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La maison de l'abbaye
Collection : Polar
Date de parution : 02/01/2020
Éditeurs :
10/18

La maison de l'abbaye

Collection : Polar
Date de parution : 02/01/2020
Dans le Paris du XVe siècle, Edward Holmes et Gower Watson enquêtent sur la disparition de deux femmes…
À la fin de l’an de grâce 1424, le duc de Bourgogne donne de grandes fêtes dans son hôtel parisien à l’occasion du mariage de messire de la Trémoille. Ces... À la fin de l’an de grâce 1424, le duc de Bourgogne donne de grandes fêtes dans son hôtel parisien à l’occasion du mariage de messire de la Trémoille. Ces réjouissances sont suivies d’autres festivités offertes par le duc de Bedford à l’hôtel de Bourbon pour fêter la victoire de... À la fin de l’an de grâce 1424, le duc de Bourgogne donne de grandes fêtes dans son hôtel parisien à l’occasion du mariage de messire de la Trémoille. Ces réjouissances sont suivies d’autres festivités offertes par le duc de Bedford à l’hôtel de Bourbon pour fêter la victoire de Verneuil sur l’armée de Charles VII.

Mais alors que se poursuivent ces grands ébattements, un effroyable criminel rôde. Qu’est devenue Matilda Raleigh, demoiselle d’honneur d’Alice Chaucer, petite-fille du célèbre poète et comtesse de Salisbury ? Où est passée Nicole de Courcelle, ancienne femme de chambre de la duchesse de Bourgogne ? Le comte de Suffolk, qui connaissait ces deux femmes, demande à Edward Holmes d’enquêter sur une intrigante maison appartenant à l’abbaye de Saint-Magloire.
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EAN : 9782264076588
Code sériel : 5504
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264076588
Code sériel : 5504
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Davalian 23/02/2023
    La maison de l'abbaye est un petit roman (250 pages au format poche) qui trouve sa place entre le Pont de Montereau et La danse macabre. Il est fortement recommandé d'avoir lu les ouvrages précédents, sous peine de se voir révéler l'essentiel des aventures d'Edward et de Gower. Il y aura quelques personnages déjà croisés par le passé, mais ceux-ci seront peu nombreux. L'intrigue se déroulera exclusivement à Paris dans les derniers jours de l'année. Confronté à une demande de rédaction de lettre de rémission, puis à une demande d'un proche du régent, le clerc va rapidement être confronté à une intrigue qui (chose surprenante) permettra de faire le lien entre les deux commanditaires... Nous revoilà donc partis sur un cheminement plus proche du roman policier que du roman historique. L'enquête sera ici classique avec des fausses pistes, des faux coupables, la crainte d'une implication des plus hautes sphères politiques... afin finalement de s'orienter vers une piste particulièrement improbable et un brin décevante. Malgré une conclusion surprenante mais bien amenée, un protagoniste qui semble omniscient, l'ensemble se lit avec plaisir, ne ménageant pas le lecteur. Tout cela est très adroitement mené et fait plaisir à lire, surtout dans un format court. Un bon titre donc, mais qu'il faudra réserver aux habitués de la série. les adeptes du grand détective pourront ici passer leur chemin.La maison de l'abbaye est un petit roman (250 pages au format poche) qui trouve sa place entre le Pont de Montereau et La danse macabre. Il est fortement recommandé d'avoir lu les ouvrages précédents, sous peine de se voir révéler l'essentiel des aventures d'Edward et de Gower. Il y aura quelques personnages déjà croisés par le passé, mais ceux-ci seront peu nombreux. L'intrigue se déroulera exclusivement à Paris dans les derniers jours de l'année. Confronté à une demande de rédaction de lettre de rémission, puis à une demande d'un proche du régent, le clerc va rapidement être confronté à une intrigue qui (chose surprenante) permettra de faire le lien entre les deux commanditaires... Nous revoilà donc partis sur un cheminement plus proche du roman policier que du roman historique. L'enquête sera ici classique avec des fausses pistes, des faux coupables, la crainte d'une implication des plus hautes sphères politiques... afin finalement de s'orienter vers une piste particulièrement improbable et un brin décevante. Malgré une conclusion surprenante mais bien amenée, un protagoniste qui semble omniscient, l'ensemble se lit avec plaisir, ne ménageant pas le lecteur. Tout cela est très adroitement mené et fait plaisir à lire, surtout dans un format court. Un bon...
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  • DETHYREPatricia 26/01/2023
    Je suis en train de me constituer une collection des oeuvres de Jean d'Aillon, dont les fameuses Chroniques d'Edward Holmes et Gower Watson (non pas ceux du XIXe siècle, mais des homonymes du XVe siècle dont je ne sais s'il s'agit de leurs ascendants ou juste d'un clin d'oeil de l'auteur aux personnages emblématiques de Conan Doyle). J'avais pour ambition d'attendre d'avoir tous les tomes pour commencer par le tome 1, mais j'ai craqué avant. Donc, je commence ma découverte de cette saga et de cet auteur apparemment prolifique par le tome 7 La maison de l'abbaye et je dois dire que j'ai été un peu larguée, tant les références aux précédents opus sont nombreuses (on a donc du mal à comprendre les litiges qui ont pu opposer ou les amitiés qui ont pu se créer entre le couple d'enquêteur Holmes/Watson et les autres figures emblématiques de l'époque). Néanmoins, l'enquête (enfin les enquêtes car il y a plusieurs meurtres qu'il faut élucider dans le même laps de temps et dont on ne sait pas trop s'ils ont un lien entre eux) est menée tambour battant par Holmes et Watson et se suit sans déplaisir. Les intrigues s'imbriquent les unes aux autres, les pistes s'ouvrent et se ferment, certains personnages ont manifestement des choses à cacher... le suspense reste entier jusqu'à la chute finale. de ce point de vue, le pacte de lecture de ce thriller historique est parfaitement respecté. Sur la forme, j'ai aimé le rythme, la description des lieux et des décors (même si l'évocation de très nombreuses rues parisiennes est quelque peu rébarbative), l'érudition de l'auteur et son style d'écriture. Par contre, bien que je m'intéresse à l'Histoire de France (et accessoirement à celle de l'Angleterre), j'ai vraiment eu du mal m'y retrouver entre les différents chefs de files et protagonistes des partis des Armagnacs et des Bourguignons (sans doute, est-ce plus clair lorsqu'on a suivi dans les précédents opus le déroulement du conflit qui a généré cette guerre civile ?). Idem pour tout ce qui concerne la régence en France et en Angleterre (je crois que je n'ai pas encore bien compris qui est qui et qui fait quoi) et les différentes structures administratives et juridiques censées administrer le royaume, mener les enquêtes policières et rendre la justice. Surtout lorsqu'on rajoute là-dessus les structures ecclésiastiques qui avaient, elles aussi, leur propre champ d'intervention. Il y a là une grande confusion de noms, de lieux, d'instances, de pouvoirs (visibles et invisibles) qui génère la tentation de laisser tomber sa lecture. Aussi faut-il bien s'accrocher pour avoir envie d'aller au bout. Ce que j'ai fait (l'enquête menée et la résolution de l'énigme valent le coup, elles), mais après avoir fini ce tome 7, je m'interroge sur la pertinence de compléter plus avant ma collection de titres de cet auteur. Je suis en train de me constituer une collection des oeuvres de Jean d'Aillon, dont les fameuses Chroniques d'Edward Holmes et Gower Watson (non pas ceux du XIXe siècle, mais des homonymes du XVe siècle dont je ne sais s'il s'agit de leurs ascendants ou juste d'un clin d'oeil de l'auteur aux personnages emblématiques de Conan Doyle). J'avais pour ambition d'attendre d'avoir tous les tomes pour commencer par le tome 1, mais j'ai craqué avant. Donc, je commence ma découverte de cette saga et de cet auteur apparemment prolifique par le tome 7 La maison de l'abbaye et je dois dire que j'ai été un peu larguée, tant les références aux précédents opus sont nombreuses (on a donc du mal à comprendre les litiges qui ont pu opposer ou les amitiés qui ont pu se créer entre le couple d'enquêteur Holmes/Watson et les autres figures emblématiques de l'époque). Néanmoins, l'enquête (enfin les enquêtes car il y a plusieurs meurtres qu'il faut élucider dans le même laps de temps et dont on ne sait pas trop s'ils ont un lien entre eux) est menée tambour battant par Holmes et Watson et se suit sans déplaisir. Les intrigues s'imbriquent les unes aux autres,...
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  • LPV 11/02/2022
    C'est probablement le meilleur de la série. Parce que c'est le plus court ? Oui, peut-être. Parce qu'il ne s'étale pas trop inutilement sur des considération historiques sympas, certes, mais beaucoup trop lourdes pour tenir le lecteur en haleine. Et puis, il y a le mystère de la petite Jeanne, le cartier dont on ne sait pas trop s'il faut l'aimer ou pas, des cadavres en morceaux, et des dames anglaises en bien piteux état. Ce sera peut-être de mauvais goût, mais en fin de compte, tout ce sang, c'est marrant !
  • ReadLookHear 29/06/2021
    Bon par contre je n’ai pas été emballé par cette lecture. Je suis pourtant assez friand de polars historiques, il y en a d’ailleurs plusieurs aux éditions 10/18 qui sont vraiment pas mal, je pense comme ça à La confidente des morts de Ariana Franklin. Mais dans celui-ci, il y a eu pour moi trop de lourdeurs. On comprend tout de suite que Jean d’Aillon maîtrise son sujet et qu’il est super calé sur l’histoire de France. Mais je trouve qu’à trop vouloir en mettre et bien on perd le lecteur, faut rappeler que quand on ouvre ce livre, c’est pour lire un roman, historique, ok, mais ce n’est pas pour avoir un cours d’histoire non plus. Donc, la plume m’a quelque peu dérangée c’est un fait, mais au final, ce roman ne m’a pas tant déplu que ça. Une fois, une bonne moitié passée, je me suis régalé. Faut avouer que l’idée de nous transposer le duo Holmes / Watson au Moyen-Âge c’est juste top, surtout que Jean d’Aillon joue beaucoup sur les traits de caractères des deux bonhommes. En ce qui concerne les autres personnages, certain sont intéressants mais ici aussi l’auteur m’a un peu perdu car il les nomme de différentes manières, du coup quelques fois je ne savais plus trop à qui j’avais affaire. L’intrigue quant à elle est assez morbide et plutôt sympathique, ce n’est pas super original et même si j’ai découvert le coupable avant la révélation finale j’ai trouvé que c’était un peu tiré par les cheveux. Ce que je retiendrais de ce roman sera donc le duo de détectives mais également les éclairages sur cette période de l’histoire de France que je connais peu.Bon par contre je n’ai pas été emballé par cette lecture. Je suis pourtant assez friand de polars historiques, il y en a d’ailleurs plusieurs aux éditions 10/18 qui sont vraiment pas mal, je pense comme ça à La confidente des morts de Ariana Franklin. Mais dans celui-ci, il y a eu pour moi trop de lourdeurs. On comprend tout de suite que Jean d’Aillon maîtrise son sujet et qu’il est super calé sur l’histoire de France. Mais je trouve qu’à trop vouloir en mettre et bien on perd le lecteur, faut rappeler que quand on ouvre ce livre, c’est pour lire un roman, historique, ok, mais ce n’est pas pour avoir un cours d’histoire non plus. Donc, la plume m’a quelque peu dérangée c’est un fait, mais au final, ce roman ne m’a pas tant déplu que ça. Une fois, une bonne moitié passée, je me suis régalé. Faut avouer que l’idée de nous transposer le duo Holmes / Watson au Moyen-Âge c’est juste top, surtout que Jean d’Aillon joue beaucoup sur les traits de caractères des deux bonhommes. En ce qui concerne les autres personnages, certain sont intéressants mais ici aussi l’auteur m’a un peu perdu car il les...
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  • collectifpolar 12/02/2021
    Paris, 1424. Le duc de Bourgogne organise de grandes fêtes à l'occasion du mariage de messire de la Trémoille, tandis que la victoire de Verneuil sur l'armée de Charles VII est célébrée à l'hôtel de Bourbon. Alors que les festivités battent leur plein, un criminel rôde et deux jeunes filles disparaissent. Edward Holmes enquête sur une maison appartenant à l'abbaye de Saint-Magloire. Une nouvelle fois, la septième je crois, on retrouve avec plaisir le clerc Holmes, ancêtre du fameux détective du 221B Baker Street. Edward a déjà la logique chevillée au corps, une caractéristique génétique familiale semble-t-il. Il a aussi en commun avec son descendant la mamie de se grimer. Et si tous les codes et les canons holmésiens ne sont pas toujours respecter, la lecture de ces histoire policière historique sont très intéressantes et se dévore avec intérêt. Bon peut-être que les puristes lèveront les yeux au ciel mais franchement pourquoi bouder son plaisir. Et puis je trouve marrant moi qu'un français est osé reprendre à son compte aïeul du grand Sherlock. De plus, Jean d’Aillon nous offre une belle plongée dans la France du XVe siécle quand la France est, elle vie la fin de cette affreuse guerre qu’à été guerre de 100 ans. Il nous fait comme à son habitude voyager dans cette époque extraordinaire et comme toujours tout ici est parfaitement documenté. En plus l’écriture est fluide et cette aventure de notre clerc anglais se lit facilement. Quoi de mieux que se divertir en apprenons des choses et en étant happée dans cette époque si tourmentée. Bravo monsieur d’Aillon Paris, 1424. Le duc de Bourgogne organise de grandes fêtes à l'occasion du mariage de messire de la Trémoille, tandis que la victoire de Verneuil sur l'armée de Charles VII est célébrée à l'hôtel de Bourbon. Alors que les festivités battent leur plein, un criminel rôde et deux jeunes filles disparaissent. Edward Holmes enquête sur une maison appartenant à l'abbaye de Saint-Magloire. Une nouvelle fois, la septième je crois, on retrouve avec plaisir le clerc Holmes, ancêtre du fameux détective du 221B Baker Street. Edward a déjà la logique chevillée au corps, une caractéristique génétique familiale semble-t-il. Il a aussi en commun avec son descendant la mamie de se grimer. Et si tous les codes et les canons holmésiens ne sont pas toujours respecter, la lecture de ces histoire policière historique sont très intéressantes et se dévore avec intérêt. Bon peut-être que les puristes lèveront les yeux au ciel mais franchement pourquoi bouder son plaisir. Et puis je trouve marrant moi qu'un français est osé reprendre à son compte aïeul du grand Sherlock. De plus, Jean d’Aillon nous offre une belle plongée dans la France du XVe siécle quand la France est, elle vie la fin de cette affreuse guerre qu’à été...
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