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Nos rêves de pauvres
Date de parution : 01/03/2018
Éditeurs :
Pocket

Nos rêves de pauvres

Date de parution : 01/03/2018
Nos rêves de pauvres, c’est d’abord l’histoire de la famille Dendoune. Une histoire qui commence en 1950, quand le papa, berger kabyle, débarque seul en région parisienne le ventre vide,... Nos rêves de pauvres, c’est d’abord l’histoire de la famille Dendoune. Une histoire qui commence en 1950, quand le papa, berger kabyle, débarque seul en région parisienne le ventre vide, mais des envies de bosser plein les mains et le cœur rempli d’ambitions pour tous les siens. Une histoire qui... Nos rêves de pauvres, c’est d’abord l’histoire de la famille Dendoune. Une histoire qui commence en 1950, quand le papa, berger kabyle, débarque seul en région parisienne le ventre vide, mais des envies de bosser plein les mains et le cœur rempli d’ambitions pour tous les siens. Une histoire qui se  prolonge dans une cité HLM de l’Île-Saint-Denis, où la maman se bat pour que ses neuf enfants ne manquent de rien. Les petits Dendoune grandissent et leurs rêves aussi. Nadir, le plus jeune, rêve de trains électriques, de cours de tennis, mais aussi d’une police pour tous… Pas simple d’avoir des rêves de riches quand on a une vie de pauvres.
Nadir Dendoune raconte ses parents, leur courage, leur amour, mais aussi leur culture.
Cette culture de pauvres à laquelle il est si attaché.
L’histoire du clan Dendoune, c’est une histoire universelle, une histoire française.

« Ce récit intime, immense déclaration d’amour à des parents héros, ravive la saveur d’Une vie devant soi. » Le Parisien

 Ce livre inclut des chroniques inédites
 
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EAN : 9782266281324
Code sériel : 17135
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266281324
Code sériel : 17135
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Le journaliste du Courrier de l'Atlas n'a rien perdu de sa gouaille ni de son courroux. Mais sa plume se nourrit ici d'une tendresse particulière pour brosser les portraits de ces « darons » peu communs. » – L’Express

« Ce récit intime, immense déclaration d’amour à des parents héros, ravive la saveur d’Une vie devant soi. » – Le Parisien
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Julitlesmots 19/07/2023
    Cette lecture m’a embarquée pour quelques pages vers une chronique de la banlieue et de la place des immigrés… Je dois dire que cela a été une lecture assez atypique, et même si j’ai apprécié les points de vue, j’ai également, parfois, été agacée par les répétitions de certaines situations, au point que cela devenait lassant, malgré ses 240 pages. J’ai toutefois trouvé, le point de vue de l’auteur et son regard sur les banlieues très intéressant, ainsi que sa perception de l’enfermement tout en étant libre, très pertinent. Un hommage riche d’enseignement aux parents de l’auteur.
  • Men77 22/08/2018
    L'un des plus beaux livres que j'ai lu .J’ai l’impression qu’il a fait une biographie de moi .Je ne connaissais pas cet écrivain et cela m’a donné envie de lire ses autres livres .
  • valaire 16/08/2018
    «#8201;Nos rêves de pauvres#8201;» relate l’itinéraire de Nadir Dendoune et de sa famille. Les courts chapitres brossent un portrait touchant et attachant du clan Dendoune. Le père, berger kabyle, arrivé en France avec sa femme et ses neuf enfants, dans les années 50, n’aura de cesse que d’offrir le meilleur pour les siens en travaillant comme ouvrier. La mère, femme courage, restera toujours du côté de ses enfants, les choyant le mieux possible. Nadir Dendoune nous raconte surtout la pauvreté dans cette cité de Seine St-Denis, les difficultés de vivre, le racisme ordinaire envers ces immigrés, ces «#8201;gnoules#8201;». S’il dresse un portrait touchant de certaines personnes qui l’entourent, il en égratigne d’autres, ces » blancs#8201;» et leur condescendance. Chaque tranche de vie est très réaliste et esquisse un tableau émouvant de la famille et de l’auteur. Son enfance est douloureuse, son adolescence chaotique, ses désirs, ses rêves se heurtent à la dureté de la banlieue. Sa plume est empreinte de gouaille, d’humour, mais aussi de rage. Pourtant, il s’en sortira, effacera son bégaiement, voyagera, grimpera même l’Everest et deviendra journaliste. Son envie de se surpasser bien sûr, il la doit avant tout à ses parents. Leur indéfectible amour l’aura porté, inculqué des valeurs de dépassement. Si on trouve certaines répétitions dans ces chapitres d’abord publiés en chroniques, on reste ému par les mots de l’auteur chargés d’une authentique sincérité. Le langage est vrai parfois familier pourtant il retranscrit une grande pudeur dans les sentiments. Son attachement à son père et à sa mère nous bouleverse par sa tendresse, ses colères envers la France, la République et tout ce qu’elle suppose nous interpellent. Au-delà des clivages de notre société, des responsabilités que l’on veut faire porter aux immigrés, c’est bien un portrait de la France d’aujourd’hui que dessine Nadir Dendoune, cette France de l’autre côté du périph. Si ses parents ont toujours été malheureux en France, l’auteur, qui exècre le terme d’ «#8201;intégration#8201;», revendique le droit au bonheur dans ce pays qui est le sien.«#8201;Nos rêves de pauvres#8201;» relate l’itinéraire de Nadir Dendoune et de sa famille. Les courts chapitres brossent un portrait touchant et attachant du clan Dendoune. Le père, berger kabyle, arrivé en France avec sa femme et ses neuf enfants, dans les années 50, n’aura de cesse que d’offrir le meilleur pour les siens en travaillant comme ouvrier. La mère, femme courage, restera toujours du côté de ses enfants, les choyant le mieux possible. Nadir Dendoune nous raconte surtout la pauvreté dans cette cité de Seine St-Denis, les difficultés de vivre, le racisme ordinaire envers ces immigrés, ces «#8201;gnoules#8201;». S’il dresse un portrait touchant de certaines personnes qui l’entourent, il en égratigne d’autres, ces » blancs#8201;» et leur condescendance. Chaque tranche de vie est très réaliste et esquisse un tableau émouvant de la famille et de l’auteur. Son enfance est douloureuse, son adolescence chaotique, ses désirs, ses rêves se heurtent à la dureté de la banlieue. Sa plume est empreinte de gouaille, d’humour, mais aussi de rage. Pourtant, il s’en sortira, effacera son bégaiement, voyagera, grimpera même l’Everest et deviendra journaliste. Son envie de se surpasser bien sûr, il la doit avant tout à ses parents. Leur indéfectible amour l’aura porté, inculqué...
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  • pyrouette 08/07/2018
    J'ai choisi ce livre pour mes souvenirs de gosse. J'ai grandi dans une cité HLM où plutôt, à l'époque, une cité ouvrière. Mes copains et copines étaient de toutes nationalités, cultures, couleurs, un seul critère était semblable : la misère. Nous jouions alors tous ensemble dans la cité avec un unique vélo ou une unique paire de patins à roulettes, nous lisions têtes contre têtes une bd trouvée par là pendant que nos parents vivaient leurs galères dans le respect des autres. Le ressenti de cette enfance est différent pour l'auteur. Ses mots sont violents, haineux. Il est français et pourtant est persuadé que les autres le voient comme un gnoule. Forcément son vécu scolaire est à la mesure de sa haine. Les relations avec les filles, pas des maghrébines qui ressemblaient trop à ses soeurs, sont dans la même veine : “j'avais mis la langue direct comme les acteurs faisaient dans les films de boules et d'épée, et la nana avait trouvé ça dégueulasse. La conne…” ou bien : “Derrière un arbre, elle m'avait dit : embrasse-moi. La chaudasse.” Ça c'est fait. Malgré des parents adorables, sa rage grandit avec la salle de la cité ouverte pour les jeunes qui devient la salle des séniors. Puis quand il devient un voyou, il n'assume pas ses actes : “Un bougnoule reste un bougnoule : il n'a pas le droit à l'erreur. Son fils à elle, 100 % pur porc, était bien entendu 100 % innocent !” Ah oui, il n'aime pas trop les français non plus : “Des colons français bien installés avec leurs privilèges, qui s'étaient gavés sur le dos des autochtones et s'étaient étonnés ensuite que les algériens veuillent les foutre à la porte. Aujourd'hui, ils pleurnichent parce que leur pays, que nos parents ont construit à la sueur de leur front, ne ressemble plus à la France de Jeanne la pucelle, mais n'est-ce pas un juste retour des choses ?” Hé Nadir, vous êtes français bordel ! Alors vous pouvez grimper l'Everest, servir de bouclier humain en Irak, parcourir l'Australie en vélo, vous n'êtes une belle personne que quand vous parlez de votre maman. Parce que là vous oubliez votre haine, votre rage et c'est beau. Quel dommage ! L'auteur n'a pas le recul nécessaire pour raconter sa famille. Beaucoup de répétitions. Merci à Masse critique de Babelio et les Éditions Pocket. J'ai choisi ce livre pour mes souvenirs de gosse. J'ai grandi dans une cité HLM où plutôt, à l'époque, une cité ouvrière. Mes copains et copines étaient de toutes nationalités, cultures, couleurs, un seul critère était semblable : la misère. Nous jouions alors tous ensemble dans la cité avec un unique vélo ou une unique paire de patins à roulettes, nous lisions têtes contre têtes une bd trouvée par là pendant que nos parents vivaient leurs galères dans le respect des autres. Le ressenti de cette enfance est différent pour l'auteur. Ses mots sont violents, haineux. Il est français et pourtant est persuadé que les autres le voient comme un gnoule. Forcément son vécu scolaire est à la mesure de sa haine. Les relations avec les filles, pas des maghrébines qui ressemblaient trop à ses soeurs, sont dans la même veine : “j'avais mis la langue direct comme les acteurs faisaient dans les films de boules et d'épée, et la nana avait trouvé ça dégueulasse. La conne…” ou bien : “Derrière un arbre, elle m'avait dit : embrasse-moi. La chaudasse.” Ça c'est fait. Malgré des parents adorables, sa rage grandit avec la salle de la cité ouverte pour les jeunes qui devient la salle...
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  • bergson 01/02/2018
    Un roman en cours chapitre qui nous décrit la vie d'une famille d'émmigrés kabyles de 1950 à nos jours. Une fresque qui nous décrit la haine-amour de l'auteur pour la banlieue, son amour pour sa famille. On entrevoit son évolution de voleur à journaliste . Un livre qui se lit vite il y a quelques omissions : j'ai pas tout compris la reprise de ses études. Les chapitres sont un peu désordonnés le père la mère le passé le présent mais c'est facile à lire. Le seul point noir la fille dans le RER si quelqu'un peut m'expliquer si ce chapitre ne c'est pas échappé d'un autre livre !! Une bonne chronique sur la banlieue l'immigration
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