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La punition qu'elle mérite
Isabelle Chapman (traduit par)
Date de parution : 19/03/2020
Éditeurs :
Pocket

La punition qu'elle mérite

Isabelle Chapman (traduit par)
Date de parution : 19/03/2020
Charmante bourgade que Ludlow, dans le comté du Shropshire. Ses ruelles pavées, ses pubs cosy, son diacre pédophile… Pour ce dernier, entendu en garde à vue, plus rien à craindre :... Charmante bourgade que Ludlow, dans le comté du Shropshire. Ses ruelles pavées, ses pubs cosy, son diacre pédophile… Pour ce dernier, entendu en garde à vue, plus rien à craindre : il s’est pendu dans sa cellule, avec son étole. La punition qu’il méritait. Aux yeux de la commissaire Ardery, c’est... Charmante bourgade que Ludlow, dans le comté du Shropshire. Ses ruelles pavées, ses pubs cosy, son diacre pédophile… Pour ce dernier, entendu en garde à vue, plus rien à craindre : il s’est pendu dans sa cellule, avec son étole. La punition qu’il méritait. Aux yeux de la commissaire Ardery, c’est un suicide, affaire classée. À moins que la vodka n’aveugle son jugement – et c’est bien l’avis du sergent Barbara Havers, qui voit Ludlow pour ce qu’elle est : une ville secrètement rongée par un vice rampant, la débauche, le mensonge – tout un vernis qu’il lui faudra gratter, jusqu’au sang…
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EAN : 9782266299879
Code sériel : 17742
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266299879
Code sériel : 17742
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un polar digne de ce nom dans la plus grande des traditions. Un régal ! » Version Femina
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • anijgina 13/03/2024
    Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un Elizabeth George. Même si je trouve toujours son style trop chargé en descriptions, et surtout en descriptions géographiques qui, selon moi, alourdissent sa narration, j'ai par contre été ravie de retrouver l'inspecteur Thomas Lynley et sa comparse Barbara Havers. Elizabeth George est vraiment passée maître en matière d'intrigues. Elle développe chaque personnage, et chaque "sous-histoire" avec brio, jusqu'à ce que tout converge. Le dénouement est toujours très bien amené, et les personnages sont particulièrement attachants.
  • Luria 12/03/2024
    Un coup de mou ? Une mélancolie tenace ? Une misanthropie qui déborde ? Prenez un Elizabeth George Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas le réflexe... De revenir à la dame Certes parfois (rarement) je suis déçue Mais là... Je me suis coulée sourire aux lèvres sur la banquette arrière de la voiture de Barbara. Tantôt quelconque, tantôt Healey Eliott, car oui mes amis c'est ENFIN fait. Je lis une enquête de Barbara et Lynley, enquêtant ENSEMBLE, et même que je ne trouve pas l'inspecteur détestable bien au contraire (même si rien ni personne ne détrônera Barbara, Barbara, Barbara). Comme d'habitude on se coule doucement dans ce nouvel endroit. On sait quel bâtiment on trouve en tournant à droite et la couleur du pull d'Harry le lundi matin. On salue chaleureusement Peace-On-Earth, oui merci un earl grey c'est parfait. Et on observe patiemment Elizabeth détricoter tout ça. Alors voilà ça ne soigne pas les maux mais on se sent content de pouvoir revenir au bouquin dès qu'on a un peu de temps pour. J'ai donc ajouté à mes pense bête tous ceux que je n'ai pas lus. Histoire de me réjouir. Comme Isabelle. J'ai besoin de ma petite rasade de vodka pour tenter d'affronter mon monde. (Et aussi de retrouver Barbara, Barbara, Barbara). Un coup de mou ? Une mélancolie tenace ? Une misanthropie qui déborde ? Prenez un Elizabeth George Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas le réflexe... De revenir à la dame Certes parfois (rarement) je suis déçue Mais là... Je me suis coulée sourire aux lèvres sur la banquette arrière de la voiture de Barbara. Tantôt quelconque, tantôt Healey Eliott, car oui mes amis c'est ENFIN fait. Je lis une enquête de Barbara et Lynley, enquêtant ENSEMBLE, et même que je ne trouve pas l'inspecteur détestable bien au contraire (même si rien ni personne ne détrônera Barbara, Barbara, Barbara). Comme d'habitude on se coule doucement dans ce nouvel endroit. On sait quel bâtiment on trouve en tournant à droite et la couleur du pull d'Harry le lundi matin. On salue chaleureusement Peace-On-Earth, oui merci un earl grey c'est parfait. Et on observe patiemment Elizabeth détricoter tout ça. Alors voilà ça ne soigne pas les maux mais on se sent content de pouvoir revenir au bouquin dès qu'on a un peu de temps pour. J'ai donc ajouté à mes pense bête tous ceux que je n'ai pas lus. Histoire de me réjouir. Comme Isabelle. J'ai besoin de ma petite rasade de vodka pour...
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  • Ziliz 23/12/2023
    Ce 20e volet de la série Lynley démarrait en fanfare, avec une Barbara (#9829;) en grande forme, sommée de relever un défi : rester dans le rang, cette fois, ne pas faire preuve d'initiative. Certains de ses supérieurs semblent vouloir sa tête, et je ne sais pas pourquoi, car mes lectures des précédents épisodes remontent à plus de dix ans. Et je n'ai pas lu toute la série. J'étais tellement emballée au début de cette lecture que je vantais la talentueuse Elizabeth George à tous : « Tu en as déjà lu ? Mais non, t'inquiète, c'est des pavés mais ça passe tout seul. » . Heum. Celui-ci compte 900 pages en version poche, et c'est beaucoup trop. Enlevez-m'en un tiers, s'il vous plaît, et ça sera parfait. L'auteure est trop bavarde, insiste lourdement sur certains aspects de l'histoire, tournant en rond, semblant avoir oublié quelles explications pistes elle a déjà abondamment détaillées. Et laissant malgré tout quelques questions non résolues sur l'intrigue. Le dénouement, on le voit venir de loin, et les nouvelles "pièces du puzzle", censées nous embrouiller, le confirment. Pourquoi prendre autant de chemins de traverse qui épuisent le lecteur, le lassent, le font peut-être même lâcher l'affaire ? . Comme toujours, E. George nous met mal à l'aise, nous confrontant abruptement à des sujets douloureux : les comportements à risque des ados, les dérapages qui peuvent en résulter ; et en parallèle, forcément, les réactions des parents - absents, en mode 'autruche' ou à l'inverse surprotecteurs castrateurs. Ah, les mères ! « A l'entendre, elle faisait son devoir. Comme ses parents l'avaient fait avec leurs enfants. Modeler, pétrir, façonner, ciseler... Tous les moyens sont bons pour les faire entrer dans le moule qu'on a préparé pour eux. » (p. 726). Je plaide un peu coupable, même si j'essaie de me taire laisser faire. On cogite, on anticipe, nous les mamans, et on aimerait 'juste' faire gagner du temps à 'nos petits' en leur évitant nos propres bourdes déconvenues... Il est également question d'addictions, et là encore, l'auteure a la main lourde : les passages sur l'alcoolisme d'Ardery et "son avalanche de conséquences" sont éprouvants. . Malgré les longueurs et certains ajouts maladroits (un cas de nymphomanie vite 'expliqué', par exemple), j'ai aimé le cadre, qui me donne envie de retourner dans le Yorkshire, ou de me rendre en Ecosse, en Irlande, où on parle anglais, où c'est vert, avec des petits murs et des moutons... #9829; . J'ai adoré Barbara, évidemment, et on souhaiterait que l'élan que lui impulse Lynley porte ses fruits - mais elle nous plairait moins, probablement, car on aime ses doutes sa maladresse, qui ressemblent tellement aux nôtres. C'est un vrai régal de les voir travailler en binôme, ces deux-là - mieux, en synergie ! J'ai encore trouvé Tommy so sexy, je ne pensais pas que ça m'arriverait encore, encore, de craquer sur ce grand aristo tout lisse, "blond aux yeux marron"... Quant à Nkata, j'ai été frustrée de seulement l'entr'apercevoir... . Pour toutes ces raisons, mon avis étoilé oscille entre 2 et 5. . /!\ Coquille : les pages 1 4 sont consacrées à une autre auteure des Presses de la Cité : Karine Giebel (bio succincte, biblio des titres parus chez Pocket).Ce 20e volet de la série Lynley démarrait en fanfare, avec une Barbara (#9829;) en grande forme, sommée de relever un défi : rester dans le rang, cette fois, ne pas faire preuve d'initiative. Certains de ses supérieurs semblent vouloir sa tête, et je ne sais pas pourquoi, car mes lectures des précédents épisodes remontent à plus de dix ans. Et je n'ai pas lu toute la série. J'étais tellement emballée au début de cette lecture que je vantais la talentueuse Elizabeth George à tous : « Tu en as déjà lu ? Mais non, t'inquiète, c'est des pavés mais ça passe tout seul. » . Heum. Celui-ci compte 900 pages en version poche, et c'est beaucoup trop. Enlevez-m'en un tiers, s'il vous plaît, et ça sera parfait. L'auteure est trop bavarde, insiste lourdement sur certains aspects de l'histoire, tournant en rond, semblant avoir oublié quelles explications pistes elle a déjà abondamment détaillées. Et laissant malgré tout quelques questions non résolues sur l'intrigue. Le dénouement, on le voit venir de loin, et les nouvelles "pièces du puzzle", censées nous embrouiller, le confirment. Pourquoi prendre autant de chemins de traverse qui épuisent le lecteur, le lassent, le font peut-être même lâcher l'affaire ? . Comme toujours,...
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  • Spofforth 14/09/2023
    C'est mon premier Lynley mais le vingtième de la série. Les personnages sont tellement installés qui vaut mieux commencer par le premier Lynley pour parfaitement comprendre que qui relit les deux principaux protagonistes et ceux qui gravitent autour. Il y a l'intrigue du roman et l'histoire des enquêteurs et j'ai eu un peu de mal à différencier les différents personnages ne connaissant pas l'univers de Lynley et Havers.
  • perucasevecchje 14/08/2023
    Il va forcément se passer quelque chose… Première rencontre avec Elisabeth GEORGE, auteure américaine terriblement anglophile. Rencontre qui a duré près de 700 pages ! My God ! Un pasteur, unanimement apprécié, accusé de façon anonyme de pédophilie se retrouve en garde à vue et se suicide. Affaire classée ! Sauf que le père du pasteur n'y croit pas et comme il a des relations, une nouvelle enquête doit être menée. L'enquêtrice, Barbara Havers, se présente comme un de concentré de banalités médiocres si ce n'était son intuition hors norme et sa combativité à toute épreuve qui en font un personnage sympathique et attachant, voire intéressant. Mais il faut arriver à la page 570 pour commencer à sentir que les enquêteurs tiennent un peu de concret. Auparavant, on attend beaucoup qu'il se passe quelque chose et on se promène avec l'auteure, très généreuse en détails, dans la complexe société britannique… Il faut aimer prendre (ou perdre) son temps pour déambuler dans cette Angleterre provinciale, avec ces anglais d'origine, ou issus de l'immigration, en butte à leurs névroses et leurs démons souvent addictifs : alcool, drogue, sexe, tabagisme, traditionalisme arriéré, dérives sectaires, relations familiales toxiques, culture de la dissimulation… L'ensemble habillé de la so british hypocrisie sociale et morale. Donc beaucoup de personnages à découvrir dans tous les milieux, dont certains ont un prénom+ un nom, + un diminutif + un surnom. Il faut parfois un peu s'accrocher. Mais l'ensemble se laisse lire tranquillement. Aussitôt que j'ai un peu/beaucoup de temps, Madame GEORGE et moi- même prendrons sans doute un prochain rendez-vous. Il va forcément se passer quelque chose… Première rencontre avec Elisabeth GEORGE, auteure américaine terriblement anglophile. Rencontre qui a duré près de 700 pages ! My God ! Un pasteur, unanimement apprécié, accusé de façon anonyme de pédophilie se retrouve en garde à vue et se suicide. Affaire classée ! Sauf que le père du pasteur n'y croit pas et comme il a des relations, une nouvelle enquête doit être menée. L'enquêtrice, Barbara Havers, se présente comme un de concentré de banalités médiocres si ce n'était son intuition hors norme et sa combativité à toute épreuve qui en font un personnage sympathique et attachant, voire intéressant. Mais il faut arriver à la page 570 pour commencer à sentir que les enquêteurs tiennent un peu de concret. Auparavant, on attend beaucoup qu'il se passe quelque chose et on se promène avec l'auteure, très généreuse en détails, dans la complexe société britannique… Il faut aimer prendre (ou perdre) son temps pour déambuler dans cette Angleterre provinciale, avec ces anglais d'origine, ou issus de l'immigration, en butte à leurs névroses et leurs démons souvent addictifs : alcool, drogue, sexe, tabagisme, traditionalisme arriéré, dérives sectaires, relations familiales toxiques, culture de la dissimulation… L'ensemble habillé de la so british...
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