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Le Champ du potier
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 11/09/2014
Éditeurs :
Pocket

Le Champ du potier

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 11/09/2014
« Pas de repos pour les braves » : Salvo Montalbano pourrait en faire sa devise. Cette fois, c'est un corps coupé en morceaux qui est retrouvé dans un terrain... « Pas de repos pour les braves » : Salvo Montalbano pourrait en faire sa devise. Cette fois, c'est un corps coupé en morceaux qui est retrouvé dans un terrain argileux, non loin de Vigàta. Une scène qui n'est pas sans rappeler les Évangiles et le fameux champ du Potier... « Pas de repos pour les braves » : Salvo Montalbano pourrait en faire sa devise. Cette fois, c'est un corps coupé en morceaux qui est retrouvé dans un terrain argileux, non loin de Vigàta. Une scène qui n'est pas sans rappeler les Évangiles et le fameux champ du Potier où fut enterré Judas. Au même moment, la splendide Dolores Alfano signale la disparition de son mari, un officier de marine colombien d'origine sicilienne.
Et pour cette enquête, Montalbano ne pourra compter que sur lui-même : son fidèle adjoint Mimi se comporte de manière de plus en plus étrange et agressive. Serait-il impliqué dans l'affaire ?

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 
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EAN : 9782266236690
Code sériel : 15450
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266236690
Code sériel : 15450
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une nouvelle enquête du plus célèbres des flics italiens. » Maxi

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marie987654321 10/09/2023
    A la faveur d'une forte pluie, un cadavre émerge d'un champ de glaise, terre argileuse qui n'intéresse que les potiers. Il est découpé en trente morceaux. Trente ? Dans le champ du potier? La référence biblique saute aux yeux de Montalbano. Le champ du potier est celui dans lequel fut enterré Judas, le traitre aux trente deniers. Est-ce une punition de la Mafia pour quelque traitre à sa loi ? Mais il y a ce marin colombien dont la sublime épouse vient signaler la disparition. Quel peut être le rapport avec la Mafia? Parallèlement, Montalbano a des soucis avec Mimi qui se tient de plus en plus à part de l'équipe et dont l'attitude est de plus en plus étrange... Camilleri : pour moi une valeur sûre ! Pas de surprise mais toujours du plaisir à retrouver le commissaire gastronome!
  • Annafaitsonblog 26/06/2023
    J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce livre à cause de la traduction des mots siciliens en français occitanisé. La lecture était un peu laborieuse au début, mais une fois rentrée dedans, j'ai trouvé l'intrigue intéressante et bien ficelée, avec cette Mafia sicilienne, le cadavre en 30 morceaux etc.
  • lalahat 01/05/2023
    Montalbano est égal à lui-même dans cet excellent opus de la série. Fatigué, vieillissant avec quelques douleurs qui apparaissent, il savoure un sommeil quelque peu agité par un rêve, dans sa belle maison donnant sur la plage de Marinella. Dehors, un orage sévit accompagné de forte pluie. Montalbano se réfugie dans le confort de son lit où il dort, nu. Surgit Catarella, et ses pitreries, qui annonce la découverte d'un cadavre. Livia, la fiancée du commissaire - il n'est pas tout à fait célibataire -, se manifeste par téléphone, comme la plupart du temps. Elle vit dans le nord de l'Italie et n'apparait que rarement. Le couple se dispute toujours, mais Livia joue tout de même souvent un rôle secondaire qui permet de débloquer certaines situations. Mimi Augello, l'inspecteur collaborateur de Montalbano est aussi un ami. Mais il a ses humeurs. Et les deux hommes sont plutôt en froid. Bien que marié à Beba et père d'un jeune enfant, Mimi reste un incorrigible coureur de jupon – l'archétype du mâle italien -, ce qui lui complique quelque peu l'existence. Alors qu'il semble incapable de communiquer avec son supérieur et ami, le roman bascule par moments dans l'épistolaire, avec des échanges entre Mimi et Montalbano, mais aussi des écrits de Montalbano qu'il s'adresse à lui-même pour éclaircir ses pensées. Salvo Montalbano, la cinquantaine passée, apparaît vulnérable. Facilement débordé par ses émotions, à plusieurs reprises dans le récit, il pleure – et ce n'est pas seulement devant un bon repas. L'action se passe en 2001. Les actualités télévisées mentionnent l'attaque des Twin Towers et les conséquences du passage à l'Euro. C'est l'été, et après l'orage, Montalbano constate les effets navrants de la pollution sur la plage. Andrea Camilleri ancre ses récits dans la réalité de son temps et de son pays, avec la présence de la Mafia qui continue de défier la loi, ou plutôt qui dicte toujours sa propre loi. Il semble que le cadavre, trouvé en morceaux, très abimé, dans un sac poubelle, soit justement une nouvelle œuvre de la Mafia... L'humour de l'auteur, qui imprègne sa langue si bien traduite par Serge Quadruppani, sauve heureusement ses romans du sordide. Il égratigne certaines strates de la société sicilienne, comme par exemple les banquiers. Mais il met aussi en avant, par le truchement d'un Montalbano bon vivant, les plaisirs culinaires du pays, ainsi que la beauté de ses paysages. La cuisine d'Adelina réconforte le commissaire, et le touche, à lui faire monter les larmes aux yeux. Et la scène de dégustation de cannolos dans un silence quasi religieux, réconcilie presque Montalbano avec le rétif légiste Pasquano. Le titre, Le Champ du potier, fait référence à un passage de l'évangile de St Matthieu. Camilleri adresse par ailleurs quelques clin d'oeil littéraires, dont un vraiment malicieux, pas le moindre, à lui-même. En effet, Montalbano se plonge un moment dans un roman de l'auteur, jusqu'à ce que ses yeux fassent " pupi pupi". Les aficionados de Camilleri peuvent se réjouir. Ce roman s'inscrit dans la liste des meilleurs, pour son humour, toujours, mais aussi pour la tendresse que l'auteur porte à ses personnages. Montalbano est égal à lui-même dans cet excellent opus de la série. Fatigué, vieillissant avec quelques douleurs qui apparaissent, il savoure un sommeil quelque peu agité par un rêve, dans sa belle maison donnant sur la plage de Marinella. Dehors, un orage sévit accompagné de forte pluie. Montalbano se réfugie dans le confort de son lit où il dort, nu. Surgit Catarella, et ses pitreries, qui annonce la découverte d'un cadavre. Livia, la fiancée du commissaire - il n'est pas tout à fait célibataire -, se manifeste par téléphone, comme la plupart du temps. Elle vit dans le nord de l'Italie et n'apparait que rarement. Le couple se dispute toujours, mais Livia joue tout de même souvent un rôle secondaire qui permet de débloquer certaines situations. Mimi Augello, l'inspecteur collaborateur de Montalbano est aussi un ami. Mais il a ses humeurs. Et les deux hommes sont plutôt en froid. Bien que marié à Beba et père d'un jeune enfant, Mimi reste un incorrigible coureur de jupon – l'archétype du mâle italien -, ce qui lui complique quelque peu l'existence. Alors qu'il semble incapable de communiquer avec son supérieur et ami, le roman bascule par moments dans l'épistolaire, avec des échanges entre...
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  • 1966GT 23/03/2023
    Il est suggéré de lire « Le Champ du potier » d’une traite, sans reprendre son souffle, car l’histoire est bien entortillée, comme c’est souvent le cas avec les enquêtes imaginées et signées par Andrea Camilleri . Il faut donc s’accrocher dès le début de sa lecture pour ne pas en perdre une miette de toutes ces nombreux détails qui jalonnent les investigations du commissaire Montalbano et de son équipe dont l’esprit est prêt à voler en éclats… De plus, la psychologique des protagonistes, elle aussi bien complexe, nécessite concentration et mémoire de la part du lecteur… Un champ boueux et fangeux, avec de l’argile à disposition des potiers du coin, qui rappelle le champ du potier que l’Évangile de Matthieu désigne comme le champ du sang et dans lequel Judas, qui a livré le Christ et s’est pendu, est enterré sans cérémonie. Un sac poubelle avec trente morceaux d’un corps humains qui, dans le contexte du champ argileux, font penser aux trente pièces que ce même Judas a reçu pour rétribution de sa délation. Ainsi, ce corps démembré selon les méthodes à l’ancienne de la Mafia ne serait-il pas le résultat conséquent d’une trahison ? Malgré tout, encore un « Montalbano » plaisant et intelligent, qui m’a fait passer un bon moment entre enquête et humour noir, entre détour au restaurant et authenticité des dialogues à la sicilienne… Il est suggéré de lire « Le Champ du potier » d’une traite, sans reprendre son souffle, car l’histoire est bien entortillée, comme c’est souvent le cas avec les enquêtes imaginées et signées par Andrea Camilleri . Il faut donc s’accrocher dès le début de sa lecture pour ne pas en perdre une miette de toutes ces nombreux détails qui jalonnent les investigations du commissaire Montalbano et de son équipe dont l’esprit est prêt à voler en éclats… De plus, la psychologique des protagonistes, elle aussi bien complexe, nécessite concentration et mémoire de la part du lecteur… Un champ boueux et fangeux, avec de l’argile à disposition des potiers du coin, qui rappelle le champ du potier que l’Évangile de Matthieu désigne comme le champ du sang et dans lequel Judas, qui a livré le Christ et s’est pendu, est enterré sans cérémonie. Un sac poubelle avec trente morceaux d’un corps humains qui, dans le contexte du champ argileux, font penser aux trente pièces que ce même Judas a reçu pour rétribution de sa délation. Ainsi, ce corps démembré selon les méthodes à l’ancienne de la Mafia ne serait-il pas le résultat conséquent d’une trahison ? Malgré tout, encore un «...
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  • jcjc352 22/06/2022
    Le champ du potier Andrea Camilleri Après la traduction fantaisiste de « La Saison de la chasse » *voilà celle de Quadruppani Quel bonheur eh oui « pi tia » et « a mia » tout le monde comprend « pour toi » et « à moi » pas la peine de sortir de polytechnique Je n’ai pas encore digéré celle de Dominique Vittoz du livre ci-dessus et comme Camilleri attaque d’emblée avec ses petits plats pour Montalbano : petites boulettes de nunattu (nouveau-nés d’alevin) pâtes au noir de seiche aux oursins rougets de roches au four purpitedro a strascinale (petit poulpe bouilli) il était préférable, pour une lecture aisée de ne pas être trop« aggravatto » appesanti Bref… Enquête qui débute façon « le bêtisier » avec moult glissades dans la boue d’une argilite, Montalbano, Augello, Fazio et Catarella font la chenille dans d’épiques glissades au cours des quelles d’ailleurs Catà y perd son pantalon et son slip Mais tout se termine par quelques petits plats de pâtes'ncasciata et autres fruits de mer siciliens du moins pour Montalbà. Un catafaro (cadavre)** découpé en morceaux façon « Blier » c’est à dire puzzle ( à cette occasion le médecin légiste , suite à un quiproquo, nous fait des confidences sur sa sexualité, entorse à son obligation de réserve et donc pas dysfonctionnement érectile d’ andropause ) va lancer notre grand cérébral sur la piste de la mafia (sicilienne ) éventuellement la 'ndrangheta (calabraise) voire sur le crime passionnel et même l’assassinat par erreur (c’est possible) En Sicile en matière de crime on est inventif ! Un commissariat un peu en ébullition à cause d’Augello un peu à coté de ses pompes (et qui est, malheureusement, lui encore loin de l’andropause et de ses dysfonctionnements) On croise une concierge royaliste, quelques belles femmes plantureuses dont Livia toujours sur le pied de guerre Et en fait un Montalbano, larmoyant car attendri par l’âge, plus proche du psychologue que du flic et ce pour ses collègues de travail Ce qui n’empêchera pas que l’enquête sera belle et bien bouclée mais...pas forcément par lui ! * à propos de ce livre « La Saison de la chasse » je n’avais pas remarqué que la couverture de Fayard est un tableau de Botero, peintre intéressant qui aime les rondouillards ** On apprécie la traduction à la Quadruppani c’est direct !Le champ du potier Andrea Camilleri Après la traduction fantaisiste de « La Saison de la chasse » *voilà celle de Quadruppani Quel bonheur eh oui « pi tia » et « a mia » tout le monde comprend « pour toi » et « à moi » pas la peine de sortir de polytechnique Je n’ai pas encore digéré celle de Dominique Vittoz du livre ci-dessus et comme Camilleri attaque d’emblée avec ses petits plats pour Montalbano : petites boulettes de nunattu (nouveau-nés d’alevin) pâtes au noir de seiche aux oursins rougets de roches au four purpitedro a strascinale (petit poulpe bouilli) il était préférable, pour une lecture aisée de ne pas être trop« aggravatto » appesanti Bref… Enquête qui débute façon « le bêtisier » avec moult glissades dans la boue d’une argilite, Montalbano, Augello, Fazio et Catarella font la chenille dans d’épiques glissades au cours des quelles d’ailleurs Catà y perd son pantalon et son slip Mais tout se termine par quelques petits plats de pâtes'ncasciata et autres fruits de mer siciliens du moins pour Montalbà. Un catafaro (cadavre)** découpé en morceaux...
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