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Les clés du pouvoir sont dans la boîte à gants
Date de parution : 28/09/2017
Éditeurs :
Pocket

Les clés du pouvoir sont dans la boîte à gants

Date de parution : 28/09/2017
Aux urnes, citoyens !
L’élection (la seule, la vraie, la présidentielle) approche. Pour Horace Tumelat, président du R.A.S., la partie s’annonce épineuse. Ce prédateur a beau être vieillissant, il n’en est...
Aux urnes, citoyens !
L’élection (la seule, la vraie, la présidentielle) approche. Pour Horace Tumelat, président du R.A.S., la partie s’annonce épineuse. Ce prédateur a beau être vieillissant, il n’en est pas moins redoutable. D’autant qu’il doit faire oublier quelques scandales… L’incendie perpétré par son ancienne secrétaire et la mutilation de...
Aux urnes, citoyens !
L’élection (la seule, la vraie, la présidentielle) approche. Pour Horace Tumelat, président du R.A.S., la partie s’annonce épineuse. Ce prédateur a beau être vieillissant, il n’en est pas moins redoutable. D’autant qu’il doit faire oublier quelques scandales… L’incendie perpétré par son ancienne secrétaire et la mutilation de sa jeune maîtresse ont créé la consternation jusque dans son parti. Quant aux mœurs sadiques de son fils spirituel (et marionnette préférée), une journaliste en vue s’apprête à les révéler.
Or, dans ce bizarre panier de crabes, les gros ne mangent pas toujours les petits…

Texte intégral
@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
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EAN : 9782266276993
Code sériel : 16964
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 704
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266276993
Code sériel : 16964
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 704
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Domterrier 25/04/2019
    En relisant ce roman paru en 1981, je me rends compte à quel point Frédéric Dard était bien informé, ou très clairvoyant, sur le monde politique et ses turpitudes. Certes sa vision des choses est bien souvent localisée dans les alcôves et les slips kangourous des messieurs qui nous dirigent mais, tout en restant fidèle à sa réputation d’auteur populaire, il nous fait découvrir des secrets qui n’en sont plus et qui encombrent aussi bien les placards que les rédactions de journaux people. Depuis sa parution ce livre a vu s’épaissir le mille-feuille faisandé des scandales politiques : affaire Benalla, affaire Clairstream, affaire Cahuzac, affaire Uramin, affaire Fillion, j’en passe et des meilleures, autant d’histoires sulfureuses, autant de chapitres supplémentaires à ce roman drôle et grave à la fois. Au passage Frédéric Dard règle ses comptes avec une droite qu’il trouve trop malhonnête et une gauche qu’il trouve trop sage. Sa description d’un journal qui ressemble beaucoup à Libération vaut son pesant de cacahuètes : “Un quotidien: Le Réveil. Journal destiné à des intelligences blasées. L’aristocratie d’une gauche non arracheuse de pavés. Ecrit par des gens d’esprit pour des gens qui pensent en avoir. Ironie mordante; scepticisme fervent. Vérités toujours bonnes à dire. Profession de foi : la Justice avec un J majuscule. Monture de rechange : la liberté avec un l qui s’accommode d’être minuscule. Mise en page aérée, articles de fond clairs et percutants. Des talents ! Des idées, mais journalistiques. Mieux qu’un journal : une habitude. Pour une forte tranche de la population, Le Réveil correspond à une nécessité : celle d’y être abonné . “Le” quotidien qui donne à beaucoup l’impression d’être aventureux et d’aimer la hardiesse” Les passages comme celui-ci sont légion et je vous laisse imaginer le régal du lecteur. Petite précision : les scènes de sexe sont absolument extraordinaires, d’une lubricité inouïe, si les coucheries adolescentes du dernier Prix Goncourt vous paraissent sulfureuses il vaut mieux passer votre chemin, ce livre n’est pas pour vous. En relisant ce roman paru en 1981, je me rends compte à quel point Frédéric Dard était bien informé, ou très clairvoyant, sur le monde politique et ses turpitudes. Certes sa vision des choses est bien souvent localisée dans les alcôves et les slips kangourous des messieurs qui nous dirigent mais, tout en restant fidèle à sa réputation d’auteur populaire, il nous fait découvrir des secrets qui n’en sont plus et qui encombrent aussi bien les placards que les rédactions de journaux people. Depuis sa parution ce livre a vu s’épaissir le mille-feuille faisandé des scandales politiques : affaire Benalla, affaire Clairstream, affaire Cahuzac, affaire Uramin, affaire Fillion, j’en passe et des meilleures, autant d’histoires sulfureuses, autant de chapitres supplémentaires à ce roman drôle et grave à la fois. Au passage Frédéric Dard règle ses comptes avec une droite qu’il trouve trop malhonnête et une gauche qu’il trouve trop sage. Sa description d’un journal qui ressemble beaucoup à Libération vaut son pesant de cacahuètes : “Un quotidien: Le Réveil. Journal destiné à des intelligences blasées. L’aristocratie d’une gauche non arracheuse de pavés. Ecrit par des gens d’esprit pour des gens qui pensent en avoir. Ironie mordante; scepticisme fervent. Vérités toujours...
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  • sarracino 23/09/2016
    une suite de " y at'il un francais dans la salle " j'ai pas accroché .... com dab pour une suite
  • Kickou 08/03/2015
    C’est le 15ème San-A que je lis, certes sur le fond ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais sur la forme c’est toujours aussi efficace, l’écriture, son rythme, la gouaille, l’argot ... Lire un San-A c’est comme manger un Mars et ça repart !!
  • Luniver 30/04/2013
    Un ami de San-Antonio l'appelle à la rescousse : après avoir enquêté sur une mystérieuse réapparition de la variole aux États-Unis et avoir informé la police de ses résultats, il a reçu la visite de plusieurs services secrets, bien décidé à lui faire la peau. Pour le sauver du triste sort qui l'attend, San-Antonio va devoir se mettre à dos une bonne partie de la police de Vienne, où s'est terré le fugitif. Un tome assez inégal, qui alterne le bon et le moins bon, et qui me confirme que je préfère les premiers volumes de la série aux plus récents.
  • Luniver 26/07/2012
    Ce livre est la suite directe d'«Y-a-t-il un français dans la salle ?» : Alcazar est envoyée en prison pour son crime, Horace Tumelat abandonne Noëlle quand il constate qu'elle est totalement défigurée par un incendie, avant de la reprendre chez lui sous la pression de sa femme et de l'installer dans... une niche, dans sa chambre ! Toute l'intrigue tourne autour d'Eve, jeune journaliste à la plume vitriolée qui d'attaque à Tumelat et à Éric, son jeune protégé. Les deux camps vont rivaliser de coups bas pour prendre le dessus. Ce volume est moins glauque que le précédent, mais il fouille le fond des âmes de ses personnages pour en extraire les motivations les plus odieuses. On se sent un peu «sale» en terminant la lecture.
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