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Le goût du bonheur
Date de parution : 07/06/2007
Éditeurs :
Pocket

Le goût du bonheur

Date de parution : 07/06/2007

Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule l'affection de Florent éclaire encore ses journées. Ce dernier, à présent couturier célèbre, n’a pas été épargné non plus...

Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule l'affection de Florent éclaire encore ses journées. Ce dernier, à présent couturier célèbre, n’a pas été épargné non plus : il entretient désormais une liaison agitée avec un acteur. Il va devoir une fois encore soutenir sa vieille amie...

Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule l'affection de Florent éclaire encore ses journées. Ce dernier, à présent couturier célèbre, n’a pas été épargné non plus : il entretient désormais une liaison agitée avec un acteur. Il va devoir une fois encore soutenir sa vieille amie car Adélaïde finit par tout apprendre sur son défunt mari… Mais est-il encore temps de souffrir ?
Les destins se heurtent et se conjuguent à la recherche d’une sérénité incertaine et toujours dérobée. Même si le sort en est jeté, les personnages ballottés par la vie conservent, envers et contre tout, le goût du bonheur…

« On s'y jette avec ferveur, on pleure, on rit, on aime, on tremble avec ces héros. Et on souffre de les quitter la dernière page avalée. » Marie L'Hermet – Phosphore

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EAN : 9782266167628
Code sériel : 13182
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 1120
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266167628
Code sériel : 13182
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 1120
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« On s’y jette avec ferveur, on pleure, on rit, on aime, on tremble avec ces héros. Et on souffre de les quitter, la dernière page avalée. »

Marie L’Hermet – Phosphore

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • luciept 06/03/2024
    Je n'en reviens pas d'avoir fini cette trilogie ! J'ai acheté ces livres à la braderie de la médiathèque en mai 2019. Lu le premier tome en juin 2020. Le second en avril 2021. Je finis donc à la fois une saga, une relique de ma PAL et une brique. Car oui, il y a des longueurs : j'ai mis 11 jours à le lire car d'abord j'ai dû relire la fin du tome 2 puis, même en lisant pas mal de temps chaque jour, le nombre de pages restant semblait toujours aussi conséquent, un enfer ! Mais d'un autre côté, peut-être encore plus dans ce tome que dans les précédents car là on suit cette famille élargie dans ses joies et ses peines pendant quasi 20 ans, quand j'aie eu fini j'ai eu du mal à me mettre dans autre chose car j'avais l'impression que les personnages avaient pris vie et que j'allais les retrouver en rentrant chez moi. J'ai été à nouveau emballée par Adélaïde qui se relève toujours des horreurs qui lui arrivent, et qui bataille toujours entre ses désirs et sa raison, quel personnage complexe ! Même si le tome s'appelle Florent, et même si j'aime beaucoup celui-ci pour son intelligence sensible, je trouve que c'est toujours elle la main character. Mais à eux deux, et avec les autres, ils ouvrent des pistes de réflexion sur la déconstruction des idées de féminité et de masculinité véhiculées par le catholicisme patriarcal et ça c'est un grand oui !! Alors d'accord, je n'ai pas été entièrement convaincue par tout dans ces 771 pages, mais pendant cette lecture, j'ai été émue, horrifiée, choquée, j'ai souri, quasi pleuré, réfléchi... et finalement c'est bien ça l'important !Je n'en reviens pas d'avoir fini cette trilogie ! J'ai acheté ces livres à la braderie de la médiathèque en mai 2019. Lu le premier tome en juin 2020. Le second en avril 2021. Je finis donc à la fois une saga, une relique de ma PAL et une brique. Car oui, il y a des longueurs : j'ai mis 11 jours à le lire car d'abord j'ai dû relire la fin du tome 2 puis, même en lisant pas mal de temps chaque jour, le nombre de pages restant semblait toujours aussi conséquent, un enfer ! Mais d'un autre côté, peut-être encore plus dans ce tome que dans les précédents car là on suit cette famille élargie dans ses joies et ses peines pendant quasi 20 ans, quand j'aie eu fini j'ai eu du mal à me mettre dans autre chose car j'avais l'impression que les personnages avaient pris vie et que j'allais les retrouver en rentrant chez moi. J'ai été à nouveau emballée par Adélaïde qui se relève toujours des horreurs qui lui arrivent, et qui bataille toujours entre ses désirs et sa raison, quel personnage complexe ! Même si le tome s'appelle Florent, et même si j'aime beaucoup...
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  • germ1tor 27/11/2023
    Ce troisième volume clôt cette belle fresque québecoise des années folles aux années 60. Ce n’est pas le meilleur à mon avis: il y a des longueurs. Les amours contrariés de Florent, les psychanalyses de Léa sont détaillés et on y puise de la valeur pour la compréhension des tourments des personnages centraux que sont Léa et Florent. Le problème est leur caractère répétitif, ce qui devient lassant. Mais Adélaïde reste le centre focal de tout ce petit monde et l’on voit avec plaisir les joies et les peines de chacun qui évoluent de nature. On change d’époque. C’est la révolution des moeurs et des mentalités avec l’arrivée de la pilule. Même au Québec en 1960!
  • alexandra1967 07/10/2022
    (août 2006) Note complète au tome 1 de la trilogie (Le goût du bonheur, Gabrielle) Le goût du bonheur est une fresque déroulant le Québec pris au piège entre les Etats-Unis et l'Europe. Son histoire est en filigrane d'une saga si romanesque que ses personnages nous transportent au long cours du siècle, de l'avant-guerre, sous la gangue des conventions sociales et de la religion, à l'aube des années 70 qui découvre un Québec en pleine mutation. Québec, 1930. Gabrielle est mariée avec Edward depuis bientôt dix ans. Elle mène une vie bien remplie, entourée de ses cinq enfants. De toute évidence, il s'agit d'un mariage heureux. Mais le bonheur est suspect en cette époque où notre sainte mère l'Église nous dit que nous sommes sur terre pour accomplir notre devoir. Et si c'était possible de changer le monde autrement que par la prière ? Avril 1942. Adélaïde devient mère à son tour. Quand cette guerre prendra-t-elle fin ? Qu'est-ce qui restera de ce monde à jamais bouleversé ? Juin 1949. Florent referme le volet de la trilogie en 1968, à l'heure du "Québec libre".
  • Steffdrea 26/03/2021
    Cette trilogie m'a captivé du début à la fin. Suivre ces histoires de familles sur des notes historiques m'a passionné. J'ai aimé les personnages même si je n'étais pas toujours d'accord avec leur façon de faire. J'ai eu de la peine, j'ai eu de l'espoir, j'ai eu de beaux moments et des moments terribles. J'étais tombée sur le 1er tome complètement par hasard. Je me souviens d'avoir eu un peu de mal au début avec les expressions canadiennes mais j'ai plongé dans l'histoire. Il fallait absolument que je lise les tomes suivants ! Je n'ai pas été déçue !
  • Marcuyttendaele 28/01/2021
    Des larmes dans les yeux. La douleur d’une rupture, d’une fin. J’ai fini Florent pendant des mois, lisant quelques pages au compte-goutte pour ne pas quitter cet univers, pour ne pas avoir fini, pour rester avec ses personnages si vivants, si vrais, si profondément humains. Est un chef d’œuvre, le roman que l’on ressent comme tel et tel est le cas de la trilogie de Marie Laberge. Si québécois en apparence, si universel en réalité. A aucun moment, l’auteure ne perd son souffle. Elle fait de l’intime, le terreau de tous les combats : combat contre l’obscurantisme religieux, combat pour l’égalité entre les femmes et les hommes, combat contre l’homophobie, combat congre les conventions sociales… Vivre, survivre, croire dans le rebond de la vie quand elle se dilue. Chacun a deux naissances et doit vivre deux accouchements. Le premier naturel dont il est témoin plus qu’acteur puis l’accouchement de soi-même, dont on est seul responsable, un accouchement qui est un cheminement vers sa propre liberté… Car le gout du bonheur est avant tout le courage intime de sa propre liberté. Merci Madame Laberge pour ces longs moments passés avec vous et pour ce cadeau que vous avez offert à nombre de vos lecteurs, et à moi assurément, se sentir chez soi, chez vousDes larmes dans les yeux. La douleur d’une rupture, d’une fin. J’ai fini Florent pendant des mois, lisant quelques pages au compte-goutte pour ne pas quitter cet univers, pour ne pas avoir fini, pour rester avec ses personnages si vivants, si vrais, si profondément humains. Est un chef d’œuvre, le roman que l’on ressent comme tel et tel est le cas de la trilogie de Marie Laberge. Si québécois en apparence, si universel en réalité. A aucun moment, l’auteure ne perd son souffle. Elle fait de l’intime, le terreau de tous les combats : combat contre l’obscurantisme religieux, combat pour l’égalité entre les femmes et les hommes, combat contre l’homophobie, combat congre les conventions sociales… Vivre, survivre, croire dans le rebond de la vie quand elle se dilue. Chacun a deux naissances et doit vivre deux accouchements. Le premier naturel dont il est témoin plus qu’acteur puis l’accouchement de soi-même, dont on est seul responsable, un accouchement qui est un cheminement vers sa propre liberté… Car le gout du bonheur est avant tout le courage intime de sa propre liberté. Merci Madame Laberge pour ces longs moments passés avec vous et pour ce cadeau que vous avez offert à nombre...
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