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L'année sans été
Tambora, 1816. Le volcan qui a changé le cours de l'histoire
Philippe Pignarre (traduit par)
Date de parution : 14/03/2019
Éditeurs :
La Découverte

L'année sans été

Tambora, 1816. Le volcan qui a changé le cours de l'histoire

Philippe Pignarre (traduit par)
Date de parution : 14/03/2019
Un an après Waterloo, le monde est frappé par une catastrophe restée dans les mémoires comme l’« année sans été ». Que s’est-il passé ?
En avril 1815, près de Java,...
Un an après Waterloo, le monde est frappé par une catastrophe restée dans les mémoires comme l’« année sans été ». Que s’est-il passé ?
En avril 1815, près de Java, l’éruption cataclysmique du volcan Tambora projette dans la stratosphère un voile de poussière qui va filtrer le rayonnement solaire. Ignoré...
Un an après Waterloo, le monde est frappé par une catastrophe restée dans les mémoires comme l’« année sans été ». Que s’est-il passé ?
En avril 1815, près de Java, l’éruption cataclysmique du volcan Tambora projette dans la stratosphère un voile de poussière qui va filtrer le rayonnement solaire. Ignoré des livres d’histoire, ce bouleversement climatique fait des millions de morts. On lui doit aussi de profondes mutations culturelles, dont témoignent les ciels peints par Turner ou le Frankenstein de Mary Shelley.
L’auteur nous invite à un véritable tour du monde. Au Yunnan, les paysans meurent de faim. Dans le golfe du Bengale, l’absence de mousson entraîne une mutation redoutable du germe du choléra, dont l’épidémie gagne Moscou, Paris et la Nouvelle-Angleterre. L’Irlande connaît une effroyable famine, suivie d’une épidémie de typhus. En Suisse, des glaciers fondent brutalement, détruisant des vallées entières. Aux États-Unis, des récoltes misérables provoquent la première grande crise économique, etc.
Ce livre, qui fait le tour d’un événement à l’échelle planétaire, sonne aussi comme un avertissement : ce changement climatique meurtrier n’a pourtant été que de 2° C…
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EAN : 9782348042720
Code sériel : 499
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 336
Format : 125 x 190 mm
EAN : 9782348042720
Code sériel : 499
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 336
Format : 125 x 190 mm

Ils en parlent

Un spécialiste de l’art s’est penché sur l’éruption du volcan Tambora à Java en 1815 qui a eu des répercussions considérables et une influence invisible mais profonde sur l’état du monde. De mémoire agricole européenne, on l’a appelé "l’année sans été" ou encore "l’année du mendiant". Nous sommes en avril 1815, au lendemain des guerres napoléoniennes et le monde ignore qu’il va subir une véritable catastrophe climatique. Le volcan Tambora, près de Java, connait une violente éruption, et même exceptionnelle, aux conséquences incalculables : toute une série d’inondations, famines et épidémies fut provoquée par la cendre crachée haut dans la stratosphère. Cet épais nuage de 150 km3 fit plusieurs fois le tour de la Terre. L’année suivante, les moyennes de température en Europe dégringolèrent de 0,5° à plus de 1°C. Cette éruption historique, plus puissante que celle du Vésuve, a laissé des traces physiques, culturelles et psychologiques. La colère du Tambora ne s’est-elle pas manifestée à la suite du printemps 1815 qui a vu l’épisode des Cent-jours, Waterloo et la chute de Napoléon, le découpage de l’Europe lors du congrès de Vienne ?
Les influences

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Geolivres 28/05/2022
    "L'année sans été, Tambora 1816, le volcan qui a changé le cours de l'histoire" dresse un panorama à l'échelle du globe des conséquences de l'éruption probablement la plus puissante que l'humanité ait connue, survenue au printemps 1815, en Indonésie. L'historien américain Gillen d'Arcy Wood retrace au travers d'études de cas en Inde, dans les Alpes, en Chine, en Irlande, dans le Grand Nord et aux E-U, les bouleversements météorologiques, sociaux et même culturel - via la genèse du Frankenstein de Mary Shelley - qui se produisirent au cours des cinq années suivant la formidable éruption du 10 avril 1815. Un ouvrage intéressant et bien documenté, dont la version originale en anglais est parue à la veille du bicentenaire de cet évènement ayant affecté le climat ponctuellement - à l'instar du Pinatubo en 1991 mais en plus important - et qui s'inscrit en rapport avec le sujet d'actualité que nous connaissons tous désormais, le réchauffement climatique. L'allégorie du Frankenstein climatique en cours, monstre né de notre société carbonée, est à ce titre très évocateur. L'ouvrage aurait mérité peut-être un traitement moins centré sur l'histoire sociale, par l'apport de connaissances plus poussées en climatologie ou en géophysique, domaines qui sont simplement effleurés de mon point de vue en introduction et dans le premier chapitre. Une mise en perspective vis-à-vis d'autres éruptions célèbres, tant d'un point de vue vulcanologique et environnemental qu'historique, aurait été également intéressant. La formation de cet universitaire en histoire de l'art et littérature explique certainement cette étude forcément partielle scientifiquement. A lire néanmoins pour les curieux."L'année sans été, Tambora 1816, le volcan qui a changé le cours de l'histoire" dresse un panorama à l'échelle du globe des conséquences de l'éruption probablement la plus puissante que l'humanité ait connue, survenue au printemps 1815, en Indonésie. L'historien américain Gillen d'Arcy Wood retrace au travers d'études de cas en Inde, dans les Alpes, en Chine, en Irlande, dans le Grand Nord et aux E-U, les bouleversements météorologiques, sociaux et même culturel - via la genèse du Frankenstein de Mary Shelley - qui se produisirent au cours des cinq années suivant la formidable éruption du 10 avril 1815. Un ouvrage intéressant et bien documenté, dont la version originale en anglais est parue à la veille du bicentenaire de cet évènement ayant affecté le climat ponctuellement - à l'instar du Pinatubo en 1991 mais en plus important - et qui s'inscrit en rapport avec le sujet d'actualité que nous connaissons tous désormais, le réchauffement climatique. L'allégorie du Frankenstein climatique en cours, monstre né de notre société carbonée, est à ce titre très évocateur. L'ouvrage aurait mérité peut-être un traitement moins centré sur l'histoire sociale, par l'apport de connaissances plus poussées en climatologie ou en géophysique, domaines qui sont simplement effleurés de mon point...
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  • Elanoraev 22/01/2020
    L'année sans été revient sur l'éruption du Tambora, volcan indonésien, en 1815 et surtout sur ses conséquences à travers le monde l'année suivant dans ce qui deviendra cette année sans été aux conséquences funestes. Il est évident que la somme de travail fourni par l'auteur est colossale. On se replonge dans les archives, les récits d'époque, notamment ceux de Mary Shelley dont les écrits et les pérégrinations servent de toile de fond et de fil conducteur au propos. On y voit surtout les effets et les conséquences désastreux sur le climat d'une simple éruption jusqu'à l'autre bout de la planète. La prise de conscience écologique est en ce sens très bien amené et raconté. Notre planète n'est pas qu'un ensemble de faits et de phénomènes isolés : tout est lié et la théorie du battement d'aile du papillon , caractérisé ici par l'éruption du Tambora, a des répercussions sur toute la surface du globe. On pourrait néanmoins reprocher à l'auteur un propos un peu dense parfois et surtout de ne s'être finalement intéressé que principalement aux répercussions dans l'empire britannique et ses satellites, probablement du à la nationalité de l'auteur et/ou aux manques de sources.
  • ivredelivres 12/02/2018
    En avril 1815, près de Java, se produisit une éruption volcanique qui entraina un bouleversement climatique pendant 5 ans et qui changea la vie des hommes sur tous les continents, entraina plusieurs millions de morts, provoqua des changements importants pour la science, pour l'art, pour la littérature. Sans doute la première catastrophe climatique répertoriée, l'éruption du Tambora, qui peut-être comparée à celle de Santorin 1600 ans Avant JC qui anéantit la civilisation Minoenne. Cette éruption localisée entraina des cataclysmes en chaine et donne un aperçu assez effrayant de ce qui attend la planète dans les années à venir, car le changement ne fut alors que de 2 °C… Si vous êtes étonnés de n'avoir jamais entendu parler de ce volcan et de son éruption, pensez que 1815 en France c'est la fin des guerres napoléoniennes et les regards sont plutôt tournés vers Saint-Hélène que vers Java. e vous propose de faire un tour du monde des conséquences qui grâce aux explications très claires, aux tableaux statistiques et aux schémas du livre, sont très clairement exposées Commençons au plus près de l'éruption : outre les dégâts et les morts dus à la lave et aux fumées toxiques, il y eu bien sûr un tsunami, on estime pour Java et les îles proches à environ 100 000 victimes, la cendre recouvrait les cultures et l'obscurité dura une semaine entière. Bien entendu le nuage ne s'arrêta pas aux frontières ! c'est toute l'Asie qui fut atteinte plongeant des régions entières dans le chaos et la famine Au Yunnan en Chine c'est la famine qui fait des ravages, le riz est sensible aux variations climatiques et les paysans meurent de faim, on vend des enfant pour un sac de riz, ils sont prêts à tout aussi quand la survie devient impossible ils se tournent vers une autre culture qui fera à terme des ravages conséquents : la culture du pavot. En quelques décennies, l'opium fut cultivé à travers le Yunnan Le « triangle d'or » de la production internationale d'opium était né. « Un poète chinois Li Yuyang, a évoqué de la manière la plus émouvante qui soit le monde dévasté par la crise climatique » La pluie tombe sans fin, comme les larmes de sang d’un homme sentimental. Les maisons coulent et frissonnent comme un poisson dans les eaux qui ondulent Je vois mon fils aîné accroché à la chemise de sa mère. Le petit pleure sans qu’on l’entende. Il n’y a plus d’argent, et Le riz est aussi rare que les perles, nous offrons nos couvertures pour nous sauver. Un seul dou de riz, et rien de plus à la maison. Nous n’avons que quelques acres, et rien n’y pousse. Ma femme et mes enfants ont partagé leurs grains pour Toute l’année. Restons en Asie avec l'Inde et le Bengale : la poussière de l'atmosphère va entrainer des changements dans l'évaporation dans l'océan indien et entrainer des variations funestes des moussons, une alternance de sécheresse et d'inondations. Plus pernicieux, la variation des températures et de l'humidité provoque la mutation du germe du choléra qui va flamber et se propager comme une trainée …de lave L'épidémie sera mondiale, elle atteindra Paris, Moscou, et les USA. En Europe c'est une baisse généralisée des températures, des étés pluvieux, inondations, retard des cultures. « Les Allemands appellent 1817 l'année du mendiant » C'est surtout l’Irlande qui connaît une effroyable famine, c'est pour les Irlandais le début d'une période très sombre, le gouvernement anglais restant sourd à leurs appels et à ceux de leur poète William Carleton qui écrit un conte resté fameux sur cette famine oubliée En Suisse des glaciers avancent jusqu'à détruire le Val de Bagnes. A Chamonix Percy Shelley note « Ces glaciers avancent constamment dans la vallée, ravageant dans leur lente mais irrésistible progression les pâturages et les forêts qui les entourent. » Curieusement en Angleterre il y eu un côté positif aux variations climatiques. Pour comprendre il faut d'abord dire qu'il y eu un effet paradoxal à cette catastrophe, si la planète se refroidit, les pôles eux se réchauffent et cela crée l'ouverture temporaire des mers polaires. Les explorateurs britanniques vont sauter sur cette opportunité pour partir à la recherche du fameux passage du Nord-Ouest. Si ils eurent de la chance quelques saisons, la suite fut plus difficile avec la perte de la fameuse expédition Franklin. Mais finissons notre tour du monde avec les Etats-Unis qui connurent leur première vraie crise économique, les gelées et la sécheresse dans l'est du pays détruisirent les récoltes, poussèrent les agriculteurs à la ruine, on vit des chutes de neige conséquentes en plein été ! L'« année 1816-où-il-a-gelé-à-en-mourir ». Le 6 juin « comme dans un mauvais rêve, il commença à neiger. De gros flocons, humides.» « Les oiseaux tombaient des arbres, raides morts, tandis que les fermiers craignaient que leurs moutons qu’ils venaient de tondre ne survivent pas » La famine qui suivit déclencha un déplacement de population et la première ruée vers l'ouest et un afflux d'émigrants « 1817 est l’année qui a vu le plus grand nombre de migrants britanniques et européens arriver sur le sol américain.» Finissons par une note culturelle « Le froid était « exceptionnel » et les villageois se plaignaient du retard du printemps.Quelques jours plus tard, une tempête de neige leur gâcha la vue de Genève et de son célèbre lac » des tempêtes exceptionnelles se lèvent sur le Léman, que faire lorsqu'on ne peut pas sortir ? on compta 130 jours de pluie entre avril et septembre Le froid était exceptionnel. Cet été sombre a certainement contribué à l'écriture d'un célèbre roman. Mary Shelley « écrirait ainsi sa propre histoire d’horreur évoquant un sinistre monstre qui reçoit accidentellement la vie pendant une tempête » Frankenstein était né. La peinture est, elle aussi, impactée par ces changements On dit que les couleurs rouge orangé du ciel dans ces années là sont celles qui ont inspiré JMW Turner Les ciels de l'époque inspirèrent aussi John Constable Un livre passionnant, un rien effrayant quand même, ce n'est que vers les années 90 que les conséquences d'une éruption se firent jour grâce au progrès de la climatologie. Pourtant un homme avait fait le lien entre éruption et changement climatique « en juin 1783 l'éruption du Laki, un volcan islandais provoqua un refroidissement brutal, des récoltes catastrophiques et, l’année suivante, la misère en Europe ; il fut aussi à l’origine de la formation de glaces menaçant la navigation transatlantique » cet homme c'était Benjamin Franklin, un visionnaire. Vous avez dit réchauffement climatique ? En avril 1815, près de Java, se produisit une éruption volcanique qui entraina un bouleversement climatique pendant 5 ans et qui changea la vie des hommes sur tous les continents, entraina plusieurs millions de morts, provoqua des changements importants pour la science, pour l'art, pour la littérature. Sans doute la première catastrophe climatique répertoriée, l'éruption du Tambora, qui peut-être comparée à celle de Santorin 1600 ans Avant JC qui anéantit la civilisation Minoenne. Cette éruption localisée entraina des cataclysmes en chaine et donne un aperçu assez effrayant de ce qui attend la planète dans les années à venir, car le changement ne fut alors que de 2 °C… Si vous êtes étonnés de n'avoir jamais entendu parler de ce volcan et de son éruption, pensez que 1815 en France c'est la fin des guerres napoléoniennes et les regards sont plutôt tournés vers Saint-Hélène que vers Java. e vous propose de faire un tour du monde des conséquences qui grâce aux explications très claires, aux tableaux statistiques et aux schémas du livre, sont très clairement exposées Commençons au plus près de l'éruption : outre les dégâts et les morts dus à la lave et aux fumées toxiques, il y eu bien sûr un tsunami, on...
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  • Sabrinaaydora 21/10/2017
      J'ai fait une partie de ma scolarité de primaire au sein de l'école Katia et Maurice Kraft. Ce sont deux volcanologues qui ont, par leurs travaux, permis de mettre à disposition des informations et des connaissances sur les volcans. Ils sont mort ensemble, emportés par une nuée ardente au Japon en 1991, sur les flancs sur mont Unzen. Ce livre m'a replongé en enfance, à des basiques si je puis dire, car toute petite, je connaissais la dangerosité et l'immense puissance de ce phénomène naturel.      Dans un monde en plein bouleversement climatique, ce livre fait réfléchir aux conséquences d'un élément survenu pourtant quasi à l'opposé du globe. Tambora est un volcan situé en Indonésie. En 1815, son irruption provoque des épisodes mortels à différents endroits du globe. L'auteur fait un parallèle avec l'irruption du volcan de l'île de Santorin en 1600 avant J-Christ et qui provoquera la chute d'une grande puissance, minoenne, et aussi permettra l'exode du peuple juif en Egypte.        La puissance et la mortalité de cette irruption n'est pas que locale, ainsi, Gillen D`Arcy Wood nous fait voyager à différents endroits, en Europe, en Asie. Les différentes causes des famines, de changement de climat n'étaient pas connues à l'époque. Aujourd'hui, grâce à un travail "climato-historique", les scientifiques parviennent à relier chaque évènement à un point de départ : cette irruption causant une "Année sans été".      Il y a une rigueur dans l'écriture et dans le travail de l'auteur. Le résumé de l'éditeur donne également beaucoup d'information concernant les conséquences de cet événement. De plus, on notera que si des Britanniques n'avaient pas recensé cet événement par écrit, il aurait pu tomber dans les oubliettes. Aux conséquences meurtrières s'ajoutent les conséquences économiques : famine, accroissement de la culture du Pavot... L'effet papillon, mais cette fois ci, le battement d'aile est remplacé par un volcan en éruption.      L'essai est particulièrement dense, riche en informations et en sources, ce qui rendait souvent la lecture lourde. Mais il est à portée de compréhension. Évitant d'être uniquement un essai scientifique, l'auteur permet surtout une prise de conscience : il est urgent de repenser notre consommation, les énergies et la façon de les utiliser. Avec l'éruption du Tambora, il n'a suffi que de 2°C en plus pour provoquer ces drames. Aujourd'hui, nous sommes peut-être à l'aube de nouveaux changements climatiques.  En bref :      Un essai nous plongeant dans les conséquences d'une éruption d'un volcan en 1815, aux conséquences meurtrières à plus d'un titre. Un essai qui sonne comme un avertissement sur notre ère.    J'ai fait une partie de ma scolarité de primaire au sein de l'école Katia et Maurice Kraft. Ce sont deux volcanologues qui ont, par leurs travaux, permis de mettre à disposition des informations et des connaissances sur les volcans. Ils sont mort ensemble, emportés par une nuée ardente au Japon en 1991, sur les flancs sur mont Unzen. Ce livre m'a replongé en enfance, à des basiques si je puis dire, car toute petite, je connaissais la dangerosité et l'immense puissance de ce phénomène naturel.      Dans un monde en plein bouleversement climatique, ce livre fait réfléchir aux conséquences d'un élément survenu pourtant quasi à l'opposé du globe. Tambora est un volcan situé en Indonésie. En 1815, son irruption provoque des épisodes mortels à différents endroits du globe. L'auteur fait un parallèle avec l'irruption du volcan de l'île de Santorin en 1600 avant J-Christ et qui provoquera la chute d'une grande puissance, minoenne, et aussi permettra l'exode du peuple juif en Egypte.        La puissance et la mortalité de cette irruption n'est pas que locale, ainsi, Gillen D`Arcy Wood nous fait voyager à différents endroits, en Europe, en Asie. Les différentes causes des famines, de changement de climat n'étaient...
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  • AlouquaLecture 16/10/2016
    Tout part d’une éruption volcanique, dont je suis obligée d’avouer je ne connaissais même pas le nom du volcan😦 C’est ce que j’apprécie par-dessus tout avec ce genre de livre, c’est que non seulement on passe un bon moment, mais en plus nous apprenons pas mal de choses (en tout cas moi j’ai appris beaucoup). Le résumé dit déjà tellement de choses sur ce que recèle le livre, que ce n’est pas simple de ne pas en dire plus, je ne veux pas spoiler, alors je vais vous laisser le résumé pour vous faire une idée, et le peu que je dis, mais croyez-moi sur parole, le livre vaut le détour, ne serait-ce que parce que l’on s’instruit en même temps.
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