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Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri
Date de parution : 05/10/2017
Éditeurs :
Pocket

Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri

Date de parution : 05/10/2017
Une voix, des lunettes : une révélation. Milou a 13 ans lorsqu’il abandonne une idole, un monstre orange du nom de Casimir, pour une autre, chanteuse, grecque et mondialement connue.... Une voix, des lunettes : une révélation. Milou a 13 ans lorsqu’il abandonne une idole, un monstre orange du nom de Casimir, pour une autre, chanteuse, grecque et mondialement connue. Quand il sera grand, c’est décidé, il sera Nana Mouskouri. Ce n’est pas un métier, évidemment : c’est un destin.... Une voix, des lunettes : une révélation. Milou a 13 ans lorsqu’il abandonne une idole, un monstre orange du nom de Casimir, pour une autre, chanteuse, grecque et mondialement connue. Quand il sera grand, c’est décidé, il sera Nana Mouskouri. Ce n’est pas un métier, évidemment : c’est un destin. Un rêve qu’un petit garçon à la bouille ronde, déjà différent des autres, décidera de poursuivre contre vents et marées. L’amour en héritage. La liberté en bandoulière.

« Ultra émouvant, très drôle et d’une force de vie phénoménale. L’écriture est hyper dynamique et le récit d’une profondeur incroyable, tout en restant pudique. » Delphine Apiou – Biba

« L'auteur a de l'esprit à revendre, mais c'est l'émotion, la sensibilité la plus pure qui imprègnent cette autobiographique romancée. » Sabine Maida – Grazia

« Une bombe d’émotions, un livre universel : une pure merveille ! » Gérard Collard – La Griffe Noire
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EAN : 9782266276443
Code sériel : 16974
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266276443
Code sériel : 16974
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« L'humour n'est jamais loin, l'auteur a de l'esprit à revendre, mais c'est l'émotion, la sensibilité la plus pure qui imprègnent les 250 pages de cette autobiographie romancée. » Sabine Maida, Grazia
« Un roman (autobiographique) ultra émouvant, très drôle et d'une force de vie phénoménale. L'écriture est hyper dynamique et le récit d'une profondeur incroyable, tout en restant pudique. » Biba
« Dans ce roman autobiographique, où il dévoile aussi la relation fusionnelle et déchirante qui le lie à sa grand mère, David Lelait-Helo évoque avec poésie et émotion notre quête d'idéal, la construction de soi, l'identification du fan avec la star. » Nous Deux
« C'est frais, direct, drôle, modeste et touchant. » Technikart

 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Cathy_lit 11/01/2023
    Bonsoir, Lors de mon petit tour à la foire du livre de brive , j’ai rencontré sur le stand des éditions Héloise d’Ormesson David Lelait Helo dont j’avais adoré Poussière d’homme (un récit autobiographique) il m’a donc conseillé « Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri » toujours autobiographique. Et bien il ne s’est pas trompé, merci David. J’ai beaucoup aimé aussi l’histoire du début de sa vie, son rêve de devenir Nana Mouskouri, la persévérance qu’il met pour pouvoir réaliser ce même rêve. Bien sûr, sa vie n’est pas toujours drôle mais tout est raconté avec beaucoup de délicatesse, de pudeur, d’émotions et de sentiments. C’est très beau. Bon d’accord tout le long de ma lecture et après j’ai chanté l’amour en héritage, mes voisins de bureau ne te remercient pas David. Quatrième de couv. Une voix, des lunettes : une révélation. Milou a 13 ans lorsqu'il abandonne une idole, un monstre orange du nom de Casimir, pour une autre, chanteuse, grecque et mondialement connue. Quand il sera grand, c'est décidé, il sera Nana Mouskouri. Ce n'est pas un métier, évidemment : c'est un destin. Un rêve qu'un petit garçon à la bouille ronde, déjà différent des autres, décidera... Bonsoir, Lors de mon petit tour à la foire du livre de brive , j’ai rencontré sur le stand des éditions Héloise d’Ormesson David Lelait Helo dont j’avais adoré Poussière d’homme (un récit autobiographique) il m’a donc conseillé « Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri » toujours autobiographique. Et bien il ne s’est pas trompé, merci David. J’ai beaucoup aimé aussi l’histoire du début de sa vie, son rêve de devenir Nana Mouskouri, la persévérance qu’il met pour pouvoir réaliser ce même rêve. Bien sûr, sa vie n’est pas toujours drôle mais tout est raconté avec beaucoup de délicatesse, de pudeur, d’émotions et de sentiments. C’est très beau. Bon d’accord tout le long de ma lecture et après j’ai chanté l’amour en héritage, mes voisins de bureau ne te remercient pas David. Quatrième de couv. Une voix, des lunettes : une révélation. Milou a 13 ans lorsqu'il abandonne une idole, un monstre orange du nom de Casimir, pour une autre, chanteuse, grecque et mondialement connue. Quand il sera grand, c'est décidé, il sera Nana Mouskouri. Ce n'est pas un métier, évidemment : c'est un destin. Un rêve qu'un petit garçon à la bouille ronde, déjà différent des autres, décidera de poursuivre contre vents et marées. L'amour en héritage. La liberté en bandoulière.
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  • DOMS 11/01/2022
    Vous vous souvenez de Nana Mouskouri vous aussi ? Alors ça veut dire que nous avons déjà traversé quelques décennies, et que le visage un peu rond, les lunettes si noires, et la voix cristalline et extraordinaire de cette chanteuse parle à vos souvenirs. Et l’amour en héritage me direz-vous ? Oui, moi aussi j’ai regardé cette série, dont je ne me souviens de rien par contre, si ce n’est du générique chanté par Nana. Mais alors, que vient-elle faire ici ? Eh bien elle est un peu comme un fil rouge, ou noir pour la couleur des lunettes et des cheveux, dans la vie du jeune David. Car David est un garçon différent, sa sensibilité et son homosexualité font de lui la cible idéale, la proie des cours d’école. David a deux amours. Sa Nana, celle qu’il deviendra plus tard, comme on devient pompier ou pilote de ligne, et sa mamie adorée, qu’il aime d’un amour plus grand que mon cœur de gosse, qui le comprend si bien, l’accompagne, le soutien, et dont il illumine la vie de chaque jour par ses visites, ses mots, ses gestes d’amours de petit garçon. Cette mamie Aimée que le petit garçon, devenu adulte... Vous vous souvenez de Nana Mouskouri vous aussi ? Alors ça veut dire que nous avons déjà traversé quelques décennies, et que le visage un peu rond, les lunettes si noires, et la voix cristalline et extraordinaire de cette chanteuse parle à vos souvenirs. Et l’amour en héritage me direz-vous ? Oui, moi aussi j’ai regardé cette série, dont je ne me souviens de rien par contre, si ce n’est du générique chanté par Nana. Mais alors, que vient-elle faire ici ? Eh bien elle est un peu comme un fil rouge, ou noir pour la couleur des lunettes et des cheveux, dans la vie du jeune David. Car David est un garçon différent, sa sensibilité et son homosexualité font de lui la cible idéale, la proie des cours d’école. David a deux amours. Sa Nana, celle qu’il deviendra plus tard, comme on devient pompier ou pilote de ligne, et sa mamie adorée, qu’il aime d’un amour plus grand que mon cœur de gosse, qui le comprend si bien, l’accompagne, le soutien, et dont il illumine la vie de chaque jour par ses visites, ses mots, ses gestes d’amours de petit garçon. Cette mamie Aimée que le petit garçon, devenu adulte avant l’âge, accompagnera tout au long de ses derniers instants. Ce roman est absolument touchant, émouvant même, et tellement sincère. chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2018/07/02/quand-je-serais-grand-je-serais-nana-mouskouri-david-lelait-helo/
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  • Les_lectures_delodie 28/05/2021
    David, ou plutôt Milou comme toute sa famille l'appelle, a 13 ans lorsqu'il tombe en admiration devant une chanteuse grecque, pourtant peu appréciée des enfants de son âge. C'est décidé: il veut devenir Nana Mouskouri. Malgré les moqueries et les brimades il ira au bout de ce rêve, bien différent des autres. David Lelait-Helo se raconte avec beaucoup de tendresse dans ce roman, lui, le petit garçon qu'il a été et qui se sentait déjà différent des autres dans la cour de l'école, au point qu'il s'accroche au rêve de devenir comme son idole. Il va se construire grâce à elle, s'enfermant dans une bulle où seule raisonne l'écho de sa voix, refusant d'écouter les mots des autres qui lui trouvent des surnoms peu flatteurs. Cette admiration sans borne c'est sa bouée de sauvetage, tout comme ses journées passées auprès de sa chère Mamie. Un amour infini d'une femme d'une autre époque qui accepte d'un regard bienveillant que son petit fils se pare de mille bijoux et des rideaux de la maison tant qu'il garde son sourire aux lèvres. Ce roman est une jolie surprise, une petite échappée de douceur et de fantaisie sur le chemin parcouru pour se... David, ou plutôt Milou comme toute sa famille l'appelle, a 13 ans lorsqu'il tombe en admiration devant une chanteuse grecque, pourtant peu appréciée des enfants de son âge. C'est décidé: il veut devenir Nana Mouskouri. Malgré les moqueries et les brimades il ira au bout de ce rêve, bien différent des autres. David Lelait-Helo se raconte avec beaucoup de tendresse dans ce roman, lui, le petit garçon qu'il a été et qui se sentait déjà différent des autres dans la cour de l'école, au point qu'il s'accroche au rêve de devenir comme son idole. Il va se construire grâce à elle, s'enfermant dans une bulle où seule raisonne l'écho de sa voix, refusant d'écouter les mots des autres qui lui trouvent des surnoms peu flatteurs. Cette admiration sans borne c'est sa bouée de sauvetage, tout comme ses journées passées auprès de sa chère Mamie. Un amour infini d'une femme d'une autre époque qui accepte d'un regard bienveillant que son petit fils se pare de mille bijoux et des rideaux de la maison tant qu'il garde son sourire aux lèvres. Ce roman est une jolie surprise, une petite échappée de douceur et de fantaisie sur le chemin parcouru pour se trouver enfin.
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  • jordan__ 03/03/2021
    Les mots de David Lelait-Helo, c’est de la poésie pure. L’auteur raconte ses rêves, ses pertes, ses découvertes et sa rencontre de lui-même. C’est un voyage initiatique court mais débordant d’émotions et de beauté. C’est brut et doux, cruellement vrai et plein d’étoiles.
  • Thierrydiegolea 02/12/2020
    David Lelait Helo (dans sa famille, on l'appelle Milou) nous raconte une très jolie histoire, la sienne. Il partage avec nous, ses souvenirs d'enfance. Sa relation fusionnelle avec sa grand-mère nous émeut. Milou est un enfant différent. Jusqu'à l'âge de 13 ans, son idole, c'était Casimir, le monstre gentil de "L'Ile aux enfants" Tout change, quand il est happé par la voix de la plus grecque des chanteuses françaises : Nana Mouskouri. Depuis cette découverte il ne cesse de crier haut et fort "Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri" Déjà, dans la cour de l'école, alors que les petits garçons aimaient taper dans un ballon, lui préférait jouer à la princesse, " Le monde des filles sentait bon la rose, la guimauve", ce qui provoquait les railleries des garçons qui le traitaient de "femmelette, de mauviette". La honte l'envahit, le suit à mesure qu'il grandit, mais elle finit par lui donner de la force. Ce texte nous montre que ce n'est toujours facile d'être différent, de subir les humiliations. Le regard des enfants est cruel. Alors on se glisse dans une armure pour se protéger. Cette armure, c'est le rêve. Et pour Milou, ce rêve s'appelle Nana Mouskouri. Un rêve, ça... David Lelait Helo (dans sa famille, on l'appelle Milou) nous raconte une très jolie histoire, la sienne. Il partage avec nous, ses souvenirs d'enfance. Sa relation fusionnelle avec sa grand-mère nous émeut. Milou est un enfant différent. Jusqu'à l'âge de 13 ans, son idole, c'était Casimir, le monstre gentil de "L'Ile aux enfants" Tout change, quand il est happé par la voix de la plus grecque des chanteuses françaises : Nana Mouskouri. Depuis cette découverte il ne cesse de crier haut et fort "Quand je serai grand, je serai Nana Mouskouri" Déjà, dans la cour de l'école, alors que les petits garçons aimaient taper dans un ballon, lui préférait jouer à la princesse, " Le monde des filles sentait bon la rose, la guimauve", ce qui provoquait les railleries des garçons qui le traitaient de "femmelette, de mauviette". La honte l'envahit, le suit à mesure qu'il grandit, mais elle finit par lui donner de la force. Ce texte nous montre que ce n'est toujours facile d'être différent, de subir les humiliations. Le regard des enfants est cruel. Alors on se glisse dans une armure pour se protéger. Cette armure, c'est le rêve. Et pour Milou, ce rêve s'appelle Nana Mouskouri. Un rêve, ça se bichonne, ça se protège, ça se partage. Puis, quand vient l'âge adulte, ce rêve prend une autre forme. Chaque disque rapporté des différentes expéditions est religieusement glissé dans une pochette plastique qui le sauvera des dommages du temps qui passe. Ce livre me rappelle d'une part, que je suis moi même collectionneur. D'autre part, j'ai pu retrouver mon âme d'enfant. Je me suis replongé dans les samedis soirs de mon enfance que nous passions chez mes grands- parents paternels , Nous y dînions puis nous nous réunissions devant le poste de télévision pour regarder les émissions devenues cultes de Gilbert et Maritie Carpentier, »Numéro 1 à » ….. ou « Top à..... »Aujourd'hui je suis très heureux de m'être fabriqué des souvenirs pour quand viennent les soirs d'ennuis. Pour ma part j'attendais les numéros 1 non pas de Nana Mouskouri mais de Dalida, la belle italienne de naissance égyptienne. Je me sus même reconnu dans certains passages du livre. Moi aussi je restais droit et et figé, les yeux rives sur le petit écran, à chaque apparition de la chanteuse; en train de commenter sa nouvelle tenue et essayant de retenir les paroles d'un nouveau refrain. Et ça m'a fait beaucoup rire.
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