Lisez! icon: Search engine
Oma, ma grand-mère à moi
Antoine Berman (traduit par)
Date de parution : 29/05/2012
Éditeurs :
Pocket jeunesse

Oma, ma grand-mère à moi

,

Antoine Berman (traduit par)
Date de parution : 29/05/2012

Malgré son âge, Oma tient à élever son petit-fils orphelin.
Et même si elle radote un peu avec ses histoires du passé, Kalle sait que sa grand-mère l'aime tendrement.
Mais un jour, le  garçon comprend qu'Oma ne sera pas éternelle...

EAN : 9782266230063
Code sériel : 141
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266230063
Code sériel : 141
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cetjmlaffont 14/07/2023
    Même si nous n'avons pas affaire à de la haute littérature ici, j'ai souvent fait lire ce court roman à mes élèves de CM2 car il permettait d'aborder bien des faits de société et servait de point de départ à des discussions parfois d'une grande richesse. Pas de véritable intrigue mais une succession de tableaux du quotidien et un regard subtil sur les relations entre une grand-mère et son petit fils.
  • lebazarlitteraire 26/04/2016
    Kalle a cinq ans quand ses parents meurent dans un accident de voiture. Il part vivre chez sa grand-mère, Oma (« mamie » en allemand), qu’il ne connaît pas vraiment bien, puisqu’il ne la voyait qu’une ou deux fois par an avant cela. La vieille dame de 67 ans et le petit garçon vont devoir apprendre à vivre ensemble, malgré le fossé des générations qui les sépare. Kalle va devoir surmonter sa tristesse et Oma devra ré-apprendre à vivre avec une seconde personne. Le petit garçon s’adapte tant bien que mal, ne comprenant pas toujours les réactions de sa grand-mère, parfois un peu vieux jeu. Oma fait ce qu’elle peut pour s’adapter au monde de Kalle et se calquer aux modifications de la société actuelle, qui n’est pas celle dans laquelle elle a eu l’habitude de vivre. Un vrai lien d’amour va se tisser entre Kalle et Oma. Ce roman est découpé en petits chapitres et dans chacun d’eux on découvre une scène de vie entre les deux personnages. La narration est externe, mais c’est le point de vue du petit garçon que l’on perçoit le plus. Puis, à chaque fin de chapitre, un ou deux paragraphes, apparemment tirés d’une sorte de journal intime (ou directement de la tête) d’Oma nous sont montrés. C’est finalement ce contraste et cette comparaison entre les deux textes dans chaque chapitre qui est le plus intéressant, par rapport au récit lui-même. En effet, je n’ai finalement pas plus accroché que ça au récit et aux anecdotes sur la vie des deux personnages qu’on y trouve. Le contraste entre les générations est intéressant, mais l’écriture ne m’a pas emportée. On passe trop facilement du coq à l’âne dans les dialogues comme dans la narration. De plus, l’édition que j’ai eu entre les mains n’était pas très bien relue, puisqu’il y a eu beaucoup d’erreurs de typo entre les espaces de dialogues et la narration. Beaucoup de paragraphes de narration commençaient par le fameux tiret qui caractérise les dialogues. Petite faute qui trouble la lecture au final, surtout pour des jeunes qui en sont encore à apprendre les signes à repérer dans un livre pour le lire correctement ou même écrire eux-mêmes comme il faut. C’est donc le petit texte sur les pensées d’Oma à chaque fin de chapitre qui m’a permis de rester pleinement dans le récit et de l’apprécier à sa juste valeur. Dans chaque chapitre on assiste à un moment de vie entre Kalle et sa grand-mère avec un certain point de vue. On s’aperçoit dans ces moments de vie que la grand-mère a l’air assez sévère, parfois colérique pour rien et qu’elle ne comprend pas toujours le monde dans lequel vit son petit-fils. Puis, grâce aux quelques paragraphes finaux sur ses pensées, on comprend que ce que l’on a perçu auparavant ne reflète pas la réalité de ce que voudrait faire passer Oma. Par exemple, quand Oma gronde son petit-fils pour une bêtise en lui donnant une certaine raison, on s’aperçoit par la suite que la raison n’était pas la vraie. Pour découvrir la suite de la critique, rendez-vous sur notre site !Kalle a cinq ans quand ses parents meurent dans un accident de voiture. Il part vivre chez sa grand-mère, Oma (« mamie » en allemand), qu’il ne connaît pas vraiment bien, puisqu’il ne la voyait qu’une ou deux fois par an avant cela. La vieille dame de 67 ans et le petit garçon vont devoir apprendre à vivre ensemble, malgré le fossé des générations qui les sépare. Kalle va devoir surmonter sa tristesse et Oma devra ré-apprendre à vivre avec une seconde personne. Le petit garçon s’adapte tant bien que mal, ne comprenant pas toujours les réactions de sa grand-mère, parfois un peu vieux jeu. Oma fait ce qu’elle peut pour s’adapter au monde de Kalle et se calquer aux modifications de la société actuelle, qui n’est pas celle dans laquelle elle a eu l’habitude de vivre. Un vrai lien d’amour va se tisser entre Kalle et Oma. Ce roman est découpé en petits chapitres et dans chacun d’eux on découvre une scène de vie entre les deux personnages. La narration est externe, mais c’est le point de vue du petit garçon que l’on perçoit le plus. Puis, à chaque fin de chapitre, un ou deux paragraphes, apparemment tirés d’une sorte...
    Lire la suite
    En lire moins
  • karinne7 30/05/2014
    QU'elle jolie histoire! émouvante, rigolote!
Inscrivez-vous à Pocket Jeunesse, la newsletter qui vous surprend !
À chaque âge ses lectures, à chacun ses plaisirs ! Découvrez des conseils de lecture personnalisés qui sauront vous surprendre.

Vous aimerez aussi