La poussière des corons

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• briochine74 14/01/2024

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  Bel ouvrage qui nous plonge dans le quotidien des mineurs. Quelle leçon d'humanité et d'entraide dans ce monde hostile qu'était la mine. On y découvre des gens authentiques qui malgré tout ce que ce milieu leur otait ils aimaient vivre dans le coron. Car autant la mine prend des vies autant la vie n'en devient que plus vive et joyeuse au sein de la communauté des mineurs. Belle découverte.
• minouche191 02/01/2024

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  Très belle histoire de famille. Un livre qui raconte l'histoire de la mine du 20ème siècle et les différents événements que la France a vécu au même moment. Ce livre est l'histoire de plusieurs familles de miniers. Très bien écrit et on a envie de savoir la suite.
• laetitiaRuffin 09/04/2022

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  Habitant Courrières, j’étais curieuse de lire un livre se passant dans le coin, sur fond historique. Une histoire qui passe par les 2 guerres, qui explique la dureté du métier de mineur et qui met en lumière le bassin minier et ses habitants au travers du regard de Madeleine.
• peneloppe277 09/11/2019

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  Histoire très poignante décrivant la vie de nos ancêtres.. du positivisme dans le négatif comme bons miniers sans plaintes.. une histoire qui nous remet en place face à la chance que l'on peu avoir aujourd'hui. On suit l'évolution d'une famille de mineurs au sein du coron sur une période de 60 ans environ. Les grèves, les catastrophes minières, la vie au quotidien et ses difficultés, la guerre de 14, la mort, la faim, la grippe espagnole etc...La peur des mères quant à 14 ans les petits garçons descendent dans les mines quand la sirène sonne quand on craint l'accident et qu'au fond il y a les pères les enfants les frères un accident et toute une famille peut disparaître.
• clauclau28 27/05/2019

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  L'action se déroule dans le Pas de Calais, le pays des mineurs de 1900 à 1962. Le lecteur suit la narratrice qui n'est autre que Madeleine dans la vie quotidienne des mineurs. Fille d'un mineur et d'une couturière. Ce sont des gens ordinaires et très pauvres. Madeleine nous fait connaître Tiénou, un cheval des fonds de mines. Tous les membres de la famille doivent travailler quelque soit leur âges. Ils habitent dans les corons, maisonnettes noires toutes semblables et proches des mines. Le soir, les femmes attendent avec impatience que revienne leurs maris. Quelques fois le père se trouve "chez Tiot Louis", le bar du coin, mais d'autres fois, il se peut qu'il y ait un coup de grisou. Alors, on déplore des morts. Puis, c'est la grève. Les enfants jouent dans les terrils, à faire des glissades. Madeleine a une vraie amie, Marie. Mais, en plus, elle rencontre Juliette, la fille du Directeur des mines. Un soir, , Madeleine découvre son père, toute sa peau des jambes écorchée, déchirée et couverte de sang. La mine, c'est aussi la maladie des mineurs, la silicose dont beaucoup de mineurs souffrent et meurent finalement. Puis, hormis la mobilisation des hommes, il y a aussi la grippe espagnole qui a fait des ravages. Madeleine rencontre Hernri, frère de Juliette Elle tombe amoureuse d'Henri. Pourtant, Charles, son ami d'enfance lui demande de l'épouser, mais elle ne l'aime pas de cette façon. Elle l'aime comme ami, c'est tout. La mort et la souffrance sont présents tout au long de sa vie. Pourtant, par moments, elle se croit enfin heureuse. Mais, toujours elle sera rappelée à l'ordre par la mine et celle-ci lui apporte son lot de malheurs. Ce roman du terroir du Nord de la France m'a plu à bien des égards. L'histoire dans l'Histoire est riche en rebondissements. Les personnages sont vraiment touchants, surtout Madeleine et Jean, son fils. Le monde des mineurs est décrit de façon juste et émouvante. L'écriture de Marie-Paul Armand est à la fois simple, mais très expressive et bouleversante. .J'en ai pleuré, ce qui m'arrive très peu souvent à la lecture d'un roman. Ma prochaine lecture sera un autre roman de cette auteure : "la cense aux alouettes."L'action se déroule dans le Pas de Calais, le pays des mineurs de 1900 à 1962. Le lecteur suit la narratrice qui n'est autre que Madeleine dans la vie quotidienne des mineurs. Fille d'un mineur et d'une couturière. Ce sont des gens ordinaires et très pauvres. Madeleine nous fait connaître Tiénou, un cheval des fonds de mines. Tous les membres de la famille doivent travailler quelque soit leur âges. Ils habitent dans les corons, maisonnettes noires toutes semblables et proches des mines. Le soir, les femmes attendent avec impatience que revienne leurs maris. Quelques fois le père se trouve "chez Tiot Louis", le bar du coin, mais d'autres fois, il se peut qu'il y ait un coup de grisou. Alors, on déplore des morts. Puis, c'est la grève. Les enfants jouent dans les terrils, à faire des glissades. Madeleine a une vraie amie, Marie. Mais, en plus, elle rencontre Juliette, la fille du Directeur des mines. Un soir, , Madeleine découvre son père, toute sa peau des jambes écorchée, déchirée et couverte de sang. La mine, c'est aussi la maladie des mineurs, la silicose dont beaucoup de mineurs souffrent et meurent finalement. Puis, hormis la mobilisation des hommes, il...

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