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Prédateurs
Date de parution : 14/05/2009
Éditeurs :
Pocket

Prédateurs

Date de parution : 14/05/2009

Pendant la guerre, il n’y a pas de trêve pour les tueurs en série. Au contraire...

Une guerre sans nom. Le débarquement libérateur est imminent. Parmi les soldats, la tension est extrême. Mais cela ne peut suffire à expliquer le crime abominable découvert sur l’un des...

Une guerre sans nom. Le débarquement libérateur est imminent. Parmi les soldats, la tension est extrême. Mais cela ne peut suffire à expliquer le crime abominable découvert sur l’un des navires alliés : un homme a été retrouvé pendu à un croc de boucherie, la tête remplacée par celle d’un...

Une guerre sans nom. Le débarquement libérateur est imminent. Parmi les soldats, la tension est extrême. Mais cela ne peut suffire à expliquer le crime abominable découvert sur l’un des navires alliés : un homme a été retrouvé pendu à un croc de boucherie, la tête remplacée par celle d’un bélier. Le lieutenant Frewin de la Police militaire en est convaincu : c’est l’œuvre d’un tueur redoutable qui jouit de la souffrance qu’il inflige. Malgré le déclenchement de l’offensive, les meurtres se poursuivent avec un raffinement croissant dans l’horreur. Frewin oriente alors son enquête vers la 3e section de la compagnie Raven, des durs qui forment un cercle très spécial…

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EAN : 9782266188784
Code sériel : 13910
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266188784
Code sériel : 13910
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 576
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Grand talent d’écriture, belle force de descriptions (…), Maxime Chattam ajoute à cet exercice très codé qu’est celui du thriller l’élégance de la littérature. »

Le Parisien / Aujourd’hui en France

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • philippedester 28/02/2024
    Avec Chattam, il faut s'y attendre : le sang coule et les tortures sont partie prenante du récit. L'histoire se passe pendant la guerre, au milieu de soldats. Tout d'abord, un homme a été assassiné sur un bateau de guerre. Il a été décapité et l'on a changé sa tête par celle d'un bélier. Le lieutenant Frewin de la Police Militaire est chargé de l'enquête. Une infirmière, Ann Dawson, veut absolument l'aider à démasquer le psychopathe qui agit dans l'ombre. Les meurtres se poursuivent et l'enquête se dirige vers la 3e section de la compagnie Raven, une poignée de durs qui forme quasiment une secte dans laquelle chacun s'entraide. Le meurtrier finit par être tué ! L'histoire s'arrête là? Impossible car il y reste plus de cent pages à lire ! C'est donc sans surprise que les meurtres reprennent. Six mois ont passé depuis l'assassinat du présumé coupable. Frewin et Ann Dawson se sont perdus de vue. Le lieutenant la rappelle pour continuer l'enquête... Le Mal rôde, le Mal est là, tout autour de nous. Il est partout. Frewin l'a en lui également, il cache une partie de son passé. Quant à Ann Dawson, elle ne veut rien révéler de son enfance et du Mal qui la ronge... Un thriller qui m'a beaucoup plu malgré les détails de torture ou d'autopsie que je n'aime pas lire et malgré quelques imperfections. Le meurtrier tue de manière barbare. Comment peut-il rentrer au camp sans se faire remarquer. Ses vêtements doivent être maculés du sang de ses victimes ! Et même s'il arrive à passer inaperçu, le sang est très difficile à faire disparaitre des tissus. Comment y arrive-t-il? Un petit truc qui m'a embêté aussi : les 3 premières victimes sont tuées selon un rite basé sur l'astrologie. Les suivantes n'ont plus rien à voir avec l'art de la divination. C'est rare un serial-killer qui change de modus operandi, même si c'est pour tromper les enquêteurs... Les chapitres sont courts, se lisent vite. Les pages se tournent très vite avec l'envie d'en savoir plus sur le tueur qui pourrait être n'importe quel personnage finalement. Aucun indice ne permet de découvrir son identité...Avec Chattam, il faut s'y attendre : le sang coule et les tortures sont partie prenante du récit. L'histoire se passe pendant la guerre, au milieu de soldats. Tout d'abord, un homme a été assassiné sur un bateau de guerre. Il a été décapité et l'on a changé sa tête par celle d'un bélier. Le lieutenant Frewin de la Police Militaire est chargé de l'enquête. Une infirmière, Ann Dawson, veut absolument l'aider à démasquer le psychopathe qui agit dans l'ombre. Les meurtres se poursuivent et l'enquête se dirige vers la 3e section de la compagnie Raven, une poignée de durs qui forme quasiment une secte dans laquelle chacun s'entraide. Le meurtrier finit par être tué ! L'histoire s'arrête là? Impossible car il y reste plus de cent pages à lire ! C'est donc sans surprise que les meurtres reprennent. Six mois ont passé depuis l'assassinat du présumé coupable. Frewin et Ann Dawson se sont perdus de vue. Le lieutenant la rappelle pour continuer l'enquête... Le Mal rôde, le Mal est là, tout autour de nous. Il est partout. Frewin l'a en lui également, il cache une partie de son passé. Quant à Ann Dawson, elle ne veut rien révéler de son enfance...
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  • nollah_brujois 05/08/2023
    La police militaire mène son enquête sur une série de meurtres sanglants ayant lieu dans une section du bataillon. Ann, infirmière, pour une raison que l’on ignore, est très impliquée dans l’enquête. Ce livre nous permet de suivre les indices aux côtés de personnages tous plus secrets les uns que les autres. Le suspens plane jusque dans les derniers chapitres. Qui est capable de telles atrocités au sein même de l’armée? Contre les siens? La police militaire arrivera t elle à stopper un tel prédateur pourtant si bien organisé? Qui est le réel prédateur dans une guerre comme celle ci?
  • Moijedu14 22/07/2023
    Une guerre sans nom que l'on devine être de 39-45 avec son débarquement du 6 juin 44. De jeunes soldats tués dans d'atroces mutilations. Un lieutenant de la police militaire, Craig Frewin (qui a un terrible secret) enquête, avec l'aide de son second Matters (qui a un terrible secret puisqu'il est homosexuel) et de Ann, une jolie infirmière (qui a un terrible secret) qui tombe amoureuse de Frewin. Puis toute une famille massacrée, puis après six mois d'arrêt, les membres de l'équipes de Frewin se font tués les uns après les autres. Une grande première partie haletante, une analyse du mal, de ses origines, des psychopathes, une vraie enquête de profiler. Tout un ensemble de fausses pistes avec un tueur que l'on ne soupçonnait pas (Risbi l'évrivain). Une fin un peu décevante car peu d'explication sur le pourquoi des premiers meurtres (tête de bélier, scorpion, balance...). Le fait qu'il voulait se couvrir est un peu léger comme explication. Une approche du mal avec la guerre et les instincts primales de l'homme. Car les Prédateurs, ce ne sont que les hommes.
  • hervethro 09/07/2023
    Le problème avec les catégories spécifiques, c’est qu’on est rarement surpris. Les romans historiques, d’aventures, d’amour, une biographie, un témoignage, un traité de philosophie ou de sociologie, tous répondent à un cahier des charges précis et immuable. Plus que toute autre genre, le polar ou thriller, répondent à des rites obligatoires. Un meurtre. La quête de l’assassin. Les fausses pistes. L’antagonisme de deux flics. Le jeu du chat et de la souris. Les descriptions macabres. Les pirouettes et le dénouement final, si possible auquel personne ne s’attend et de préférence à la dernière page. Maxime Chattam, je le croyais américain jusqu’au bout des ongles. Né en Pennsylvanie et ayant fait des études de droit à Boston avant d’atterrir dans la grosse pomme. Tout faux. Ensuite, son roman s’ouvre sur une scène de préparation de bataille dans un conflit (qui reste à définir : on ne connait ni le lieu, ni même l’époque – première source d’enquête pour le lecteur qui aime tant à s’identifier au traqueur de meurtriers –, il est question d’un débarquement, à aucune page on ne rencontre un téléphone cellulaire ni même le moindre indice de notre monde moderne : j’ai donc pensé à la Normandie de 1944, avant qu’on ne parle de tranchées…). Quoi qu'il en soit, ceci est juste un petit jeu entre le lecteur et l'auteur : une guerre n'a pas besoin d'être précisée pour en demeurer l'horreur absolue. Dénicher un tueur en série en plein conflit armé, voilà qui n’est pas commun. Chattam brouille les pistes selon le rituel habituel de ce genre si particulier, mais pas où on pourrait le penser. Ainsi, durant les cent premières pages et contrairement à ce qui unit tous les romans de la même veine, l’action se met lentement en place. On s’ennuierait presque. Puis l’étau se resserre, les personnages nous deviennent familiers : ça y est, le poisson-lecteur est bien ferré, accroché jusqu’à la dernière ligne. La force de « Prédateurs » c’est qu’on s’intéresse autant, sinon davantage, aux enquêteurs (la police militaire, chargée de faire respecter la bonne gestion des prisonniers de guerre, bref une police des polices au cœur de l’armée) qu’au responsable d’un carnage devenant croissant au fil des chapitres. Il existe une part d’ombre en chacun, y compris et surtout chez le lieutenant, une véritable armoire à glace, le chef de la troupe et une infirmière qui va le seconder dans sa recherche du coupable. En eux se cachent des vérités bien enfouies. Rien n’est ni tout blanc, ni tout noir. A force de lire les atrocités à chaque thriller que j’ouvre, j’ai remarqué que les auteurs sont pris par leur propre jeu : c’est à celui qui peindra la scène de crime la plus immonde, la plus glauque, la plus vomitive. Et là, Chattam est un champion. Le summum est atteint avec ce que l’on peut faire avec du matériel de pêche (fils hameçons) : je n’en dis pas plus, c’est écoeurant. Somme toute, ce roman pourrait rejoindre les milliers de ses frères et cousins du même genre s’il n’était avant tout, une belle et pertinente réflexion sur le mal et comment il vient aux hommes. Le problème avec les catégories spécifiques, c’est qu’on est rarement surpris. Les romans historiques, d’aventures, d’amour, une biographie, un témoignage, un traité de philosophie ou de sociologie, tous répondent à un cahier des charges précis et immuable. Plus que toute autre genre, le polar ou thriller, répondent à des rites obligatoires. Un meurtre. La quête de l’assassin. Les fausses pistes. L’antagonisme de deux flics. Le jeu du chat et de la souris. Les descriptions macabres. Les pirouettes et le dénouement final, si possible auquel personne ne s’attend et de préférence à la dernière page. Maxime Chattam, je le croyais américain jusqu’au bout des ongles. Né en Pennsylvanie et ayant fait des études de droit à Boston avant d’atterrir dans la grosse pomme. Tout faux. Ensuite, son roman s’ouvre sur une scène de préparation de bataille dans un conflit (qui reste à définir : on ne connait ni le lieu, ni même l’époque – première source d’enquête pour le lecteur qui aime tant à s’identifier au traqueur de meurtriers –, il est question d’un débarquement, à aucune page on ne rencontre un téléphone cellulaire ni même le moindre indice de notre monde moderne : j’ai donc pensé à la Normandie de...
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  • radio_boy 26/05/2023
    Pas mauvais, mais pas au même niveau que le premier tome dans la trilogie. Et, franchement, je ne vois pas le lien, s'il y en a, avec le premier. Un bon éditeur aurait facilement enlevé 200 pages sans rien perdre. Je viens de commencer tome 3. A suivre.
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