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Libres enfants de Summerhill
Maud Mannoni (préface de), Micheline Laguilhomie (traduit par)
Date de parution : 25/03/2004
Éditeurs :
La Découverte

Libres enfants de Summerhill

Maud Mannoni (préface de), Micheline Laguilhomie (traduit par)
Date de parution : 25/03/2004

« Summerhill, c’est l’aventure d’une école autogérée fondée en 1921 dans la région de Londres. Son fondateur, [le psychanalyste] A. S. Neill […], a mis les découvertes psychanalytiques au service...

« Summerhill, c’est l’aventure d’une école autogérée fondée en 1921 dans la région de Londres. Son fondateur, [le psychanalyste] A. S. Neill […], a mis les découvertes psychanalytiques au service de l’éducation. [Il] s’est dressé contre l’école traditionnelle soucieuse d’instruire mais non d’éduquer. Il s’est dressé contre les parents hantés...

« Summerhill, c’est l’aventure d’une école autogérée fondée en 1921 dans la région de Londres. Son fondateur, [le psychanalyste] A. S. Neill […], a mis les découvertes psychanalytiques au service de l’éducation. [Il] s’est dressé contre l’école traditionnelle soucieuse d’instruire mais non d’éduquer. Il s’est dressé contre les parents hantés par le critère du succès (l’argent). Il s’est insurgé contre un système social qui forme, dit-il, des individus “manipulés” et dociles, nécessaires à l’ensemble bureaucratique hautement hiérarchisé de notre ère industrielle », écrit Maud Mannoni dans sa préface.
Libres Enfants de Summerhill, publié aux éditions François Maspero en 1970, dix ans après sa première publication à New York et dans le bouillonnement de l’après-Mai 68, est devenu en quelques années un best-seller et s’est vendu à plus de 400 000 exemplaires. Depuis sa parution, l’expérience éducative originale décrite dans cet ouvrage a suscité de nombreux débats pédagogiques et contribué à lancer la question des droits de l’enfant. L’école autogérée de Summerhill, malgré les controverses dont elle a pu et continue de faire l’objet, accueille toujours des pensionnaires.

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EAN : 9782707142160
Code sériel : 163
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 476
Format : 125 x 190 mm
EAN : 9782707142160
Code sériel : 163
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 476
Format : 125 x 190 mm

Ils en parlent

« Depuis sa parution, l'expérience éducative originale décrite dans cet ouvrage a suscité de très nombreux débats pédagogiques et a contribué à lancer la question des droits de l'enfant [...] Ouvrage de référence [...], livre culte. »
LIBÉRATION

« Alors que le "grand débat" sur l'école doit accoucher de ses premières conclusions, voilà opportunément réédité le plus célèbre ouvrage du pédagogue et psychanalyste britannique Alexander Sutherland Neill (1883-1973). [...] Une écriture accessible, conforme à l'approche pragmatique de son auteur : il ne s'agit pas d'un traité de pédagogie, mais d'un montage de textes réunis pour l'édition française, recueil vivant, fait d'anecdotes et de réflexions relatives à une expérience éducative originale. [...] La relecture de cette expérience fait ressortir avec force le contraste avec les idées dominantes en cours sur l'éducation. »
L'HUMANITÉ

« On peut lire dans ce livre un traité de psychologie, un bréviaire à l'usage des parents, le témoignage d'une expérience éducative, ou simplement un plaidoyer en faveur du bonheur et de la liberté. Dans notre société de plus en plus répressive, dans notre système éducatif ouvert à la compétition internationale, qu'en est-il précisément du bonheur ? Qu'il s'agisse des enfants, des parents ou des éducateurs, où pourront-ils le trouver ? Neill rêvait à sa manière d'un nouvel hédonisme; espérons que cette réédition saura remettre ses valeurs au centre des débats sur l'école. »
LE MATRICULE DES ANGES

« Cette réédition tombe à pic alors que le respect de l'enfant est au coeur des débats. »
ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE ACTUALITÉS

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sonya93h 06/03/2023
    Neill, ouvre une école pour accueillir des enfants à être autonome et libre et qui auraient le temps de grandir à leur aise et non d’être conforme à un système prédéfini par les adultes. Un livre intéressant, qui fait réfléchir à notre société. Même si je n’approuvais pas tous ses points de vue dans l’ensemble, l’ouvrage est excellent. Note:8/10
  • Meps 26/11/2022
    Il y a certains livres dont je repousse régulièrement la lecture... et ce sont régulièrement des essais. On m'a souvent conseillé la lecture de "Libres enfants de Summerhill", notamment pendant ma formation d'éducateur spécialisé. Je crois que finalement cette lecture est arrivée au bon moment, celui où une autre expérience professionnelle indispensable pour moi à cette lecture m'était survenue... celle de parent d'un petit bonhomme de 4 ans ! Ma lecture aurait été tout autre il y a 5 ans je pense. En tant qu'éducateur, je ne peux que saluer la plupart des idées évoquées par l'auteur et encore plus à l'époque où elles ont été énoncées, soit les années 60 pour l'édition originale. Éloge de la liberté pour l'éducation des enfants tant qu'elle ne les mets pas en danger ou ne vient pas heurter trop fort celle des autres, condamnation des châtiments corporels, condamnation de la morale religieuse... et la plupart du temps de la morale tout court qui ne cherche qu'à culpabiliser les enfants, remise en cause de l'enseignement classique qui privilégie l'histoire, les mathématiques ou les langues vivantes plutôt que les matières pratiques qui permettent d'aider à la vie concrète... Tout cela semble tomber sous le coup de la logique quand on réfléchit à tous ces enfants qui sont mis à l'écart du système scolaire traditionnel, qui sont considérés comme des délinquants en puissance en fonction de quelques mots peu châtiés... et qui s'empressent du coup de donner raison aux étiquettes qu'on leur colle. L'amour inconditionnel comme remède principal pour ces écorchés vifs peut sonner baba cool soixante-huitard mais me semble pourtant être tellement utile dans sa bienveillance si simple mais j'en suis sûr si efficace. Je sens l'inquiétude poindre en vous... En devenant parent, serais-je devenu un apôtre de la fessée et de l'éducation rigoriste et sévère ? Bien sûr que non... mais comme l'auteur le reconnait lui-même, cette liberté idéale vient se heurter à la société toute entière et son modèle quand l'enfant est élevé en son sein. Summerhill est une oasis où certains parents choisissent de faire grandir leurs enfants dans la liberté... mais en les y abandonnant finalement à d'autres, ce qui me paraitrait inconcevable avec mon fils ! Alors je m'efforce d'appliquer la plupart des préceptes énoncés, avec sans doute moins d'"extrémisme" que ne le prône Neill, lui qui a eu la chance de pouvoir vivre avec sa fille dans l'oasis qu'il avait lui-même créé ! Ce qui est rassurant c'est que l'auteur ne manque pas d'incohérences (qu'il pointe parfois lui-même d'ailleurs) quand ses grands principes viennent se heurter avec sa propre réalité.... prônant l'acceptation totale du bruit des enfants... sauf quand cela vient trop lui casser la tête ! Tout est réglé dans les assemblées collectives du samedi où la position du directeur ne gagne pas toujours ! Alors je fais avec mes propres compromissions, reprenant parfois le bonhomme sur quelques noms d'oiseaux, le frustrant de sa liberté et le grondant quand l'urgence des horaires du matin ne me permet pas de lui laisser toute latitude sur les activités souhaitées... je suis devenu parent en somme, bien heureux de ne pas me reconnaitre dans les portraits de parent anti-vie que dresse l'auteur... mais suis-je vraiment objectif ? On ne peut passer sous silence certaines pensées un peu datées, sur l'homosexualité ou l'avortement, plutôt avant gardistes pour l'époque dans son non jugement et son ouverture, mais assez légers sur l'analyse. L'auteur reconnait dans ses premiers mots que "en matière de psychologie, nous ne sommes pas très avancés". Je confirme, il y a eu du progrès depuis. Même concernant l'image des femmes, ses idées sont plutôt en avance... mais ses observations restent engoncés dans des stéréotypes de genre (les activités que les filles aiment à Summerhill, leur tendance à se venger sur les gens alors que les garçons se vengent sur les objets, le fait qu'il faut que les femmes aient un travail... qu'elles pourront retrouver après avoir élevé les enfants)... On ne peut demander à un auteur d'être visionnaire et en avance partout ! L'ensemble m'a aussi plu par son côté iconoclaste, anti-religieux du fait de la morale liberticide, anti-capitaliste par sa volonté de ne pas faire dépendre le bonheur du seul bien possédé, anti-communiste par le pressentiment que l'idéologie ne pouvait pas mener les masses collectivement au bonheur suprême, anti-violence et anti-guerre, anti-anarchie par respect des autres humains. L'école de Summerhill existe encore aujourd'hui et a survécu à son créateur puisqu'elle est aujourd'hui dirigée... par sa fille. Au delà de certaines limites qu'on pourrait pointer, je pense que notre système de protection de l'enfance n'aurait qu'à se féliciter que les foyers que je connais bien par ma profession ressemblent beaucoup plus à Summerhill qu'aux lieux de "moins pires" qu'elles sont actuellement... pour les meilleurs d'entre eux...Il y a certains livres dont je repousse régulièrement la lecture... et ce sont régulièrement des essais. On m'a souvent conseillé la lecture de "Libres enfants de Summerhill", notamment pendant ma formation d'éducateur spécialisé. Je crois que finalement cette lecture est arrivée au bon moment, celui où une autre expérience professionnelle indispensable pour moi à cette lecture m'était survenue... celle de parent d'un petit bonhomme de 4 ans ! Ma lecture aurait été tout autre il y a 5 ans je pense. En tant qu'éducateur, je ne peux que saluer la plupart des idées évoquées par l'auteur et encore plus à l'époque où elles ont été énoncées, soit les années 60 pour l'édition originale. Éloge de la liberté pour l'éducation des enfants tant qu'elle ne les mets pas en danger ou ne vient pas heurter trop fort celle des autres, condamnation des châtiments corporels, condamnation de la morale religieuse... et la plupart du temps de la morale tout court qui ne cherche qu'à culpabiliser les enfants, remise en cause de l'enseignement classique qui privilégie l'histoire, les mathématiques ou les langues vivantes plutôt que les matières pratiques qui permettent d'aider à la vie concrète... Tout cela semble tomber sous le coup...
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  • Quintessence492 24/09/2022
    L'ouvrage de Neill s'intéresse à l'enseignement, à l'éducation. Il développe des vues sur la pédagogie moderne et sa différence avec la pédagogie traditionnelle. À partir de faits vécus, il souhaite apporter un éclairage sur les relations parents / enfants et maîtres / élèves. Il pose le problème de ceux qui grandissent dans la crainte. Le livre avance le jugement qu'au moment où il est écrit, on n'est pas encore très avancé dans la science psychologique. Mise à jour entre autres par Freud, elle dégage la plupart du temps des " forces directrices " qui " nous sont encore un mystère ". L'ouvrage est donc l'histoire de Summerhill, un lieu qui a pour but d'élever les enfants dans la joie de vivre. Le livre se base sur un constat : les enfants difficiles ne sont pas difficiles par hasard. Ils le sont la plupart du temps par les insuffisances de leur milieu familial. Le domaine de la psychologie est la " guérison du mal de l'âme ". L'école de Summerhill veut profondément apporter la joie de vivre aux enfants. Neill éducateur, psychologue, directeur d'école se donne pour but non pas de réformer la société et le système éducatif mais simplement celui de former des individus libres et heureux. Son message est rempli d'humilité et d'intenses moments de lucidité pour ne pas voler la joie de vivre des enfants. Il définit la réussite non pas comme le fait pour l'individu grandissant de gagner beaucoup d'argent mais sa capacité à travailler joyeusement et à vivre positivement. Un livre chaleureux et franc. L'ouvrage de Neill s'intéresse à l'enseignement, à l'éducation. Il développe des vues sur la pédagogie moderne et sa différence avec la pédagogie traditionnelle. À partir de faits vécus, il souhaite apporter un éclairage sur les relations parents / enfants et maîtres / élèves. Il pose le problème de ceux qui grandissent dans la crainte. Le livre avance le jugement qu'au moment où il est écrit, on n'est pas encore très avancé dans la science psychologique. Mise à jour entre autres par Freud, elle dégage la plupart du temps des " forces directrices " qui " nous sont encore un mystère ". L'ouvrage est donc l'histoire de Summerhill, un lieu qui a pour but d'élever les enfants dans la joie de vivre. Le livre se base sur un constat : les enfants difficiles ne sont pas difficiles par hasard. Ils le sont la plupart du temps par les insuffisances de leur milieu familial. Le domaine de la psychologie est la " guérison du mal de l'âme ". L'école de Summerhill veut profondément apporter la joie de vivre aux enfants. Neill éducateur, psychologue, directeur d'école se donne pour but non pas de réformer la société et le système éducatif mais simplement celui...
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  • Lou_Knox 05/07/2022
    J'avais toujours placé ce bouquin comme une légende, vantant à qui voulait l'entendre que ça devait forcément être chicos bicause y'avait le mot "libre" associés aux gosses. J'savais que le livre datait un peu alors j'avais du mal à comprendre comment on pouvait entreprendre d'ouvrir une école où les enfants semblaient pouvoir agir à leur guise. Il est jamais trop tard pour prendre du retard dans sa pile de livres à lire et se taper un bouquin qui nous fait envie depuis qu'on est en âge de se tripoter sur nos premières notions d'anarchisme, de liberté, de Proudhon, mon cul et tutti cuanti (parce que ça a de la gueule, avoue). En ce qui concerne la pédagogie utilisée et la réponse aux "problèmes" que les enfants rencontrent dans son école, Neill s'en sort vraiment bien (ah ouais j'avais zappé, on est d'accord que c'est mon avis, qu'il est discutable, que je suis pas fixé sur une idée, que je suis en perpétuelle évolution jusqu'à ce que je clamse et que donc ça reste mon avis et que je ne veux en aucun cas donner de leçons de morale aux éducateurs, parents-professeurs-prêtres tendancieux, etc. kodak ?). Deal. Donc en ce qui concerne la pédagogie de Neill, je trouve ses réflexions vraiment intelligentes, basées sur le laisser faire de l'enfant qui se développera tôt ou tard au sens où lui l'enfant l'entend et non pas au sens où la société l'exige (avec ses névroses, ses phobies et tout l'bordel - je peux pas placer tutti fruti à toubou de champs tu sais ?). J'ai pourtant commencé à grincer des dents en ce qui concerne la sexualisation des comportements. Ils rassemblent souvent les enfants étudiés dans des cases filles/garçons. Ce qui pour moi est assez contraire aux idées qu'il défend, ne laissant pas ou peu de place aux comportements unisexes et je suis pas certain que le sexe définisse ta façon d'agir en société. Neill est un contemporain de Freud et sérieusement, une fois le bouquin fermé on a l'impression qu'il lui lèche la pomme sévère. Ça a le don de m'énerver, même si Freud a beaucoup fait pour la psycho, il n'en résulte pas moins d'être un putain de misogyne et sa tendance à tout comparer au cul est certes un point de vue subjectif mais de là à le considérer comme étant un exemple exemplaire. Nique. Puis vient la question de l'homosexualité. Bien que Neill condamne l'homophobie, les représailles physiques, verbales ou financières concernant l'homosexualité il considère néanmoins celle-ci comme étant une maladie. Pour lui les comportements homosexuels sont naturels mais pas l'homosexualité. Pour Neill, c'est le résultat d'une perversion. Grmbl. Je sais que ce bouquin a été écrit dans les années 60 et qu'il faut tenir compte du contexte. Mais merde, Libres enfants de Summerhill est cité comme référence par beaucoup de libres penseurs et d'éducateurs. Ça m'amène juste une fois de plus à me rendre compte qu'en grattant un peu il y a toujours des paradoxes entre ce que les gens disent et ce qu'ils pensent réellement. À te dégouter d'avancer avec des modèles. Doutez toujours de tout. J'vous jure. Même de vous. Tout ça pour dire que j'ai beaucoup appris. J'en sais rien si je serai futur parent ou quoi mais ce livre m'a fait autant de bien que de mal. Je suis content de l'avoir lu et décide donc de prendre ce qui m'a plu et de faire un déni du reste. J'sais pas si vous êtes nombreux à l'avoir lu mais si tu veux en causer minou je t'ouvre carrément mes commentaires en dessous de la critique parce que je suis och pour savoir ce que t'en penses ! Salute ! J'avais toujours placé ce bouquin comme une légende, vantant à qui voulait l'entendre que ça devait forcément être chicos bicause y'avait le mot "libre" associés aux gosses. J'savais que le livre datait un peu alors j'avais du mal à comprendre comment on pouvait entreprendre d'ouvrir une école où les enfants semblaient pouvoir agir à leur guise. Il est jamais trop tard pour prendre du retard dans sa pile de livres à lire et se taper un bouquin qui nous fait envie depuis qu'on est en âge de se tripoter sur nos premières notions d'anarchisme, de liberté, de Proudhon, mon cul et tutti cuanti (parce que ça a de la gueule, avoue). En ce qui concerne la pédagogie utilisée et la réponse aux "problèmes" que les enfants rencontrent dans son école, Neill s'en sort vraiment bien (ah ouais j'avais zappé, on est d'accord que c'est mon avis, qu'il est discutable, que je suis pas fixé sur une idée, que je suis en perpétuelle évolution jusqu'à ce que je clamse et que donc ça reste mon avis et que je ne veux en aucun cas donner de leçons de morale aux éducateurs, parents-professeurs-prêtres tendancieux, etc. kodak ?). Deal. Donc en ce qui concerne la pédagogie de...
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  • Elea17 14/02/2020
    Ce livre fait partie de ceux qui ont transformé ma vie. Tout d'abord il m'a appris à aimer les enfants. Oui, c'est possible d'apprendre à aimer. Mais peut-être vous dites-vous d'abord : « Horreur, cette femme n'aimait pas les enfants ?! » Je les respectais mais, ado, c'est loin de leurs cris que je me sentais le mieux :-) Par contre j'étais révoltée contre notre système éducatif coercitif. Et puis un jour quelqu'un m'a parlé de ce livre. Où il est écrit (et démontré), notamment, que les enfants ne naissent pas mauvais (ils le deviennent, parfois, à force de mauvais exemples). Ce livre n'a pas seulement transformé ma vie, il l'a bouleversée. Alors, je n'irais pas jusqu'à dire que c'est grâce à lui que j'ai aujourd'hui des enfants, mais il y a certainement contribué. . P.-S. : A. S. Neill avait raison : les enfants ne naissent pas mauvais. Ce sont des anges.
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