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Le chat qui voulait sauver les livres
Mathilde Tamae-Bouhon (traduit par)
Date de parution : 02/03/2023
Éditeurs :
Pocket

Le chat qui voulait sauver les livres

Mathilde Tamae-Bouhon (traduit par)
Date de parution : 02/03/2023
Un conte drôle et poétique pour les amoureux des livres et des chats !
Rintarô Natsuki, lycéen flegmatique, est sur le point de fermer la librairie héritée de son grand-père quand il reçoit une visite inattendue. Un pelage tigré, une queue touffue, deux yeux... Rintarô Natsuki, lycéen flegmatique, est sur le point de fermer la librairie héritée de son grand-père quand il reçoit une visite inattendue. Un pelage tigré, une queue touffue, deux yeux verts perçants : pas de doute, c’est bien un chat – un chat qui parle ! Et ce félin exprime une... Rintarô Natsuki, lycéen flegmatique, est sur le point de fermer la librairie héritée de son grand-père quand il reçoit une visite inattendue. Un pelage tigré, une queue touffue, deux yeux verts perçants : pas de doute, c’est bien un chat – un chat qui parle ! Et ce félin exprime une requête plutôt inhabituelle : il demande – ou plutôt exige – l'aide de l'adolescent pour aller sauver des livres. Le monde serait en effet peuplé de livres solitaires, non lus et mal aimés que le chat et Rintarô doivent libérer de leurs propriétaires négligents.
Le duo atypique se lance alors dans une quête périlleuse au cœur de labyrinthes extraordinaires...

 
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EAN : 9782266320894
Code sériel : 18415
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 216
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266320894
Code sériel : 18415
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 216
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« On a aimé la poésie et la fantaisie de ce roman, véritable ode aux livres, à la lecture et à l'amour. » 
Femme actuelle

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ehmmaco 24/03/2024
    La couverture m’a attirée en premier, puis le résumé m’a plu. Ce petit livre de 200 pages est une vraie pépite. Je n’accroche pas particulièrement avec les romans japonais, celui-ci est un exception. Je ne saurais comment le décrire mais ne pourrais que vous le recommander!
  • Sunnieboo 23/03/2024
    Une merveilleuse ode à la lecture et aux livres, emprunt de lyrisme japonais. Sur le papier, l'histoire est simple : Rintarô, lycéen apathique, doit fermer la librairie de son grand-père décédé, quand il reçoit la visite d'un mystérieux chat qui parle. Celui-ci lui demande de joindre sa force à la sienne afin de sauver des livres. Rintarô se voit alors transporté dans différents univers, entre réalité et imaginaire, où chaque protagoniste incarne un rapport différent aux livre et à la lecture. À chaque confrontation, Rintarô apprend à s'ouvrir aux autres et à la littérature. Ce livre est d'une poésie incroyable. C'est une petite douceur qui fait du bien à l'âme et qui nous permet d'entamer une réflexion profonde sur notre rapport aux livres et au monde qui nous entoure.
  • Plumefil 08/03/2024
     Comme souvent, la littérature japonaise cache un niveau de lecture supérieur à celle du premier degré. "Le chat qui voulait sauver les livres" ne fait pas exception à la règle avec une touche de fantastique. Sortant de la logique cartésienne habituelle, le lecteur se laisse emporter, ou pas, par le gros matou penseur et dialecticien, un poil prétentieux, par les murs qui se volatilisent et par les différents mondes dévoilés dans lesquels circulent des êtres incolores, sans âme, semblables à des fantômes. À chaque dédale, le jeune adolescent, Rintarô, accompagné de son amie Sayo, est confronté à une situation dont il doit faire cesser l'absurdité.  Ce conte philosophique aborde trois sujets concernant la littérature. La vitesse de lecture, favorisant la quantité de livres ingurgités, sans prendre le temps de réfléchir aux idées véhiculées, ni d'apprécier la qualité des textes élaborés en termes choisis par l'auteur ; les synopsis succincts résumant en quelques mots toutes les œuvres, gommant l'évolution et l'articulation des intrigues ; et enfin, le concept le plus actuel, déclenchant à chaque fois de violentes polémiques, la réécriture des textes afin d'en expurger toutes les notions jugées incorrectes, aseptisant ainsi le contenu des livres et gommant de nombreux contextes historiques. Dans chaque situation, une discussion argumentée s'engage et propose une profonde réflexion sur l'intérêt de la littérature, tant sur le plaisir qu'elle procure que sur les connaissances qu'elle apporte.  Les pensées vagabondant dans mon esprit furent souvent très proches de celles provoquées par Le Petit Prince de Saint-Exupéry, sur tout ce qui concerne le savoir, les relations de confiance et la connaissance de soi et des autres. Un moment de jeunesse retrouvé...  J'ai aussi été très sensible à l'esthétique de la couverture, observant le chat glisser, de sa démarche chaloupée et délicate, entre les volumes, de la quatrième de couverture à la couverture elle-même. La présence visuelle de cet étrange félin est aussi importante à l'intérieur qu'à l'extérieur. Il marque son territoire, traversant nonchalamment les pages, de chapitre en chapitre. Sa tête et son buste apparaissent au prologue puis, ayant accompli sa mission, il s'échappe en laissant derrière lui l'image de son arrière-train sur l'en-tête de l'épilogue. Une belle symbolique pour ce matou devenant tigre au fur et à mesure de l'épanouissement du jeune Rintarô, lors de son parcours initiatique.  Car tel est l'enjeu de l'héritage de cette étrange librairie, remplie de trésors anciens et modernes. Le grand-père de l'adolescent a voulu lui prouver le pouvoir de la lecture, comme le changement des mentalités et l'ouverture d'esprit. "Le chat qui voulait sauver les livres" s'attarde sur les motivations qui poussent les lecteurs à se plonger dans un livre, leurs attentes, leurs plaisirs et leur enrichissement. J'en ai d'autant plus apprécié ce grand moment de douceur et de réflexion que chacun pourra interpréter selon ses critères personnels et la place qu'il accorde à la littérature dans sa vie.  Comme souvent, la littérature japonaise cache un niveau de lecture supérieur à celle du premier degré. "Le chat qui voulait sauver les livres" ne fait pas exception à la règle avec une touche de fantastique. Sortant de la logique cartésienne habituelle, le lecteur se laisse emporter, ou pas, par le gros matou penseur et dialecticien, un poil prétentieux, par les murs qui se volatilisent et par les différents mondes dévoilés dans lesquels circulent des êtres incolores, sans âme, semblables à des fantômes. À chaque dédale, le jeune adolescent, Rintarô, accompagné de son amie Sayo, est confronté à une situation dont il doit faire cesser l'absurdité.  Ce conte philosophique aborde trois sujets concernant la littérature. La vitesse de lecture, favorisant la quantité de livres ingurgités, sans prendre le temps de réfléchir aux idées véhiculées, ni d'apprécier la qualité des textes élaborés en termes choisis par l'auteur ; les synopsis succincts résumant en quelques mots toutes les œuvres, gommant l'évolution et l'articulation des intrigues ; et enfin, le concept le plus actuel, déclenchant à chaque fois de violentes polémiques, la réécriture des textes afin d'en expurger toutes les notions jugées incorrectes, aseptisant ainsi le contenu des livres et gommant de nombreux contextes historiques. Dans chaque...
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  • GhostLevy 07/03/2024
    Ont suit l'histoire de rintaro un jeune homme qui fait tout pour sauver les livres vivra de fortes aventures avec un chat , est-ce qu'ils arriveront à a sauvé les livres? Et ce que rin fera le deuil c'est à vous d'en juger en le lisant ^^
  • ambreewenn 29/02/2024
    Une lecture douce et gentillette qui traite avec douceur du processus de deuil d’un adolescent renfermé sur lui-même. On ne tombe jamais dans le pathos et la sensiblerie, malgré le sujet de fond qui au final passe quasiment au second plan. Un roman court qui se lit vite, mais qui manque de « mordant ». Les aventures du personnage principal ne sont pas palpitantes. À aucun instant, on n’a peur pour les personnages. Concernant le fameux chat dont il est question dans le titre, il n’est pas un élément central, mais plutôt un élément déclencheur. Il intervient peu, mis à part pour pousser notre héros à agir. C’est en ça que je l’estime comme un « élément déclencheur ». Il débarque à chaque fois en début de chaque chapitre pour dire « prête-moi ta force pour sauver les livres ». C’était un poil redondant. De plus, chaque péripétie (épreuve/chapitre) est construite de la même manière, laissant peu de place à la surprise pour le lecteur. Il faut donc plus prendre ce récit pour une sorte de conte plus qu’un roman. Car comme dans tous les contes, nous avons à chaque épreuve surmontée une petite leçon de vie à retenir.
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