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Les hommes ont peur de la lumière
Chloé Royer (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
Éditeurs :
Pocket

Les hommes ont peur de la lumière

Chloé Royer (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
Direction Los Angeles et une Amérique rongée par la crise… Le bouleversant portrait d’un homme bien, piégé par la violence.
Brendan, la cinquantaine fourbue, est chauffeur Uber à Los Angeles. Une course, deux courses, trois courses… Sa matinée s’enchaîne, sans joie, quand cette gentille dame lui renvoie son premier sourire... Brendan, la cinquantaine fourbue, est chauffeur Uber à Los Angeles. Une course, deux courses, trois courses… Sa matinée s’enchaîne, sans joie, quand cette gentille dame lui renvoie son premier sourire de la journée. Direction une clinique pratiquant l'avortement, où sa cliente travaille comme bénévole. Mais arrivés sur place, le bâtiment... Brendan, la cinquantaine fourbue, est chauffeur Uber à Los Angeles. Une course, deux courses, trois courses… Sa matinée s’enchaîne, sans joie, quand cette gentille dame lui renvoie son premier sourire de la journée. Direction une clinique pratiquant l'avortement, où sa cliente travaille comme bénévole. Mais arrivés sur place, le bâtiment s’enflamme. Les voilà lancés dans une course-poursuite impitoyable à travers la cité des anges, où certains « pro-vie » ont manifestement un peu trop tendance à souhaiter les voir morts…
Parce qu’il faut, parfois, sortir de l’ombre. Et braver la lumière…
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EAN : 9782266336581
Code sériel : 19117
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266336581
Code sériel : 19117
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une peinture acérée d'une Amérique puritaine et cruelle. »
Femme actuelle

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • guillemetfree 11/03/2024
    Ce n'est pas le meilleur roman de Douglas Kennedy , mais le sujet est vraiment d'actualité. surtout aux USA l'auteur nous entraine dans les angoisses qui ne devraient plus avoir aujourd'hui les personnages. on peut se réjouir que certains hommes ne suivent pas la mouvance rétrograde qui sévit en ce moment aux USA
  • annec44 10/03/2024
    C’est évidemment toujours un plaisir de retrouver la plume de Douglas Kennedy qui sait se renouveler à chacun de ses romans. Dans ce roman, l’intrigue sert à aborder une cause de société qui divise toujours la société américaine. L’auteur, sous couvert de ses personnages, énonce clairement son opinion et son engagement pro-avortement et son opposition aux militants pro-vie soutenus par les religieux. Ce faisant, ce livre traite plus de l’essai que du thriller. Le personnage de Brendan, sans être spécialement attachant, force le respect de par son histoire, ses choix et ses ressentis. C’est un Américain « moyen », qui s’est battu toute sa vie pour s’en sortir et tenter de construire une vie honorable pour sa famille et qui au fur et à mesure des déboires, est devenu un esclave de la société. Malgré un rythme un peu lent, les pages se tournent toutes seules. La trame est bien amenée, le suspense est au rendez-vous, il y a de la profondeur, de l’émotion, de l’amour. J’ai encore une fois passé un très bon moment qui confirme mon attachement à l’écriture de Douglas Kennedy.
  • SZRAMOWO 23/02/2024
    La lecture de Douglas Kennedy m'avait enchantée au temps de La femme du 5ème et de L'Homme qui voulait vivre sa vie. Puis je m'en étais lassé. Qu'est ce qui m'a poussé à vouloir lire Les hommes ont peur de la lumière, peut-être un manque dont je m'interroge encore sur la nature. La lecture m'a vite donné l'impression de marcher en territoire connu, de retrouver un vieil ami perdu de vue mais toujours présent dans mon coeur. L'histoire permet à l'auteur d'évoquer des sujets très contemporains et de montrer la sauvagerie de la société américaine, sauvagerie vers laquelle quoiqu'on en dise les pays européens progressent à grand pas. Le personnage principal est Brendan un chauffeur Uber, ingénieur en électricité qui, suite à un licenciement après 27 ans de bons et loyaux services chez Crandall Industries, voit ses choix professionnels limités à " des jobs de cauchemar sous-payés - comme faire de la mise en rayon chez Wallmart ou s'enterrer vivant dans un entrepôt Amazon huit heures par jour -, passer l'essentiel de mon temps au volant de ma voiture me paraissait l'option la moins pénible." Hélas il est soumis aux caprices de ses clients dont certains jouent la menace de la note et du commentaire sur les réseaux sociaux pour contester, les choix d'itinéraire, trouver la propreté ou l'état de la voiture peu dignes de leur petite personne, juger inapproprié le comportement du chauffeur. Des observations très justes sur la responsabilité sociale de ceux qui, forts de leur statut jouent sur la précarité de ceux qui se battent pour survivre. Les conditions de travail et les revenus des chauffeurs Uber sont détaillés avec précision. La note et le pourboire deviennent une obsession parfois paralysante : "Rien, que dalle. Mais c'est la règles, dans ce métier. Les gens qui détestent leur vie ne laissent jamais de pourboire." Les colloques singuliers entre le chauffeur et ses clients sont le moyen d'évoquer l'évolution de la société américaine, le poids de la religion, la tendance à l'isolement des différents groupes sociaux, et l'incomprhensible succès de Trump. L'histoire s'emballe lorsque Brendan se trouve à véhiculer des femmes luttant pour La Défense du droit à l'IVG accompagnant des patientes dans des centres cernés par des militants anti-avortement. En dépit de l'opposition de son entourage - qui l'accuse d'aider des "tueuses d'enfant" lorsque suite à l'agression d'un centre IVG, il est filmé par la chaine locale de TV - Brendan continue à véhiculer Élise une ancienne prof militante pro IVG. Le récit s'emballe et devient une véritable histoire policière impliquant des élus politiques qui défendent des positions éthiques et morales qu'ils ne s'appliquent pas à eux mêmes. Air connu. Le roman se lit comme tel mais l'auteur ne néglige jamais le fonds des thèmes qu'il évoque. La chute est au-delà de ce à quoi le lecteur pouvait s'attendre. "Je n'ai rien à cacher. Je suis comme tout le monde de nos jours. J'ai peur" conclut l'auteur. À lire ! La lecture de Douglas Kennedy m'avait enchantée au temps de La femme du 5ème et de L'Homme qui voulait vivre sa vie. Puis je m'en étais lassé. Qu'est ce qui m'a poussé à vouloir lire Les hommes ont peur de la lumière, peut-être un manque dont je m'interroge encore sur la nature. La lecture m'a vite donné l'impression de marcher en territoire connu, de retrouver un vieil ami perdu de vue mais toujours présent dans mon coeur. L'histoire permet à l'auteur d'évoquer des sujets très contemporains et de montrer la sauvagerie de la société américaine, sauvagerie vers laquelle quoiqu'on en dise les pays européens progressent à grand pas. Le personnage principal est Brendan un chauffeur Uber, ingénieur en électricité qui, suite à un licenciement après 27 ans de bons et loyaux services chez Crandall Industries, voit ses choix professionnels limités à " des jobs de cauchemar sous-payés - comme faire de la mise en rayon chez Wallmart ou s'enterrer vivant dans un entrepôt Amazon huit heures par jour -, passer l'essentiel de mon temps au volant de ma voiture me paraissait l'option la moins pénible." Hélas il est soumis aux caprices de ses clients dont certains jouent la menace de la note et...
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  • CatherineGARDES 20/02/2024
    Vous plongez dans l'Amérique des petits gens, la classe moyenne qui se bat pour vivre tous les jour, qui ont peur du lendemain, qui ont peur du quotidien...mais aussi qui savent se battre pour des idées. Le personnages sont attachants et paraissent plus que réels, loin des cliqués d'une Amérique toute puissante où ses citoyens sont tous beaux, courageux et riches. Quant à l'intrigue, nous sommes plongés dans les vraies questions societales qui secouent ce pays aujourd'hui : l'avortement, le droit de vivre décemment, le droit de penser librement. Enfin un vrai livre sur la vraie Amérique, sur les vrais américains.
  • thebookshereads 10/02/2024
    Entre thriller haletant et critique de la société américaine, « Les hommes ont peur de la lumière » est un roman dont la dualité m’a étonné mais qui a finalement plutôt bien fonctionné pour moi. Ce roman aborde le sujet de l’avortement aux USA, la division qui règne entre les pro-choice et les pro-life allant jusqu’aux attentats perpétrés contre les cliniques d’avortement dont je n’avais pas forcément connaissance. Cette thématique m’a beaucoup intéressé et m’a donné envie de découvrir « Une étincelle de vie » de Jodie Picoult qui est également dans ma pile à lire et qui traite de ces mêmes sujets. Cela reste assez déstabilisant de se rendre compte qu’il est encore possible de vivre ce genre d’actes et de comportements en 2024 (le roman a été écrit en 2020). Je dois avouer avoir préféré ce roman pour sa critique social plus que pour le thriller qui s’y joue. De ce côté de l’histoire, tout s’enchaîne très vite et manque parfois de réalisme. On était à la limite du blockbuster américain et ce n’est pas forcément ce que j’aime le plus. En bref, tout l’intérêt de ce roman se joue sur cette grande critique de la société américaine tiraillé entre archaïsme et liberté de choisir. Douglas Kennedy nous livre un roman engagé et actuel qui fait plaisir à lire même s’il s’est un peu emballé à certains moments, selon moi. Ce roman mérite tout de même d’être lu et pourrait plaire à un grand nombre. A découvrir !Entre thriller haletant et critique de la société américaine, « Les hommes ont peur de la lumière » est un roman dont la dualité m’a étonné mais qui a finalement plutôt bien fonctionné pour moi. Ce roman aborde le sujet de l’avortement aux USA, la division qui règne entre les pro-choice et les pro-life allant jusqu’aux attentats perpétrés contre les cliniques d’avortement dont je n’avais pas forcément connaissance. Cette thématique m’a beaucoup intéressé et m’a donné envie de découvrir « Une étincelle de vie » de Jodie Picoult qui est également dans ma pile à lire et qui traite de ces mêmes sujets. Cela reste assez déstabilisant de se rendre compte qu’il est encore possible de vivre ce genre d’actes et de comportements en 2024 (le roman a été écrit en 2020). Je dois avouer avoir préféré ce roman pour sa critique social plus que pour le thriller qui s’y joue. De ce côté de l’histoire, tout s’enchaîne très vite et manque parfois de réalisme. On était à la limite du blockbuster américain et ce n’est pas forcément ce que j’aime le plus. En bref, tout l’intérêt de ce roman se joue sur cette grande critique de la société américaine tiraillé entre archaïsme et liberté...
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