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Les Annales du Disque-Monde
Le huitième sortilège
Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 28/12/2010
Éditeurs :
Pocket

Les Annales du Disque-Monde

Le huitième sortilège

,

Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 28/12/2010

Octogénaire, borgne, chauve et édenté, Cohen le Barbare, le plus grand héros de tous les temps, réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ?

Question capitale, car...

Octogénaire, borgne, chauve et édenté, Cohen le Barbare, le plus grand héros de tous les temps, réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ?

Question capitale, car le tissu même du temps et de l'espace est sur le point de passer dans l'essoreuse. Une étoile rouge menace...

Octogénaire, borgne, chauve et édenté, Cohen le Barbare, le plus grand héros de tous les temps, réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ?

Question capitale, car le tissu même du temps et de l'espace est sur le point de passer dans l'essoreuse. Une étoile rouge menace de percuter le Disque-Monde et la survie de celui-ci est entre les mains du sorcier calamiteux : dans son esprit (très) brumeux se tapit en effet le... huitième sortilège !

La suite de l'épopée la plus démente de la fantasy, avec, dans les seconds rôles, une distribution prestigieuse : le Bagage, l'In-Octavo, Herrena la harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement, la Mort...

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EAN : 9782266211826
Code sériel : 5647
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266211826
Code sériel : 5647
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Iveale 03/11/2023
    Au tome 1 déjà, au bout d'une dizaine de pages, je me suis dit que l'auteur était complètement fou ou sous l'empire de substances... Continuellement, je me dit que je vais arrêter de lire, ça n'a pas de sens mais je continue.... le désir de savoir sans doute. La saga est très divertissante, complètement barrée, sans queue ni tête et j'ai sans arrêt la sensation d'entendre la voix du Guide du Voyageur Inter-galactique chaque fois que je lis. J'aime beaucoup et je vais continuer, comme une boîte de chocolats, même si certains ne sont pas toujours de mon goût, et je finirais la boîte !!
  • Chaperleur 04/10/2023
    Tellement déjanté ce livre. Plus accrocheur qu'un bon suspense. Mais où l'auteur va-t-il chercher toute cette imagination ! C'est terrible pour moi, si je me mets à lire le soir au lit, pour le plaisir avant de m'endormir. Et bien je n'arrive plus à arrêter, ni à m'endormir ! Minuit, 1h, 2h .. Impossible de poser le livre. Mais il faut se lever le matin ! C'est dur ! Bien déjanté, mais pleine de petits commentaires, de petites remarques bien placées, de vérités ajustées. J'adore. Pressée de lire le tome 3. Mais peur de me faire "embarquer" par la lecture à des moments inopportun (si je dois me lever tôt ! ).
  • Pixel_Noctis 05/08/2023
    Dans ce second tome du Disque-Monde, on retrouve une fois de plus Rincevent, un mage raté ayant foiré ses études de magie et Deuxfleurs compagnon de route de Rincevent et touriste malgré lui. Dans ce second tome, Rincevent se verra acculé d'un étrange mal en effet, celui-ci a un sortilège piégé dans sa tête et qui lui parle. Toujours dans une ambiance burlesque et avec des passages vraiment marrants parfois à se tordre de rire, je pense notamment à l'apparition de la Mort qui était à une soirée par exemple ou les cavaliers de l'apocalypse qui jouent aux cartes, certains passages m'ont énormément fait rire. Mention spéciale à Cohen le Barbare qui est un personnage qui parodie vous l'aurez deviné Conan le Barbare. Cohen le Barbare est vieux, quatre-vingt sept ans je crois et est complètement édenté ce qui donne à ses dialogues un aspect franchement comique ! J'ai adoré cette lecture malgré que certains avis donnent les deux premiers tomes des Annales du Disque-Monde comme n'étant franchement pas les meilleurs. Malgré tout j'ai passé un super moment.
  • Fleurdesiles97120 16/07/2023
    Me revoilà plongée dans les pérégrinations de Rincevent, le mage raté et de Deuxfleurs, le touriste. Après une première incursion dans le monde totalement absurde de Terry Pratchett il y a quelques mois de celà, j'ai réitéré l'expérience avec ce deuxième tome. Et j'ai encore plus aimé que le 1er. On comprend un peu mieux les personnages, surtout celui de Rincevent qui est un mage raté en grande partie parcequ'il cache en lui un des huit sortilèges les plus puissants au Disque-monde et celui effraie les autres sortilèges que le mage cherche à apprendre. Deuxfleurs est lui, fidèle à lui même, persuadé que rien ne peux lui arriver. J'ai également fais la connaissance d'autres personnages tout aussi attachant, dont Cohen le héros. Tous ces héros vont tenter de sauver le monde (ou pas) de l'angoissante étoile rouge qui se rapproche du disque-monde chaque jour un peu plus, menaçant d'anéantir tout sur son passage. Le huitième sortilège est un régal à lire, pleins de détails absurdes, de références au monde moderne, d'action, d'humour. Je ne me suis pas ennuyée une seconde. Je ne pense pas lire les 35 tomes coup sur coup car je pense que cela sera indigeste, mais un jour je finirai la saga Me revoilà plongée dans les pérégrinations de Rincevent, le mage raté et de Deuxfleurs, le touriste. Après une première incursion dans le monde totalement absurde de Terry Pratchett il y a quelques mois de celà, j'ai réitéré l'expérience avec ce deuxième tome. Et j'ai encore plus aimé que le 1er. On comprend un peu mieux les personnages, surtout celui de Rincevent qui est un mage raté en grande partie parcequ'il cache en lui un des huit sortilèges les plus puissants au Disque-monde et celui effraie les autres sortilèges que le mage cherche à apprendre. Deuxfleurs est lui, fidèle à lui même, persuadé que rien ne peux lui arriver. J'ai également fais la connaissance d'autres personnages tout aussi attachant, dont Cohen le héros. Tous ces héros vont tenter de sauver le monde (ou pas) de l'angoissante étoile rouge qui se rapproche du disque-monde chaque jour un peu plus, menaçant d'anéantir tout sur son passage. Le huitième sortilège est un régal à lire, pleins de détails absurdes, de références au monde moderne, d'action, d'humour. Je ne me suis pas ennuyée une seconde. Je ne pense pas lire les 35 tomes coup sur coup car je pense que cela sera indigeste, mais un jour je finirai la...
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  • Jabberwoky 26/06/2023
    L'avantage de vieillir (d'abord c'est qu'on est pas morts, on est tous d'accord) c'est qu'on peut relire et redécouvrir des bouquins qu'on a lus étant plus jeunes, revoir des films oubliés, et, parfois, quand les étoiles sont alignées, on se rend compte qu'on aime toujours autant, malgré la vieillerie, les changements d'avis, les revirements de convictions, le cynisme qui s'installe et la société qui change, et c'est merveilleux. Ca me l'a fait avec Harry Potter (pas avec Fred Vargas et son Adamsberg du tout), et aussi maintenant avec le Discworld. Dans le tome précédent, Pratchett en est encore a tester sa recette. Dans ce tome, il la perfectionne, et c'est presque parfaitement cuit. C'est toujours aussi drôle (attention, il faut aimer l'humour anglais, l'absurde, et avoir une bonne dose de second degré). Mais cette fois c'est encore plus efficace, je trouve. On avait une ébauche de caricature de Conan the Barbarian dans le tome précédent, avec une ébauche de caricature de son éternelle Femme Trophée, mais c'était moins bien fait. Ici Pratchett a perfectionné ses personnages, les rendant encore plus délicieux, encore plus décalés, et encore plus vrais. Avec tendresse et humour, il démonte et remonte les codes de la Fantasy, il dénonce ce qu'ils ont de sexiste, d'absurde, de violent, de redondant. Il dénonce aussi ce que notre société réelle a de sexiste, d'absurde, de violent, de redondant. Pratchett joue avec nos stéréotypes, parfois en rendant ses personnages absurdes et en les mettant face à quelque chose d'affreusement réaliste (DeuxFleurs le Touriste et son optimisme insensé face à Ankh-Morpok, et la cruauté du monde) et parfois en faisant exactement l'inverse (Cohen le guerrier a vieillis, et se retrouve édenté, fauché et bloqué du dos comme n'importe quel vieux, mais parvient malgré tout à sauver la Vierge Effarouchée offerte en Sacrifice par des druides défoncés aux champignons, ce à quoi elle proteste : c'était bien la peine de rester vierge toutes ses années si c'est pour même pas être sacrifiée aux Dieux !!). Et c'est drôle, vraiment, c'est même très drôle. On a ici une belle réflexion sur l'être humain et ses peurs, sa violence aveugle parfois, avec nos amis Fanatiques de l'étoile (première ébauche de gravité dans cette série si drôle, car Pratchett rit de tout, mais pas avec tout le monde, et pas avec les Fanatiques qui crament des bouquins), avec ici et là des perles d'humour, ou parfois, de sagesse, et souvent, d'un savant mélange des deux (« Ah, alors ch'est pas jun fou. J'ai pas mal roulé ma boche : cheux qui ont beaucoup d'argent, che chont des jekchentriques »). Évidemment, c'est aussi très bien écrit. Pratchett aime écrire, et ca se voit. C'est le genre de bouquin qui fait progresser le lecteur en vocabulaire, en grammaire, etc, c'est vrai que parfois, les phrases semblent un peu alambiquées, mais moi j'aime bien. On est très loin des descriptions à rallonge de certains auteurs classiques (Hugo ou Tokien par exemple), que j'ai toujours trouvé belles, mais un peu austères. Pratchett se lit à voix haute dans la tête, avec un conteur qui fait les voix des personnages, peut-être même avec des marionnettes, voir toute une équipe de bruiteurs pour accompagner tout ça. Parce qu'en fait, Pratchett nous parle directement, il nous conte un monde, le sien, celui du Discword, ses contradictions et son ridicule, et ce faisant, il nous conte aussi le notre, de monde... C'est malin, c'est intelligent, c'est drôle, et je ne m'en lasse pas. L'avantage de vieillir (d'abord c'est qu'on est pas morts, on est tous d'accord) c'est qu'on peut relire et redécouvrir des bouquins qu'on a lus étant plus jeunes, revoir des films oubliés, et, parfois, quand les étoiles sont alignées, on se rend compte qu'on aime toujours autant, malgré la vieillerie, les changements d'avis, les revirements de convictions, le cynisme qui s'installe et la société qui change, et c'est merveilleux. Ca me l'a fait avec Harry Potter (pas avec Fred Vargas et son Adamsberg du tout), et aussi maintenant avec le Discworld. Dans le tome précédent, Pratchett en est encore a tester sa recette. Dans ce tome, il la perfectionne, et c'est presque parfaitement cuit. C'est toujours aussi drôle (attention, il faut aimer l'humour anglais, l'absurde, et avoir une bonne dose de second degré). Mais cette fois c'est encore plus efficace, je trouve. On avait une ébauche de caricature de Conan the Barbarian dans le tome précédent, avec une ébauche de caricature de son éternelle Femme Trophée, mais c'était moins bien fait. Ici Pratchett a perfectionné ses personnages, les rendant encore plus délicieux, encore plus décalés, et encore plus vrais. Avec tendresse et humour, il démonte et remonte les codes de la Fantasy,...
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