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Portée disparue
Élisabeth Luc (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 03/09/2020
Éditeurs :
Archipoche

Portée disparue

Élisabeth Luc (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 03/09/2020
Pourquoi une lycéenne disparue depuis plus de deux enverrait-elle soudain un mot à ses parents ? La deuxième enquête de l’inspecteur Morse. Une série qui a valu à Colin Dexter plusieurs récompenses majeures et est diffusée sur France 3.
« Colin Dexter est captivant. Ses histoires sont un peu extravagantes, délibérément, à l’image de son inspecteur, qui joue à mener l’enquête avec désinvolture. »
Le Magazine littéraire

Valerie Taylor, jolie lycéenne...
« Colin Dexter est captivant. Ses histoires sont un peu extravagantes, délibérément, à l’image de son inspecteur, qui joue à mener l’enquête avec désinvolture. »
Le Magazine littéraire

Valerie Taylor, jolie lycéenne de 17 ans, a disparu il y a deux ans, trois mois et deux jours lorsque ses parents reçoivent ce...
« Colin Dexter est captivant. Ses histoires sont un peu extravagantes, délibérément, à l’image de son inspecteur, qui joue à mener l’enquête avec désinvolture. »
Le Magazine littéraire

Valerie Taylor, jolie lycéenne de 17 ans, a disparu il y a deux ans, trois mois et deux jours lorsque ses parents reçoivent ce mot posté de Londres : « Tout va bien. Bons baisers, Valerie. »

Alors l’espoir renaît. Sauf pour Morse, qui n’a aucune envie de reprendre l’enquête. Mais son supérieur insiste. Morse part donc en compagnie de son fidèle Lewis écumer les pubs et les boîtes à strip-tease de Londres à la recherche d’une piste.

Dur métier que celui d’inspecteur ! Surtout quand on est persuadé que la personne qu’on recherche a été assassinée...

Avec ce deuxième roman mettant en scène l’inspecteur Morse, Colin Dexter démontre qu’il a su créer un personnage et un univers à part dans l’univers de la littérature policière.
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EAN : 9782377355075
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 10,8 x 17,7 mm
EAN : 9782377355075
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 10,8 x 17,7 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • rthery 01/04/2024
    babelio_id:Dexter-Portee-disparue/18829
  • polacrit 16/01/2023
    Portée Disparue, Last Seen Wearing dans la version originale parue en 1976, a été publié en 1996 par les éditions 10/18 dans la collection Grands Détectives, puis en 2020 par les éditions L'Archipel dans la collection Archipoche. C'est le second tome de la série consacrée aux enquêtes de l'inspecteur Morse. Le style de Colin Dexter se caractérise par une écriture soignée, parfois un peu pesante, pas toujours aisée à suivre, laissant toutefois la place à un style plus décontracté: "Il regarda avec dédain les matières ( ou plutôt des sous-matières, selon lui) qui monopolisaient à présent les programmes des études secondaires. A son avis, "environnement" n'était qu'un euphémisme pour des visites occasionnelles d'usines de gaz, de la caserne des pompiers ou des égouts. Pour la sociologie et les sociologues, il n'avait que mépris et ne découvrirait jamais ce que couvrait ce sujet ni comment ses praticiens déployaient leurs talents douteux. Avec une telle pléthore de non-sujets dans les emplois du temps, il n'y avait plus de place pour les matières traditionnelles enseignées de son temps." (Page 68)..."Baines parut plutôt amusé. Il aurait pu donner quelques tuyaux aux filles et aux garçons pour sécher le cours de gym! Ca oui. Mais c'était la faute du personnel enseignant. Les profs de gym n'étaient qu'une bande de paresseux, pires que les gosses. La plupart ne se donnaient même pas la peine de se changer." (Page 116). Le rythme, assez lent, caractéristique des whodunit, se déploie entre les passages de réflexion personnelles ou en lien avec l'enquête de l'inspecteur Morse, les investigations de Lewis peu détaillées, ainsi que des anecdotes et des digressions pas toujours en rapport direct avec l'affaire en cours. Assez déroutant pour le lecteur qui se demande où l'auteur veut en venir. Humour: une des caractéristiques de l'écriture de Colin Dexter est le comique de situation dont il parsème ses romans, comme la scène dans laquelle un gros homme, assis à côté de Morse venu écouter la Walkyrie, retire sa veste dans le théâtre, générant ainsi des nuisances sonores pas du tout du goût de l'inspecteur =>M'a fait penser au sketch de Mister Bean quand il tente d'enlever l'emballage d'un bonbon coincé dans sa poche. Fil rouge: les bières et les whiskies ingurgités par Morse et ses fantasmes érotiques. Thème: disparition inexpliquée. L'intrigue: Deux ans, trois mois et deux jours après la disparition inexpliquée d'une jeune fille, Morse est chargé de reprendre l'enquête que son collègue, l'excellent policier Ainley n'avait pu résoudre. "Les cours reprenaient en général à 13h45. Valérie partait en général à 13h25. C'est ce qu'elle fit le 10 juin. Tout allait bien en cet après-midi sans nuage. Valérie emprunta la petite allée puis tourna en direction du lycée en faisant un signe de la main à sa mère. Elle ne l'a plus jamais revue." (Page 46). Bien qu'aucun corps ne fut jamais retrouvé, Ainley, qu'inquiétaient certains aspects de l'affaire, considérait qu'on pouvait vraisemblablement penser que Valérie était morte. Mais lorsque les parents de Valérie reçoivent un billet de la jeune fille les informant qu'elle va bien et qu'ils ne doivent pas s'inquiéter, le superintendant Strange décide de rouvrir l'enquête. A noter qu'Ainley est décédé la veille de l'envoi de la lettre adressée aux parents de Valérie dans un accident de la route alors que justement il rentrait de Londres. Coïncidence? Mais au cours du week-end suivant, une série d'incendies criminels perpétrés dans des boîtes de nuit et des cinémas met la police sur les dents. 3Toutes les huiles de la police, y compris lui-même, avaient été réunies d'urgence. Il fallait impérativement mobiliser tout le personnel disponible. Tous les suspects connus, des républicains irlandais aux anarchistes internationaux, devaient être interpellés et interrogés. Le chef de la police voulait des résultats rapides." (Page 39). C'est ce contexte difficile que Morse et son lieutenant Lewis se rendent à Londres dans l'espoir de retrouver la piste de la jeune disparue. Une délicieuse et authentique ambiance "seventies" pour ce second opus des enquêtes de Morse. Les lieux, les personnages, tout concourt à nous ramener des décennies en arrière, pour ceux qui ont connu cette époque; pour les autres, il n'y aura qu'à évoquer les tourne-disques, le receveur du bus qui actionne le tourniquet pour valider les billets, les gens qui fument dans le pub. Toute une époque révolue où l'ADN et les méthodes scientifiques modernes n'avaient pas encore pris leur place. Un roman agréable dans lequel Colin Dexter confirme son talent à créer un univers qui lui est propre dans le monde du polar. La preuve en est le succès de la série télévisée adaptée de ses romans, mettant en scène un inspecteur loin des codes habituels du genre. Un moment de lecture agréable et divertissant. Portée Disparue, Last Seen Wearing dans la version originale parue en 1976, a été publié en 1996 par les éditions 10/18 dans la collection Grands Détectives, puis en 2020 par les éditions L'Archipel dans la collection Archipoche. C'est le second tome de la série consacrée aux enquêtes de l'inspecteur Morse. Le style de Colin Dexter se caractérise par une écriture soignée, parfois un peu pesante, pas toujours aisée à suivre, laissant toutefois la place à un style plus décontracté: "Il regarda avec dédain les matières ( ou plutôt des sous-matières, selon lui) qui monopolisaient à présent les programmes des études secondaires. A son avis, "environnement" n'était qu'un euphémisme pour des visites occasionnelles d'usines de gaz, de la caserne des pompiers ou des égouts. Pour la sociologie et les sociologues, il n'avait que mépris et ne découvrirait jamais ce que couvrait ce sujet ni comment ses praticiens déployaient leurs talents douteux. Avec une telle pléthore de non-sujets dans les emplois du temps, il n'y avait plus de place pour les matières traditionnelles enseignées de son temps." (Page 68)..."Baines parut plutôt amusé. Il aurait pu donner quelques tuyaux aux filles et aux garçons pour sécher le cours de gym! Ca oui. Mais...
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  • lilice_brocolis 14/11/2020
    Un polar très agréable ! L'écriture y est très agréable, les personnages sont assez "simples" mais intéressant, ce qui faut dans le cliché, ce qu'il faut à l'encontre. L'intrigue n'est pas pleine de tension mais est intriguante de plein de vue, on se pose des questions et émet des hypothèses qui semblent crédibles de diverses manières. Il y a peu d'indices pour vraiment associer les pièces mais on profite du paysage créé. Je ne trouve pas si facile d'en parler : c'est de ces lectures qui n'ont pas quelque chose d'absolument remarquable et original mais qui font passer un très bon moment et sont "juste réussies". Merci à léditeur et à babelio pour ce bon moment !
  • Derfuchs 09/11/2020
    Valerie Taylor a disparu. Il y a un peu plus de deux ans. L'inspecteur qui s'occupait de l'affaire est mort victime d'un accident. Le lendemain de cet accident, les parents de Valerie reçoive une lettre leur indiquant qu'elle va bien et qu'ils ne se fassent pas de souci. Sans plus. La lettre a été postée à Londres. L'inspecteur Morse se voit obligé, contre son gré, de reprendre l'enquête. Il s'adjoint Lewis pour reformer la paire habituelle. Morte, vivante, vivante, morte telle est la question. L'un, Morse pense qu'elle est morte, plus pour ne pas se fatiguer qu'autre chose, l'autre Lewis pense qu'elle est vivante compte tenu du fait nouveau. S'ensuit une enquête, remarquable d'intérêt, ponctuée de pistes et de fausses pistes, de doutes et du meurtre de l'un des suspects. Personnellement cela fait un bout de temps que je n'avais pas lu un aussi bon policier, aussi bien écrit (ou traduit), aussi bien orchestré et d'un suspens incroyable. Morse je le connaissais pour l'avoir côtoyé à la télé il y a un certain temps déjà. J'aimais assez mais jamais je n'avais lu de livre correspondant. J'ignorais, jusqu'il n'y a pas longtemps, le nom de l'auteur. On peut dire que c'est un personnage à part, même en film, parmi les enquêteurs répertoriés. Il est bougon, insatisfait, irréaliste, imbuvable, même pour son coéquipier et surtout têtu. Ce qu'il pense il y croit dur comme fer, n'en démord pas et il a raison, jusqu'au moment où on lui prouve le contraire, il devient, alors, penaud comme un gamin prit en faute. Vieux célibataire, gros fumeur et gros buveur de bière. Aussi un roman avec un tel énergumène ne peut réserver que des surprises et ici il y en a. A tel point que la vérité se fera dans les toutes dernières pages après que la mouche ait changé cinq fois de coche. Le tout de belle façon et dans une langue de bon aloi. L'intérêt, aussi, c'est cette époque où les gens n'avaient pas de téléphone mobile, pas d'ordinateur et pas d'Internet, donc beaucoup plus de présence sur le terrain, de recherches en bibliothèques ou chez les sachants. Bref cela nettoie un peu les neurones de se rappeler cette époque. C'est vrai que tout le monde fumait comme des pompiers, mais bon... On peut trouver cet épisode sur "Youtube" au titre de "Last seen wearing", en anglais. Merci à Babelio de m'avoir choisi pour cette Masse Critique et aux Editions Archipoche de m'avoir fait parvenir ce livre avec ce gentil petit mot et le marque page.Valerie Taylor a disparu. Il y a un peu plus de deux ans. L'inspecteur qui s'occupait de l'affaire est mort victime d'un accident. Le lendemain de cet accident, les parents de Valerie reçoive une lettre leur indiquant qu'elle va bien et qu'ils ne se fassent pas de souci. Sans plus. La lettre a été postée à Londres. L'inspecteur Morse se voit obligé, contre son gré, de reprendre l'enquête. Il s'adjoint Lewis pour reformer la paire habituelle. Morte, vivante, vivante, morte telle est la question. L'un, Morse pense qu'elle est morte, plus pour ne pas se fatiguer qu'autre chose, l'autre Lewis pense qu'elle est vivante compte tenu du fait nouveau. S'ensuit une enquête, remarquable d'intérêt, ponctuée de pistes et de fausses pistes, de doutes et du meurtre de l'un des suspects. Personnellement cela fait un bout de temps que je n'avais pas lu un aussi bon policier, aussi bien écrit (ou traduit), aussi bien orchestré et d'un suspens incroyable. Morse je le connaissais pour l'avoir côtoyé à la télé il y a un certain temps déjà. J'aimais assez mais jamais je n'avais lu de livre correspondant. J'ignorais, jusqu'il n'y a pas longtemps, le nom de l'auteur. On peut dire que c'est un personnage à part, même en film, parmi...
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  • abookcatcher 12/10/2020
    Lorsque j’ai vu ce titre sur le catalogue des prochaines parutions Archipoche, j’ai tout de suite été emballée car ce roman fait en réalité partie de la saga consacrée à l’inspecteur Morse dont les enquêtes ont été adaptées à la télévision. Etant habituellement plutôt conquise par les intrigues policières diffusées sur France 3, j’ai tout de suite eu envie de découvrir l’histoire avec l’espoir de passer un aussi bon moment que devant ma télé, et cela a été le cas. Portée disparue est un roman policier qui se déroule en Grande-Bretagne. Dès les premières pages, j’ai adhéré à la façon dont l’histoire était racontée. J’ai immédiatement été happée par l’atmosphère un peu brumeuse qui semble peser sur tout le roman. Une fois le décor posé, Colin Dexter nous plonge dans un univers très british, avec l’inspecteur Morse qui peut, de prime abord, paraître un peu froid voire condescendant. Cette impression est décuplée lorsque l’on comprend que l’inspecteur n’a pas du tout envie de reprendre cette affaire de disparition qui avait été confiée à l’un de ses collègues, décédé accidentellement sur la route. Pour lui, ce n’est qu’une énième petite affaire de disparition, une affaire sans grande importance, sans grand enjeu intellectuel et professionnel. Encore une jeune fille qui a fui le domicile de ses parents et qui ne reviendra jamais ! En somme, une affaire banale et inintéressante. Alors, lorsque son supérieur hiérarchique lui demande de poursuivre les investigations, Morse se sent un peu offensé, et nous, on se dit que ça part mal avec ce personnage plutôt antipathique. L’histoire est simple : Valerie Taylor a disparu quelques années en arrière alors qu’elle était encore lycéenne. Personne n’a jamais su si elle avait fui ou si un événement plus sinistre lui est arrivé, jusqu’au jour où une lettre vraisemblablement écrite de sa main est adressée au domicile des Taylor. Est-ce vraiment Valerie qui a envoyé ce mot de Londres ? Est-elle vivante ? Si oui, pourquoi avoir fui Oxford sans donner de nouvelles jusqu’à maintenant ? Alors que Morse reste persuadé que la jeune fille a été tuée, il va petit à petit s’investir dans les investigations, se mettant en quête de remonter le fil du temps pour mettre la main sur le coupable, avec en toile de fond la personnalité voluptueuse de cette jeune fille remarquée pour sa beauté éclatante qui attirait tous les regards, et surtout celui des hommes mûrs pour lesquels elle avait un penchant assumé… L’enquête va révéler les nombreux personnages qui ont gravité autour de Valerie et qui semblent tous avoir des secrets à cacher, plus ou moins liés à la jeune fille. Au fil de l’enquête, les pistes se brouillent, chacun paraît être le suspect idéal à un moment à un autre. L’auteur joue avec nous, nous dirigeant volontairement vers des pistes qui nous apparaissent comme sérieuses et crédibles mais qui ne le sont en réalité pas toujours. A travers les réflexions de Morse, on se rend compte que cette affaire n’est peut-être pas l’histoire d’une simple disparition, mais est beaucoup plus complexe. Morse et Lewis vont devoir creuser dans le passé afin de découvrir la vérité, levant le voile au passage sur certains secrets inavouables. J’ai vraiment beaucoup apprécié ce travail d’enquête. Le duo formé par Morse et Lewis fonctionne bien. Si Morse est difficile à cerner, Lewis a un capital sympathie beaucoup plus élevé. Il répond au cliché du coéquipier loyal et courageux, toujours près à suivre l’inspecteur dans ses raisonnements même s’il n’y croit pas toujours. C’est typiquement le personnage qui apporte une touche de légèreté au récit, surtout dans la mesure où Colin Dexter ne cherche pas vraiment à nous faire apprécier ses personnages, nous décrivant des femmes et hommes aux perversions plus ou moins cachées. L’auteur ne farde ses personnages d’aucun artifices, les décrivant tels qu’ils sont, avec leurs défauts propres au genre humain. Si j’ai apprécié être mise sur de fausses routes à maintes reprises, j’ai malheureusement été un peu déçue par la fin. Celle-ci est trop rapide, en quelques pages à peine. J’aurais vraiment aimé plus d’explications car ce n’était pas, à mon sens, la conclusion la plus crédible. Néanmoins, j’ai été véritablement tenue en haleine jusqu’au point final : j’en garderai donc un très bon souvenir. Les chapitres sont assez courts comme je les aime et ce qui donne un bon rythme de lecture, avec l’envie d’y retourner à chaque fois. Il faut savoir que Portée disparue n’est pas le premier roman de la saga mais vous pouvez aisément le lire indépendamment des autres tomes à mon sens (je n’ai lu que celui-ci pour l’instant et cela ne m’a posé aucune difficulté). En somme, c’était un très bon policier : la fin ne vous coupera pas le souffle, mais l’ambiance et les personnages valent le détour ! J’y retournerai avec plaisir.Lorsque j’ai vu ce titre sur le catalogue des prochaines parutions Archipoche, j’ai tout de suite été emballée car ce roman fait en réalité partie de la saga consacrée à l’inspecteur Morse dont les enquêtes ont été adaptées à la télévision. Etant habituellement plutôt conquise par les intrigues policières diffusées sur France 3, j’ai tout de suite eu envie de découvrir l’histoire avec l’espoir de passer un aussi bon moment que devant ma télé, et cela a été le cas. Portée disparue est un roman policier qui se déroule en Grande-Bretagne. Dès les premières pages, j’ai adhéré à la façon dont l’histoire était racontée. J’ai immédiatement été happée par l’atmosphère un peu brumeuse qui semble peser sur tout le roman. Une fois le décor posé, Colin Dexter nous plonge dans un univers très british, avec l’inspecteur Morse qui peut, de prime abord, paraître un peu froid voire condescendant. Cette impression est décuplée lorsque l’on comprend que l’inspecteur n’a pas du tout envie de reprendre cette affaire de disparition qui avait été confiée à l’un de ses collègues, décédé accidentellement sur la route. Pour lui, ce n’est qu’une énième petite affaire de disparition, une affaire sans grande importance, sans grand enjeu...
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