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Le Montespan
Date de parution : 05/03/2009
Éditeurs :
Pocket

Le Montespan

Date de parution : 05/03/2009

Au temps du Roi-Soleil, avoir sa femme dans le lit du monarque était pour les nobles une source de privilèges inépuisable. Le jour où Louis XIV jeta son dévolu sur...

Au temps du Roi-Soleil, avoir sa femme dans le lit du monarque était pour les nobles une source de privilèges inépuisable. Le jour où Louis XIV jeta son dévolu sur Mme de Montespan, chacun, à Versailles, félicita le mari. C’était mal connaître Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan…

Passionnément amoureux de...

Au temps du Roi-Soleil, avoir sa femme dans le lit du monarque était pour les nobles une source de privilèges inépuisable. Le jour où Louis XIV jeta son dévolu sur Mme de Montespan, chacun, à Versailles, félicita le mari. C’était mal connaître Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan…

Passionnément amoureux de son épouse, Louis-Henri prit très mal la chose. Il orna son carrosse de cornes gigantesques, entreprit de mener une guerre impitoyable contre celui qui profanait une union si parfaite, et poursuivit de sa haine l’homme le plus puissant de la planète pour tenter de récupérer sa femme…

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EAN : 9782266186742
Code sériel : 13872
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266186742
Code sériel : 13872
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un tableau débridé, hallucinant, hilarant et émouvant de l’envers du Grand Siècle. »

Joëlle Chevé ? ELLE

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ThalieD 15/02/2024
    Il était une fois Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan et Françoise de Rochechouart de Mortemart, tous deux tombent amoureux, les époux deviennent parents, Françoise devient Athénaïs, parce que c’est plus « précieux », Madame est appelée La Montespan mais elle s’ennuie et le Marquis sans le sou a du mal à la combler. Louis-Henri part à la guerre avec le vœu de redorer son blason auprès du roi, mais il revient plus humilié et sa femme pendant son absence est rentré dans "les bonnes grâces" du monarque qui a fait d’elle sa favorite. Le mari qui pensait que sa femme saurait résister aux assauts de Louis XIV, découvre le ventre rond de celle-ci et ne peut que constater l’infidélité. Si il aurait été de bon ton de se réjouir de la situation, car à l’époque la famille d’une femme qui partage le lit du roi obtient tout ce qu’elle désire Louis-Henri n’en fait rien et n’accepte aucun gage, ni honneur et bien au contraire va par tout vent accuser le roi de cet affront sans jamais avoir peur des représailles, faisant face aux menaces et aux moqueries. Jean Teulé raconte l’histoire d’amour du cocu le plus connu sous le règne de Louis XIV. Du courage il lui en a fallu et jamais il ne céda, le combat de sa vie sera de récupérer sa femme, l’amour de sa vie. L’auteur connu pour son écriture fantaisiste ne déroge pas à la règle avec « Le Montespan » apportant comme toujours dans ses récits historiques une part de folie et de légèreté dans des contextes souvent très dramatiques. Franchement je ne me suis jamais demandée si la Montespan était mariée car il est plus d'usage de parler de sa vie de maîtresse que de celle d'épouse. Je me suis attachée à l’écriture de Jean Teulé parfois me demandant si il n’en rajoutait pas un peu et puis je me laisse prendre à chaque livre dont le style est incomparable.Il était une fois Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan et Françoise de Rochechouart de Mortemart, tous deux tombent amoureux, les époux deviennent parents, Françoise devient Athénaïs, parce que c’est plus « précieux », Madame est appelée La Montespan mais elle s’ennuie et le Marquis sans le sou a du mal à la combler. Louis-Henri part à la guerre avec le vœu de redorer son blason auprès du roi, mais il revient plus humilié et sa femme pendant son absence est rentré dans "les bonnes grâces" du monarque qui a fait d’elle sa favorite. Le mari qui pensait que sa femme saurait résister aux assauts de Louis XIV, découvre le ventre rond de celle-ci et ne peut que constater l’infidélité. Si il aurait été de bon ton de se réjouir de la situation, car à l’époque la famille d’une femme qui partage le lit du roi obtient tout ce qu’elle désire Louis-Henri n’en fait rien et n’accepte aucun gage, ni honneur et bien au contraire va par tout vent accuser le roi de cet affront sans jamais avoir peur des représailles, faisant face aux menaces et aux moqueries. Jean Teulé raconte l’histoire d’amour du cocu le plus connu sous...
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  • AMC28 11/02/2024
    Un très bon Teulé: humour indécent, scènes crues, des délires loufoques, des dialogues cinglants. J'ai beaucoup ri au passage où Montespan est à la cour d'Espagne! Une farce délirante. Une manière de nous présenter des personnages historiques spéciale, mais pleine de vie.
  • Peluche0706 02/02/2024
    Jean Teulé n’était pas historien mais il avait le don de nous raconter des petites histoires dans la grande Histoire. J’ignorais totalement l’histoire du Montespan, en dehors du fait que c’était le cocu le plus célèbre de France. Pas de quoi en rire au premier abord, mais malgré tout, on rit plus d’une fois avec ce roman. Après un démarrage un peu compliqué, j’étais ensuite très bien dans ma lecture. Certaines anecdotes me semblaient trop énormes pour que cela soit vrai, mais en vérifiant sur Internet, c’est pourtant le cas. Bien sûr, l’auteur a brodé l’histoire avec des dialogues improbables, des mises en scène très drôles pour rajouter de l’humour en permanence. A priori, déjà à l’époque, le Montespan était connu pour être le cocu le plus connu, et beaucoup se sont moqués de lui. D’autant plus que c’est le roi Louix XIV himself qui est l’amant de sa femme. Le roi a voulu « acheter » dans un premier temps pour la reconnaissance de sa femme en tant que favorite du roi, et dans un deuxième temps, parce que faute d’accepter cette relation adultérine, le Montespan a montré plus d’une fois son mécontentement face à cette situation. Il faut dire que le Montespan a fait en sorte que cela soit su aux yeux de tout le monde et s’est illustré plus d’une fois d’une manière ridicule. J’ai appris un tas de chose, y compris pourquoi la chaussée d’Antin s’appelle comme ça. Mon prochain passage à cette station de métro me rappellera ma lecture. Bref, il faut lire ce roman pour comprendre l’histoire du Montespan. Son histoire peut être difficilement raconté en un résumé. Pour donner un aperçu quand même du ridicule de ce pauvre homme cocu, il faut savoir qu’il a orné son carrosse de corne de cerf. A vous de lire ce roman. Vous allez passer un bon moment de lecture, et rire souvent. Jean Teulé n’était pas historien mais il avait le don de nous raconter des petites histoires dans la grande Histoire. J’ignorais totalement l’histoire du Montespan, en dehors du fait que c’était le cocu le plus célèbre de France. Pas de quoi en rire au premier abord, mais malgré tout, on rit plus d’une fois avec ce roman. Après un démarrage un peu compliqué, j’étais ensuite très bien dans ma lecture. Certaines anecdotes me semblaient trop énormes pour que cela soit vrai, mais en vérifiant sur Internet, c’est pourtant le cas. Bien sûr, l’auteur a brodé l’histoire avec des dialogues improbables, des mises en scène très drôles pour rajouter de l’humour en permanence. A priori, déjà à l’époque, le Montespan était connu pour être le cocu le plus connu, et beaucoup se sont moqués de lui. D’autant plus que c’est le roi Louix XIV himself qui est l’amant de sa femme. Le roi a voulu « acheter » dans un premier temps pour la reconnaissance de sa femme en tant que favorite du roi, et dans un deuxième temps, parce que faute d’accepter cette relation adultérine, le Montespan a montré plus d’une fois son mécontentement face à cette situation. Il faut...
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  • Marie2406 24/01/2024
    Si la Marquise de Montespan est restée dans l’histoire, son infortuné mari lui en a été oublié. Et portant personnage haut en couleur que ce Louis-Henri de Pardaillan, Marquis de Montespan. Si pour beaucoup, l’époux d’une femme remarquée par Louis XIV, et même souvent remarquée jusqu’à la glisser dans son lit, savait qu’il tenait la fortune a portée de mains grâce aux largesses du roi qui ne reculait devant rien pour « indemniser » le cocu, il n’en pas été de même pour le mari de Françoise de Rochechouart qui a d’ailleur un jour décidé que son prénom serait "Athénaïs". Le Marquis de Pompadour qui n’a eu de cesse de poursuivre de sa vindicte l’homme tant détesté tout roi qu’il fut, jusqu’à même avoir le soutien de son oncle home d’église qui horrifié devant un tel adultère menaçait de faire excommunier Louis XIV. Mais le Roi non plus n’a reculé devant rien pour faire plier le Gascon amoureux fou de sa femme qu’il tentait de récupérer par tous les moyens. Jean Teulé nous raconte ici l’histoire du cocu avec une verve qui n’aurait certainement pas déplue au Marquis.
  • eliseetgatsby 06/01/2024
    Versailles, XVIIe siècle. Quand le Roi Soleil prenait une dame pour maîtresse, la famille disait “merci”. Et s’il en faisait sa favorite, là, c’était jackpot ! Alors quand Madame de Montespan remplaça Louise de la Vallière dans le cœur de Louis XIV, la cour attendait de son mari qu’il soit “joie et allégresse” … Mais non ! Car le marquis de Montespan aimait sa femme, et devenir le plus célèbre c*cu de France, très peu pour lui ! Trop de livres et de films nous ont vendu l’image élégante et érudite de la cour du Roi Soleil. Or, il y avait “quelque chose de pourri” dans la galerie des Glaces ! Vanités, ambitions, plaisirs à tous les étages et dans n’importe quel recoin : à cette époque, Versailles était un véritable lieu de perdition que certains nobles fuyaient. Jean Teulé retranscrit avec humour et modernité (mon bémol : le langage est parfois anachronique) les potins de cette période, qui si elle était racontée ainsi à l’école, intéresserait mille fois plus les élèves ! Tout ce qu’il dit du Montespan est historiquement vrai : le carrosse à cornes, les manigances pour se venger du roi, les exils imposés, et son immense amour pour une femme qui n’en méritait pas le quart. Malgré une histoire drôle et surprenante, Montespan est aussi très touchant. Toute cette tendresse, cette pureté des sentiments … Et une vraie tristesse par moments (par exemple, la petite qui meurt de peine suite à l’abandon de la mère égoïste). Une lecture que je recommande si vous aimez l’Histoire, mais surtout si vous ne l’aimez pas ! Versailles, XVIIe siècle. Quand le Roi Soleil prenait une dame pour maîtresse, la famille disait “merci”. Et s’il en faisait sa favorite, là, c’était jackpot ! Alors quand Madame de Montespan remplaça Louise de la Vallière dans le cœur de Louis XIV, la cour attendait de son mari qu’il soit “joie et allégresse” … Mais non ! Car le marquis de Montespan aimait sa femme, et devenir le plus célèbre c*cu de France, très peu pour lui ! Trop de livres et de films nous ont vendu l’image élégante et érudite de la cour du Roi Soleil. Or, il y avait “quelque chose de pourri” dans la galerie des Glaces ! Vanités, ambitions, plaisirs à tous les étages et dans n’importe quel recoin : à cette époque, Versailles était un véritable lieu de perdition que certains nobles fuyaient. Jean Teulé retranscrit avec humour et modernité (mon bémol : le langage est parfois anachronique) les potins de cette période, qui si elle était racontée ainsi à l’école, intéresserait mille fois plus les élèves ! Tout ce qu’il dit du Montespan est historiquement vrai : le carrosse à cornes, les manigances pour se venger du roi, les exils imposés, et son immense amour pour...
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