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Le Monde perdu
Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 24/12/2008
Éditeurs :
Pocket

Le Monde perdu

Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 24/12/2008

Il y a six ans, les dinosaures disparaissaient de la surface du globe en même temps que le projet Jurassic Park. Avec la destruction de ce gigantesque parc d’attractions devenu...

Il y a six ans, les dinosaures disparaissaient de la surface du globe en même temps que le projet Jurassic Park. Avec la destruction de ce gigantesque parc d’attractions devenu incontrôlable, l’extinction semblait définitive. Le professeur Levine, pourtant, n’en croit rien. La présence de lézards singuliers, signalés sur le littoral...

Il y a six ans, les dinosaures disparaissaient de la surface du globe en même temps que le projet Jurassic Park. Avec la destruction de ce gigantesque parc d’attractions devenu incontrôlable, l’extinction semblait définitive. Le professeur Levine, pourtant, n’en croit rien. La présence de lézards singuliers, signalés sur le littoral du Costa Rica, l’incite même à se rendre sur place. Et l’hypothèse d’un second site, gardé secret par les généticiens d’InGen, prend tout son sens : un site B, un monde perdu. Pour Levine, la tentation est irrésistible…

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EAN : 9782266193481
Code sériel : 10263
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266193481
Code sériel : 10263
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Fifrildi 02/09/2023
    Suite à ma lecture de ‘Jurassic Park', j'étais très curieuse de découvrir les surprises que me réservait cette suite. Je l'ai dévorée en quelques jours. Un gros coup de coeur ! Comment ont-ils pu faire une adaptation aussi nulle alors qu'ils avaient une histoire en or entre les mains ? Comment ont-ils pu rayer la majeure partie des personnages du scénario? C'est l'incompréhension totale. Des choses étranges se produisent et éveillent la curiosité de Richard Levine, un paléontologue. Ses recherches le conduisent vers le mystérieux site B au large du Costa Rica. Il prépare une expédition qui entraînera Jack « Doc » Thorne, Eddie Carr, ses élèves (Arby Kelly) ainsi que le très célèbre Ian Malcolm (dont la mort avait été annoncée) dans une aventure époustouflante. Se joint également au groupe Sarah Harding, une éthologiste qui étudie les grands prédateurs d'Afrique. Le film ne rend pas hommage au personnage de Sarah qui n'a pas froid aux yeux et sans qui on se demande s'il aurait été possible aux survivants de quitter l'île. C'est la badass du groupe. Que j'aurais aimé la voir (dans le film) sur sa moto – les cheveux au vent – traquer un vélociraptor ! Je l'avoue, j'aurais aimé voir aussi Levine suivre le tyrannosaure sur son vélo. Pas de bonne histoire sans une poignée de méchants. Lewis Dodgson est vraiment un type détestable. Il rejoint l'île de son côté avec 2 acolytes dans le but de [masquer] voler des oeufs directement dans les nids des différentes espèces. [/masquer] Ce n'est pas malin du tout. Une fois sur l'île, le suspense m'a tenue en haleine jusqu'au bout. J'ai beaucoup aimé les petits cours de Malcom sur l'histoire de l'évolution (Cuvier, Darwin, …) et l'idée qu'il ne soit pas nécessaire d'être percuté par une météorite pour voir une espèce s'éteindre. Il blablate beaucoup. Il n'est pas aussi courageux que Sarah. Petit clin d'oeil à Arthur Conan Doyle avec le véhicule nommé Challenger. du moins, il me plaît de le penser. Surprise aussi de voir les noms de George Schaller et Dian Fossey cités. Un petit conseil avant de terminer. Si vous vous retrouvez face à un tyrannosaure ne restez pas planté comme un piquet : FUYEZ ! On nous ment dans les films, ils n'ont pas lu le bon article. Challenge XXe siècle 2023 Challenge mauvais genres 2023 Suite à ma lecture de ‘Jurassic Park', j'étais très curieuse de découvrir les surprises que me réservait cette suite. Je l'ai dévorée en quelques jours. Un gros coup de coeur ! Comment ont-ils pu faire une adaptation aussi nulle alors qu'ils avaient une histoire en or entre les mains ? Comment ont-ils pu rayer la majeure partie des personnages du scénario? C'est l'incompréhension totale. Des choses étranges se produisent et éveillent la curiosité de Richard Levine, un paléontologue. Ses recherches le conduisent vers le mystérieux site B au large du Costa Rica. Il prépare une expédition qui entraînera Jack « Doc » Thorne, Eddie Carr, ses élèves (Arby Kelly) ainsi que le très célèbre Ian Malcolm (dont la mort avait été annoncée) dans une aventure époustouflante. Se joint également au groupe Sarah Harding, une éthologiste qui étudie les grands prédateurs d'Afrique. Le film ne rend pas hommage au personnage de Sarah qui n'a pas froid aux yeux et sans qui on se demande s'il aurait été possible aux survivants de quitter l'île. C'est la badass du groupe. Que j'aurais aimé la voir (dans le film) sur sa moto – les cheveux au vent – traquer un vélociraptor ! Je l'avoue, j'aurais aimé voir aussi Levine...
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  • gatsbi 11/08/2023
    On prend les mêmes et on recommence ? Pas tout à fait… Michael Crichton imagine une suite à son cultissime Jurassic Park dans laquelle seul un personnage est réinvesti. Un choix risqué qui doit avoir ses raisons. Qu’on se rassure, il s’agit bien de lui : le personnage le plus saillant, le plus disruptif, le plus agaçant et le plus drôle, le plus emblématique surtout du premier opus, celui qui portait le roman. Le célèbre mathématicien Ian Malcom rempile une nouvelle fois et, fidèle à son caractère, il se fait même prier pour cela ! Cette suite exploite logiquement des éléments semés à la fin du précédent roman, notamment ce fameux site B dont je ne dirai rien. J’avais trouvé Jurassic Park excellent. Le monde perdu est peut-être légèrement inférieur. Crichton est un maitre du techno-thriller. Sa maitrise se mesure à la facilité avec laquelle on entre dans l’histoire, à la vitesse à laquelle on enchaine les pages, et à la difficulté qu’on éprouve à s’interrompre en cours de route. Par rapport au premier opus, j’ai noté une entrée en matière simplifiée. Si la recette est la même, les personnages éparpillés que l’on suit au départ sont un peu moins nombreux, et on cerne plus rapidement ceux qu’on va suivre, la dream team, si l’on peut dire ! Celle-ci est aussi plus restreinte et c’est tant mieux, je me souviens avoir approuvé quelques difficultés à distinguer certains personnages dans le roman précédent. Toujours dans la simplification, j’ai noté une diminution des trames que l’on suit en alternance, sans nuire au dynamisme, toujours aussi présent. Encore une petite amélioration : dans Jurassic Park, il fallait attendre la première moitié pour voir les personnages principaux se confronter aux dinos. Ici, on a droit à une première altercation bien plus tôt, et qui installe dès lors un niveau d’angoisse qui ne disparaitra pas. Les personnages sont mieux caractérisés dans ce second volet je trouve. Ian Malcom reste égal à lui-même, mais on perçoit davantage ses faiblesses et cela le rend touchant. Dans Jurassic Park, l’opposition entre les deux personnages excentriques (Malcom et Hammond, le vieux propriétaire du parc) fonctionnait très bien. Ici, c’est la dualité entre Malcom et Levine (un éminent paléontologue) qui est mise en avant, et là encore c’est très réussi. On remarque des traits communs entre Levine et Hammond : ils sont riches et paient de leurs deniers l’expédition (la visite dans le premier roman) ; ils sont excentriques et autoritaires, mais aussi naïfs, égoïstes et lâches (ce sont de parfaits « méchants » pour un divertissement grand spectacle et grand public). Mais Levine n’est pas non plus un claque de Hammond. C’est un jeune scientifique très renommé et imbu de sa personne, ce qui le positionne comme un rival de Malcom. Un aspect exploité, peut-être pas suffisamment. On a encore droit à un duo d’enfants dans l’équipe (divertissement grand public). Ils sont mieux travaillés que dans le premier roman je trouve. Ici, c’est le jeune garçon qui endosse le rôle de spécialiste en informatique. Un changement, puisque dans Jurassic Park, ce rôle était tenu par un personnage peu sympathique. L’héroïne de l’équipe – la zoologiste Sarah Harding – est une battante. En termes de rôles, elle se substitue clairement à Alan Grant dans le premier opus, hormis la connaissance des dinosaures de ce dernier, laquelle a été transférée à Levine. De quoi satisfaire celles et ceux qui réclament des héroïnes ! Sans surprise, la partie thriller est traitée de la même façon que dans Jurassic park. Encore plus effrénée, j’ai trouvé. Les chapitres ont aussi raccourci, ce qui va dans le même sens. Jurassic park m’avait aussi impressionné pour les thèmes scientifiques développés, ainsi que pour le regard critique apporté sur la science contemporaine. Dans le Monde perdu, Crichton en remet une couche en abordant d’autres sujets : - Concernant les dinosaures, on avait découvert la technologie permettant de redonner vie à ses espèces disparues. Ici, on s’intéresse à la question de l’extinction des espèces. - Dans le premier opus, l’auteur alertait sur le rapprochement entre l’université et l’industrie dans le domaine de la biotechnologie. Une cause structurelle expliquant les conflits d’intérêts touchant l’immense majorité des spécialistes de la biologie moléculaire (et c’était il y a 30 ans déjà...). Ici, Crichton développe certaines des dérives logiques dans un tel système : le vol de technologies pratiqué par certaines entreprises, mais aussi les dilemmes auxquels doivent faire face les jeunes scientifiques (les recherches les plus intéressantes étant souvent les moins rentables). - Même Ian Malcom s’est renouvelé : sa théorie du chaos était le thème central dans le premier opus (illustrée par des fractales dans le livre). Ici, cette théorie passe au second plan pour laisser place à des réflexions toutes aussi intéressantes autour de l’extinction des espèces et de leur comportement. À l’appui, des illustrations montrant les différents stades d’un « jeu de la vie ». En conclusion, un très bon roman qui permet de revivre l’expérience Jurassic Park avec une histoire et des personnages un peu différents.On prend les mêmes et on recommence ? Pas tout à fait… Michael Crichton imagine une suite à son cultissime Jurassic Park dans laquelle seul un personnage est réinvesti. Un choix risqué qui doit avoir ses raisons. Qu’on se rassure, il s’agit bien de lui : le personnage le plus saillant, le plus disruptif, le plus agaçant et le plus drôle, le plus emblématique surtout du premier opus, celui qui portait le roman. Le célèbre mathématicien Ian Malcom rempile une nouvelle fois et, fidèle à son caractère, il se fait même prier pour cela ! Cette suite exploite logiquement des éléments semés à la fin du précédent roman, notamment ce fameux site B dont je ne dirai rien. J’avais trouvé Jurassic Park excellent. Le monde perdu est peut-être légèrement inférieur. Crichton est un maitre du techno-thriller. Sa maitrise se mesure à la facilité avec laquelle on entre dans l’histoire, à la vitesse à laquelle on enchaine les pages, et à la difficulté qu’on éprouve à s’interrompre en cours de route. Par rapport au premier opus, j’ai noté une entrée en matière simplifiée. Si la recette est la même, les personnages éparpillés que l’on suit au départ sont un peu moins nombreux, et on cerne plus rapidement ceux qu’on va suivre, la...
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  • AlexandreAllamanche 02/07/2023
    Je retrouve ici Ian Malcolm ainsi que de nouveaux personnages pour un nouveau pique-nique dans la nature. L'un d'entre eux, Levine, estime que l'existence d'un "monde perdu" est possible, un endroit où des espèces présumées disparues subsisteraient. Pour étayer cette hypothèse, Levine compte sur un voyage en Amérique Centrale où des animaux étranges échouent sur les plages depuis plusieurs années... Malcolm, qui a interdiction de parler de ce qu'il a vu 5 ans plus tôt sur Isla Nublar, tente de l'en dissuader, mais quand Levine répond au téléphone satellite, ce n'est que pour appeler à l'aide parce que quelque chose de gros et passablement dangereux semble le menacer... Voilà comment notre professeur retourne au Costa Rica. J'avais vraiment adoré Jurassik Park, cette suite est pour moi TRÈS légèrement moins palpitante ; on retrouve bien évidemment raptors, parasorolauphus, pachycephalosaures, quelques sauropodes et ces bons vieux tyrannosaures pour moultes scènes d'action et de charcuterie. L'ensemble est à lire sans hésiter pour un bon moment dans les jungles d'une île et d'un monde perdu. Le principal "bémol" pour moi toutefois, a tte été de voir les personnages discuter évolution et extinction de masse alors que les mâchoires d'un théropode leur claque presque aux oreilles... Mais au milieu de toutes ces grosses bêtes, j'avoue que je cherche peut-être la petite ici...Je retrouve ici Ian Malcolm ainsi que de nouveaux personnages pour un nouveau pique-nique dans la nature. L'un d'entre eux, Levine, estime que l'existence d'un "monde perdu" est possible, un endroit où des espèces présumées disparues subsisteraient. Pour étayer cette hypothèse, Levine compte sur un voyage en Amérique Centrale où des animaux étranges échouent sur les plages depuis plusieurs années... Malcolm, qui a interdiction de parler de ce qu'il a vu 5 ans plus tôt sur Isla Nublar, tente de l'en dissuader, mais quand Levine répond au téléphone satellite, ce n'est que pour appeler à l'aide parce que quelque chose de gros et passablement dangereux semble le menacer... Voilà comment notre professeur retourne au Costa Rica. J'avais vraiment adoré Jurassik Park, cette suite est pour moi TRÈS légèrement moins palpitante ; on retrouve bien évidemment raptors, parasorolauphus, pachycephalosaures, quelques sauropodes et ces bons vieux tyrannosaures pour moultes scènes d'action et de charcuterie. L'ensemble est à lire sans hésiter pour un bon moment dans les jungles d'une île et d'un monde perdu. Le principal "bémol" pour moi toutefois, a tte été de voir les personnages discuter évolution et extinction de masse alors que les mâchoires d'un théropode leur claque presque aux oreilles... Mais au...
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  • quentinpinjon 09/02/2023
    Une énorme déception pour ce deuxième épisode, je ne supporte pas les facilités scénaristiques où on rend vie à certains personnages sans donner aucune raison ... Ce roman existe uniquement pour des raisons financières pour surfer sur la vague du succès du premier film et également que Steven Spielberg voulait une suite pour l'adapter au cinéma sauf qu'à la vue du résultat final de ces deux média, ils n'ont pas grand-chose en commun. Après, pour rester honnête, il reste de très bonnes idées, car Michel Crichton reste un auteur talentueux, mais il est loin pour moi du niveau du premier Jurassic parc. Et l'adaptation cinématographique est encore une fois moins bonne, mais cela vient surtout des personnes bien mieux écris dans le livre. Et dans le livre oublié la venue d'un T-Rex dans la ville, c'était juste un énorme kiff que Spielberg voulait pour faire clin d'œil à un de ce film préféré "King Kong"
  • Bennybooks 16/06/2022
    Si vous avez vu le film avant de lire ce livre, sachez que les deux œuvres non presque rien à voir. Hormis la mission de secours qui se monte pour aller chercher un scientifique sur une île voisine de celle de Jurassic Park, et quelques scènes, c’est à peu près tout. J’ai trouvé ce livre moins bon que le premier livre. Moins d’action, plus scientifique, et le scénario traîne en longueur. Cela reste quand même une bonne suite qui se lit rapidement mais je me suis parfois ennuyé dans ma lecture. Un conseil : faites vous votre propre avis.
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