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Les disparus de la Purple Line
Élisabeth Peellaert (traduit par)
Date de parution : 21/04/2022
Éditeurs :
10/18

Les disparus de la Purple Line

Élisabeth Peellaert (traduit par)
Date de parution : 21/04/2022
En Inde, 180 enfants disparaissent tous les jours…
À 9 ans, Jai regarde un peu trop de séries policières et se croit beaucoup plus futé que ses amis Pari et Faiz. Tous trois vivent avec leurs familles dans... À 9 ans, Jai regarde un peu trop de séries policières et se croit beaucoup plus futé que ses amis Pari et Faiz. Tous trois vivent avec leurs familles dans une mégalopole indienne noyée dans le smog, entre la décharge et les allées grouillantes du Bhoot Bazar.
Quand un de leurs...
À 9 ans, Jai regarde un peu trop de séries policières et se croit beaucoup plus futé que ses amis Pari et Faiz. Tous trois vivent avec leurs familles dans une mégalopole indienne noyée dans le smog, entre la décharge et les allées grouillantes du Bhoot Bazar.
Quand un de leurs camarades de classe manque à l'appel et que les autorités ferment les yeux, Jai décide d'employer ses talents de détective pour mener l'enquête. Le trio s'aventure ainsi sur la Purple Line, la ligne de métro locale, et dans les coins les plus dangereux de la ville. Mais ce qui n'était au début qu'un jeu tourne vite au drame lorsque les disparitions s'enchaînent, jusqu'à toucher Jai en plein cœur.
Pour découvrir la vérité, les enquêteurs en herbe devront affronter des parents impuissants et dévastés, des forces de l'ordre corrompues et les djinns qui hantent les rues sombres…
 
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EAN : 9782264079619
Code sériel : 5753
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264079619
Code sériel : 5753
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PdGvins 15/02/2024
    Roman qui me semble surtout destiné aux adolescents, les jeunes adultes comme on dit maintenant, car ce sont des enfants qui mènent l'enquête. Même si le sujet peut sembler peu attractif pour cette tranche d'âge et que la réalité de la vie en Inde pour les travailleurs pauvres, y compris les mineurs, peut choquer de jeunes esprits. Bienvenue dans le monde réel des grands pays en voie de développement, les BRICS. Le I c'est l'Inde, le pays le plus peuplé du monde où des dizaines de milliers de gosses disparaissent tous les ans. Et où une libido masculine particulièrement débordante génère aussi de nombreux problèmes. Sans parler des différences liées aux castes et des rejets inhérents aux différentes religions. Mais que fait la police? Cela dépend si vous êtes riche ou misérable et de ce que vous pouvez payer pour obtenir un peu de considération. Triste histoire, Jai, Pari et Faiz qui se lancent à la recherche des disparus vont apprendre que le réel n'a rien à voir avec les films de Bollywood.
  • EmyFrenchArrow 03/01/2024
    En Inde, 180 enfants disparaissent tous les jours. Et c'est ce qu'il arrive dans le "Basti" De Jai, le petit garçon qui se rêve détective. Avec ses amis Pari et Faiz, ils arpentent les allées du Bhoot Bazaar pour retrouver les coupables... Dur livre, bon livre, ambiance oppressante et désespérée, l'Inde m'attire et me rebute à la fois, à chaque nouvelle lecture...
  • Danilan 02/01/2024
    Le roman débute par l’enquête que trois enfants, apprentis détectives vivant dans un bidonville, mènent sur la disparition d’un de leurs camarades. Vous l’aurez compris, l’intérêt de ce roman n’est pas vraiment l’enquête policière mais la description d’une véritable tragédie. « Le chiffre est à peine croyable et certainement incomplet : entre 50 000 et 100 000 jeunes enfants disparaissent chaque année en Inde. Parmi eux, près de 45% des disparitions resteraient aujourd’hui sans suite… Ces enfants, surnommés « la génération perdue », s’égarent aux heures de pointe, fuguent par le trafic ferroviaire, sont abandonnés par leur famille ou sont enlevés par des trafiquants sans scrupules à des fins d’esclavagisme, de prostitution, de mendicité, de trafic d’organes. » Deepa Anappara , journaliste a choisi la fiction pour dénoncer les disparitions d’enfants en Inde, un drame qui perdure dans l’indifférence des gouvernants et d’une police corrompue, laissant parfois les communautés faire sa propre justice , en lynchant des suspects parfois innocents issus de minorités souvent musulmanes. Elle a voulu surtout présenter dans son roman le regard des enfants devant cette réalité. « J’ai écrit ce roman pour faire mentir l’idée selon laquelle ils sont réductibles à des statistiques. Je l’ai écrit pour nous rappeler que derrière les chiffres, il y a des visages. » Cette lecture m’a bouleversée: un livre très fort. Le roman débute par l’enquête que trois enfants, apprentis détectives vivant dans un bidonville, mènent sur la disparition d’un de leurs camarades. Vous l’aurez compris, l’intérêt de ce roman n’est pas vraiment l’enquête policière mais la description d’une véritable tragédie. « Le chiffre est à peine croyable et certainement incomplet : entre 50 000 et 100 000 jeunes enfants disparaissent chaque année en Inde. Parmi eux, près de 45% des disparitions resteraient aujourd’hui sans suite… Ces enfants, surnommés « la génération perdue », s’égarent aux heures de pointe, fuguent par le trafic ferroviaire, sont abandonnés par leur famille ou sont enlevés par des trafiquants sans scrupules à des fins d’esclavagisme, de prostitution, de mendicité, de trafic d’organes. » Deepa Anappara , journaliste a choisi la fiction pour dénoncer les disparitions d’enfants en Inde, un drame qui perdure dans l’indifférence des gouvernants et d’une police corrompue, laissant parfois les communautés faire sa propre justice , en lynchant des suspects parfois innocents issus de minorités souvent musulmanes. Elle a voulu surtout présenter dans son roman le regard des enfants devant cette réalité. « J’ai écrit ce roman pour faire mentir l’idée selon laquelle ils sont réductibles à des statistiques. Je l’ai écrit pour nous rappeler que derrière les...
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  • mymyRouen 05/01/2023
    L’Inde est un pays que j’ai toujours trouvé fascinant. Les différentes de castes sont impressionnantes. Même si la population y est importante, chaque jour 180 enfants disparaissent sans qu’on ne les retrouve Pour ma part j’ai beaucoup aimé ce livre. L’ auteure nous offre un livre ou la misère se mêle au positivisme Ces enfants qui n’ont rien et qui vivent dans des conditions déplorables sont néanmoins heureux et souriants Je me souviens d’une phrase d un collègue indien qui m’avait dit ne pas comprendre que, dans la rue, en France les français ne souriaient pas L’auteure aborde dans ce livre des sujets brûlants tels que la religion et la façon dont les gens sont traités dans ce pays. Même la police ne traite pas les gens de la meme manière Je recommande ce livre. La lecture est fluide et l’auteure a su faire passer beaucoup de messages parfois très difficiles à accepter Je ne peux que vous conseiller cette lecture J’ai bien envie de me replonger dans Lion’
  • Boggey 05/01/2023
    Deepa anappara journaliste, a travaille a Bombay et a Delhi . Elle vit desormais en grande bretagne Pour son premier roman „les disparus de de la purple line“ elle a choisit le prisme d‘enfants pour raconter la pauvrete, la violence religieuse, les castes, les bidonvilles et la disparition d‘enfants. 180 enfants de quartiers pauvres disparaissent chaque jour en Inde . Les petits enfants se tranforment en detectives suite a la disparition d‘un camarade de classe et nous font decouvrir la vie dans ses bidonvilles. Ce livre traite de sujets durs mais l‘auteur a su le rendre magnifique Une excellente lecture que je vous recommande
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