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Le Syndrome de Petrouchka
Yves Gauthier (préface de), Marie Lhuillier (traduit par)
Date de parution : 17/02/2022
Éditeurs :
Pocket

Le Syndrome de Petrouchka

Yves Gauthier (préface de), Marie Lhuillier (traduit par)
Date de parution : 17/02/2022
Petrouchka : dès qu’elles forment ces trois syllabes, les lèvres russes s’attendrissent en un sourire ému… Petrouchka, c’est le « Polichinelle » slave – c’est aussi le nom de Petia, ce marionnettiste... Petrouchka : dès qu’elles forment ces trois syllabes, les lèvres russes s’attendrissent en un sourire ému… Petrouchka, c’est le « Polichinelle » slave – c’est aussi le nom de Petia, ce marionnettiste génial qui n’a jamais aimé que ses poupées. Et aucune comme Liza, ce petit bout de femme devenue son épouse,... Petrouchka : dès qu’elles forment ces trois syllabes, les lèvres russes s’attendrissent en un sourire ému… Petrouchka, c’est le « Polichinelle » slave – c’est aussi le nom de Petia, ce marionnettiste génial qui n’a jamais aimé que ses poupées. Et aucune comme Liza, ce petit bout de femme devenue son épouse, sa partenaire, l’amour de sa vie… De Prague à Jérusalem, en passant par Berlin, leurs tournées sont des triomphes. Leur passion mutuelle ? Un orage douloureux et impitoyable. Mais qui est la poupée ? Qui, la femme ? Qui, le marionnettiste ? Quand le vrai et le faux se confondent, il n’y a plus qu’à danser – et danser encore, au bout d’un fil.
 
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EAN : 9782266315982
Code sériel : 18211
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266315982
Code sériel : 18211
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un vrai délice de lecture. »
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Allily 19/08/2021
    Liza et Petia s'aiment. Mais cet amour n'a rien de classique : il a débuté alors qu'ils n'étaient que des enfants mais surtout, cet amour se confronte à un monde étrange, inquiétant : celui des marionnettes.  Car Petia est un passionné. Il donne vie à des êtres désincarnés. Mais il a commis une faute : celle d'avoir créée une marionnette à l'image de sa femme. Une représentation parfaite qui prend une place trop importante dans leur vie.  Ce récit est véritablement très étrange. On navigue dans un univers onirique, dérangeant où des hommes pensent que des êtres de bois peuvent être doués de vies.  Un monde où des malédictions prennent corps. Un récit qui alterne avec les époques, tendant des fils avant que tout prenne sens dans les derniers chapitres. Après un début déroutant, la magie a opéré et les pages ont défilés devant mes yeux. Rien n'est simple dans cette histoire et surtout pas l'amour.  L'autrice nous entraîne avec un grand talent et une belle plume de Jérusalem à Prague, du présent au passé. Le monde des marionnettistes s'ouvre à nous et dévoile ses secrets, levant les ombres sur les mystères qui ont jalonné les spectacles de notre enfance.  Ce roman est véritablement inclassable mais j'ai... Liza et Petia s'aiment. Mais cet amour n'a rien de classique : il a débuté alors qu'ils n'étaient que des enfants mais surtout, cet amour se confronte à un monde étrange, inquiétant : celui des marionnettes.  Car Petia est un passionné. Il donne vie à des êtres désincarnés. Mais il a commis une faute : celle d'avoir créée une marionnette à l'image de sa femme. Une représentation parfaite qui prend une place trop importante dans leur vie.  Ce récit est véritablement très étrange. On navigue dans un univers onirique, dérangeant où des hommes pensent que des êtres de bois peuvent être doués de vies.  Un monde où des malédictions prennent corps. Un récit qui alterne avec les époques, tendant des fils avant que tout prenne sens dans les derniers chapitres. Après un début déroutant, la magie a opéré et les pages ont défilés devant mes yeux. Rien n'est simple dans cette histoire et surtout pas l'amour.  L'autrice nous entraîne avec un grand talent et une belle plume de Jérusalem à Prague, du présent au passé. Le monde des marionnettistes s'ouvre à nous et dévoile ses secrets, levant les ombres sur les mystères qui ont jalonné les spectacles de notre enfance.  Ce roman est véritablement inclassable mais j'ai été conquise par sa musique, par sa poésie, ce mélange d'ombre et de lumière.  Et vous, avez-vous envie de le découvrir ? 
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  • taganga2000 19/02/2021
    Un grand merci à Masse Critique et Macha Publishing pour la réception de ce livre. @Le syndrome de Petrouchka est un formidable hommage au monde des marionnettes. On retrouve ici l'histoire de celles-ci de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui, de la Grèce à Prague en passant par Paris avec Philippe Genty, c'est tout un éventail de la diversité de cet art populaire qui défile au cours des pages du roman et heureusement il y Wikipédia qui m'a permis de me familiariser avec les différents types de marionnettes. Pétia est fasciné dès le plus jeune âge par les marionnettes, très vite il leur donne vie en s'initiant auprès de marionnettistes confirmés, il créé ses propres création et donne des spectacles dans la rue qui rencontre un franc succès. Mais la rencontre qui changera sa vie c'est la rencontre avec Liza de dix ans sa cadette et qu'il enlèvera lorsque bébé elle fut laissé sans surveillance par sa nounou à l'entrée d'un magasin. C'est le coup de foudre immédiat et il n'aura cesse de chercher à la protéger notamment d'un père très particulier. Mais cette protection étouffe la jeune femme qui souffrira de n'être qu'une poupée auprès de son mari qui poussera son obsession... Un grand merci à Masse Critique et Macha Publishing pour la réception de ce livre. @Le syndrome de Petrouchka est un formidable hommage au monde des marionnettes. On retrouve ici l'histoire de celles-ci de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui, de la Grèce à Prague en passant par Paris avec Philippe Genty, c'est tout un éventail de la diversité de cet art populaire qui défile au cours des pages du roman et heureusement il y Wikipédia qui m'a permis de me familiariser avec les différents types de marionnettes. Pétia est fasciné dès le plus jeune âge par les marionnettes, très vite il leur donne vie en s'initiant auprès de marionnettistes confirmés, il créé ses propres création et donne des spectacles dans la rue qui rencontre un franc succès. Mais la rencontre qui changera sa vie c'est la rencontre avec Liza de dix ans sa cadette et qu'il enlèvera lorsque bébé elle fut laissé sans surveillance par sa nounou à l'entrée d'un magasin. C'est le coup de foudre immédiat et il n'aura cesse de chercher à la protéger notamment d'un père très particulier. Mais cette protection étouffe la jeune femme qui souffrira de n'être qu'une poupée auprès de son mari qui poussera son obsession jusqu'à créer Élis, double plus vrai que nature de Liza qui accompagnera Pétia dans ses spectacles désormais demandé dans le monde entier. Mais @le syndrome de Petrouchka c'est aussi l'histoire d'une malédiction qui frappe les femmes de la famille de Liza et apporte une touche de fantastique au roman. @Dina Rubina possède une écriture raffinée empreinte d'une certaine poésie, le ton amusant du début du roman cède la place à un ton plus dramatique au fur et à mesure que l'histoire progresse et que l'énigme se dévoile. La bande-son est riche puisque Pétia s'inspire aussi bien de Mozart que de Django Reinhart allant même jusqu'à assister de nombreuses fois à un spectacle de Stéphane Grappelli pour créer son œuvre la plus aboutie où il danse avec Élis devant des spectateurs médusés par un tel talent. Un livre bien documenté, peut-être trop parfois au point de perdre son lecteur par un manque de fluidité et un côté brouillon dans la narration qui m'empêche de donner une meilleure note au roman. Ce que je regrette un peu car je réalise le travail immense de l'auteure et j'aurais aimé être plus emballé par cette histoire qui avait tout pour me plaire. Toutefois je ne doute pas que @le syndrome de Petrouchka trouvera son lectorat tant il recèle de qualités. Challenge Multi-défis Masse Critique
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  • JehanneDD 15/02/2021
    Merci à Babelio et aux éditions Macha pour l’envoi de ce livre au nom et à la couverture profondément intrigants, « Le syndrome de Petrouchka ». J’avais pré sélectionné ce livre principalement pour le thème central, les marionnettes, moi qui suis amatrice d’arts de la scène. Le cadre – les pays de l’est – me semblaient aussi annonciateurs d’une intrigue envoûtante. Et elle l’était. Même si finalement ma note n’est « que » de 3,5, j’ai été profondément intéressée. Et envoûtée. Mon 3,5 est dû au fait que même si j’ai aimé, je n’ai pas « adoré » l’histoire, peut-être trop complexe pour moi. J’ai souvent été perdue dans les personnages (peut-être dû à ma légendaire difficulté avec les patronymes russes...) allant même jusqu’à confondre Vissia et Bassia. ça c’est purement ma faute me direz vous. Certes, mais j’ai du coup bien bataillé à un moment de l’histoire. Mais passons aux points positifs, il y en a beaucoup ! L’histoire est originale. Le cadre slave mêlé d’incursions en Israël contribue à la richesse des références tout au long de l’histoire. L’art de la marionnette se mélange quant à lui à des rebondissements psychiatriques et aborde le thème difficile des problèmes congénitaux... Sans oublier... Merci à Babelio et aux éditions Macha pour l’envoi de ce livre au nom et à la couverture profondément intrigants, « Le syndrome de Petrouchka ». J’avais pré sélectionné ce livre principalement pour le thème central, les marionnettes, moi qui suis amatrice d’arts de la scène. Le cadre – les pays de l’est – me semblaient aussi annonciateurs d’une intrigue envoûtante. Et elle l’était. Même si finalement ma note n’est « que » de 3,5, j’ai été profondément intéressée. Et envoûtée. Mon 3,5 est dû au fait que même si j’ai aimé, je n’ai pas « adoré » l’histoire, peut-être trop complexe pour moi. J’ai souvent été perdue dans les personnages (peut-être dû à ma légendaire difficulté avec les patronymes russes...) allant même jusqu’à confondre Vissia et Bassia. ça c’est purement ma faute me direz vous. Certes, mais j’ai du coup bien bataillé à un moment de l’histoire. Mais passons aux points positifs, il y en a beaucoup ! L’histoire est originale. Le cadre slave mêlé d’incursions en Israël contribue à la richesse des références tout au long de l’histoire. L’art de la marionnette se mélange quant à lui à des rebondissements psychiatriques et aborde le thème difficile des problèmes congénitaux... Sans oublier la sorcellerie, ou les croyances en des forces surnaturelles, capitales pour l’intrigue. Tout cela forme un gigantesque imbroglio, avec des allers-retours dans l’histoire, ou sur le globe. Les références à l’histoire ajoutent encore à la complexité globale. On ne s’ennuie pas en lisant ! Ce roman ne peut être lu en pensant à autre chose. Sans être inabordable, il demande de la concentration, et, je pense, une attention continue : je l’ai commencé en morcelant mes temps de lecture par bout de 10mn, avant de tout recommencer et de lire le livre en 3 fois seulement (vive les week-ends où on peut lire toute la matinée). Le monde de la marionnette est central. Pour qui s’y intéresse, c’est une incursion très bien construite dans cet univers. On découvre un peu de la philosophie de cet art, de la manipulation ou de la fabrication de ces « objets ». On découvre également jusqu’où le perfectionnement de certaines marionnettes peut aller (jusqu’à se demander si une Ellis serait faisable dans la réalité). Bref... Ce roman est énorme. Complet, envoûtant, ... Mais aussi assez difficile d’accès. Tenez bon, il se mérite ! En le finissant, je me sens comme si je venais de finir un stage chez un marionnettiste dans la belle Prague enneigée... Très spécial !
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  • Cathy_lit 13/02/2021
    Bonjour, Merci à l’ Agence La Bande et aux @editions macha pour l’envoi de ce livre qui m’a plongée dans les rues de Prague mais aussi de Lviv et un peu de Jérusalem. Nous sommes dans une atmosphère slave et j’ai beaucoup aimé. Dina Rubina nous raconte une histoire d’amour, mais une histoire d’amour incroyable, intense, et très étrange. Nous suivons la vie de Petrouchka, de son enfance jusqu’à la fin. Nous découvrons sa passion pour les marionnettes, pour les poupées et la naissance de son amour envers Liza qu’il enlève la première fois alors qu’elle est dans son berceau car il la trouve belle comme une poupée et que le landau est laissé sans surveillance. Cette première aventure se finira bien. L’amour qu’il porte à Liza ne fera que grandir, ils feront un spectacle ensemble et le jour où Liza ne pourra plus le faire, il va créer une marionnette, sosie de Liza et lui donner vie lors des spectacles. Nous vivons la vie intérieure de Pétrouchka, son rapport aux marionnettes, la jalousie de Liza vis-à-vis de la marionnette. Nous sommes dans une histoire slave alors il y a bien sur des malédictions, des personnages étranges. Un livre que j’ai... Bonjour, Merci à l’ Agence La Bande et aux @editions macha pour l’envoi de ce livre qui m’a plongée dans les rues de Prague mais aussi de Lviv et un peu de Jérusalem. Nous sommes dans une atmosphère slave et j’ai beaucoup aimé. Dina Rubina nous raconte une histoire d’amour, mais une histoire d’amour incroyable, intense, et très étrange. Nous suivons la vie de Petrouchka, de son enfance jusqu’à la fin. Nous découvrons sa passion pour les marionnettes, pour les poupées et la naissance de son amour envers Liza qu’il enlève la première fois alors qu’elle est dans son berceau car il la trouve belle comme une poupée et que le landau est laissé sans surveillance. Cette première aventure se finira bien. L’amour qu’il porte à Liza ne fera que grandir, ils feront un spectacle ensemble et le jour où Liza ne pourra plus le faire, il va créer une marionnette, sosie de Liza et lui donner vie lors des spectacles. Nous vivons la vie intérieure de Pétrouchka, son rapport aux marionnettes, la jalousie de Liza vis-à-vis de la marionnette. Nous sommes dans une histoire slave alors il y a bien sur des malédictions, des personnages étranges. Un livre que j’ai beaucoup aimé, mais qui n’est pas facile. Quatrième de couv. " C'est un puits sans fond. Je n'ai fait que me pencher dessus. " Ainsi parle Dina Rubina de l'art marionnettique. D'un côté, cet art nous invite à un grand questionnement métaphorique entamé autrefois par Platon qui voyait dans les hommes des marionnettes aux mains des dieux, et sublimé plus tard d'une manière féérique par des conteurs aujourd'hui tenus pour des géants, tels Andersen et son Intrépide soldat de plomb, Collodi et son morceau de bois nommé Pinocchio. D'un autre côté, la marionnette nous plonge dans un bouillon populaire foisonnant de rires et de drames, de burlesque et de grotesque, de gaieté et de gravité, à l'imagination débridée, où nage une foule de fantoches, guignols, polichinelles, ... et petrouchkas.
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  • ChezLaurette 31/01/2021
    Nom d'une matriochka enneigée ! Premier livre terminé en 2021, première belle découverte ! Si vous cherchez une lecture qui sied à la période hivernale et que vous n'êtes pas allergique aux histoires d'amour dramatiques, Le Syndrome de Petrouchka, de Dina Rubina, pourrait bien vous apporter de belles heures de lecture. Ce roman vous donnera assurément envie de faire crisser vos bottes dans les rues blanches de Prague et de suivre les pas des personnages qui peuplent ce conte pour adultes. De Jérusalem à Sakhaline, de Berlin à Lviv, tous vos sens seront en émoi. Ce n'est pas bien grave si certains lieux vous sont totalement inconnus : laissez-vous guider par cette fabuleuse voix de la littérature russe qu'est Dina Rubina, qui possède un talent incroyable pour livrer des cartes postales olfactives, visuelles et auditives. Et pour vous tenir en haleine avec un fil directeur original et osé : le théâtre de marionnettes. Difficile de résumer l'intrigue tant elle s'avère bien plus riche que telle qu'elle est annoncée : Petia, artiste marionnettiste réputé, ne vit que pour deux raisons : ses pantins et l'amour de sa vie, Liza. Ils forment d'ailleurs à deux un numéro fortement acclamé lors duquel Liza imite... Nom d'une matriochka enneigée ! Premier livre terminé en 2021, première belle découverte ! Si vous cherchez une lecture qui sied à la période hivernale et que vous n'êtes pas allergique aux histoires d'amour dramatiques, Le Syndrome de Petrouchka, de Dina Rubina, pourrait bien vous apporter de belles heures de lecture. Ce roman vous donnera assurément envie de faire crisser vos bottes dans les rues blanches de Prague et de suivre les pas des personnages qui peuplent ce conte pour adultes. De Jérusalem à Sakhaline, de Berlin à Lviv, tous vos sens seront en émoi. Ce n'est pas bien grave si certains lieux vous sont totalement inconnus : laissez-vous guider par cette fabuleuse voix de la littérature russe qu'est Dina Rubina, qui possède un talent incroyable pour livrer des cartes postales olfactives, visuelles et auditives. Et pour vous tenir en haleine avec un fil directeur original et osé : le théâtre de marionnettes. Difficile de résumer l'intrigue tant elle s'avère bien plus riche que telle qu'elle est annoncée : Petia, artiste marionnettiste réputé, ne vit que pour deux raisons : ses pantins et l'amour de sa vie, Liza. Ils forment d'ailleurs à deux un numéro fortement acclamé lors duquel Liza imite une poupée qui s'anime à la fin de la représentation. Tout bascule le jour où Petia – diminutif de Petrouchka, le Polichinelle russe – décide de fabriquer une marionnette à l'image de Liza lorsque celle-ci ne peut plus monter sur scène. Voilà qui est audacieux comme point de départ, non ? Il peut autant intriguer que rebuter, mais je conseille vivement aux amateurs de personnages finement complexes de lui laisser sa chance. Le style de l'autrice est unique et poétique : sa plume semble forgée dans un feu qui crépite autant qu'... [...la suite sur le blog )
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