Les Ténèbres d'Hiram

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• philteys 04/03/2024

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  Un roman noir un peu classique qui m'a embarqué illico vers un sombre voyage du côté des francs-maçons (l'auteur s'est documenté, il n'y a aucun doute). Le style est fluide et enlevé, les coups de théâtre peu prévisibles. Mon petit bémol : ce sont des personnages un peu effleurés, qu'on a du mal à cerner et apprécier. Mais peut-être reviendront-ils dans les romans suivants car il y a de quoi les développer. Un vrai plaisir de lecture !
• lau2810 02/10/2023

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  Je viens de terminer, vu les commentaires déjà laissés je dois dire que moi j’ai beaucoup aimé ce roman. Je n’ai pas ressenti les mêmes choses que ces lecteurs. J’ai aimé les personnages, les thèmes abordés par Gregory Chevignon. Les expériences de Lazar ? Peut-être pas du nouveau ? Ce roman m’a fait passer un bon moment, je me suis laissée emporter sans me poser de questions. J’ai kiffé grave.
• JuanitoPepito 13/03/2022

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  Un bon moment avec ce thriller. Nous rentrons vite dans le vif du sujet, et cela devient vite addictif et l'on a hâte de connaître la fin. Toutefois, beaucoup de faits historiques énoncés qui, parfois, embrouillent plus qu'ils n'éclaircissent. Le lecteur est baladé comme il se doit et c'est très bien mais cela reste parfois confus lorsque le sujet ne nous est pas familier, que cela concerne la franc-maçonnerie ou le Kosovo. Un bon livre cependant que je saurai conseiller.
• Gregotine 03/12/2021

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  Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu de polar ésotérique. Pas de problème avec celui-ci, on replonge en plein dedans. Mieux vaut avoir le coeur bien accroché à la lecture de certaines scènes... J'ai beaucoup aimé le style, très précis, très travaillé. très documenté. Une belle découverte
• EmyL92 23/07/2021

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  Dans Les ténèbres d’Hiram, nous faisons plusieurs « voyages » qui peuvent au départ sembler repoussants mais finalement nous sommes complètement happés par le récit de Grégory Chevignon qui nous entraîne dans une enquête policière très rythmée sur les rapports entre catholiques intégristes et francs-maçons avec une pointe de politique, celle-ci étant un peu trop survolée sans doute. Le tout dans un Lyon parfaitement décrit… en surface comme dans les entrailles de la ville. Le personnage de Lisa, capitaine, chef de groupe du SRPJ, ainsi que ses deux adjoints nous apparaissent quant à eux comme sympathiques et très humains avec leurs faiblesses. Le récit et l’histoire sont parfaitement servis par une belle plume, ce qui ne gâte rien. Dans le détail, sur la forme, on peut regretter que l’auteur confonde Bosnien et Bosniaque et utilise cette très vilaine formule « faire sens » (p. 182) qui pour être à la mode n’en est pas moins une grossière erreur de langage. Quant au fond, deux petites critiques : on se demande encore ce que vient faire la relation sexuelle entre Lisa et le juge (p.152), sans lendemain, avec une scène d’amour mal décrite ; et on regrette aussi que si Chevignon nous perd parfois dans les détails de la documentation qu'il a compilée il aille aussi trop vite à d'autres moments, quitte à s’emmêler dans son histoire comme lorsque Lisa répond en détail sur les « sédévacantistes » alors qu’elle ignore encore qui ils sont (p. 259). Hormis ces détails, c’est un excellent polar.Dans Les ténèbres d’Hiram, nous faisons plusieurs « voyages » qui peuvent au départ sembler repoussants mais finalement nous sommes complètement happés par le récit de Grégory Chevignon qui nous entraîne dans une enquête policière très rythmée sur les rapports entre catholiques intégristes et francs-maçons avec une pointe de politique, celle-ci étant un peu trop survolée sans doute. Le tout dans un Lyon parfaitement décrit… en surface comme dans les entrailles de la ville. Le personnage de Lisa, capitaine, chef de groupe du SRPJ, ainsi que ses deux adjoints nous apparaissent quant à eux comme sympathiques et très humains avec leurs faiblesses. Le récit et l’histoire sont parfaitement servis par une belle plume, ce qui ne gâte rien. Dans le détail, sur la forme, on peut regretter que l’auteur confonde Bosnien et Bosniaque et utilise cette très vilaine formule « faire sens » (p. 182) qui pour être à la mode n’en est pas moins une grossière erreur de langage. Quant au fond, deux petites critiques : on se demande encore ce que vient faire la relation sexuelle entre Lisa et le juge (p.152), sans lendemain, avec une scène d’amour mal décrite ; et on regrette aussi que si Chevignon nous perd...

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