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Le Tueur en pantoufles
Date de parution : 24/11/2022
Éditeurs :
Pocket

Le Tueur en pantoufles

Date de parution : 24/11/2022
Un roman de jeunesse, drôle et décalé.
Dans un petit pavillon confortable de la banlieue parisienne, Jango, personnage débonnaire entouré de sa mère et de son fils Zizi, un gamin farceur, mène une vie bien pépère. Il... Dans un petit pavillon confortable de la banlieue parisienne, Jango, personnage débonnaire entouré de sa mère et de son fils Zizi, un gamin farceur, mène une vie bien pépère. Il possède un poisson rouge dans un bocal, un lapin apprivoisé. Il jouit de l’estime de son voisinage, la boulangère lui... Dans un petit pavillon confortable de la banlieue parisienne, Jango, personnage débonnaire entouré de sa mère et de son fils Zizi, un gamin farceur, mène une vie bien pépère. Il possède un poisson rouge dans un bocal, un lapin apprivoisé. Il jouit de l’estime de son voisinage, la boulangère lui fait les yeux doux. Tout est banal et tranquille. À un détail près : Jango est tueur à gages...
Il s’est constitué une bonne clientèle ; et avec une seringue, une piqûre, hop ! Il fait ensuite disparaître les cadavres dans une cuve d’acide. Aucune trace, les clients sont contents.
Mais un événement insolite vient bouleverser cette belle organisation : l’utilisation d’une rosette de la Légion d’honneur prélevée sur le veston de la dernière victime, un colonel...
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EAN : 9782266325097
Code sériel : 18653
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266325097
Code sériel : 18653
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bdelhausse 04/11/2021
    Quand il commet le tueur en pantoufles en 1951, Frédéric Dard a 30 ans et plus de 20 romans derrière lui. Autant l'avouer d'emblée, les amoureux du ventru Béru et du San-A pacha seront fort déçus par ce roman où n'apparaît pas (encore) le duo de choc qui rendit Dard célèbre. On ne sent pas du tout le passé d'écrivain dans ce roman, qui ressemble à une oeuvre de jeunesse. On est face à une oeuvre assez légère, peu aboutie, dans laquelle l'auteur se lance dans des tas de trames qu'il semble avoir du mal ensuite à mener à terme, à clore. On me dirait qu'il a publié un manuscrit écrit 10 ans auparavant en l'actualisant quelque peu, je le croirais. Jango vit avec Zizi, son fils, et sa mère, appelée bonne-maman. Petit artisan au service du client, menant le don de soi à son paroxysme, guidé par le souci de bien faire, Jango est ce que l'on peut appeler un tueur à gages. Il soulage les maris de leur dame, devenue revêche et encombrante. Il précipite l'héritage chez ses neveux qui souhaitent maintenir leur train de vie cossu. Il rectifie les collabos passés entre les mailles des procès de la libération. Bref, un petit artisan, soucieux du client et travaillant proprement, à l'ancienne pourrait-on dire, et dont les tarifs restent à la portée de monsieur et madame tout-le-monde. Il est resté simple, entre le boeuf en daube, la choucroute et le gorgeon de rouge. Il prend le train et n'entend pas péter plus haut que son derrière. Tout démarre simplement avec un colonel qui rejoint ses illustres ancêtres prématurément. Mais quelques grains de sable vont faire grincer la belle mécanique si savamment conçue par Jango. Et notamment... une rosette de la légion d'honneur. Par hasard, Jango la met au revers de son veston... et voilà que l'on ne le reconnaît plus... le comble du transformisme. Une rosette (quand elle n'est pas de Lyon) vous change un homme... le gag est intéressant et plutôt bien mené (mais avec un goût d'inachevé quand même). Mais il en faut davantage pour un bon roman policier où l'humour essaie de se frayer un chemin. On est dans du Feydeau, du Courtline. Les portes claquent. Les cadavres sortent du placard. C'est du vaudeville. Les péripéties les plus échevelées se suivent sans trop de sens. Les rebdondissements abondent mais ne sont pas spécialement bien amenés. Quand l'action s'enlise, Frédéric Dard relance le tout avec un truc improbable. Il ne faut clairement pas chercher de sens moral à toute cette farce. Il faut se laisser porter et passer un agréable moment (même si on n'atteint pas les sommets des San Antonio). Dans ce roman, la langue de Dard-effectivement- n'est pas encore arrivée à terme. L'argot pointe, la gouaille s'installe timidement, mais on n'est pas devant Béru et son franc-parler. Donc, on peut s'en passer, sauf si on est inconditionnel de Dard.Quand il commet le tueur en pantoufles en 1951, Frédéric Dard a 30 ans et plus de 20 romans derrière lui. Autant l'avouer d'emblée, les amoureux du ventru Béru et du San-A pacha seront fort déçus par ce roman où n'apparaît pas (encore) le duo de choc qui rendit Dard célèbre. On ne sent pas du tout le passé d'écrivain dans ce roman, qui ressemble à une oeuvre de jeunesse. On est face à une oeuvre assez légère, peu aboutie, dans laquelle l'auteur se lance dans des tas de trames qu'il semble avoir du mal ensuite à mener à terme, à clore. On me dirait qu'il a publié un manuscrit écrit 10 ans auparavant en l'actualisant quelque peu, je le croirais. Jango vit avec Zizi, son fils, et sa mère, appelée bonne-maman. Petit artisan au service du client, menant le don de soi à son paroxysme, guidé par le souci de bien faire, Jango est ce que l'on peut appeler un tueur à gages. Il soulage les maris de leur dame, devenue revêche et encombrante. Il précipite l'héritage chez ses neveux qui souhaitent maintenir leur train de vie cossu. Il rectifie les collabos passés entre les mailles des procès de la...
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  • lyoko 10/11/2013
    un livre qui se lit tranquillement, sans prise de tete.. avec un tueur très sympa
  • YvPol 02/10/2010
    Polar qui fleure bon les années cinquante, le Paris des truands sympathiques avec un code d'honneur. Contrairement aux San-Antonio, la langue est classique, sans effet argotique ou mots triturés. Frédéric Dard rend son récit drôle plus par les situations que par des bons mots. On ne peut s'empêcher, en lisant ce livre de penser aux films de truands des mêmes années cinquante, ou même d'en voir des images défiler : les rues de Paris, les flics faisant copains-copains avec les bandits d'honneur et méprisant les tueurs gratuits, les terrasses des cafés, ...
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