Magi - The Labyrinth of Magic - tome 10

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Alfaric 10/09/2015

  Signaler
  Ce tome 10 est consacré à l’exploration du Donjon Zagan situé dans les terres inexplorées du Grand Sud… La 89e nuit permet à la mangaka de faire un peu de foreshadowing avec le mystère du peuple Tran, et c’est un peut de bonheur que de retrouver Ahbmad Saluja débarrassé de sa mégalomanie et Sabmad Saluja débarrassé de son agoraphobie, tous les deux reconvertis en archéologues ! Pour le reste, je ne suis pas très fan de ce passage du manga : le Donjon de Zagan est trop loufoque, trop délire, trop barré avec tous ces détournements d’Alice au pays des merveilles, et le fait que le maître des lieux soit une parodie de héros shojo ne m’a pas aidé non plus… (Mais du coup, j’ai pu me concentrer sur les dessins, et j’ai pu apprécier à sa juste valeur l’alternance entre découpage classique et découpage oblique, avec une narration graphique qui n’hésite pas à utiliser des cases débordant de leur format habituel) Néanmoins le tome m’a plu quand même car Shinobu Ohatka s’amuse avec à intervertir les genres : Amon subit les affres de la maternité, Zagan se comporte comme une peste, Aladin ressemble à Hermione Granger, Ali Baba devient demoiselle en détresse et Morgiane paladin sans peur et sans reproche tandis qu’Hakuryû présenté comme le parfait prince charmant s’effondre psychologiquement pour pleurer comme une fillette… Bref, en empruntant les lames du chaos de Kratos du jeu vidéo culte "God of War", Morgiane est clairement le personnage le plus masculin et le plus badass de ce tome ! (Ikki du Phénix de "Saint Seiya" n’a qu’à bien se tenir ^^) Dans la catégorie héroïne de shonen à cheveux roses, la comparaison fait très très mal à la pauvre Sakura Haruno de "Naruto"… Sinon, gros cliffhanger avec l’entrée en scène d’un trio d’adversaires envoyé par Al-Thamen. Là, ça rigole plus !Ce tome 10 est consacré à l’exploration du Donjon Zagan situé dans les terres inexplorées du Grand Sud… La 89e nuit permet à la mangaka de faire un peu de foreshadowing avec le mystère du peuple Tran, et c’est un peut de bonheur que de retrouver Ahbmad Saluja débarrassé de sa mégalomanie et Sabmad Saluja débarrassé de son agoraphobie, tous les deux reconvertis en archéologues ! Pour le reste, je ne suis pas très fan de ce passage du manga : le Donjon de Zagan est trop loufoque, trop délire, trop barré avec tous ces détournements d’Alice au pays des merveilles, et le fait que le maître des lieux soit une parodie de héros shojo ne m’a pas aidé non plus… (Mais du coup, j’ai pu me concentrer sur les dessins, et j’ai pu apprécier à sa juste valeur l’alternance entre découpage classique et découpage oblique, avec une narration graphique qui n’hésite pas à utiliser des cases débordant de leur format habituel) Néanmoins le tome m’a plu quand même car Shinobu Ohatka s’amuse avec à intervertir les genres : Amon subit les affres de la maternité, Zagan se comporte comme une peste, Aladin ressemble à Hermione Granger, Ali Baba devient demoiselle en détresse...

  Lire la suite

  En lire moins