivers qu’il a construit, avec ses multiples plans d’existence. Les concepts de Justice, de Bien et de Mal qu’il a incarnés dans la Balance Cosmique, le Bâton Runique et L’Épée Noire sont malmenés et secoués comme dans un tambour de machine à laver. Une transformation radicale du multivers, un reboot pourrait-on dire, est à l’œuvre ici. On est très proche des récits de DC tels que « Crisis on Infinite Earths » ou de ceux des New Avengers actuels chez Marvel. En dehors du maniement assez difficile et parfois confus des concepts incarnés, la relation que Moorcock initie entre les différentes versions de son Champion est l’un des attraits principaux du roman. Hawkmoon m’a paru être celui dont la personnalité était finalement la plus faible, alors qu’Elric est celui qui est le plus réfractaire à l’idée de n’être qu’un « exemplaire » du Champion Éternel. L’auteur n’a pas eu la place d’aller trop loin dans cette relation naissante en si peu de pages, et c’est bien dommage. Au-delà même de la conclusion du cycle de Hawkmoon et de la conclusion de l’ensemble des romans lié au Champion Éternel (je crois qu’on va ici plus loin qu’à la fin d’Elric, de Corum ou d’Erekosë), j’ai trouvé épatant que Moorcock apporte enfin sans fioriture des informations sur sa propre philosophie de l’existence. Cette philosophie est profondément humaniste et antireligieuse. Il faut croire en soi, s’aimer et se respecter, et surtout éviter de léguer son sort à une entité extérieure d’ordre divin. Les dieux n’ont un pouvoir sur les hommes que parce que les hommes le permettent. L’anéantissement des autorités cosmiques qui manipulent le destin des hommes dans le roman n’a pas d’autre but que de hurler ce message. Alors que le religieux emploie à nouveau de nos jours la violence pour justifier de son importance et de son autorité, ce message résonne chez moi comme un baume salutaire. Ne jamais retomber sous la coupe des interprètes des dieux, le final de Hawkmoon me le rappelle.
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  • Philemont 16/01/2013
    Après un Tragique Millénaire l’Europe est désormais dominée par la Granbretanne qui multiplie les conquêtes, toutes plus sauvages et sanglantes les unes que les autres. Elle bâtit ainsi un Ténébreux Empire contre lequel Dorian Hawkmoon, duc de Köln, se rebelle avec l’appui de l’ultime province indépendante, la Kamarg… Même si cela n’est pas décrit explicitement, il semblerait que l’Europe de Michael MOORCOCK soit ici une Europe post-apocalyptique. La société y est redevenue médiévale, mais elle a développé des compétences scientifiques qui ressemblent fort à ce que l’on pourrait appeler de la magie. L’Amérique et l’Asie n’existent plus, remplacées respectivement par les légendaires Amarehk et Asiacommunista dont on ne sait quasiment rien. Quant à l’Afrique et l’Océanie, il semblerait qu’on en ignore jusqu’à l’existence. La légende de Hawkmoon ne se caractérise toutefois pas seulement par sa situation géographico-politique. Il se singularise aussi par le ton utilisé, et surtout par le fait que celui-ci change du tout au tout une fois passés les quatre premiers volumes. La tétralogie initiale (Le Joyau noir, Le Dieu fou, L’Épée de l’aurore et Le Secret des Runes) nous raconte la façon dont Dorian Hawkmoon vient à bout du Ténébreux Empire. C’est l’occasion pour Michael MOORCOCK de nous servir une... Après un Tragique Millénaire l’Europe est désormais dominée par la Granbretanne qui multiplie les conquêtes, toutes plus sauvages et sanglantes les unes que les autres. Elle bâtit ainsi un Ténébreux Empire contre lequel Dorian Hawkmoon, duc de Köln, se rebelle avec l’appui de l’ultime province indépendante, la Kamarg… Même si cela n’est pas décrit explicitement, il semblerait que l’Europe de Michael MOORCOCK soit ici une Europe post-apocalyptique. La société y est redevenue médiévale, mais elle a développé des compétences scientifiques qui ressemblent fort à ce que l’on pourrait appeler de la magie. L’Amérique et l’Asie n’existent plus, remplacées respectivement par les légendaires Amarehk et Asiacommunista dont on ne sait quasiment rien. Quant à l’Afrique et l’Océanie, il semblerait qu’on en ignore jusqu’à l’existence. La légende de Hawkmoon ne se caractérise toutefois pas seulement par sa situation géographico-politique. Il se singularise aussi par le ton utilisé, et surtout par le fait que celui-ci change du tout au tout une fois passés les quatre premiers volumes. La tétralogie initiale (Le Joyau noir, Le Dieu fou, L’Épée de l’aurore et Le Secret des Runes) nous raconte la façon dont Dorian Hawkmoon vient à bout du Ténébreux Empire. C’est l’occasion pour Michael MOORCOCK de nous servir une Fantasy dans le sens le plus extrême du terme. Notre héros semble en effet invincible : seul ou accompagné de quelques amis il extermine ses ennemis, humains ou monstres, par centaines, voire milliers. En outre, comme souvent avec MOORCOCK, l’écriture est rythmée à l’extrême, l’auteur ne s’embarrassant pas de la psychologie de ses personnages, lui préférant l’action en toute occasion. La trilogie finale (Le comte Airain, Le champion de Garathorm et La quête de Tanelorn) nous conte elle les conséquences de la chute de la Granbretanne pour Dorian Hawkmoon. Et cette fois-ci c’est l’occasion pour Michael MOORCOCK de plonger ses lecteurs dans le multivers qu’il a initié avec le cycle d’Elric, Dorian Hawkmoon n’étant rien de moins, on l’aura compris, qu’une figure du champion éternel. Dès lors, l’auteur abandonne l’Heroic Fantasy facile, pour une Fantasy plus sérieuse, presque expérimentale, abordant des thèmes relatifs à la condition de l’Homme, par rapport aux autres Hommes, et par rapport au monde dans lequel il vit. A une Fantasy facile et caricaturale succède donc une Fantasy sérieuse et parfois confuse. Du point de vue de la confusion, La légende de Hawkmoon peut d’ailleurs rappeler les pires moments du cycle d’Elric. Par ailleurs, à aucun moment, Hawkmoon n’atteint la même puissance dramatique qu’Elric. Il n’en reste pas moins que Michael MOORCOCK sait raconter une histoire à ses lecteurs et qu’il réussit finalement à les captiver, si tant est qu’ils ne sont pas allergiques à son style si particulier.
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