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La Promesse de l'oasis
Date de parution : 13/01/2022
Éditeurs :
Pocket

La Promesse de l'oasis

Date de parution : 13/01/2022

Algérie, 1954. Lors de ses études à Alger, Daniel rencontre Asma. Un coup de foudre
absolu, malmené par la guerre.
Paris, 2018. Le grand-père de Nour est victime d’un infarctus. Alors qu’elle...

Algérie, 1954. Lors de ses études à Alger, Daniel rencontre Asma. Un coup de foudre
absolu, malmené par la guerre.
Paris, 2018. Le grand-père de Nour est victime d’un infarctus. Alors qu’elle range ses
affaires, elle découvre une enveloppe décachetée. À l’intérieur, une lettre couverte de
calligraphie, dont elle ne déchiffre que quatre lettres...

Algérie, 1954. Lors de ses études à Alger, Daniel rencontre Asma. Un coup de foudre
absolu, malmené par la guerre.
Paris, 2018. Le grand-père de Nour est victime d’un infarctus. Alors qu’elle range ses
affaires, elle découvre une enveloppe décachetée. À l’intérieur, une lettre couverte de
calligraphie, dont elle ne déchiffre que quatre lettres : A.S.M.A., le prénom de sa grand-mère.
Ce courrier est-il à l’origine du malaise de son grand-père ?
Nour se plonge alors dans ce passé dont elle ignore tout, gorgé de soleil, de sirocco et de secrets enfouis.
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EAN : 9782266320085
Code sériel : 18378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266320085
Code sériel : 18378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« On se laisse porter par le souffle chaud et puissant qui traverse ce récit ! »
Nice-Matin

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Cyrlight 19/08/2023
    Les drames s’enchaînent dans la vie de Nour. Après avoir perdu ses parents très jeune dans un accident de voiture, puis sa grand-mère mutique à la suite d’un suicide, c’est au tour de son grand-père d’être victime d’un infarctus. La découverte d’une étrange calligraphie dans son bureau incite Nour à élucider le mystère qui semble entourer sa famille, et ainsi toucher du doigt La promesse de l’oasis. Je n’avais pas été convaincue par La vallée des oranges, que j’avais trouvée très plate, mais j’ai tenu à accorder une seconde chance à l’auteur, essentiellement parce que je n’avais encore jamais lu de romans se passant à l’époque de la guerre d’Algérie. J’ai mieux apprécié ce livre, mais la conclusion est malgré tout sans appel : le style de Béatrice Courtot n’est pas (du tout) le mien. Amoureux d’envolées lyriques, vous y trouverez votre bonheur, mais pour ma part, c’est quelque chose que j’exècre (qu’importe l’auteur). Ce qui me gêne le plus ici, c’est le contraste entre les descriptions qui ont, indéniablement, le mérite de nous transporter à Alger la Blanche ou aux portes du Sahara, et les dialogues qui, pour leur part, sonnent faux. On sent que beaucoup de répliques sont là pour transmettre des informations aux lecteurs, et que les personnages ne tiendraient pas réellement de tels propos entre eux. Le contexte historique occupe une place plus importante que dans La vallée des oranges, mais toujours pas assez à mon goût. Après avoir lu Nous reviendrons à La Havane (Chanel Cleeton), excellent sur ce point, c’est un peu décevant. La partie « passée » n’en demeure pas moins bien plus intéressante que la partie « présent », comme c’est le cas dans… Eh bien, tous les livres des éditions Charleston. Nour est encore une fois l’archétype de l’héroïne qui a besoin de remonter l’historique de sa famille pour savoir où elle en est dans sa propre vie, mais surtout, surtout… Je suis censée éprouver de la sympathie pour une femme qui quitte son compagnon sans un mot, sans une explication, et se rapproche beaucoup trop d’un séduisant médecin en un battement de cils, pour ensuite en vouloir mortellement (toujours sans un mot et sans une explication, mais sans vergogne non plus) audit malheureux compagnon de la « tromper » parce qu’elle l’a surpris dans la situation ô combien non équivoque de… marcher dans la rue à côté d’une autre femme ? Désolée, mais non. Quant à la révélation majeure de l’intrigue… Je ne vais pas mentir, je me l’étais spoilée en lisant quelques avis, aussi appréhendais-je un peu de voir comment l’auteur allait amener ce rebondissement, et… Mouais. C’est quand même assez tiré par les cheveux. Spoilers dans ce paragraphe ! On essaye bien de justifier pourquoi Asma n’a jamais parlé en détail de sa sœur, mais personne, absolument personne, n’en savait un minimum à son sujet (c’est-à dire leur gémellité) ? Genre… Son protecteur ? Qui a vécu un temps dans son village ? Au sein de sa famille ? Et pendant toutes les années qui ont suivi la guerre, il ne s’est pas soucié de sa protégée pour se rendre compte de la confusion ? Daniel n’aurait-il pas pu prendre contact avec lui, quand on voit avec quelle facilité Nour parvient à se rapprocher de sa fondation ? Fin des spoilers ! Face à cette conclusion, j’ai été submergée par un sentiment de « tout ça pour ça », d’autant que ma lecture m’a paru passablement longue en raison des nombreuses et interminables envolées lyriques susmentionnées. Si vous aimez les romans très contemplatifs, qui reposent davantage sur une plume poétique que sur un scénario prenant, et les histoires d’amour aux décors exotiques, je vous invite à vous laisser tenter par ce récit. Moi, en revanche, j’en resterai là des œuvres de Béatrice Courtot.Les drames s’enchaînent dans la vie de Nour. Après avoir perdu ses parents très jeune dans un accident de voiture, puis sa grand-mère mutique à la suite d’un suicide, c’est au tour de son grand-père d’être victime d’un infarctus. La découverte d’une étrange calligraphie dans son bureau incite Nour à élucider le mystère qui semble entourer sa famille, et ainsi toucher du doigt La promesse de l’oasis. Je n’avais pas été convaincue par La vallée des oranges, que j’avais trouvée très plate, mais j’ai tenu à accorder une seconde chance à l’auteur, essentiellement parce que je n’avais encore jamais lu de romans se passant à l’époque de la guerre d’Algérie. J’ai mieux apprécié ce livre, mais la conclusion est malgré tout sans appel : le style de Béatrice Courtot n’est pas (du tout) le mien. Amoureux d’envolées lyriques, vous y trouverez votre bonheur, mais pour ma part, c’est quelque chose que j’exècre (qu’importe l’auteur). Ce qui me gêne le plus ici, c’est le contraste entre les descriptions qui ont, indéniablement, le mérite de nous transporter à Alger la Blanche ou aux portes du Sahara, et les dialogues qui, pour leur part, sonnent faux. On sent que beaucoup de répliques sont là pour transmettre...
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  • Millina 05/11/2022
    Une histoire en deux temps ! Nour est une prof de danse classique à notre époque. Elle a perdu ses parents très jeune et depuis elle vit avec son grand-père. Ils ont une relation fusionnelle. Tout bascule quand celui ci se fait hospitalisé après une attaque. En parallèle, on suit Daniel dans l’Algérie des années 50 un peu avant la guerre d’indépendance. Ces parents sont des pieds noirs arrivé en Corse. La vie lui sourit, il va pouvoir aller à Alger pour ses études. Il est sur un petit nuage. La suite de ma chronique :
  • MarineCa 05/10/2022
    Suite à l'infarctus de son grand-père adoré Nour décide de s'installer chez lui durant son hospitalisation. Cependant une découverte mystérieuse lui fait dire qu'il lui manque certains éléments de son passé familial. Sur les traces de son histoire, Nour voyage entre Paris et Alger, passé et présent et découvre ainsi l'Algérie qui a vu grandir son aïeul. Ce livre est une belle découverte! Je dois dire que je ne connais pas grand-chose à l'histoire de l'indépendance de l'Algérie si ce n'est ce que m'en ont raconté mes grands-parents, eux-mêmes pieds noirs. Grâce à ce roman j'ai pu mieux cerner les circonstances de cet événement qu'ils ont vécu étant jeunes, et me suis sentie d'autant plus proche d'eux. J'ai pu partager une partie de leur tristesse et de leur mélancolie et certains passages résonnaient en moi comme si c'était eux qui me les avaient conté. Même si ce livre est romancé, je le mettrais entre leurs mains, de façon à pouvoir en discuter avec eux. Savoir s'il leur rappelle des souvenirs, et si leur histoire était similaire à celle du grand-père de Nour. J'espère qu'il leur plaira d la même façon qu'il m'a plu.
  • Senteurdelivres 15/05/2022
    Cette semaine j'ai terminé La promesse de l'Oasis. Un roman rempli de mystère et de découverte sur l'Algérie, son histoire, ses paysages et cette saga familiale qui va s'y mélanger. Nous allons suivre Nour à notre époque, qui découvre dans l'appartement de son grand-père des calligraphies reçues dernièrement qui lui auraient causé un AVC . D'où viennent-elles ? Qui les a écrite ? Pourquoi "Papé" a t'il réagit aussi violemment ? C'est ce que Nour va essayer de comprendre tout en essayant de contrôler sa vie personnelle et amoureuse. Dans ce roman, nous partons à la recherche de secrets de famille, de mystères, de non-dits avec beaucoup de douceurs et d'humanité. On découvre l'Algérie avant et pendant la guerre avec une alternance passé/présent. J'ai plutôt bien aimé ma lecture mais un peu trop de passages politico-historique m'ont fait décrocher à certains moments de l'histoire et de l'enquête initiale, un peu dommage.. Par contre le final est assez inattendue et original, plutôt contente d'avoir été surprise par ce dénouement.
  • jardinlitteraire 01/12/2020
    J’ai découvert l’auteure l’année où elle a gagné le Prix du Livre Romantique organisé par les éditions Charleston et Pocket. J’étais donc curieuse de découvrir son nouveau roman qui allait me plonger dans un monde qui m’est complètement étranger : la guerre d’Algérie. Comme je m’y attendais le contexte de ce roman est passionnant. J’ai aimé découvrir cette période troublée dont j’ignorais tout. Béatrice Courtot a d’ailleurs su trouvé les mots pour que l’immersion soit totale. Le conflit nous est ainsi retranscrit de façon claire et limpide et je suis ressortie de cette lecture en ayant appris quelque chose. Des premières tensions jusqu’aux attentats, nous voyons l’Algerie basculer dans la violence et se cliver entre pieds noirs et algériens. Sans prendre parti et grâce à un couple mixte incarné par Daniel et Asma, nous découvrons ce pan terrible de l’Histoire. Mais bien plus qu’un roman historique c’est aussi une magnifique histoire d’amour. Un amour interdit, mais un amour profond et sincère à n’en pas douter. Alors pourquoi Asma s’est elle enfermée dans le mutisme et s’est suicidée bien des années plus tard ? C’est ce que tentera de découvrir Nour, la petite fille du couple. Sur les traces de ses racines elle pourrait découvrir un terrible secret de famille. Le récit alterne ainsi entre passé et présent pour notre plus grand bonheur. C’est fluide et addictif mais parfois un petit peu maladroit dans le style. L’auteure se perd parfois dans des détails inutiles ou des termes techniques ce qui peut rendre quelques parties un petit peu confuse. Il n’y a par exemple pas de narrateur fixe. L’histoire nous est racontée de plusieurs points de vue, c’est parfois dur de s’y retrouver. Malgré tout ce roman est passionnant, dramatique et intriguant même si la révélation du secret m’a paru tout de même un peu grosse. En tout cas, en commençant ce roman et pendant une bonne partie de ma lecture, je ne savais pas du tout où l’auteure m’emmènerait. Un roman historique passionnant et dépaysant.J’ai découvert l’auteure l’année où elle a gagné le Prix du Livre Romantique organisé par les éditions Charleston et Pocket. J’étais donc curieuse de découvrir son nouveau roman qui allait me plonger dans un monde qui m’est complètement étranger : la guerre d’Algérie. Comme je m’y attendais le contexte de ce roman est passionnant. J’ai aimé découvrir cette période troublée dont j’ignorais tout. Béatrice Courtot a d’ailleurs su trouvé les mots pour que l’immersion soit totale. Le conflit nous est ainsi retranscrit de façon claire et limpide et je suis ressortie de cette lecture en ayant appris quelque chose. Des premières tensions jusqu’aux attentats, nous voyons l’Algerie basculer dans la violence et se cliver entre pieds noirs et algériens. Sans prendre parti et grâce à un couple mixte incarné par Daniel et Asma, nous découvrons ce pan terrible de l’Histoire. Mais bien plus qu’un roman historique c’est aussi une magnifique histoire d’amour. Un amour interdit, mais un amour profond et sincère à n’en pas douter. Alors pourquoi Asma s’est elle enfermée dans le mutisme et s’est suicidée bien des années plus tard ? C’est ce que tentera de découvrir Nour, la petite fille du couple. Sur les traces de ses racines elle...
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