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Perdido street station
Date de parution : 14/09/2006
Éditeurs :
Pocket

Perdido street station

Date de parution : 14/09/2006

Lors de ses recherches pour l’homme-oiseau, Isaac Dan der Grimnebulin a libéré des monstres volants, les gorgones, sur Nouvelle-Crobuzon. Le gouvernement, dépassé, en appelle à la Fileuse, une araignée géante...

Lors de ses recherches pour l’homme-oiseau, Isaac Dan der Grimnebulin a libéré des monstres volants, les gorgones, sur Nouvelle-Crobuzon. Le gouvernement, dépassé, en appelle à la Fileuse, une araignée géante vivant sur plusieurs plans de réalité, pour l’aider à endiguer le péril. Mais Isaac et ses amis sont les seuls à...

Lors de ses recherches pour l’homme-oiseau, Isaac Dan der Grimnebulin a libéré des monstres volants, les gorgones, sur Nouvelle-Crobuzon. Le gouvernement, dépassé, en appelle à la Fileuse, une araignée géante vivant sur plusieurs plans de réalité, pour l’aider à endiguer le péril. Mais Isaac et ses amis sont les seuls à pouvoir sauver Nouvelle-Crobuzon, au risque d’y laisser moult plumes et une oreille chacun, prix de leur pacte avec la Fileuse…

« Un roman drôle, lyrique, désespéré, excitant, à placer entre Mother London de Michael Moorcock et Gormenghast de Mervyn Peake. » Jean-Yves Bochet – Télérama

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EAN : 9782266165419
Code sériel : 5923
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266165419
Code sériel : 5923
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman drôle, lyrique, désespéré, excitant, à placer entre Mother London de Michael Moorcok et Gormenghast de Mervyn Peake. »

Jean-Yves Bochet – Télérama

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LaGeekosophe 01/02/2024
    Un second tome qui pétarade dans tous les sens ! C’est toujours un plaisir de retrouver l’imagination débordante de China Miéville et les rues de Nouvelle-Crobuzon. La créativité de l’auteur semble être sans limites. L’univers prend des teintes glauques, entre créatures étranges, dangers de tous les côtés et moments vraiment dramatiques. Comme souvent dans ses œuvres, le scénario est cependant assez exigeant et on ne peut pas lire en sautant des lignes. La fin est très touchante et douce-amère. China Miéville signe avec cette duologie une de ses œuvres phares.
  • kadeline 15/06/2023
    Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très intéressante sombre, glauque, cracra au possible, de la dark fantaisy bien dark. Le nom du roman évoque la gare de la ville, centre d’une partie de l’intrigue. Ici la ville est le personnage principal, son fonctionnement et sa survie forme le coeur de l’intrigue tandis que les différents personnages servent l’accès aux lecteurs. Parmi ceux-ci, nous avons un chercheur et une artiste. Le scientifique est très gris, a un petit côté savant fou ce qui va entrainer certains nombres de soucis qui le dépasse. Quand on lui donne une énigme à résoudre, il se lance à corps perdu et ne voit pas venir le fait que ça va mal tourner. Il a aussi une relation cachée inter-espèce avec une merveilleuse artiste. Celle-ci va être recruté par le chef de la pègre. Tout comme notre chercher, l’appel d’un sacré challenge fait perdre toute prudence. Travailler pour le grand chef de la mafia en quoi est-ce que ça pourrait mal tourner ? Si c'est vraiment la ville, l’héroïne, on se focalise en particulier sur les bas-fonds. Comment on survit ? Comment on s'entraide ou se dénonce ? Comment on se retrouve mêlé à des histoires qui nous ne dépassent ? La première partie pose l’univers et déploie la toile de l’intrigue. C’est dense, lent, on ne sait pas où on va mais on y va car c’est fascinant. La seconde partie est centrée sur l’action, pas le temps de reprendre son souffle tout s’enchaine. C’est un contraste bien maitrisé mais qu’il faut accepter. L’univers est dingue mais attention c’est une histoire à découvrir quand on a le moral, l'estomac bien accroché et une bonne capacité de cerveau disponible. Entre la complexité de l’univers, l’intrigue où tout s’enchevêtre et la plume très travaillée, ce n’est pas une histoire facile d’accès mais elle en vaut la peine. Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très intéressante sombre, glauque, cracra au possible, de la dark fantaisy bien dark. Le nom du roman évoque la gare de la ville, centre d’une partie de l’intrigue. Ici la ville est le personnage principal, son fonctionnement et sa survie forme le coeur de l’intrigue tandis que les différents personnages servent l’accès aux lecteurs. Parmi ceux-ci, nous avons un chercheur et une artiste. Le scientifique est très gris, a un petit côté savant fou ce qui va entrainer certains nombres de soucis qui le dépasse. Quand on lui donne une énigme à résoudre, il se lance à corps perdu et ne voit pas venir le fait que ça va mal tourner. Il a aussi une relation cachée inter-espèce avec une merveilleuse artiste. Celle-ci va être recruté par le chef de la pègre. Tout comme notre chercher, l’appel d’un sacré challenge fait perdre toute prudence. Travailler pour le grand chef de la mafia en...
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  • Latulu 30/11/2022
    Le second tome est plus dans l'action. Le groupe doit lutter pour sa survie et l'auteur fait preuve d'une imagination fertile pour captiver le lecteur tout le long du récit. Le récit s'étoffe au niveau des personnages : une araignée cosmique fait son entrée, en même temps que l'ambassadeur des enfers ainsi que des vampires qui se nourrissent des pensées. La ville a toujours une place de choix et devient physiquement un personnage à part entière Ce roman, pilier de la new weird fiction, a été une révélation en ce qui me concerne. J'ai adoré l'originalité du récit et les personnages que j'ai trouvé extrêmement bien construits. L'auteur a également réussi à faire de la ville un personnage à part entière tant ses descriptions sont réalistes. Perdido Street Station est une histoire sur le traumatisme et la tragédie, non dénuée d'une certaine poésie. La multiplicité des thèmes abordés (pluralité des races, liberté, consentement, processus artistiques) offre un panel d'émotions tout autant différentes. J'ai eu un vrai coup de coeur pour cette histoire et j'ai bien envie de poursuivre ma découverte de cet auteur.
  • SChaptal 10/08/2021
    Si vous flânez habituellement sur les pages de ce site, vous savez que j’ai une tendresse particulière pour l’écriture de China Miéville. Et au cœur de l’été, l’envie me prit de relire l’œuvre par laquelle je l’ai rencontré : Perdido Street Station. Ce roman est le premier de sa trilogie se déroulant à Bas-Lag et fut couvert de prix lors de sa sortie. Et ? La magie a de nouveau opéré. Une fois de plus, je me suis plongée avec délice dans la Nouvelle-Crobuzon et ses habitants divers et variés. Si vous ne connaissez pas du tout l’œuvre du romancier, ce livre — divisé en deux tomes dans la version française — est un endroit particulièrement riche où commencer. Nous sommes à La Nouvelle-Crobuzon, cité cosmopolite dominée par la gare de Perdido (qui donne son nom au livre). Dans la moiteur de l’été, nous y découvrons un couple trans-espèce : Isaac Dan der Grimnebulin, savant fou humain vivant en marge de la fac, et Lin, crachartiste khépri (regardez la couverture du tome 2 pour vous faire une idée de son apparence). Tous deux vont se trouver mêlés à une sombre affaire de trafic de drogue et à une épidémie de cauchemar qui s’abat sur la ville et laisse les victimes physiquement vivantes, mais ayant perdu leurs consciences. Au fur et à mesure de l’histoire, Perdido Street Station vous fera découvrir l’ensemble de La Nouvelle-Crobuzon avec ses quartiers aux noms évocateurs : Chiure, Bercaille, Crachâtre, Le Marais-aux-Blaireaux, Le Palus-du-Chien, La Serre… Non seulement China Miéville s’est ingénié à la peupler d’une foultitude de races étranges (cactus humanoïde, garuda à tête de rapace, mainmises parasites allant par paire une dextrière et une senestre), mais également d’un tissu social, économique et politique très dense et très riche. La science, propre au monde de Bas-Lag pourrait s’apparenter à certains talents magiques ou parapsychiques, mais elle a ses règles propres et donc ses limitations. Elle se mêle également étroitement à la vie sociale et politique de la ville notamment avec la bio-thaumaturgie et les ReCréations que celle-ci permet et leurs conséquences judiciaires et sur le marché de l’emploi. Et non seulement, China Miéville dévoile couche après couche, personnage par personnage, page après page, un monde fascinant, mais il n’en oublie pas de raconter une histoire qui happe son lecteur ou sa lectrice et l’entraîne jusqu’à la dernière page. Attention toutefois, l’auteur n’est pas amateur des happy ends. Traverser des événements aussi impressionnants et épiques ne sera pas sans traces pour ses protagonistes et tous n’obtiendront pas forcément l’issue espérée. Le voyage les aura changés et pour certains grandis. Et pour qui le lit ? Perdido Street Station est un récit riche, foisonnant et passionnant. À condition d’accepter de se perdre dans l’univers de Bas-Lag et de se laisser surprendre par votre guide China Miéville. Si vous flânez habituellement sur les pages de ce site, vous savez que j’ai une tendresse particulière pour l’écriture de China Miéville. Et au cœur de l’été, l’envie me prit de relire l’œuvre par laquelle je l’ai rencontré : Perdido Street Station. Ce roman est le premier de sa trilogie se déroulant à Bas-Lag et fut couvert de prix lors de sa sortie. Et ? La magie a de nouveau opéré. Une fois de plus, je me suis plongée avec délice dans la Nouvelle-Crobuzon et ses habitants divers et variés. Si vous ne connaissez pas du tout l’œuvre du romancier, ce livre — divisé en deux tomes dans la version française — est un endroit particulièrement riche où commencer. Nous sommes à La Nouvelle-Crobuzon, cité cosmopolite dominée par la gare de Perdido (qui donne son nom au livre). Dans la moiteur de l’été, nous y découvrons un couple trans-espèce : Isaac Dan der Grimnebulin, savant fou humain vivant en marge de la fac, et Lin, crachartiste khépri (regardez la couverture du tome 2 pour vous faire une idée de son apparence). Tous deux vont se trouver mêlés à une sombre affaire de trafic de drogue et à une épidémie de cauchemar...
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  • LeChroniqueur 14/09/2020
    Chronique commune au deux tomes du roman. Perdido Street Station est un roman doté d’un worldbuilding dense et original, marqué par l’esthétique grotesque du New Weird, qui convoque et combine des topoï de plusieurs genres de l’imaginaire, à commencer par la Fantasy, la science-fiction et l’horreur, avec une technologie industrielle, de la magie, et des créatures cosmiques dépassant la compréhension humaine, au sein de la ville de Nouvelle Crobuzon. China Miéville y aborde des problématiques sociales, notamment l’aliénation et la paupérisation d’une classe laborieuse par une classe dirigeante, qui va jusqu’à modifier les corps des travailleurs pour qu’ils accomplissent des tâches spécifiques ou leur faire porter les marques de leurs crimes. Il décrit également la manière dont le système cherche à briser les porteurs des luttes sociales, à savoir les grévistes et les journaux dissidents, avec l’aide d’une milice armée et omniprésente. Il aborde également le racisme, à travers la description des rapports entre les humains et les différents peuples Xénians, qui sont marqués par un certain anthropocentrisme et de l’incompréhension. L’intrigue met en scène la manière dont Isaac Dan der Grimnebulin, un scientifique réprouvé, libère malgré lui des gorgones, des créatures plongeant la ville dans le cauchemar. Aux côtés de compagnons marginalisés au sein de Nouvelle Crobuzon, il tente de les neutraliser, alors que des drames sociaux, politiques et personnels se jouent. Pour moi, ce roman est magistral par le monde qu’il décrit, le mélange des genres qu’il opère, son esthétique grotesque, et les thématiques qu’il aborde. Je ne peux que vous le recommander ! Chronique complète et détaillée sur le blog.Chronique commune au deux tomes du roman. Perdido Street Station est un roman doté d’un worldbuilding dense et original, marqué par l’esthétique grotesque du New Weird, qui convoque et combine des topoï de plusieurs genres de l’imaginaire, à commencer par la Fantasy, la science-fiction et l’horreur, avec une technologie industrielle, de la magie, et des créatures cosmiques dépassant la compréhension humaine, au sein de la ville de Nouvelle Crobuzon. China Miéville y aborde des problématiques sociales, notamment l’aliénation et la paupérisation d’une classe laborieuse par une classe dirigeante, qui va jusqu’à modifier les corps des travailleurs pour qu’ils accomplissent des tâches spécifiques ou leur faire porter les marques de leurs crimes. Il décrit également la manière dont le système cherche à briser les porteurs des luttes sociales, à savoir les grévistes et les journaux dissidents, avec l’aide d’une milice armée et omniprésente. Il aborde également le racisme, à travers la description des rapports entre les humains et les différents peuples Xénians, qui sont marqués par un certain anthropocentrisme et de l’incompréhension. L’intrigue met en scène la manière dont Isaac Dan der Grimnebulin, un scientifique réprouvé, libère malgré lui des gorgones, des créatures plongeant la ville dans le cauchemar. Aux côtés de compagnons...
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