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Les Annales du Disque-Monde
Au guet !
Patrick Coulon (traduit par)
Date de parution : 31/05/2011
Éditeurs :
Pocket

Les Annales du Disque-Monde

Au guet !

,

Patrick Coulon (traduit par)
Date de parution : 31/05/2011

Une société secrète d'encagoulés complote pour renverser le seigneur Vétérini, Patricien d'Ankh-Morpork, et lui substituer un roi.
Enfin une affaire à la mesure du capitaine Vimaire, alcoolique frénétique, et de ses...

Une société secrète d'encagoulés complote pour renverser le seigneur Vétérini, Patricien d'Ankh-Morpork, et lui substituer un roi.
Enfin une affaire à la mesure du capitaine Vimaire, alcoolique frénétique, et de ses non moins brillants adjoints. Et lorsqu'on retrouve au petit jour dans les rues les corps de citoyens transformés en biscuits...

Une société secrète d'encagoulés complote pour renverser le seigneur Vétérini, Patricien d'Ankh-Morpork, et lui substituer un roi.
Enfin une affaire à la mesure du capitaine Vimaire, alcoolique frénétique, et de ses non moins brillants adjoints. Et lorsqu'on retrouve au petit jour dans les rues les corps de citoyens transformés en biscuits calcinés, l'enquête s'oriente résolument vers un dragon de vingt-cinq mètres qui crache le feu.
Peut-être la collaboration du bibliothécaire de l'Université ne serait-elle pas inutile. Certes, il a depuis quelque temps été métamorphosé en singe, mais qui a vraiment remarqué la différence ?

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EAN : 9782266211888
Code sériel : 5737
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266211888
Code sériel : 5737
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Scarow 17/10/2023
    [Lu en anglais] C’est mon deuxième Pratchett, et sûrement pas le dernier ! On y retrouve tout ce que j’adore chez cet auteur : son style léger avec un rythme dynamique, un humour que je n’avais jamais rencontré auparavant et qui excelle dans la comparaison (anachronique parfois, même !), et une histoire très originale. Je souhaitais une bonne intrigue et de l’humour pour entamer cette reprise stressante, j’ai été servi ! Le disque-monde a fini de convaincre un autre lecteur… et dire qu’il m’en reste plus d’une trentaine !
  • Freeduck 21/06/2023
    Quel beau voyage onirique ! D'aucuns disent que ce roman est plein d'humour, mais comme apparemment, je n'ai pas pas fait l'école du rire, je n'ai pas vraiment perçu le côté amusant de l'histoire qui est, même si je le reconnais, plutôt loufoque... Par contre, j'ai été sensible à la poésie qui se dégage de l'écriture de Terry Pratchett, ce qui me donne envie de poursuivre mon itinéraire dans Les Annales du Disque-Monde. Terry Pratchett est un auteur talentueux et pour le moins original. Il mêle le thème de la condition humaine teinté d'absurdité aux mondes imaginaires pleins de créatures fantastiques à la Tolkien : nains, guildes des assassins, des voleurs,  alchimistes, sorcières, mages, orang-outan, dragons des marais et nobles dragons... Comment ne pas souligner la beauté du texte et le questionnement sur la condition humaine quand on lit, par exemple, page 28, ce paragraphe qui force l'admiration et le sourire :  " On dit que les dieux jouent avec les vies des hommes. Mais à quels jeux, pourquoi, quels en sont le but et les règles, quelles sont les identités des pions ? Allez savoir. Mieux vaut éviter d'y penser. Le tonnerre roula...Il donna un six". Un voyage onirique, disais-je donc, avec une Université invisible sur laquelle tombe la brume , une bibliothèque qui s'étend à l'infini avec des livres magiques qui discutent entre eux dans le silence de la nuit. D'étranges créatures se cachent dans les alcôves de la bibliothèque et entre chaque livre, on peut sentir des allées invisibles qui conduisent dans un ailleurs mystérieux et magique : " Il paraissait parfaitement logique au bibliothécaire, puisqu'il y avait des espaces bordés d'étagères tournées dans l'autre sens, qu'il devait donc exister d'autres allées dans l'espace  entre les livres eux-mêmes, dues aux ondulations quantiques générées par le simple poids des mots. Assurément, des bruits bizarres parvenaient depuis l'arrière de certains rayonnages, et le bibliothécaire savait que s'il retirait doucement un livre ou deux, il apercevrait d'autres bibliothèques sous d'autres cieux." (page 190) Le bibliothécaire, qui était un homme, est devenu un orang outan, on ne sait ni comment, ni pourquoi. Il comprend encore ce que les hommes disent mais il ne peut dire que "Oook" signifiant oui et "Eeek" signifiant non. Après il mime ce qu'il veut dire... C'est ainsi qu'il a réussi à expliquer au capitaine Vimaire qu'un livre sur l'évocation des dragons avait été volé. Mais commençons par le commencement... Ankh-Morpork est une cité du Disque-Monde. Sa gouvernance est entre les mains du Patricien Vétérini qui n'est pas apprécié par tout le monde. Un Grand Maître Suprême cagoulé entourés de ses crétins d'initiés complotent pour le renverser et mettre un roi à la tête de la ville. Pour y parvenir, ils vont faire de la magie (grâce au livre volé) afin d'invoquer un noble dragon pour qu'ils viennent terroriser la population. Ankh-Morpork est surveillé la nuit par un service de garde  qui n'est pas du tout efficace. Le jeune Carotte, un géant d'1 mètre 98 qui vivait chez les nains, vient se porter candidat à un poste de garde. C'est le Capitaine Vimaire, alcoolique notoire, qui l'embauche. Carotte est très à cheval sur le règlement mais le Capitaine lui fait comprendre qu'il ne doit pas arrêter tout le monde. Toutes les guildes sont acceptées, même celles des voleurs et des assassins, c'est ce qui fait l'équilibre de la ville... Carotte va avoir du mal à se faire une place mais finira par être apprécié par tous... L'énorme dragon, invoqué par le Grand Maître Suprême et ses initiés, arrive en ville et flambe des gens. Un enfant, futur roi soutenu par le Grand Maître Suprême, fait semblant de tuer le dragon qui s'évanouit comme par magie dans un géant nuage de fumée. L'enfant va être couronné roi et le Patricien Vétérini est jeté dans un des ses propres cachots. Mais tout ne se passe pas comme prévu car le dragon va décider de revenir pour régner sur la ville. Il approche le prêtre qui devait couronner le futur roi afin qu'il lui donne la couronne. Voici le noble dragon nommé roi de la ville. Il réclame alors qu'on lui donne régulièrement de jeunes vierges à manger... Le Capitaine Vimaire, Carotte et d'autres gardes dépités, vont tenter de le tuer avec des flèches... Un roman à lire pour plonger, dès les premières pages, dans un rêve merveilleux. Si j'ai adoré ce livre ? Oook ! Quel beau voyage onirique ! D'aucuns disent que ce roman est plein d'humour, mais comme apparemment, je n'ai pas pas fait l'école du rire, je n'ai pas vraiment perçu le côté amusant de l'histoire qui est, même si je le reconnais, plutôt loufoque... Par contre, j'ai été sensible à la poésie qui se dégage de l'écriture de Terry Pratchett, ce qui me donne envie de poursuivre mon itinéraire dans Les Annales du Disque-Monde. Terry Pratchett est un auteur talentueux et pour le moins original. Il mêle le thème de la condition humaine teinté d'absurdité aux mondes imaginaires pleins de créatures fantastiques à la Tolkien : nains, guildes des assassins, des voleurs,  alchimistes, sorcières, mages, orang-outan, dragons des marais et nobles dragons... Comment ne pas souligner la beauté du texte et le questionnement sur la condition humaine quand on lit, par exemple, page 28, ce paragraphe qui force l'admiration et le sourire :  " On dit que les dieux jouent avec les vies des hommes. Mais à quels jeux, pourquoi, quels en sont le but et les règles, quelles sont les identités des pions ? Allez savoir. Mieux vaut éviter d'y penser. Le tonnerre roula...Il donna un six". Un voyage onirique, disais-je donc, avec une Université invisible sur laquelle tombe la brume ,...
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  • cocon94 09/06/2023
    Une société secrète veut remplacer le Patricien d'Ankh-Morpork par un roi, simple pion qui serait manipulé par le Grand Maître Suprême. Pour ce faire, les membres de ladite société invoquent un dragon noble, cracheur de feu et tout et tout... Mais bien sûr, rien ne se passe comme prévu et les ennuis commencent. Et si le Guet, que tous les habitants d'Ankh-Morpork prennent pour des loosers, était la solution ? Le Capitaine Vimaire et ses acolytes : Côlon, Chicard et la nouvelle recrue, Carotte (nain de 1m98 - il faut préciser tout de même qu'il a été adopté) devront compter sur l'aide du Bibliothécaire, transformé en orang-outan dans un précédent épisode, et d'Errol, un dragon des marais atypique. Encore une fois, l'humour féroce de Terry Pratchett fait mouche. Situations cocaces, parodie de rituels de cérémonies secrètes et dialogues savoureux sont au rendez-vous. Sans oublier l'aventure, les combats, un peu de romance et un brin de cynisme pour assaisonner le tout. Bref, un bon moment de lecture.
  • donatienalphonsefrancoisdesade 17/03/2023
    Le Disque-Monde. Monde unique et loufoque, plat, à cheval sur quatre gigantesques éléphants eux-même posés sur une encore plus gigantesque Tortue, dérivant à travers le cosmos et emprunt de magie. Dans ce huitième tome des Annales du Disque-Monde, Pratchett nous invite à accompagner des hommes qui habituellement servent surtout de cibles, de victimes ou de dommages collatéraux aux différents héros des romans de fantasy, arrivant en ville et déclenchant (volontairement ou non) bagarres et échauffourée; les hommes du guet municipal. Et plus précisément de l'équipe de nuit du Guet D'Ankh-Morpork . On va donc suivre le capitaine Vimaire (véritable hommage au cliché du flic alcoolique, désabusé et cynique) et son équipe d' « agents » (ainsi qu'une nouvelle recrue, un « nain » de prés de deux mètres et ayant eu ENVIE de s'engager) enquêter sur une vague de mystérieuses disparitions (ou plutôt « transformations ». En divers petits tas de cendres. Ou en dessins noircis vaguement ressemblant à celui que vous étiez avant). On y retrouve une fois encore ce qui fait la spécificité de l'univers de Pratchett: écriture efficace, un humour so british et ses toujours si savoureuses notes de bas de pages, mais cette fois accompagné de savoureux éléments empruntant aux polars et aux films policier (certains clin d'œil étant particulièrement drôle, comme la reprise d'un célèbre passage du non moins célèbre Inspecteur Harry). Un roman qui pourrait ravir aussi bien l'amateur de polar que de fantasy, et ravira certainement tout lecteur voulant rire un peu (ou beaucoup) Le Disque-Monde. Monde unique et loufoque, plat, à cheval sur quatre gigantesques éléphants eux-même posés sur une encore plus gigantesque Tortue, dérivant à travers le cosmos et emprunt de magie. Dans ce huitième tome des Annales du Disque-Monde, Pratchett nous invite à accompagner des hommes qui habituellement servent surtout de cibles, de victimes ou de dommages collatéraux aux différents héros des romans de fantasy, arrivant en ville et déclenchant (volontairement ou non) bagarres et échauffourée; les hommes du guet municipal. Et plus précisément de l'équipe de nuit du Guet D'Ankh-Morpork . On va donc suivre le capitaine Vimaire (véritable hommage au cliché du flic alcoolique, désabusé et cynique) et son équipe d' « agents » (ainsi qu'une nouvelle recrue, un « nain » de prés de deux mètres et ayant eu ENVIE de s'engager) enquêter sur une vague de mystérieuses disparitions (ou plutôt « transformations ». En divers petits tas de cendres. Ou en dessins noircis vaguement ressemblant à celui que vous étiez avant). On y retrouve une fois encore ce qui fait la spécificité de l'univers de Pratchett: écriture efficace, un humour so british et ses toujours si savoureuses notes de bas de pages, mais cette fois accompagné de savoureux éléments empruntant aux polars et aux...
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  • Lprieur 02/08/2022
    Il y a longtemps que je n’avais lu un Pratchett. Sans doute n’en avais-je lu qu’un d’ailleurs. J’en avais surtout retenu (des années après) qu’il m’avait bien fait rire. Quand « Au guet ! » m’est tombé dessus à la médiathèque, je n’ai donc pas été surprise par la 4e de couverture : on navigue entre burlesque et ironie. Sombre complot magique orchestré par une « société secrète d’encagoulés », ça donne déjà le ton ! Les héros (je ne trouve pas d’autre mot) ne sont pas en reste : Vimaire, un flic alcoolique… Carotte, un jeune naïf d’un mètre quatre-vingt-dix-huit qui se croyait nain… un sergent et un caporal qui s’efforcent de laisser l’avance réglementaire aux criminels en fuite… quant au bibliothécaire métamorphosé en singe, on n’est pas loin de l’absurde. A la lecture cependant, tout cela devient cohérent dans l’univers du Disque-Monde. J’aime le fait que la narration soit sarcastique, mais que l’ensemble prenne sérieusement corps. Parce que quand même, cette enquête, il faut bien la résoudre ! Au Guet ! est un roman parodique qui joue avec les références, que je n’ai sans doute pas toutes repérées : les polars (le guet des Orfèvres…), la fantasy (quelle vision… épique des dragons, dirons-nous), les contes (et leurs destins tirés par les cheveux), les romans de chevalerie… Rien que pour ce jeu de références détournées, la lecture vaut le coup. En outre, les personnages sont absolument minables… mais (et/ou) par conséquent attachants. Mon intérêt grandissant au fil de l’histoire m’a surprise. On se moque d’eux, certes, mais petit à petit, on a envie de les voir parvenir à leurs fins (et Pratchett est très fort pour vous mettre face à vos attentes de lecteur : on est aussi content de les voir se réaliser que de les voir déjouées !). Je pense que les Annales du Disque-Monde me tendent les bras … Il y a longtemps que je n’avais lu un Pratchett. Sans doute n’en avais-je lu qu’un d’ailleurs. J’en avais surtout retenu (des années après) qu’il m’avait bien fait rire. Quand « Au guet ! » m’est tombé dessus à la médiathèque, je n’ai donc pas été surprise par la 4e de couverture : on navigue entre burlesque et ironie. Sombre complot magique orchestré par une « société secrète d’encagoulés », ça donne déjà le ton ! Les héros (je ne trouve pas d’autre mot) ne sont pas en reste : Vimaire, un flic alcoolique… Carotte, un jeune naïf d’un mètre quatre-vingt-dix-huit qui se croyait nain… un sergent et un caporal qui s’efforcent de laisser l’avance réglementaire aux criminels en fuite… quant au bibliothécaire métamorphosé en singe, on n’est pas loin de l’absurde. A la lecture cependant, tout cela devient cohérent dans l’univers du Disque-Monde. J’aime le fait que la narration soit sarcastique, mais que l’ensemble prenne sérieusement corps. Parce que quand même, cette enquête, il faut bien la résoudre ! Au Guet ! est un roman parodique qui joue avec les références, que je n’ai sans doute pas toutes repérées : les polars (le guet des Orfèvres…), la fantasy (quelle...
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