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Le Cycle des Xeelees
Singularité
Pierre-Paul Durastanti (traduit par)
Date de parution : 14/11/2013
Éditeurs :
Pocket

Le Cycle des Xeelees

Singularité

Pierre-Paul Durastanti (traduit par)
Date de parution : 14/11/2013

5274. L'humanité s'est dispersée dans l'univers et a rencontré de nouvelles formes de vie. Parfois pour son plus grand malheur. Après s'être libérée de l'emprise des Squeems, elle est tombée...

5274. L'humanité s'est dispersée dans l'univers et a rencontré de nouvelles formes de vie. Parfois pour son plus grand malheur. Après s'être libérée de l'emprise des Squeems, elle est tombée sous le joug des Qax qui lui ont ôté la technologie. Les humains ont régressé...

Malgré tout, la résistance s'organise et...

5274. L'humanité s'est dispersée dans l'univers et a rencontré de nouvelles formes de vie. Parfois pour son plus grand malheur. Après s'être libérée de l'emprise des Squeems, elle est tombée sous le joug des Qax qui lui ont ôté la technologie. Les humains ont régressé...

Malgré tout, la résistance s'organise et cherche le moyen d'ouvrir un trou de ver pour retourner dans le passé afin de modifier le présent.

Un jeu avec l'esace-temps qui pourrait bien être fatal. Mais pour qui ?

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EAN : 9782266219952
Code sériel : 7077
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266219952
Code sériel : 7077
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Pour son deuxième roman, Stephen Baxter est remarquable de maîtrise. » Sci-fi Universe.com

« Avec Singularité, on entre enfin de plain-pied dans la plus prodigieuse histoire du futur jamais écrite. » Bifrost

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LeScribouillard 04/12/2020
    Le souvenir de Gravité s’améliore comme le bon vin, il reste à découvrir la suite du Cycle des Xeelees. Rendez-vous donc dans l’espace d’ici quelques millénaires, où les Qax, des extraterrestres pourtant pas spécialement redoutables, ont réduit la Terre en esclavage, puisqu’on était tellement bleus qu’on ne connaît rien du vaste univers autour de nous. En effet la plupart des civilisations spatiales sont infiniment plus puissantes qu’homo sapiens, et recherchent toutes des atrefacts laissés par les Xeelees, à côté de qui elles ne sont que des nains… C’est donc dans ce contexte pour le moins pittoresque que Jasoft Parz, ambassadeur humain auprès des Qax, apprend la terrible nouvelle : un groupe de rebelles s’est enfui dans le passé pour empêcher les Qax de nous avoir envahis. Il faut donc à notre tour manipuler le temps pour les en empêcher… Attendez, non, si on existe toujours, c’est qu’ils ont échoué… Bah, peut-être que c’est pas encore arrivé parce que la durée s’écoule pour les êtres de notre présent de la même manière où qu’ils se situent dans le temps ! Sauf que ce n’est jamais expliqué clairement, contrairement à bon nombre de détails scientifiques et autres dissertations sur les réelles intentions des mystérieux Amis de Wigner. Ainsi Parz se retrouve-t-il dans le passé avec un Qax surpuissant qui compte bien en finir avec l’Humanité, tandis que deux joyeux lurons, l’ingénieur Michael Poole et son père, découvrent ce qui va leur tomber dessus. Clairement, si vous trouvez qu’on en fait déjà des caisses dans Interstellar niveau explications, c’est rien face au raz-de-marée d’informations que vous vous prenez ici dans la tronche. Tout a été bien pensé, est vite et bien vulgarisé, mais le nombre d’éléments à prendre en compte est énorme, d’autant plus qu’il n’y a pas grand-chose à quoi se raccrocher derrière le délire scientifique. Car oui, si Baxter est brillant pour extrapoler la physique, on se doute qu’il a moins envie de raconter une histoire universelle. Ce qui rend son texte aride et exigeant, pas autant que Diaspora, mais quand même. Jasoft est intéressant pour son rôle de collabo qui loin de profiter de sa situation tente de faire vivre tout le monde en bonne intelligence, Michael et son père échangent quelques moments forts. Mais en-dehors de ça, on ne peut pas en vouloir sur ce coup-ci aux détracteurs de Baxter quand ils considèrent que les personnages sont avant tout là pour expliquer ce qui va se passer dans l’Univers. Alors, pourquoi est-ce que je vous conseille ce livre quand même ? La réponse est on ne peut plus simple pour un livre de hard-SF : le sense of wonder. Si vous aviez été impressionnés par les high concepts de Gravité, sachez que ce n’est rien face au gigantisme qui est dévoilé ici. À quasiment chaque chapitre il se passe un truc plus spectaculaire que le précédent, et c’est pas du bigger is better à la Roland Emmerich, Baxter cherche plus à explorer l’Univers qu’à montrer des extraterrestres taper sur les gens. Si vous voulez voir des vaisseaux organiques d’un kilomètre et demie explorés jusque dans leur flore intestinale, des anneaux géants contre lesquels se précipitent les galaxies, des vaisseaux-fleurs indestructibles ou bien d’autres surprises, il y a tout ça et bien plus encore, jusqu’à un final à la 2001 nous donnant un aperçu de la Fin des Temps. Le tout avec un style pas forcément à la ramasse : j’ai encore un souvenir fasciné de cette ouverture mélancolique où la Terre malmenée donne ses derniers restes à contempler depuis l’espace ! Bref, Singularité est un plaisir impossible à bouder pour les amateurs d’univers baroques : tout y est, le plus merveilleux comme le plus ignoble, le plus incroyable devenant crédible, le tout avec une bataille épique, les luttes de différentes factions avec des personnages partagés. Mais le trop-plein de dialogues et la pauvreté de certains passages repousseront le plus gros du public. Si je suis un peu plus mitigé, je ne perds pas espoir pour le reste du cycle, Baxter restant un écrivain cher à mes yeux. Et puis bon, c’est pour votre culture…Le souvenir de Gravité s’améliore comme le bon vin, il reste à découvrir la suite du Cycle des Xeelees. Rendez-vous donc dans l’espace d’ici quelques millénaires, où les Qax, des extraterrestres pourtant pas spécialement redoutables, ont réduit la Terre en esclavage, puisqu’on était tellement bleus qu’on ne connaît rien du vaste univers autour de nous. En effet la plupart des civilisations spatiales sont infiniment plus puissantes qu’homo sapiens, et recherchent toutes des atrefacts laissés par les Xeelees, à côté de qui elles ne sont que des nains… C’est donc dans ce contexte pour le moins pittoresque que Jasoft Parz, ambassadeur humain auprès des Qax, apprend la terrible nouvelle : un groupe de rebelles s’est enfui dans le passé pour empêcher les Qax de nous avoir envahis. Il faut donc à notre tour manipuler le temps pour les en empêcher… Attendez, non, si on existe toujours, c’est qu’ils ont échoué… Bah, peut-être que c’est pas encore arrivé parce que la durée s’écoule pour les êtres de notre présent de la même manière où qu’ils se situent dans le temps ! Sauf que ce n’est jamais expliqué clairement, contrairement à bon nombre de détails scientifiques et autres dissertations sur les réelles intentions des mystérieux...
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  • hellrick 04/12/2018
    Ce roman de Stephen Baxter, écrit en 1992, s’inscrit dans sa vaste histoire du futur, le cycle des Xeelees. Il s’agit d’un neo space opéra mêlant l’aventure spatiale à des considérations philosophiques et scientifiques ardues héritées de la hard science et empruntant également aux interrogations technologiques sur le devenir de l’homme souvent évoqué dans le cyberpunk. On y retrouve donc logiquement la notion de « singularité » théorisée par Vernon Vinge qui veut (en résumé et en gros traits) que l’intelligence artificielle entraine un emballement des progrès techniques et une déshumanisation progressive de l’Homme. L’évolution technique deviendrait si rapique que l’humanité, en très peu de temps, serait incapable de la maitriser voir même de la comprendre. Dans SINGULARITE, le roman, Baxter imagine des trous noirs envoyé dans l’avenir pour créer des passages temporels mais tombant dans un futur où l’humanité vit sous la coupe des Qax. Un autre vaisseau, celui des Amis de Wigner, plonge dans le passé pour transformer Jupiter et frapper les Qax dans ce passé tandis qu’un Qax venu d’un futur où l’humanité a triomphé de l’envahisseur grâce à un certain Bolder vient compliquer la situation… Paradoxes temporels, univers potentiels ou alternatifs, singularités diverses,…Pas de doute, Baxter joue dans la cour des férus d’hard-science et ceux qui se sont senti perdus devant des films comme « Looper », « L’armée des 12 singes » ou « Retour vers le futur » risquent de devoir consommer un tube entier d’aspirines pour arriver au terme de ce roman pourtant relativement (relativement est important car la lecture s’avère ici quelque peu ardue sans toutefois être indigeste) court. Par sa longueur acceptable (300 pages) et son mélange de passages hard-sciences pas toujours aisés d’accès et de science-fiction plus « grand public », SINGULARITE demeure une porte d’entrée conseillée dans l’univers d’un des auteurs majeurs de la SF contemporaine. On peut buter sur des descriptions ou des séquences rébarbatives pour le non scientifique tout en se laissant prendre à la vision véritablement cosmique et grandiose du romancier qui apporte, en dépit de son aspect complexe, un véritable plaisir à l’amateur de science-fiction ambitieuse non dénuée d’un réel « sense of wonder ». Ce roman de Stephen Baxter, écrit en 1992, s’inscrit dans sa vaste histoire du futur, le cycle des Xeelees. Il s’agit d’un neo space opéra mêlant l’aventure spatiale à des considérations philosophiques et scientifiques ardues héritées de la hard science et empruntant également aux interrogations technologiques sur le devenir de l’homme souvent évoqué dans le cyberpunk. On y retrouve donc logiquement la notion de « singularité » théorisée par Vernon Vinge qui veut (en résumé et en gros traits) que l’intelligence artificielle entraine un emballement des progrès techniques et une déshumanisation progressive de l’Homme. L’évolution technique deviendrait si rapique que l’humanité, en très peu de temps, serait incapable de la maitriser voir même de la comprendre. Dans SINGULARITE, le roman, Baxter imagine des trous noirs envoyé dans l’avenir pour créer des passages temporels mais tombant dans un futur où l’humanité vit sous la coupe des Qax. Un autre vaisseau, celui des Amis de Wigner, plonge dans le passé pour transformer Jupiter et frapper les Qax dans ce passé tandis qu’un Qax venu d’un futur où l’humanité a triomphé de l’envahisseur grâce à un certain Bolder vient compliquer la situation… Paradoxes temporels, univers potentiels ou alternatifs, singularités diverses,…Pas de doute, Baxter joue...
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  • finitysend 16/03/2015
    Baxter nous propose avec Singularité , un roman assez court , de hard-science , qui traite des paradoxes temporels qui imbriquent activement des univers alternatifs . Des univers , que je qualifierais de potentiels et interactifs , pour ce qui est de définir les rapports qu’ils entretiennent les uns avec les autres . Un cours roman donc , qui s’insère dans le cycle des Xeelees mais qui peut se lire indépendamment . C’est peut-être l’occasion de découvrir l’auteur dans un récit bref , ce qui est mieux pour une première fois … C’est de la pure hard-science très romancée et aussi digeste que possible . Le lecteur passe les portails et cogite sur l’espace et le temps en explorant des milieux et des environnements très futuristes . C’est un roman d’action ou les personnages aux connaissances scientifiques pointues , soliloquent et dialoguent en experts souvent , pour éclairer les contextes mouvants et tortueux de cet univers . C’est un des meilleurs récit du type guerre temporelle qui soit , je trouve , car il est argumenté et sans naïvetés fatales et faciles. Les personnages sont convaincants et présents . Il y a des affects à ressentir et à explorer dans ce texte qui est soigné mais qui affiche néanmoins quelques faiblesses . Par exemple , les transitions , elles sont un peu faibles je trouve , on sent que l’auteur a du mal à faire court … Un bon space opera de hard-science , une bonne distraction , bien fumeuse et déroutante comme on les aime. Pour faire passer la substantifique moelle des romans de Baxter , je dirais que à un certain stade , la science peu naturellement paraitre de la magie , au pauvre lecteur primitif que nous sommes. Et pourtant , non …. Baxter nous propose avec Singularité , un roman assez court , de hard-science , qui traite des paradoxes temporels qui imbriquent activement des univers alternatifs . Des univers , que je qualifierais de potentiels et interactifs , pour ce qui est de définir les rapports qu’ils entretiennent les uns avec les autres . Un cours roman donc , qui s’insère dans le cycle des Xeelees mais qui peut se lire indépendamment . C’est peut-être l’occasion de découvrir l’auteur dans un récit bref , ce qui est mieux pour une première fois … C’est de la pure hard-science très romancée et aussi digeste que possible . Le lecteur passe les portails et cogite sur l’espace et le temps en explorant des milieux et des environnements très futuristes . C’est un roman d’action ou les personnages aux connaissances scientifiques pointues , soliloquent et dialoguent en experts souvent , pour éclairer les contextes mouvants et tortueux de cet univers . C’est un des meilleurs récit du type guerre temporelle qui soit , je trouve , car il est argumenté et sans naïvetés fatales et faciles. Les personnages sont convaincants et présents . Il y a des affects à ressentir et à explorer dans ce texte qui est soigné mais...
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  • BlackWolf 11/08/2014
    En Résumé : J’ai passé un bon moment de lecture avec ce second tome du cycle des Xeelees que j’ai trouvé un cran au-dessus que le précédent. L’histoire nous offre un Space-Opera qui s’étend à la fois dans le temps et l’espace, où l’humanité va tenter de quitter le joug des Qax et qui se révèle efficace, flamboyant avec de nombreux rebondissements. L’aspect scientifique peut, certes, paraitre complexe et demander un minimum de connaissances, mais se révèle fascinant par les possibilités qu’il développe. L’auteur offre aussi de nombreuses réflexions qui se révèlent intéressantes et efficaces. L’univers qu’on retrouve au fil des pages est vraiment fascinant, bien porté par les aspects technologiques et les descriptions. Je regrette par contre un certain décalage entre l’aspect ambitieux que cherche à mettre en place l’auteur, mais qui perd de sa force devant certaines facilités déconcertantes, de plus je trouve que les explications scientifiques sont présentées de façon un peu trop répétitives. Rien de non plus bloquant. Concernant les personnages, ils remplissent parfaitement leurs rôles pour faire avancer l’histoire de façon efficace, mais manquent de profondeur et de sentiments pour se révéler complètement accrocheur. La plume de l’auteur se révèle simple, efficace et entrainante et arrive à happer le lecteur dès les premières pages pour aboutir à une conclusion fascinante sur la frise qu’il construit. Au final un roman réussi, malgré quelques défauts, et je lirai le troisième tome sans soucis. Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.En Résumé : J’ai passé un bon moment de lecture avec ce second tome du cycle des Xeelees que j’ai trouvé un cran au-dessus que le précédent. L’histoire nous offre un Space-Opera qui s’étend à la fois dans le temps et l’espace, où l’humanité va tenter de quitter le joug des Qax et qui se révèle efficace, flamboyant avec de nombreux rebondissements. L’aspect scientifique peut, certes, paraitre complexe et demander un minimum de connaissances, mais se révèle fascinant par les possibilités qu’il développe. L’auteur offre aussi de nombreuses réflexions qui se révèlent intéressantes et efficaces. L’univers qu’on retrouve au fil des pages est vraiment fascinant, bien porté par les aspects technologiques et les descriptions. Je regrette par contre un certain décalage entre l’aspect ambitieux que cherche à mettre en place l’auteur, mais qui perd de sa force devant certaines facilités déconcertantes, de plus je trouve que les explications scientifiques sont présentées de façon un peu trop répétitives. Rien de non plus bloquant. Concernant les personnages, ils remplissent parfaitement leurs rôles pour faire avancer l’histoire de façon efficace, mais manquent de profondeur et de sentiments pour se révéler complètement accrocheur. La plume de l’auteur se révèle simple, efficace et entrainante et...
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  • weatherwax 11/02/2012
    Un poil compliqué mais quelle vision !
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