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La ville de la peur
Collection : Polar
Date de parution : 02/02/2017
Éditeurs :
10/18

La ville de la peur

Collection : Polar
Date de parution : 02/02/2017
En ce mois de janvier de l’an de grâce 1423, la capitale du royaume de France est vouée au démon. Les Armagnacs ont pris la forteresse du  pont de Meulan,... En ce mois de janvier de l’an de grâce 1423, la capitale du royaume de France est vouée au démon. Les Armagnacs ont pris la forteresse du  pont de Meulan, la famine règne, les loups sont entrés dans la ville en utilisant la Seine prise par les glaces, le froid... En ce mois de janvier de l’an de grâce 1423, la capitale du royaume de France est vouée au démon. Les Armagnacs ont pris la forteresse du  pont de Meulan, la famine règne, les loups sont entrés dans la ville en utilisant la Seine prise par les glaces, le froid est tel que le vin gèle dans les barriques. Pire, la Mort en personne rôde dans Paris, revêtue d’une  pèlerine à chaperon : un être au visage effroyable, sans nez ni yeux. Quiconque s’en approche perd aussitôt la vie. Après plusieurs crimes inexplicables, Edward Holmes est convaincu de l’existence d’une puissance occulte régnant sur la capitale du royaume comme une araignée au centre de sa toile. Mais, accusé d’avoir assassiné une proche du duc de Bourgogne, il est emprisonné au Grand-Châtelet tandis que Gower Watson est chassé de France et que ses biens sont confisqués. Alors qu’il va être conduit au bourreau, comment pourrait-il mettre en échec ses implacables ennemis, qui utilisent des loups comme mercenaires ?
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EAN : 9782264070616
Code sériel : 5167
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264070616
Code sériel : 5167
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Newwavebac 09/03/2023
    Jean d’Aillon - La Ville de la Peur***1/2. Fin le 6 mars 2023 La trame de fond de ce polar historique est le Bal des Ardants de 1393 où lors d’un charivari pour amuser le Roi, un incendie provenant des masques des protagonistes, très inflammable, tua plusieurs dizaines de personnes, le Roi ne s’en sortant qu’in extremis. Jean d‘Aillon imagine qu’un rescapé très fortement marqué en a réchappé et souhaite récupérer les titres de propriété de sa maison chez un Notaire. Mais quand il arrive, tout le monde est mort, il est surpris et forcément, tout le monde pense que la Mort a visité la maison… Sur ces entrefaites, notre couple Holmes/Watson sont mandatés par la Reine Isabeau pour retrouver un certain nombre de papiers, chez ce même notaire (y compris d’ailleurs des papiers concernant Jeanne d’Arc, fille illégitime d’un Prince…). Mais, en mettant en évidence certaines choses, ils s’attirent les foudres d’un ennemi inconnu (qui s’avèrera être, pour la première fois, James Murtagh, dit Moriarty) qui fera accuser Holmes, qui sera enfermé, avant de parvenir à s’échapper… Le tout finira au lieu du Gibet de Montfaucon, tristement célèbre, Moriarty parviendra à s’échapper bien sûr et Holmes sera pleinement réhabilité ; évidemment… Jean d’Aillon s’amuse avec les codes du polar historique et l’ensemble est plutôt plaisant. Il s’amuse aussi avec les codes du roman, car Holmes est emprisonné sans vergogne (alors que c’est un héros quand même) et sera réhabilité avec autant d’empressement (alors que bon, les éléments qui le disculpent ne sont pas si évidents…). L’ensemble se lit plaisamment, mais le tout est un petit peu caricatural pour mériter un quatre étoiles…Jean d’Aillon - La Ville de la Peur***1/2. Fin le 6 mars 2023 La trame de fond de ce polar historique est le Bal des Ardants de 1393 où lors d’un charivari pour amuser le Roi, un incendie provenant des masques des protagonistes, très inflammable, tua plusieurs dizaines de personnes, le Roi ne s’en sortant qu’in extremis. Jean d‘Aillon imagine qu’un rescapé très fortement marqué en a réchappé et souhaite récupérer les titres de propriété de sa maison chez un Notaire. Mais quand il arrive, tout le monde est mort, il est surpris et forcément, tout le monde pense que la Mort a visité la maison… Sur ces entrefaites, notre couple Holmes/Watson sont mandatés par la Reine Isabeau pour retrouver un certain nombre de papiers, chez ce même notaire (y compris d’ailleurs des papiers concernant Jeanne d’Arc, fille illégitime d’un Prince…). Mais, en mettant en évidence certaines choses, ils s’attirent les foudres d’un ennemi inconnu (qui s’avèrera être, pour la première fois, James Murtagh, dit Moriarty) qui fera accuser Holmes, qui sera enfermé, avant de parvenir à s’échapper… Le tout finira au lieu du Gibet de Montfaucon, tristement célèbre, Moriarty parviendra à s’échapper bien sûr et Holmes sera pleinement réhabilité ; évidemment… Jean d’Aillon s’amuse...
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  • Davalian 16/09/2022
    La ville de la peur est une nouvelle incursion dans les chroniques d'Edward Holmes et de Gower Watson, cette transposition réussie d'un apocryphe (qui n'en est pas vraiment un) de Sherlock Holmes au Moyen-Age. Les adeptes du Canon auront compris qu'il s'agit d'un clin d'oeil au quatrième roman du grand détective. L'ambiance de Paris affamée, cernée par le froid, occupée par les anglo bourguignons, entourée par le parti armagnac et investie par les loups est ici au coeur d'un roman réussi. L'intrigue, aussi tortueuse qu'intéressante et des personnages secondaires toujours aussi attachants achèvent de faire de ce roman un indispensable de la culture holmésienne... sauf que de nombreuses mauvaises intentions doivent ici être notées. Elles sont d'autant plus cruelles qu'elles doivent tout à l'éditeur. Le descriptif en dit beaucoup trop long sur la quatrième de couverture : mieux vaut donc ne pas le lire au risque de se voir révéler l'essentiel et privé de toute la qualité de l'oeuvre. La liste officielle des ouvrages de la série (bien cachée) fait de La ville de la peur le troisième volume alors que de nombreuses révélations intempestives révèlent la substantifique moelle du recueil les exploits d'Edward Holmes. Le roman met du temps pour révéler tout son potentiel et l'arrivée de nos deux compères se fera longuement attendre. Le démarrage pourra même dérouter tant celui semble aller dans tous les sens. Tout cela trouvera son explication mais hélas l'effet tombe à plat, et la faute en revient à la quatrième de couverture. Une approche trop utilisatrice des personnages pourra également être notée (des personnages suivis finissent par être oubliées avant de réapparaître comme par enchantement, d'autres ne sont présentés que pour mieux disparaître). En somme, ce roman même s'il est l'un des meilleurs de la série pourra finir par décevoir.... cela est d'autant plus regrettable que ce sentiment aurait peu être facilement évité. La ville de la peur est une nouvelle incursion dans les chroniques d'Edward Holmes et de Gower Watson, cette transposition réussie d'un apocryphe (qui n'en est pas vraiment un) de Sherlock Holmes au Moyen-Age. Les adeptes du Canon auront compris qu'il s'agit d'un clin d'oeil au quatrième roman du grand détective. L'ambiance de Paris affamée, cernée par le froid, occupée par les anglo bourguignons, entourée par le parti armagnac et investie par les loups est ici au coeur d'un roman réussi. L'intrigue, aussi tortueuse qu'intéressante et des personnages secondaires toujours aussi attachants achèvent de faire de ce roman un indispensable de la culture holmésienne... sauf que de nombreuses mauvaises intentions doivent ici être notées. Elles sont d'autant plus cruelles qu'elles doivent tout à l'éditeur. Le descriptif en dit beaucoup trop long sur la quatrième de couverture : mieux vaut donc ne pas le lire au risque de se voir révéler l'essentiel et privé de toute la qualité de l'oeuvre. La liste officielle des ouvrages de la série (bien cachée) fait de La ville de la peur le troisième volume alors que de nombreuses révélations intempestives révèlent la substantifique moelle du recueil les exploits d'Edward Holmes. Le roman met du temps pour révéler tout...
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  • Magali_Belgique 05/08/2021
    Quelle audace de mêler Sherlock aux intrigues de la Cour d'Isabeau sur fond de guerre Bourguignons/Armagnacs. Et c'est réussi ! l'intrigue est bien ficelée, le ton est piquant, les personnages évidemment haut en couleur (tels que les réels l'étaient du reste), et surtout, les descriptions historiques et géographiques scrupuleusement bien respectées. Bref, une réussite totale sur un thème et une époque qui me tient particulièrement à coeur, j'y ai donc pris une double dose de plaisir. Je n'ai plus compléter cette série dont je ne doute pas me délecter encore.
  • LPV 06/07/2021
    Pour l'instant, c'est pas mon préféré de la série. Pas facile de rentrer dedans. Je ne sais même pas pourquoi je continue parce que c'est jamais vraiment l'éclat'. Peut-être parce qu'à un moment, on finit par s'amuser au moins un peu. Update à suivre. Erratum : en fait, je me suis bien amusée. Reste que j'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans, mais passés les portraits un peu toujours décevants et caricaturaux de Holmes et Watson, l'époque est séduisante. Pas charmante, non plus. Mais séduisante, quoique trop peu présentée dans son cadre international. Paris sous la neige, sous le gel, sans le sou et sans rien dans la marmite, ça ne donne pas envie d'y être. Mais dans les pas de Holmes et Watson, on sort pourtant de la maison, encore passablement bien chauffée. Et il y a des loups. Heureusement pas trop. Le sujet avait déjà eu son heure de gloire plus tôt dans l'année, avec Le loup des Cordeliers. L'enquête est intéressante, sans plus. Le vilain se devine un peu tôt. Tant pis. On se dit bien qu'il va y avoir un twist à la fin. Il n'y en a pas. Résultat, on passe un bon moment, mais en toute honnêteté. Ce n'est pas le livre de l'année. Il paraît que les deux prochains sont bons. En tout cas "différents". Je veux bien le croire. Pour l'instant, c'est pas mon préféré de la série. Pas facile de rentrer dedans. Je ne sais même pas pourquoi je continue parce que c'est jamais vraiment l'éclat'. Peut-être parce qu'à un moment, on finit par s'amuser au moins un peu. Update à suivre. Erratum : en fait, je me suis bien amusée. Reste que j'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans, mais passés les portraits un peu toujours décevants et caricaturaux de Holmes et Watson, l'époque est séduisante. Pas charmante, non plus. Mais séduisante, quoique trop peu présentée dans son cadre international. Paris sous la neige, sous le gel, sans le sou et sans rien dans la marmite, ça ne donne pas envie d'y être. Mais dans les pas de Holmes et Watson, on sort pourtant de la maison, encore passablement bien chauffée. Et il y a des loups. Heureusement pas trop. Le sujet avait déjà eu son heure de gloire plus tôt dans l'année, avec Le loup des Cordeliers. L'enquête est intéressante, sans plus. Le vilain se devine un peu tôt. Tant pis. On se dit bien qu'il va y avoir un twist à la fin. Il n'y en a pas. Résultat, on passe un bon moment, mais en...
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  • collectifpolar 08/04/2021
    3ème aventure des "Chroniques d'Edward Holmes et Gower Watson" qui nous entraîne cette fois en 1423 à l'époque d'Isabeau de Bavière... Le parallèle avec l'oeuvre et les personnages emblématiques de Conan Doyle n'échappera à personne, mais on est loin d'une énième réécriture des aventures de Sherlock Holmes. Il s'agit plutôt d'un retour aux sources. Jean d'Aillon est en effet tombé par hasard sur une lettre de Conan Doyle datant de 1884 faisant référence à un livre intitulé "Les chroniques d'Edward Holmes sous la régence du duc de Bedford" puis sur des manuscrits. Il revient donc pour cette série, aux sources mêmes du personnage qui ont inspiré Conan Doyle. C'est bien écrit, bien documenté et cela ravira ses nombreux fans !
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