Le Passager sans visage

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Les_lectures_du_train 24/09/2023
  Nous retrouvons ici Grace Campbell, après ses précédentes aventures ("Le dernier message"), qui nous avaient menées tout droit au Groenland. Elle y avait découvert les prémices de ce qui pourrait être le scandale du siècle, orchestré par Olympe. Et nous avions aussi découvert chez elle, l'existence d'une pièce secrète, fermée par une porte blindée. Dans ce tome, nous découvrons enfin ce qui se cache derrière cette fameuse porte. En effet, Grace décide d'affronter les traumatismes de son passé, après avoir trouvé un mot anonyme sur son paillasson. Son enquête va la mener de la campagne écossaise, au cœur de la Forêt Noire, jusqu'aux confins de la Suisse. Ce que Grace et les autres enfants ont vécu est d'une horreur sans nom. L'auteur met ici en avant les perversions les plus terribles de certains hommes et plus généralement de nos sociétés. Comme dans chacun de ses livres, Nicolas Beuglet nous fait voyager et nous cultive. J'ai personnellement appris des faits historiques ou plus actuels qui m'étaient méconnus. L'auteur nous explique bien, à la fin de chaque tome, quelles sont ses sources, pour bien démêler le vrai du fictionnel. Ce tome, à l'image des précédents, est vraiment un thriller passionnant et difficile à... Nous retrouvons ici Grace Campbell, après ses précédentes aventures ("Le dernier message"), qui nous avaient menées tout droit au Groenland. Elle y avait découvert les prémices de ce qui pourrait être le scandale du siècle, orchestré par Olympe. Et nous avions aussi découvert chez elle, l'existence d'une pièce secrète, fermée par une porte blindée. Dans ce tome, nous découvrons enfin ce qui se cache derrière cette fameuse porte. En effet, Grace décide d'affronter les traumatismes de son passé, après avoir trouvé un mot anonyme sur son paillasson. Son enquête va la mener de la campagne écossaise, au cœur de la Forêt Noire, jusqu'aux confins de la Suisse. Ce que Grace et les autres enfants ont vécu est d'une horreur sans nom. L'auteur met ici en avant les perversions les plus terribles de certains hommes et plus généralement de nos sociétés. Comme dans chacun de ses livres, Nicolas Beuglet nous fait voyager et nous cultive. J'ai personnellement appris des faits historiques ou plus actuels qui m'étaient méconnus. L'auteur nous explique bien, à la fin de chaque tome, quelles sont ses sources, pour bien démêler le vrai du fictionnel. Ce tome, à l'image des précédents, est vraiment un thriller passionnant et difficile à lâcher. J'aime beaucoup les héroïnes qu'il a inventé, des femmes fortes malgré des histoires personnelles très difficiles.

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• OliverMoreauxAuteur 12/09/2023
  Deuxième Beuglet pour moi avec la suite des aventures de Grâce Campbell et, comme pour le premier, des sentiments mitigés… D’abord une intrigue à la James Bond avec une enquêtrice indestructible à qui sourient tous les hasards et coïncidences. les ficelles sont grosses comme des câbles marins et on peine à y croire. Ensuite, Beuglet a de gros problèmes avec son chronomètre ou semble jouir d’horaire élastique. Voici donc une enquêtrice qui arrive au bureau à 8h, confie un dossier au labo, lit ses mails, reçoit le résultat du labo, effectue les bonnes déductions, réserve un billet d’avion pour Hanovre et décolle à 11h05 en ayant eu le temps de prendre un taxi pour rentrer chez elle, saisir une valise à la hâte et faire la procédure d’embarquement spécifique aux armes à feu. C’est fort, c’est très fort mais cela nuit clairement au réalisme de l’ensemble. Enfin, et c’est ce que j’apprécie le plus chez lui, c’est qu’il part d’une problématique réelle pour construire son roman et titille notre curiosité avec une vision différente de celle proposée par les courants de pensée mainstream. C’est ce dernier point qui sauve l’ensemble à mes yeux. Maintenant, chacun place le curseur... Deuxième Beuglet pour moi avec la suite des aventures de Grâce Campbell et, comme pour le premier, des sentiments mitigés… D’abord une intrigue à la James Bond avec une enquêtrice indestructible à qui sourient tous les hasards et coïncidences. les ficelles sont grosses comme des câbles marins et on peine à y croire. Ensuite, Beuglet a de gros problèmes avec son chronomètre ou semble jouir d’horaire élastique. Voici donc une enquêtrice qui arrive au bureau à 8h, confie un dossier au labo, lit ses mails, reçoit le résultat du labo, effectue les bonnes déductions, réserve un billet d’avion pour Hanovre et décolle à 11h05 en ayant eu le temps de prendre un taxi pour rentrer chez elle, saisir une valise à la hâte et faire la procédure d’embarquement spécifique aux armes à feu. C’est fort, c’est très fort mais cela nuit clairement au réalisme de l’ensemble. Enfin, et c’est ce que j’apprécie le plus chez lui, c’est qu’il part d’une problématique réelle pour construire son roman et titille notre curiosité avec une vision différente de celle proposée par les courants de pensée mainstream. C’est ce dernier point qui sauve l’ensemble à mes yeux. Maintenant, chacun place le curseur où il veut et chacun appréciera ou non la chance infinie dont semble bénéficier l’enquêtrice Campbell. Belle lecture à tous.

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• Gridou66 31/08/2023
  Il est préférable de lire avant Le dernier message, on retrouve Grâce, c’est la suite directe. Souvenez vous : « Tu n’es pas la seule à chercher » Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu’un appel, c’est un électrochoc ! Cette fois, l’inspectrice le sait elle n’a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qu’il la hante depuis tant d’années… Une lettre va la ramener à sa jeunesse et à la jeune fille qui a vécu le traumatisme d’un enlèvement avant d’être miraculeusement sauvée par un jeune garçon. Ce thriller fait 360 pages, il est fait pour les amateurs de contes de fées diaboliques, j’ai beaucoup aimé ce côté, ayant toujours mon âme d’enfant. Par contre, je n’ai pas aimé le côté too much ! Ce n’est pas Grace son nom mais Wonder Woman ! Trop de trucs invraisemblables, certes c’est divertissant mais bon. Sinon l’auteur dénonce aussi des faits sur notre société actuelle, d’ailleurs sans spoiler, j’ai été horrifiée d’apprendre l’existence d’une personne allemande ayant vraiment existée… Et la fin est digne d’un James Bond, vous êtes prévenus.
• Singlandes 30/08/2023
  C‘est une intrigue policière conduite par une inspectrice écossaise travaillant en solo, bien décidée à faire la lumière sur les souffrances endurées dans son enfance. La progression de l‘histoire est très lente, et plutôt triste car Grâce est un personnage torturé. Quelques touches d‘humour auraient été les bienvenues pour égayer le récit et détendre le lecteur. Puis nous arrivons à Hameln en Allemagne du Nord où l‘auteur va transformer la fameuse légende de l’attrapeur de rats en un véritable cauchemar, s‘appuyant dit-il sur des documents du XIII ème siècle. Même si sa thèse est avérée , bien qu‘elle me semble outrée, quel besoin avait-il de briser une légende qui fait partie de notre imaginaire d‘enfance! A la fin du roman l‘action s’accélère et le personnage du Passager , véritable Machiavel des temps modernes apparaît dans toute sa noirceur dévoilant les véritables raisons d‘un gouvernement mondial … Mais je ne veux pas dévoiler le reste. Cette partie est particulièrement intéressante bien que très pessimiste et il semble que l‘auteur veuille indirectement nous mettre en garde contre la propagande que nous subissons dans tous les domaines …
• Riou01 28/08/2023
  Un début de lecture sans trop m'accrocher puis nous sommes vite pris par l'intrigue. L'enquête stimule la lecture les rebondissements s'enchainent et l'on a plus envie de lâcher le livre. La fin est surprenante mais à la fois je suis un peu déçu de l'issue. Peut-être qu une suite est prévue?