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Les Chiens de l'hiver
Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 12/11/2020
Éditeurs :
Pocket

Les Chiens de l'hiver

Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 12/11/2020
Dale Stewart, professeur de littérature et écrivain dépressif, revient dans sa ville natale, Elm Haven, quarante ans après la disparition tragique de son meilleur ami, Duane. Emménageant dans la maison... Dale Stewart, professeur de littérature et écrivain dépressif, revient dans sa ville natale, Elm Haven, quarante ans après la disparition tragique de son meilleur ami, Duane. Emménageant dans la maison de ce dernier, il renoue avec son passé pour mieux faire le point sur son présent chaotique entre divorce, tentative... Dale Stewart, professeur de littérature et écrivain dépressif, revient dans sa ville natale, Elm Haven, quarante ans après la disparition tragique de son meilleur ami, Duane. Emménageant dans la maison de ce dernier, il renoue avec son passé pour mieux faire le point sur son présent chaotique entre divorce, tentative de suicide ratée et carrière au point mort. Surtout, il s’attelle à l’écriture de son grand roman, celui sur son enfance et sa bande de copains de la Cyclo-Patrouille. Mais les fantômes de la bourgade du Midwest n’en ont pas fini avec lui, et des phénomènes étranges se succèdent jusqu’à ces chiens qui rôdent autour de chez lui, toujours plus gros à chaque passage. Alors que l’hiver s’installe, la limite entre réalité et hallucinations s’affine… jusqu’à la folie ?
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EAN : 9782266292641
Code sériel : 7271
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266292641
Code sériel : 7271
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Foxfire 06/01/2023
    « Les chiens de l’hiver » reprend certains personnages de « Nuit d’été », roman qui se déroulait 40 ans avant celui-ci. Mais ça je ne l’ai appris qu’en ouvrant le bouquin. J’ai tout de même décidé de le lire, les deux romans semblant tout de même pouvoir être lus indépendamment. Effectivement, le fait que je n’ai pas lu « Nuit d’été » n’a absolument pas perturbé ma lecture des « chiens de l’hiver » et j’ai passé un très bon moment. Simmons est vraiment un page-turner. Il a une maîtrise de la narration et un tel talent de conteur hors pair. Au bout d’une trentaine de pages, j’étais accrochée, les pages tournaient toutes seules et j’avais du mal à fermer le bouquin. Pourtant, on ne peut pas dire qu’il se passe des millions de choses dans le roman. Mais Simmons concocte un récit d’angoisse et de mystère avec un crescendo d’une efficacité diabolique. Les personnages sont savamment brossés et découvrir le personnage de Dale alors qu’il était déjà le héros d’un autre roman que je n’ai pas lu ne m’a pas dérangée le moins du monde. Il est bien caractérisé, il a une épaisseur et est vraisemblable tout en étant assez singulier. Les seconds rôles sont très réussis également, l’auteur parvenant à caractériser très rapidement des personnages de façon efficace. Comme j’avais déjà pu l’apprécier dans le formidable diptyque « Ilium »/ « Olympos », Simmons fait preuve d’une culture impressionnante, tout particulièrement au niveau littéraire mais pas que. En plus des références à henry James ou à Beowulf, on trouve aussi des éléments liés à la mythologie égyptienne ou encore à la culture amérindienne. Comme dans son diptyque troyen, ces références culturelles s’intègrent parfaitement au récit, ne paraissent jamais ni prétentieuses, ni artificielles. « Les chiens de l’hiver » est un divertissement de haut niveau. Toutes les promesses sont tenues. C’est un récit d’angoisse avec un petit côté gothique, façon histoire de maison hantée, terriblement efficace. A cet aspect divertissant, s’ajoute donc le plaisir de lire un auteur d’une grande culture et qui sait faire partager son intérêt pour des sujets divers et variés. Chaque nouvelle lecture de Simmons me donne envie de poursuivre la découverte de cet auteur de grand talent. « Les chiens de l’hiver » reprend certains personnages de « Nuit d’été », roman qui se déroulait 40 ans avant celui-ci. Mais ça je ne l’ai appris qu’en ouvrant le bouquin. J’ai tout de même décidé de le lire, les deux romans semblant tout de même pouvoir être lus indépendamment. Effectivement, le fait que je n’ai pas lu « Nuit d’été » n’a absolument pas perturbé ma lecture des « chiens de l’hiver » et j’ai passé un très bon moment. Simmons est vraiment un page-turner. Il a une maîtrise de la narration et un tel talent de conteur hors pair. Au bout d’une trentaine de pages, j’étais accrochée, les pages tournaient toutes seules et j’avais du mal à fermer le bouquin. Pourtant, on ne peut pas dire qu’il se passe des millions de choses dans le roman. Mais Simmons concocte un récit d’angoisse et de mystère avec un crescendo d’une efficacité diabolique. Les personnages sont savamment brossés et découvrir le personnage de Dale alors qu’il était déjà le héros d’un autre roman que je n’ai pas lu ne m’a pas dérangée le moins du monde. Il est bien caractérisé, il a une épaisseur et est vraisemblable tout en étant...
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  • chessvger 23/06/2021
    le héros, professeur d'université, vient écrire un roman dans un lieu reculé de son enfance ... et là les fantomes humains, les démons, ou les skins viennent le traquer. C'est un peu long et les digressions sur la vie passée, ou le présent tangible ont tendance à casser le rythme. La partie fantastique en revanche est plutot bien posée, subtile meme.
  • BLaval44 28/07/2020
    Après le curé désabusé, le politicien verreux, le scientifique chiant, voici venir le quatrième membre des sept (si si, comptez bien, Dale, Mike, Duane, Lawrence, Harlen, Kevin et Cordie) : Dale ... et puis, vous verrez ... il y aura des surprises ... car ici, une fois n'est pas coutume, je dirais, le récit est relativement mauvais, alors même que l'histoire, la trame, est bonne ... lecture douloureuse du à cette longueur dépressive qui filtre de tous les cotés, par cette non-reconnaissance des acteurs d'autrefois devenus des zombies des temps modernes, des incohérences vis-à-vis de la matière originale (Nuit d'été - oui, je sais licence poétique, mais bon, parfois faut essayer de se souvenir de ce qu'on a écrit aussi !), des sorties de route trop importantes ... et puis pourtant, une histoire intéressante, qui est là, sous-jacente, qui demande à sortir et qui ne sort vraiment jamais, les relations de Dale et Duane, restés les deux rouages essentiels du premier opus, les vieilles relations égyptiennes ... tout est là ... mais la sauce prend difficilement pour moi ... ce qui n'empêche qu'il s'agit d'un bon roman, sans doute moins bon que les autres, ou plus triste, plus noir, plus adulte ...Après le curé désabusé, le politicien verreux, le scientifique chiant, voici venir le quatrième membre des sept (si si, comptez bien, Dale, Mike, Duane, Lawrence, Harlen, Kevin et Cordie) : Dale ... et puis, vous verrez ... il y aura des surprises ... car ici, une fois n'est pas coutume, je dirais, le récit est relativement mauvais, alors même que l'histoire, la trame, est bonne ... lecture douloureuse du à cette longueur dépressive qui filtre de tous les cotés, par cette non-reconnaissance des acteurs d'autrefois devenus des zombies des temps modernes, des incohérences vis-à-vis de la matière originale (Nuit d'été - oui, je sais licence poétique, mais bon, parfois faut essayer de se souvenir de ce qu'on a écrit aussi !), des sorties de route trop importantes ... et puis pourtant, une histoire intéressante, qui est là, sous-jacente, qui demande à sortir et qui ne sort vraiment jamais, les relations de Dale et Duane, restés les deux rouages essentiels du premier opus, les vieilles relations égyptiennes ... tout est là ... mais la sauce prend difficilement pour moi ... ce qui n'empêche qu'il s'agit d'un bon roman, sans doute moins bon que les autres, ou plus triste, plus noir, plus...
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  • lehibook 27/05/2019
    C’est une sorte de suite du terrifiant « Nuit d’été » du même auteur .Peut être un peu moins réussi mais ,Simmons s’y entend pour vous mettre dans la tête d’un type dont la raison part en lambeaux et il réussit toujours à faire flipper son lecteur. Mais il a fait mieux : « L’échiquier du mal » ,et bien sur en SG le cycle d’Hyperion.
  • lokipg 21/06/2018
    Après un divorce, une rupture avec sa maîtresse et une tentative de suicide, l'écrivain Dale Stewart décide de couper tous les ponts et de retrouver ses racines. Il retourne sur les lieux de son enfance et loue la maison où son ami Duane est mort lors de sa onzième année, quarante ans plus tôt. C'est le premier roman de Dan Simmons que je lis, et c'est très étonnant que cela soit celui-ci parce que l'auteur est plutôt réputé pour ses romans de science-fiction, genre littéraire dont je suis particulièrement friand. Mais les hasards de la vie sont ainsi faits, c'est sur ce roman que je suis tombé en musardant chez un bouquiniste, c'est donc ce roman que j'ai choisi pour découvrir l'auteur. Loin des étoiles du space-opera, Les Chiens de l'hiver nous entraine sur le terrain de l'épouvante, avec une histoire de fantômes particulièrement efficace. D'entrée de jeu, on est dans l'ambiance car le narrateur est Duane, l'ami décédé du personnage principal. Comme ce n'est pas son histoire que raconte Duane, le récit est essentiellement à la troisième personne, et on finirait presque par l'oublier, si la première personne ne réapparaissait pas ponctuellement, comme une piqûre de rappel. Ce choix narratif subtil est d'autant plus malin qu'il n'est pas gratuit, loin de là. L'écriture de Dan Simmons est sobre, mais ne manque pas de style. Dale Stewart étant également professeur de littérature anglaise, de nombreuses références littéraires sont distillées dans le récit, mais elles servent l'histoire et ne l'alourdissent pas. J'ai trouvé qu'en matière de rythme, ce roman était un modèle du genre. Il y a une réelle montée en tension, lente et régulière, de l'intrigue. Il y a aussi tout un jeu sur les apparences : rêves, réalité, hallucinations, mystifications, souvenirs, fantasmes... Je me suis senti aussi perdu que le héros, et c'est un sentiment tout à fait plaisant dans ce genre de récit. Mes nerfs ont été soumis à rude épreuve plus d'une fois. Je finirais bien par lire le cycle d'Hypérion, et Ilium et Olympos un de ces jours. J'aime trop la science-fiction et ces romans ont trop bonne réputation pour que je passe éternellement à côté, mais je remercie le hasard de m'avoir fait dénicher Les Chiens de l'hiver, car c'était une excellente surprise. Après un divorce, une rupture avec sa maîtresse et une tentative de suicide, l'écrivain Dale Stewart décide de couper tous les ponts et de retrouver ses racines. Il retourne sur les lieux de son enfance et loue la maison où son ami Duane est mort lors de sa onzième année, quarante ans plus tôt. C'est le premier roman de Dan Simmons que je lis, et c'est très étonnant que cela soit celui-ci parce que l'auteur est plutôt réputé pour ses romans de science-fiction, genre littéraire dont je suis particulièrement friand. Mais les hasards de la vie sont ainsi faits, c'est sur ce roman que je suis tombé en musardant chez un bouquiniste, c'est donc ce roman que j'ai choisi pour découvrir l'auteur. Loin des étoiles du space-opera, Les Chiens de l'hiver nous entraine sur le terrain de l'épouvante, avec une histoire de fantômes particulièrement efficace. D'entrée de jeu, on est dans l'ambiance car le narrateur est Duane, l'ami décédé du personnage principal. Comme ce n'est pas son histoire que raconte Duane, le récit est essentiellement à la troisième personne, et on finirait presque par l'oublier, si la première personne ne réapparaissait pas ponctuellement, comme une piqûre de rappel. Ce choix narratif subtil...
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