Lisez! icon: Search engine
La Longue Terre - tome 2 : La Longue Guerre
Mikael Cabon (traduit par)
Date de parution : 09/02/2017
Éditeurs :
Pocket

La Longue Terre - tome 2 : La Longue Guerre

,

Mikael Cabon (traduit par)
Date de parution : 09/02/2017
Revenu des profondeurs de la Longue Terre, Josué n’aspire qu’à vivre en famille, loin des problèmes du multivers. Mais ceux-ci le rattrapent malgré tout…
Les hommes pourraient jouir paisiblement du nombre...
Revenu des profondeurs de la Longue Terre, Josué n’aspire qu’à vivre en famille, loin des problèmes du multivers. Mais ceux-ci le rattrapent malgré tout…
Les hommes pourraient jouir paisiblement du nombre illimité de Terres à leur disposition. Cependant, le nouveau président des États-Unis a décidé d’établir son hégémonie sur toutes les...
Revenu des profondeurs de la Longue Terre, Josué n’aspire qu’à vivre en famille, loin des problèmes du multivers. Mais ceux-ci le rattrapent malgré tout…
Les hommes pourraient jouir paisiblement du nombre illimité de Terres à leur disposition. Cependant, le nouveau président des États-Unis a décidé d’établir son hégémonie sur toutes les Amériques existantes. Dans les colonies, la colère gronde, jusqu’à réclamer l’indépendance.
Et au contact des autres espèces vivantes, bien souvent pacifiques, la nature humaine montre une fois encore ses tendances belliqueuses.
L’issue semble inévitable, la longue guerre, inéluctable.

« Avec ce deuxième volume, où les auteurs suivent différentes expéditions de vaisseaux twains, le récit prend une autre dimension. Plus aboutie, plus dense, l'intrigue mêle ici plusieurs fils narratifs qui convergent parfois. » Chris de Savoie – ActuSF
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266266284
Code sériel : 7219
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266266284
Code sériel : 7219
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Avec ce deuxième volume, où les auteurs suivent différentes expéditions de vaisseaux twains, le récit prend une autre dimension. Plus aboutie, plus dense, l’intrigue mêle ici plusieurs fils narratifs qui convergent parfois. » Chris de Savoie, ActuSF
 
« Un 2e tome à la hauteur du premier, qui continue à peindre la fresque de la longue Terre, à travers une mosaïque de personnages. Vivement le troisième tome. » Catherine-loiseau.fr
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Herve39 05/05/2023
    Un peu déçu par le deuxième tome de cette saga, j'attendais une direction précise dans laquelle les auteurs allaient nous emmener. On est plutôt partagé entre plusieurs histoires parallèles, différents protagonistes qui ne vont pas se rencontrer. On sent que des éléments serviront dans les tomes suivants mais je me suis un peu ennuyé. Le livre porte mal son nom, on a plus affaires à des soulèvements et des dissensions qu'à une véritable guerre. Le principal intérêt est la relation entre les humains et d'autres formes vivantes intelligentes. On voit malheureusement que l'homme a toujours besoin de dominer voire d'exploiter des êtres plus faibles que lui. Je vais tout de même démarrer le troisième tome de suite histoire de ne pas oublier trop de détails, en espérant que l'action décolle enfin.
  • Horizon_Universe 12/07/2021
    J’avoue être très surprise des critiques sur ce livre. Beaucoup de personnes semblent s’être attendues, au vu du titre, à une guerre totale entre la Terre Datum, et les Longues Terres. Je ne suis pas de cet avis, et n’attendait pas du tout que l’histoire prenne son chemin, mais bien celui du livre. Un conflit n’est pas forcément armé, mais peut être un conflit d’idée, d’idéologies, de concepts, et c’est ce que montre ce livre, et plutôt bien avec ça.#8232;#8232;Il était clair qu’il serait difficile de repartir avec d’autres idées pour la suite de cette saga. Le concept est plutôt évident, et s’il est original, est également simple. Il est facile de retomber dans la redondance (ce qui est un petit défaut de ce livre pour sur), mais j’ai trouvé intéressant le parti pris de ce livre. Pas aussi bien que le premier, car on ne découvre pas vraiment de nouveaux concepts, ou très peu, et on suit à peu près les mêmes personnages, mais tout de même sympathique à lire, et j’ai toujours hâte de voir ce que réserve la suite de l’histoire, The Long War se finissant sur un gros cliffhanger.
  • JulyF 07/08/2020
    C'est de la bonne SF, avec ce qu'il faut de subversion et ce qu'il faut de réflexion sur notre monde, aussi bien sa structure sociale que physique. Les personnages y souffrent parfois dans leur chair de façon assez nette, malgré les progrès de la science. Le noeud d'une guerre reste encore et toujours les relations entre personnes, quels que soient les efforts pacifistes menés par les uns et les autres pour mieux se comprendre...
  • XS 07/06/2020
    Je ne saurais dire exactement à quoi cela tient, mais j'ai trouvé ce deuxième tome meilleur que le premier. Moins de descriptions, un récit moins linéaire, sont sans doute une partie de l'explication. L'action se déroule quelques années après la fin du précédent tome. La situation est dorénavant tendue entre Primeterre et les nouveaux mondes, entre les humains et les humanoïdes, et il reste encore énormément à découvrir. De guerre, du moins dans le sens littéral du terme, il n'y a pas traces. Ce qui, dans mon cas, a été une bonne surprise. Mais qui peut dérouter. On retrouve plusieurs personnages croisés lors du premier tome. Josué est maintenant apaisé, et profite d'une vie tranquille. Hélas pour sa famille, Sally va faire irruption dans sa vie et l’entraîner dans une mission difficile. Nelson, l’attachant et dorénavant ex-pasteur, prend conscience avoir intégré l’écurie de précieux investissement à long terme du facétieux Lobsang. Agnès, l’inénarrable Agnès, vient faire quelques piges bienvenues, et Roberta, étrange adolescente surdouée et peu sociable, est quant à elle chargée de la partie ‘découverte’ de nouveaux mondes. L’axe majeur de narration concerne les relations entre Trolls et humains, émaillées de situations malsaines. A peine travesties par la fiction, les thématiques de l'exploitation, et l'intolérance à la différence, voire la négation d'une part d'humanité à ces anthropoïdes sont exploitées à bon escient, mais d'une façon assez simplette. Si tout pouvait se résoudre dans la réalité comme dans le roman... [masquer] je pense à l'incident de La Nouvelle-Melfield, foyer de malveillance envers les Trolls, où quelques heures suffisent à faire envoler toute hostilité. C'est mignon, mais bon...[/masquer]. C’est en tentant d’améliorer la situation que Josué et Sally vont croiser une étrange créature nommée Milou, appartenant à un peuple beagle qui porte ironiquement son nom, et la marque des deux auteurs. Au sujet des relations entre Primeterre et autres mondes: déclaration d'indépendance, relations économiques – le troc vs l’économie de marché… autant de sujets de tensions qui aboutissent au déploiement de d’une armée de dirigeables. Parmi eux, le Franklin, dirigé par son capitaine Maggie Kauffman, dont je retranscris, masqué, un savoureux dialogue avec son amiral, pour pouvoir en garder trace [masquer] tant il m’a plu. « – Depuis que vous avez pris, il y a peu, le commandement du Benjamin Franklin, vous avez dirigé ce bâtiment comme votre propriété personnelle en vous affranchissant allégrement du cadre déjà très vague de votre ordre de mission. Pour être clair, vous avez décidé des règles de vos interventions au fur et à mesure. Par ailleurs, vous avez autorisé des êtres potentiellement dangereux à bord. - C’est exact, amiral. » Il sourit. « Bien joué, Maggie ». [/masquer] Dialogue, s’il en est, qui traduit bien l’atmosphère science-fictionnelle du roman ! Entraînant même si un peu dispersé ce tome sympathique se termine sur un cliffhanger qui annonce des bouleversements à venir. Attaquons donc la suite ! Je ne saurais dire exactement à quoi cela tient, mais j'ai trouvé ce deuxième tome meilleur que le premier. Moins de descriptions, un récit moins linéaire, sont sans doute une partie de l'explication. L'action se déroule quelques années après la fin du précédent tome. La situation est dorénavant tendue entre Primeterre et les nouveaux mondes, entre les humains et les humanoïdes, et il reste encore énormément à découvrir. De guerre, du moins dans le sens littéral du terme, il n'y a pas traces. Ce qui, dans mon cas, a été une bonne surprise. Mais qui peut dérouter. On retrouve plusieurs personnages croisés lors du premier tome. Josué est maintenant apaisé, et profite d'une vie tranquille. Hélas pour sa famille, Sally va faire irruption dans sa vie et l’entraîner dans une mission difficile. Nelson, l’attachant et dorénavant ex-pasteur, prend conscience avoir intégré l’écurie de précieux investissement à long terme du facétieux Lobsang. Agnès, l’inénarrable Agnès, vient faire quelques piges bienvenues, et Roberta, étrange adolescente surdouée et peu sociable, est quant à elle chargée de la partie ‘découverte’ de nouveaux mondes. L’axe majeur de narration concerne les relations entre Trolls et humains, émaillées de situations malsaines. A peine travesties par la fiction, les thématiques...
    Lire la suite
    En lire moins
  • LeScribouillard 16/05/2020
    On en était restés. Josué et Lobsang ont fait leur petite vadrouille et découvert que RRRRMMM cette terrible menace pourrait un jour détruire les formes de vie de tous les autres univers ; sauf que ça barde aussi en Primeterre, où Cowley et sa bande provoque RRRRMMM, un terrible évènement sur lequel s’achevait brusquement le tome 1. On s’attendait donc à ce que l’histoire commence enfin après un volume d’introduction certes pas désagréable mais assez poussif, une bonne grosse baston avec des enjeux cosmiques et des personnages gagnant en épaisseur. Sauf que Baxter et Pratchett nous disent dès les premiers chapitres : « On vous a bien eus, hein ? » Le roman s’ouvre ainsi… 10 ans après les premiers évènements. Josué est devenu un bon père de famille dans sa petite communauté loin de la Primeterre, Monica Jansson s’occupe toujours des secrets de la Black Corporation, Sally vagabonde ça et là et Lobsang fait des siennes. Quant à Trump Bolsonaro BENA BENA BENALLA Brian Cowley, il s’est calmé avec ses petits copains et il a réussi à se faire élire président des États-Unis en toute légalité oklm #LexLuthor2000. Et forcément, l’idée que ses citoyens fuitent un peu partout dans les univers parallèles à proximité lui plaît pas trop… Autant vous dire tout de suite que si vous vous attendez à quelque chose d’épique, c’est encore loupé. Qu’on s’arrête à un nœud dramatique aussi important laissait présager une suite qui en tirerait profit. Sauf qu’on dirait que là c’était surtout une com pour acheter la suite : je veux bien qu’on ne retourne pas directement là où s’était arrêté le cliffhanger (on entame un nouvel épisode, donc au préalable, le mieux reste d’en instaurer avant tout les enjeux), mais quand on découvre que celui-ci ne débouche pas à de nouveaux évènements qu’il était censé impliquer (ou alors très, très peu), il devient au final assez dispensable. Autre effet pervers : nouvelle époque, nouveau background, ce qui fait qu’on se mange encore 150 pages d’exposition. Pire encore, on assiste à une surmultiplication des points de vue, l’histoire éclatant plus que jamais en une multitude de directions qui semblent n’avoir aucun rapport entre elles. Et mine de rien, on se retrouve avec une sacrée arnaque : y’en a pas, de Longue Guerre. On découvre des personnages hauts en couleur, on passe d’environnement fabuleux en environnement fabuleux, on fait tout un tas de références cinéphiles et mélomanes, mais l’histoire avance pas des masses. Tous les ingrédients sont là sauf l’élément géopolitique censé tout faire péter. Quand on pouvait s’attendre à un tome plus nerveux, on a surtout l’impression de se trouver face à un soufflé qui refuse de décoller. Parce que à force de ménager les différents personnages, de les faire discuter et explorer entre eux, tomber sur des méchants qui ou bien se révèlent des gentils ou bien sont du menu fretin, la tension dramatique est encore une fois quasiment absente. Alors oui, certains arcs narratifs semblent prévoir des trucs. Décrire une armée de l’air sillonnant la Longue Terre, la vie au sein de l’équipage et les différentes prises de liberté d’une commandante revêche mais bien intentionnée, c’est bien beau ; mais ça semble un peu creux pour de la SF militaire, puisque sur plus de 550 pages, il n’y a… aucun combat !!! Pourtant, malgré le fait que ce soit amené d’une façon extrêmement frustrante et décevante, l’idée de faire rentrer Cowley dans les rangs n’est pas dénuée d’intérêt. La Longue Terre réinventait la conquête de l’Ouest (nouveaux territoires apparaissant miraculeusement pour ceux ayant besoin de s’y réfugier, nouveau rêve d’y faire régner la société qu’on veut, nouveaux indigènes et donc nouveaux génocides), La Longue Guerre se questionne sur comment le pouvoir s’établit peu à peu sur cette société et quels en sont ses abus. Outre l’allusion évidente à la guerre d’Indépendance où les États-Unis des Basses Terres vont se révolter face aux vrais US, on voit avec l’arrivée de Cowley au pouvoir une critique de la montée d’une société se fondant sur des valeurs ultraconservatrices plutôt que dictées par la raison, comme il en a jalonné toute l’Histoire du pays. Plus universellement, nos auteurs montrent un cas de montée des populismes transformant invisiblement mais inéluctablement une démocratie en dictature, tel le nazisme, l’Italie de Mussolini, ou encore de nos jours de nombreux dirigeants aux discours fascisants… — Objection ! — Mais qui es-tu, petite créature qui me semble d’emblée terriblement emmerdante ? — Je suis Jean-Kévin Extrême-Droite, et le vrai fascisme s’est éteint en 1945 ! Les mouvements qu’on qualifie comme tels sont diabolisés alors qu’ils n’ont rien à voir ! — Ah mais de nos jours on peut plus rien dire sur nos réseaux ! Tout est ravagé par le politiquement correct ! Il faut en permanence lutter contre l’anti-France et la discrimination des majorités ! — Je, je… — Y’en a marre de ces islamophobes qui viennent envahir notre belle France ! Bientôt, il se passera quoi, les femmes devront porter l’écharpe de Laurent Wauquiez ?! Bon, reprenons. Bref, comme souvent dans les livres de Stephen Baxter, nous avons là une analyse progressiste des comportements de société qui préfère démontrer par A+B que de dire « oh là là le monde il devient trop une dystopie ». Côté Pratchett, l’humour est toujours présent, encore par moments très (trop ?) discret, mais fait souvent mouche (il y a encore de gros winks-winks au Disque-monde). Cowley se nuance, tente de se montrer plus progressiste, manipule l’opinion publique grâce à la rhétorique, désavoue certains mouvements extrémistes de son parti : bref, plutôt qu’une caricature, nous avons désormais un portrait réaliste du tyran typique du XXIe siècle. Et de manière plus générale, Pratchett et Baxter refusent le cliché : les fermiers ne sont jamais des arriérés quand bien même on les considère comme tel, ce qui donne d’ailleurs lieu à une scène savoureuse avec l’establishment américain. On découvre un peu mieux cette sœur Agnès à l’opposé des bénis-oui-oui, et seul Lobsang au final, l’Intelligence Artificielle la plus roublarde du cosmos, se fait sacrément attendre… Malgré tout, le manque de rythme se fait sentir, les nombreux dialogues également, certains épisodes auraient pu être ôtés ou écourtés. Encore une fois, c’est dans les 50-75 dernières pages que le roman se réveille et que l’action de met à déferler brusquement. Mais le fait de s’en être mangé 500 molles du genou juste avant leur confère d’un coup un sacré impact. Une qualité ou un défaut, allez savoir : toujours est-il que niveau climax, on est enfin sur du lourd. Mais même là, on reste sur du pétard mouillé, parce que finalement les prises de risque s’avèrent ne pas en être : tout rentre dans l’ordre de manière pacifique (quand on parle quand même d’un gouvernement ultraconservateur et xénophobe… sans compter qu’on ne résout pas vraiment la question de qu’est-ce que ne pas déclarer son indépendance face aux US peut nous apporter à part des impôts), et les différentes prises de risque concernant Josué s’avèrent finalement (presque) sans conséquences… La Longue Guerre n’est jamais une lecture déplaisante ; on sent que les auteurs sont honnêtes avec nous et veulent avant tout nous embarquer dans leur voyage et leurs délires progressistes. Mais beaucoup d’intrigues lentes, des promesses peu tenues, et surtout l’impression que le monde et le message priment sur le reste de l’œuvre finissent par peser sur l’ensemble au point qu’on hésite facilement à lire la suite. Ce qui ne signifie pas que je vous déconseille le cycle, car après tout c’est pour votre culture…On en était restés. Josué et Lobsang ont fait leur petite vadrouille et découvert que RRRRMMM cette terrible menace pourrait un jour détruire les formes de vie de tous les autres univers ; sauf que ça barde aussi en Primeterre, où Cowley et sa bande provoque RRRRMMM, un terrible évènement sur lequel s’achevait brusquement le tome 1. On s’attendait donc à ce que l’histoire commence enfin après un volume d’introduction certes pas désagréable mais assez poussif, une bonne grosse baston avec des enjeux cosmiques et des personnages gagnant en épaisseur. Sauf que Baxter et Pratchett nous disent dès les premiers chapitres : « On vous a bien eus, hein ? » Le roman s’ouvre ainsi… 10 ans après les premiers évènements. Josué est devenu un bon père de famille dans sa petite communauté loin de la Primeterre, Monica Jansson s’occupe toujours des secrets de la Black Corporation, Sally vagabonde ça et là et Lobsang fait des siennes. Quant à Trump Bolsonaro BENA BENA BENALLA Brian Cowley, il s’est calmé avec ses petits copains et il a réussi à se faire élire président des États-Unis en toute légalité oklm #LexLuthor2000. Et forcément, l’idée que ses citoyens fuitent un peu partout dans les univers parallèles...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !