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Pompéi
Natalie Zimmermann (traduit par)
Date de parution : 20/04/2006
Éditeurs :
Pocket

Pompéi

Natalie Zimmermann (traduit par)
Date de parution : 20/04/2006

Baie de Naples, an 79. La chaleur se fait de plus en plus étouffante pour les Romains en cette dernière semaine d’août. Une fin d’été ordinaire en Campanie si ce...

Baie de Naples, an 79. La chaleur se fait de plus en plus étouffante pour les Romains en cette dernière semaine d’août. Une fin d’été ordinaire en Campanie si ce n’est la disparition mystérieuse de l’aquarius chargé de contrôler l’alimentation des environs en eau potable, une anomalie détectée sur l’Aqua...

Baie de Naples, an 79. La chaleur se fait de plus en plus étouffante pour les Romains en cette dernière semaine d’août. Une fin d’été ordinaire en Campanie si ce n’est la disparition mystérieuse de l’aquarius chargé de contrôler l’alimentation des environs en eau potable, une anomalie détectée sur l’Aqua Augusta et une odeur de soufre qui flotte dans l’air…
Étrangement, personne ne semble prêter attention à ces événements inhabituels.
Personne, sauf Attilius, le nouvel ingénieur chargé de l’entretien de l’aqueduc.
Alors que Pompéi se prépare à vivre ses dernières heures, Attilius va devoir faire face à des querelles politiques et affronter son ennemi juré, esclave affranchi influent et tyrannique, père de la belle Corelia…

« Des Romains au roman, il n'y a qu'un pas qu'en centurion Robert Harris a su franchir avec éclat. » Philippe Trétiack – ELLE

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EAN : 9782266161305
Code sériel : 12936
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266161305
Code sériel : 12936
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Des Romains au roman, il n’y a qu’un pas qu’en centurion Robert Harris a su franchir avec éclat. »

Philippe Trétiak – Elle

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • dfich 03/04/2024
    Pompéi Robert Harris. avant de visiter le site dans quelques jours , j’ai eu de découvrir les derniers jours des habitants de Pompéi avec Attilius ingénieur en charge de l’aqueduc. Un bon roman historique, qui permet de mieux comprendre la vie à cette époque et le déroulement du drame . Pas un coup de cœur mais une lecture agréable.
  • darthgalak 19/02/2024
    A bien y regarder l'intrigue ne casse pas trois pattes à un canard (c'est même franchement cliché, on a presque l'impression que Harris voulait à tout prix écrire sur l'éruption du Vésuve, quelque soit l'histoire à raconter...) mais se laisse lire plaisamment, notamment grâce à ses personnages bien sentis (surtout l'antagoniste, parfaitement détestable). A noter que le scénario du film du même nom de 2014, réalisé par Paul Anderson (oui, celui des resident Evil...!) comporte quelques similitudes assez étranges..... Un Harris mineur donc mais pas paresseux, ne serait ce que par sa documentation !
  • Sarrousse 24/02/2023
    Comme c’est étrange de lire un livre tout en sachant comment tout ça va se terminer. Comme son nom le laisse deviner, Pompéi raconte l’histoire de la ville avant la célèbre éruption. Tout commence avec l’aqueduc qui se tarit et l’aquarius qui va essayer de découvrir pourquoi. L’intrigue est assez plate et les personnages un brin caricaturaux mais c’est quand même un roman qui se laisse lire avec plaisir.
  • AB67 23/12/2022
    Intéressée par les romans historiques celui-ci m’a attirée de par sa thématique et son auteur qui est également journaliste. J’ai bien aimé l’histoire qui présente un évènement mondialement relaté, mais sous un angle original. La destruction de Pompei vue par ses habitants et non par les historiens ou la science. Cette approche était intéressante. Je n’ai cependant pas accroché à certains passages un peu longs ou peut-être parfois sans intérêt selon moi. J’ai passé un bon moment mais reste mitigée sur cette oeuvre.
  • Lamifranz 31/08/2022
    Robert Harris, maintenant on connaît. Cet auteur britannique, né en 1957, nous gratifie depuis « Fatherland » (1992) de grands thrillers, historiques ou pas, d’une excellente facture, mélangeant suspense et érudition, avec une très belle écriture. S’il s’est intéressé à plusieurs reprises à la Seconde Guerre Mondiale (« Fatherland – 1992 », « Enigma – 1995 », « Munich – 2017 », « V2 – 2020 ») l’Antiquité romaine l’a inspiré avec bonheur pour deux excellents ouvrages : « Pompéi » (2003) et la trilogie consacrée à Cicéron (« Imperium – 2006 », « Conspirata – 2009 », « Dictator – 2015 »). « Pompéi », comme on peut s’y attendre, raconte l’éruption du Vésuve en l’an 79 après Jésus-Christ. Depuis quelques temps, les signes alarmants se précipitent : sécheresse, failles dans l’alimentation de l’aqueduc, mort de poissons, odeur de soufre, et surtout tremblements de terre et inquiétudes autour du Vésuve. Un nouvel « aquarius » (ingénieur des eaux, le Véolia de l’époque) est nommé : Vous le connaissez certainement, on en parle dans « Hair », rappelez-vous : When the moon is in the Seventh House And Jupiter aligns with Mars Then peace will guide the planets And love will steer the stars This is the dawning of the Age of Aquarius The Age of Aquarius Aquarius! Aquarius! Bref, cet aquarius-là est un jeune veuf, Marcus Attilius Primus, qui voit tout de suite que l’aqueduc a besoins de réparations profondes et urgentes. Mais, vous savez comment ça se passe, pour les chantiers, il faut un budget, et il faut négocier avec les édiles et les hommes d’affaires, notamment Numerus Ampliatus, un ancien esclave devenu milliardaire, qui a tous les défauts, sauf un, sa fille la belle Corelia qui va bien sûr s’intéresser (c’est un euphémisme) à notre héros. Mais pendant ce temps, le temps court, les évènements se précipitent et le Vésuve se fait de plus en plus menaçant… Avec Robert Harris on n’est jamais déçu : on sait qu’on aura de toutes façons un bon thriller, avec des personnages auxquels on s’attache, une intrigue qui nous tient en haleine, une documentation de premier ordre (technique et pointue, mais jamais lassante) et un savoir-faire exceptionnel qui allie le conteur à l’historien, sans pédantisme, sans démagogie. Même si comme dans le cas présent on sait ce qui va se passer. La catastrophe de Pompéi a fait couler bien plus d’encre que le Vésuve a fait couler de lave, et ce n’est pas peu dire. Pour les amateurs, côté Histoire, je vous conseille le « Découvertes Gallimard » qui y est consacré : « Pompéi, la cité ensevelie » par Robert Etienne, Découvertes-Gallimard n° 16 (pas très récent, mais cette collection est incontournable pour le sérieux des textes et l’iconographie, toujours remarquable). Et côté romans chez Omnibus : « Pompéi, le rêve sous les ruines » qui réunit cinq romans majeurs : « Les derniers jours de Pompéi », de E. Bulwer-Lytton, « Arria Marcella », de Th. Gautier, « Gradiva », de W. Jensen, « La Danseuse de Pompéi », de Jean Bertheroy, et « Les Derniers jours d’Herculanum » de R. Llewellyn, le tout présenté, annoté et assorti d’un solide dossier historique et littéraire signe Claude Aziza (autant dire le top). Le « Pompéi » de Robert Harris complète parfaitement cette anthologie. Pompéi, ce n’est pas Pompéi, c’est divers… regards sur un évènement historique qui, au fil du temps, est devenu un mythe : celui de la fin du monde (ou d’un monde, comme on voudra), catastrophe naturelle ou punition divine, chacun trouvera son explication, son prétexte ou son excuse… Robert Harris, maintenant on connaît. Cet auteur britannique, né en 1957, nous gratifie depuis « Fatherland » (1992) de grands thrillers, historiques ou pas, d’une excellente facture, mélangeant suspense et érudition, avec une très belle écriture. S’il s’est intéressé à plusieurs reprises à la Seconde Guerre Mondiale (« Fatherland – 1992 », « Enigma – 1995 », « Munich – 2017 », « V2 – 2020 ») l’Antiquité romaine l’a inspiré avec bonheur pour deux excellents ouvrages : « Pompéi » (2003) et la trilogie consacrée à Cicéron (« Imperium – 2006 », « Conspirata – 2009 », « Dictator – 2015 »). « Pompéi », comme on peut s’y attendre, raconte l’éruption du Vésuve en l’an 79 après Jésus-Christ. Depuis quelques temps, les signes alarmants se précipitent : sécheresse, failles dans l’alimentation de l’aqueduc, mort de poissons, odeur de soufre, et surtout tremblements de terre et inquiétudes autour du Vésuve. Un nouvel « aquarius » (ingénieur des eaux, le Véolia de l’époque) est nommé : Vous le connaissez certainement, on en parle dans « Hair », rappelez-vous : When the moon is in the Seventh House And Jupiter aligns with Mars Then peace will guide the planets And love will steer the...
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