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Les hommes meurent, les femmes vieillissent
Date de parution : 05/01/2017
Éditeurs :
Pocket

Les hommes meurent, les femmes vieillissent

Date de parution : 05/01/2017
Ce soir, dix femmes d’une même famille se sont donné rendez-vous à L’Éden, l’institut de beauté d’Alice – un lieu où leur corps s’abandonne entre des mains bienveillantes, où leurs... Ce soir, dix femmes d’une même famille se sont donné rendez-vous à L’Éden, l’institut de beauté d’Alice – un lieu où leur corps s’abandonne entre des mains bienveillantes, où leurs espoirs s’expriment sans crainte d’être jugés. Quatre générations de femmes si différentes et si proches.
Elles vont se raconter sans détour,...
Ce soir, dix femmes d’une même famille se sont donné rendez-vous à L’Éden, l’institut de beauté d’Alice – un lieu où leur corps s’abandonne entre des mains bienveillantes, où leurs espoirs s’expriment sans crainte d’être jugés. Quatre générations de femmes si différentes et si proches.
Elles vont se raconter sans détour, confier tout ce que l’on ne dit pas et, peut-être alors, le passé pourra-t-il être ce lien qui ne détruit plus mais les unit, elles et leurs hommes : mari, père, frère, amants, fils. Les hommes meurent, les femmes vieillissent et les enfants grandissent.
 
« Une invitation réussie à penser autrement le corps et replacer l’amour au centre de l’existence. » Sophie Adriansen – La Revue littéraire
 
« Il y a des bulles de champagne comme des larmes... C’est réjouissant au possible ! » André Rollin – Le Canard enchaîné
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EAN : 9782266261616
Code sériel : 16472
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266261616
Code sériel : 16472
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« À l’institut de beauté "L’Eden", les confessions jaillissent. Une troublante galerie de portraits et recherche de spiritualité. » Isabelle Potel, Madame Figaro
« Isabelle Desesquelles nous offre des émotions diverses, des sourires, des rires et des larmes. Un livre à lire... un mouchoir a la main. » Le Soir Magazine (Belgique)
« Le huitième livre d'Isabelle Desesquelle est une invitation réussie à penser autrement le corps et à replacer l'amour au centre de l'existence. » La Revue Littéraire
« Isabelle Desesquelles a un regard laser pour faire surgir les secrets et accoucher ses patientes de confidences qui leur permettent d'accéder à une certaine vérité. » André Rollin, Le Canard enchaîné
« Un roman choral tantôt féroce, tantôt joyeux, toujours juste. » La Voix du Nord

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lagays 29/01/2023
    Ce roman est l'histoire d'une famille, de dix femmes d'une même famille qui vont se retrouver pour l'inauguration de leur institut de beauté l'Eden suite au déménagement de celui-ci. L'Eden est gérée par Alice qui reçoit ces femmes; elles se mettent nues mais aussi à nu. Elles se dévoilent lors de leur rendez-vous. Alice tient des fiches sur ces femmes, ce ne sont pas des clientes mais des rencontres. Chaque fiche commence un chapitre suivi par le récit d'une de ces femmes qui se raconte. Elles sont âgées de 94 ans à un bébé. Ces femmes sont des grand-mère, arrière grand mère, mère, soeur, cousine, fille. C'est une histoire de femmes mais aussi d'hommes. Des hommes qui meurent, qui partent, de l'un qui devient femme. Et il y a aussi Eve, qui n'est plus là, elle s'est suicidée et toutes y pensent. Il y aurait une lettre ou pas qui explique son suicide. Et Alice qui installe son institut agrandi dans l'ancienne maison d'Eve, sa première rencontre parmi ces femmes, les soigne, les écoute et leur fait du bien. C'est un roman sur l'amour, rempli d'émotion, de douceur, dur parfois et qui ne laisse pas indifférent
  • Minette29 15/08/2022
    Précipitez vous !!! Lisez ce bouquin !!! Il est drôle, incisif, cruel dans sa réalité. Il parle des femmes, mais aussi des hommes. Il nous rappelle que rien n’est tout bleu, et encore moins tout rose. Vous allez rire, pleurer, réfléchir … et au final vivre chaque instant pleinement pour ce qu’il est et rien de plus. Il y a du sombre qui vous fera sourire et même rire. Il vous rappellera quelque chose ou quelqu’un. Il y aura des éclaircies parce que la vie est ainsi faite. Rien ne dure et tout se répète. De mère en fille. Je suis rentrée dans le salon d’Alice, j’ai ouvert toutes les fenêtres et les courants d’air de la vie m’ont emportée. Caroline, Lili, Barbara, Clarisse, Ève, Manon, Judith …. laquelle de ces femmes m’a murmuré ce que je savais et que je taisais. Laquelle vous interrogera ? Ou alors comme Alice vous sentirez à travers leurs corps leurs vies qui a trébuché, leurs doutes, leurs erreurs, leurs passions … leurs rêves, leurs amours. Vous chercherez peut-être l’épaule de Jeanne, son sourire. Jeanne, le visage de l’enfance et des souvenirs. La sagesse de Jeanne "le bonheur n'est pas une obligation , il faut vivre c'est tout", qui sera jusqu’au bout le ciment de cette famille. Les hommes meurent, les femmes vieillissent, un roman d’une douceur extrême portée par la sensibilité, l’humanité d’Isabelle Desesquelle. "La bouche la plus scellée n’empêchera pas un corps de révéler ce qu’on a fait de lui". "Le passé se regarde de loin quand il est ce que l’on a de meilleur".Précipitez vous !!! Lisez ce bouquin !!! Il est drôle, incisif, cruel dans sa réalité. Il parle des femmes, mais aussi des hommes. Il nous rappelle que rien n’est tout bleu, et encore moins tout rose. Vous allez rire, pleurer, réfléchir … et au final vivre chaque instant pleinement pour ce qu’il est et rien de plus. Il y a du sombre qui vous fera sourire et même rire. Il vous rappellera quelque chose ou quelqu’un. Il y aura des éclaircies parce que la vie est ainsi faite. Rien ne dure et tout se répète. De mère en fille. Je suis rentrée dans le salon d’Alice, j’ai ouvert toutes les fenêtres et les courants d’air de la vie m’ont emportée. Caroline, Lili, Barbara, Clarisse, Ève, Manon, Judith …. laquelle de ces femmes m’a murmuré ce que je savais et que je taisais. Laquelle vous interrogera ? Ou alors comme Alice vous sentirez à travers leurs corps leurs vies qui a trébuché, leurs doutes, leurs erreurs, leurs passions … leurs rêves, leurs amours. Vous chercherez peut-être l’épaule de Jeanne, son sourire. Jeanne, le visage de l’enfance et des souvenirs. La sagesse de Jeanne "le bonheur n'est pas une obligation , il faut vivre c'est tout", qui sera jusqu’au bout...
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  • sandrinecarloni 26/12/2021
    Une très jolie lecture. Voilà une plume de femmes qui raconte la féminité, le rapport au corps, à travers plusieurs personnages qui se livres en dialogue intérieur. C'est léger, grave, drôle, agaçant, triste et tellement vrai. Dix personnages, essentiellement des femmes, qui se racontent dans leur intimité. Des personnages à la fois très différents mais qui ont tous en commun des blessures qui les façonnent dans leur quotidien. J'ai beaucoup aimé certains personnages, certains m'ont agacée, mais tous ont fait écho à la femme que je suis, celle que j'étais et, sans doute, celle que je serai... Plusieurs générations, un petit roman chorale très fort. Une jolie découverte
  • Patrijob 02/08/2021
    S'il fallait utiliser un emoji pour qualifier mon ressenti après la lecture de ce livre, je choisirais celui qui s'interroge, sourcils fronçés, doigt sur la bouche...🤔 Isabelle Desesquelles m'avait bouleversée avec " Je voudrais que la nuit me prenne " ou " Un pur ". Ses phrases courtes et percutantes sont autant de flèches en plein coeur qui ne laissent aucun répit au lecteur ému. Cette fois hélas, les flèches ont manqué leur cible pendant une bonne partie du récit n'éveillant chez moi que peu d'empathie pour ces femmes, certes malmenées sentimentalement ou psychologiquement, mais tellement centrées sur elles-mêmes et sur leur vie sexuelle qu'elles m'ont quelque peu agacée. Dans ce roman choral, neuf membres d'une même famille s'épanchent, se lâchent, parfois crûment, sur leurs déboires personnels, sur leur relation aux autres, sur leur enfance et les souvenirs qui s'y rattachent. Le fil rouge de ce déballage est tenu par Alice, l'esthéticienne dont les soins libèrent les émotions dans une explosion de parole et de sensualité. Sur ce petit monde plane également l'ombre d'Eve, la fille, la soeur, la cousine, la tante, la mère, trop tôt disparue et qui, quinze ans plus tard, hante encore les esprits... Y aurait-il de la culpabilité là-dessous ? Principalement agacée donc, heurtée même parfois par des propos un peu trop suggestifs ( Est-il normal à 13 ans de garder dans ses affaires une photo de son père entièrement nu, prise par sa mère en pleins ébats ?). Serais-je prude à ce point ? Je ne le pense pas, mais je trouve la part faite à la libido bien trop importante comme si l'épanouissement de ces femmes passait obligatoirement par le sexe. Deux personnages ont toutefois trouvé grâce à mes yeux, des personnalités plus fragiles, plus posées, plus sensibles et s'exprimant avec plus de délicatesse sur le sujet. Oui ! Jeanne et Yves, vous êtes les deux seuls qui soyez parvenus à me toucher, les seuls qui sembliez attachés à votre famille malgré vos blessures secrètes, les seuls qui m'ayez permis de retrouver la plume d'Isabelle Desesquelles que j'aime tant et qu'ici je trouve quelque peu gâchée par le propos. Eh bien voilà David, c'est ici que nos avis divergent quelque peu, je n'ai pas compris où l'auteure voulait en venir... 😉S'il fallait utiliser un emoji pour qualifier mon ressenti après la lecture de ce livre, je choisirais celui qui s'interroge, sourcils fronçés, doigt sur la bouche...🤔 Isabelle Desesquelles m'avait bouleversée avec " Je voudrais que la nuit me prenne " ou " Un pur ". Ses phrases courtes et percutantes sont autant de flèches en plein coeur qui ne laissent aucun répit au lecteur ému. Cette fois hélas, les flèches ont manqué leur cible pendant une bonne partie du récit n'éveillant chez moi que peu d'empathie pour ces femmes, certes malmenées sentimentalement ou psychologiquement, mais tellement centrées sur elles-mêmes et sur leur vie sexuelle qu'elles m'ont quelque peu agacée. Dans ce roman choral, neuf membres d'une même famille s'épanchent, se lâchent, parfois crûment, sur leurs déboires personnels, sur leur relation aux autres, sur leur enfance et les souvenirs qui s'y rattachent. Le fil rouge de ce déballage est tenu par Alice, l'esthéticienne dont les soins libèrent les émotions dans une explosion de parole et de sensualité. Sur ce petit monde plane également l'ombre d'Eve, la fille, la soeur, la cousine, la tante, la mère, trop tôt disparue et qui, quinze ans plus tard, hante encore les esprits... Y aurait-il de la culpabilité là-dessous ? Principalement agacée donc, heurtée...
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  • DavidG75 03/06/2021
    𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘺 𝘢 𝘥𝘦𝘴 𝘣𝘭𝘦𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦𝘴 𝘘𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘢𝘶 ⠀ 𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘤𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘴𝘵𝘪𝘯𝘴, 𝘚𝘦𝘶𝘭𝘦 𝘈𝘭𝘪𝘤𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘺 𝘱𝘰𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘌𝘵 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘪𝘨𝘯𝘦𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘶𝘹 ⠀ 𝘌𝘵 𝘴𝘪 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘪, 𝘭à-𝘣𝘢𝘴, 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘭' 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴 𝘋𝘪𝘴-𝘵𝘰𝘪 𝘲𝘶'𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱'𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘵𝘦𝘵𝘦 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘪𝘤𝘪… 🎶 ⠀ ⠀ (D’après Les Plages, Jean-Louis Aubert) ⠀ ⠀ ⠀ Ce soir, l’𝗘𝗱𝗲𝗻 ouvre ses portes. ⠀ Ce soir, 𝗔𝗹𝗶𝗰𝗲 les accueillera toutes dans son nouvel institut de beauté. Toutes ces femmes qui comptent pour Alice. Toutes celles pour qui Alice compte. Elles sont dix, elles sont de la même famille, et l’Eden, pour elles c’est le Paradis… ⠀ Elles sont le bourgeon qui éclot à son premier printemps, le soleil d’été qui réchauffe les cœurs, les bourrasques et les pluies mélancoliques de l’automne, les fêlures et les derniers regrets de l’hiver… A elles dix, elles sont toutes les saisons de la Vie. ⠀ Elles sont l’innocence du nouveau-né, les premiers émois de l’adolescence, les passions suspendues au coin des lèvres, les froides colères de la trahison, la gratitude envers celui qui n’est plus, les doutes de celles qui voudraient aimer autrement… A elles dix, elles sont toutes les amours du Monde. ⠀ L’institut, c’est leur Pays des Merveilles à elles… Entre les mains d’Alice, emplies d’une douceur protectrice, elles s’abandonnent, se laissent bercer, se confient… Et se referment alors les cicatrices de la Vie, le temps d’une caresse éphémère tatouée sur leurs peaux meurtries… ⠀ Elles sont dix et seront presque toutes là ce soir… Seule 𝗘𝘃𝗲 manquera à l’invitation… Avant de s’en aller vers l’Au-delà, l’Eden était sa maison… Et sa lettre, « 𝗹𝗮 𝗹𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘𝘃𝗲 », sera le lien qui unira ce soir toutes ces femmes… #9643;️#9643;️#9643;️ Isabelle Desesquelles est mon auteure préférée. Avec sa prose imagée chargée d’émotions, elle m’avait arraché le cœur avec son magnifique Je voudrais que la nuit me prenne. Dans un style plus direct, avec des mots qui cognent dur, elle m’avait également emporté sur Unpur et Les âmes et les enfants d’abord. A chaque fois sur des thématiques saignantes : la perte d’un enfant, l’enfance violée, la pauvreté… ⠀ Avec Les hommes meurent, les femmes vieillissent, Isabelle Desesquelles s’adresse à toutes ces femmes qui ont été amoureuses un jour. A celles qui fidélisent leurs amours, s’accrochent, s’enfuient, trompent, sont trompées, s’abandonnent, se cachent, les vivent à en mourir… ⠀ Un roman choral qui vous parlera également ouvertement de sexe, du temps qui passe, des relations intergénérationnelles et des liens familiaux… Un livre où les hommes n’ont pas la parole. Et ma foi, c’est bigrement réussi ! 𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘺 𝘢 𝘥𝘦𝘴 𝘣𝘭𝘦𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦𝘴 𝘘𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘢𝘶 ⠀ 𝘚𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘤𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘴𝘵𝘪𝘯𝘴, 𝘚𝘦𝘶𝘭𝘦 𝘈𝘭𝘪𝘤𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘺 𝘱𝘰𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘌𝘵 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘪𝘨𝘯𝘦𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘶𝘹 ⠀ 𝘌𝘵 𝘴𝘪 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘪, 𝘭à-𝘣𝘢𝘴, 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘭' 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴 𝘋𝘪𝘴-𝘵𝘰𝘪 𝘲𝘶'𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱'𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘵𝘦𝘵𝘦 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘪𝘤𝘪… 🎶 ⠀ ⠀ (D’après Les Plages, Jean-Louis Aubert) ⠀ ⠀ ⠀ Ce soir, l’𝗘𝗱𝗲𝗻 ouvre ses portes. ⠀ Ce soir, 𝗔𝗹𝗶𝗰𝗲 les accueillera toutes dans son nouvel institut de beauté. Toutes ces femmes qui comptent pour Alice. Toutes celles pour qui Alice compte. Elles sont dix, elles sont de la même famille, et l’Eden, pour elles c’est le Paradis… ⠀ Elles sont le bourgeon qui éclot à son premier printemps, le soleil d’été qui réchauffe les cœurs, les bourrasques et les pluies mélancoliques de l’automne, les fêlures et les derniers regrets de l’hiver… A elles dix, elles sont toutes les saisons de la Vie. ⠀ Elles sont l’innocence du nouveau-né, les premiers émois de l’adolescence, les passions suspendues au coin des lèvres, les froides colères de la trahison, la gratitude envers celui qui n’est plus, les doutes de celles qui voudraient aimer autrement… A elles dix, elles sont toutes les amours du Monde. ⠀ L’institut, c’est leur Pays des Merveilles à elles… Entre les...
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