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Rester vivant jusqu'au bout
Michel Leclercq (avec la collaboration de)
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 19/01/2023
Éditeurs :
Pocket

Rester vivant jusqu'au bout

Michel Leclercq (avec la collaboration de)
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 19/01/2023
28 janvier 2021. Soudain le moteur de l’avion rend l’âme… Impossible de le redémarrer. Antonio Sena, seul à bord, mobilise toutes ses connaissances pour tenir l’appareil au-dessus de l’immensité de... 28 janvier 2021. Soudain le moteur de l’avion rend l’âme… Impossible de le redémarrer. Antonio Sena, seul à bord, mobilise toutes ses connaissances pour tenir l’appareil au-dessus de l’immensité de la forêt amazonienne. Mais le crash est inévitable. Miracle : Antonio ressort vivant de la carlingue.
Commence alors pour lui une terrible...
28 janvier 2021. Soudain le moteur de l’avion rend l’âme… Impossible de le redémarrer. Antonio Sena, seul à bord, mobilise toutes ses connaissances pour tenir l’appareil au-dessus de l’immensité de la forêt amazonienne. Mais le crash est inévitable. Miracle : Antonio ressort vivant de la carlingue.
Commence alors pour lui une terrible épreuve dans la partie la plus sauvage de l’Amazonie. Sous une pluie ininterrompue, il s’alimente en observant ce que mangent les singes, construit des abris de fortune, repousse les prédateurs, s’émerveille aussi devant la beauté de la forêt, sans jamais baisser les bras, guidé par l’amour des siens et sa foi retrouvée.
L’espoir, dit-il, sera le dernier à mourir. Trente-six jours après la chute de son avion, épuisé et affamé, un deuxième miracle se produit. Des cueilleurs de noix sont là, au milieu des arbres…
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EAN : 9782266329514
Code sériel : 19080
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266329514
Code sériel : 19080
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une leçon de vie et un acte militant pour sauver le poumon de la planète. »
Le Progrès

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • christophe85 07/10/2023
    « Rester vivant jusqu'au bout » est un récit poignant (j'ai lu la version parue chez Xo éditions). L'histoire d'un pilote brésilien qui a réussi à survivre seul durant 36 jours dans la forêt amazonienne suite au crash de son avion en janvier 2021. il comprend très vite qu'il ne peut compter que sur lui-même dans ce milieu hostile surnommée à juste titre l'enfer vert. «Mon salut ne viendra pas de l’extérieur. Il me faut forcer le destin. Je dois puiser au fond de moi la force nécessaire. Et je sais que j’y parviendrai. Parce que tout semble jouer contre moi et que je n’ai pas le choix.» Le message d'Antonio est simple : dans ce genre de situation il ne faut jamais abandonner, garder l'espoir. C'est l'envie de revoir ses proches qui l'a poussé à croire en ses capacités de survie (il a suivi un stage de survie quelques années auparavant dans la selva). Cette mésaventure lui donnera envie de s’investir pour la protection de l'environnement et notamment de la forêt amazonienne : "Puissions-nous apprendre à coexister avec la forêt de manière durable !" À noter que l'ouvrage comprend un cahier photos couleur. On peut voir des photos du crash, de la faune et de la végétation dense prises par Antonio mais aussi une photo très émouvante des retrouvailles d'Antonio avec sa sœur et son frère : "Le 6 mars, sur le tarmac de l'aéroport de Santarém, j'étreins -enfin!- mon frère et ma sœur." Cette aventure vécue est vraiment touchante. C'est une belle leçon de vie et de courage. Je vous le conseille. Interview d'Antonio Sena sur le site Le pèlerin.com : https://www.lepelerin.com/religions-et-spiritualites/nos-rencontres/apres-son-crash-il-survit-36-jours-dans-la-foret-amazonienne-porte-par-l-amour-et-la-priere-6318 « Rester vivant jusqu'au bout » est un récit poignant (j'ai lu la version parue chez Xo éditions). L'histoire d'un pilote brésilien qui a réussi à survivre seul durant 36 jours dans la forêt amazonienne suite au crash de son avion en janvier 2021. il comprend très vite qu'il ne peut compter que sur lui-même dans ce milieu hostile surnommée à juste titre l'enfer vert. «Mon salut ne viendra pas de l’extérieur. Il me faut forcer le destin. Je dois puiser au fond de moi la force nécessaire. Et je sais que j’y parviendrai. Parce que tout semble jouer contre moi et que je n’ai pas le choix.» Le message d'Antonio est simple : dans ce genre de situation il ne faut jamais abandonner, garder l'espoir. C'est l'envie de revoir ses proches qui l'a poussé à croire en ses capacités de survie (il a suivi un stage de survie quelques années auparavant dans la selva). Cette mésaventure lui donnera envie de s’investir pour la protection de l'environnement et notamment de la forêt amazonienne : "Puissions-nous apprendre à coexister avec la forêt de manière durable !" À noter que l'ouvrage comprend un cahier photos couleur. On peut voir des photos du crash, de la faune...
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  • Annawenn 29/07/2022
    Je remercie Marine, des Éditions XO, qui m'a proposée cette lecture. N’ayant jamais entendu parler de ce bouquin, je suis allée me renseigner et j’ai accepté de lire ce témoignage pour en faire la chronique. J’ai ouvert les premières pages il y a quelques jours et Antonio SENA m’a bouleversée. Ses mots ont touché mon cœur et mon âme, j’ai envie de partager avec vous tous mes sentiments. Cette aventure, vous la connaissez peut-être Le 28 janvier, Antonio embarque dans un petit monomoteur. A peine moins d’une heure de vol, la machine s’emballe et Antonio s’écrase. Il a à peine le temps de sortir du cockpit, prendre quelques affaires avec lui (couteaux, corde, briquet, bouteilles d’eau, etc.) que l’appareil explose. Il espérait ne rester que deux journées dans la forêt, il y errera trente-six jours. Aucun européen ne s’imagine seul dans la forêt amazonienne, pas à ma connaissance. Je vis dans une région qui pourrait être préservée mais par peur “des bêtes”, chaque année, le citoyen lambda rase les sols, coupe les arbres et jette tout et n’importe quoi par la fenêtre de sa bagnole. Alors la forêt amazonienne est surnommée l’enfer vert. Antonio est resté vivant et il en témoigne aujourd’hui. Ce témoignage, c’est ? Un homme dans son petit avion qui réussi à s’écraser délicatement, sans trop de dégât, avec beaucoup de volonté, de concentration et d’assurance. Il est persuadé que les recherches commenceront dès que son avion aura du retard, alors il s’abrite, se protège et réalise après un long sommeil (coma ?) que l’avion a pris feu : il ne reste rien. Les avions de secours ont survolé la zone sans l’apercevoir, la canopée est dense. Antonio est seul dans cette immense foret vierge, riche en biodiversité et il observe que dans cette incroyable forêt, tout vit en parfaite harmonie. Il connaît l’Amazonie, il y est né. Il a pris la décision de marcher chaque jour dans la même direction suivant la position du soleil et de l’heure de sa montre. Antonio écrit sur sa famille, son histoire et ses nombreuses désillusions. 36 jours dans l’Enfer vert : Je ne peux pas voir la verdure comme une teinte infernale. Je suis de ceux qui agissent en faveur de la biodiversité, dans les bois, dans les prés, dans les jardins… Je laisse vivre ce que d’autres nomment “mauvaises herbes” car elles survivent et ont probablement, elles aussi, beaucoup à nous apprendre. Antonio est un survivant, un “miraculé” et son témoignage m’a fait beaucoup de bien. S’il peut me lire, je le remercie du fond du cœur ainsi que Marine, des éditions XO, sans qui je n’aurais pas eu connaissance de cet ouvrage. Je n’ai pas de mot pour exprimer ma reconnaissance. Je n’ai pas reçu une simple lecture, ce témoignage m’a rendue, à moi aussi, la force de continuer (jusqu’au bout). Antonio ne décrit pas un enfer. Ceux de la forêt : Ses grands parents travaillaient la terre en harmonie avec l’Amazonie. Il a beaucoup appris en écoutant les histoires de “ceux de la foret” pendant son adolescence. Il en connaît ainsi les ressources et les dangers. Alors la foret lui donne tout ce dont il a besoin et lui, exprime son amour pour cette magnifique nature, malgré la pluie de cette saison. Sa volonté surmonte toutes les difficultés, tous les obstacles. Un humain dans cette immensité est une proie, mais Antonio accepte ses douleurs, la dénutrition et jamais il ne se détourne de son chemin, pour retrouver ceux qu’il aime. L’amour est sa force et le respect de la forêt une qualité pour survivre, une belle âme qui engage le lecteur dans une réflexion sur l’homme et son mépris pour la nature. Dans notre petit confort, nous n’imaginons pas marcher dans cet “enfer”. Pourtant, Antonio porte un tout autre regard sur l’Amazonie, sur les peuples qui y vivent modestement : les cueilleurs, ceux qui l’accueillent avec bienveillance au bout de son périple. L’homme moderne, avide de sensationnel, ne retiendra peut-être que le “survivant”… Il a vu ça devant son écran, c’est “koh lanta” ? Celle de la montagne (moi) : Pour moi, ce témoignage est d’une grande richesse culturelle. J’y’ai découvert des fruits, des arbres, un autre pays. Antonio aime encore la forêt et souhaite la protéger. Ses derniers mots veulent ouvrir nos yeux sur nos priorités. La forêt n’est pas un danger, mais l’homme qui ne cherche qu’à l’exploiter pour l’argent nous met tous en péril. Je liste précieusement ce bouquin dans notre bibliothèque nomade. Il porte une immense générosité dans le cadre de l’éducation à l’environnement, une belle aventure dont je pourrais parler jusqu’au bout de la nuit, un récit qui ne doit pas tomber dans l’oubli.Je remercie Marine, des Éditions XO, qui m'a proposée cette lecture. N’ayant jamais entendu parler de ce bouquin, je suis allée me renseigner et j’ai accepté de lire ce témoignage pour en faire la chronique. J’ai ouvert les premières pages il y a quelques jours et Antonio SENA m’a bouleversée. Ses mots ont touché mon cœur et mon âme, j’ai envie de partager avec vous tous mes sentiments. Cette aventure, vous la connaissez peut-être Le 28 janvier, Antonio embarque dans un petit monomoteur. A peine moins d’une heure de vol, la machine s’emballe et Antonio s’écrase. Il a à peine le temps de sortir du cockpit, prendre quelques affaires avec lui (couteaux, corde, briquet, bouteilles d’eau, etc.) que l’appareil explose. Il espérait ne rester que deux journées dans la forêt, il y errera trente-six jours. Aucun européen ne s’imagine seul dans la forêt amazonienne, pas à ma connaissance. Je vis dans une région qui pourrait être préservée mais par peur “des bêtes”, chaque année, le citoyen lambda rase les sols, coupe les arbres et jette tout et n’importe quoi par la fenêtre de sa bagnole. Alors la forêt amazonienne est surnommée l’enfer vert. Antonio est resté vivant et il en témoigne aujourd’hui. Ce témoignage, c’est ? Un...
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  • Labrunebouquine 10/03/2022
    Antonio Sena nous livre dans ce récit extraordinaire, sa survie au cœur de l’Amazonie. Cette forêt hostile et peuplée d’animaux dangereux. 36 jours au cœur de ce poumon vert impénétrable. Entre angoisse et espoir. Son sang-froid, sa volonté de survivre et son courage le mèneront à sa renaissance. Devenu depuis un fervent protecteur de cette incroyable forêt qu’est l’Amazonie, Antonio nous parle ici de protection de ce formidable eco système, de son amour pour sa famille, et de sa foi en Dieu. Ce qui lui sauvera la vie.
  • Maym 06/03/2022
    "Rester vivant jusqu'au bout" est un livre témoignage de survie dans la forêt amazonienne, écrit par Antonio Sena. 36 jours durant, il progressa tant bien que mal après le crash de son avion au cœur de la forêt. Luttant pour sa vie, en dépit de l'abattement physique et moral et de l'envie d'abandonner, il ne rencontra non pas la mort, mais lui-même et sa facette la plus primaire : son instinct de survie. Le livre se lit assez rapidement, les chapitres sont concis et vont à l'essentiel. Les faits sont racontés avec humilité, et balancent entre détermination et accablement au rythme de la survie en milieu hostile (flore et faune sauvages qui ralentissent son rythme, prédateurs, insectes, climat, manque d'équipement, faim, soif...). Antonio Sena a fait preuve d'un courage extraordinaire, et ses quelques bases acquises en formation de pilote, et de la chance, lui ont sauvé la vie.
  • Mirabilia 20/02/2022
    Ce témoignage expose comment, pas à pas, étape par étape, Antonio Sena a survecu à un crash d'avion dans la forêt amazonienne. D'une part, survivre à un crash est exceptionnel et d'autre part, ne pas périr au milieu des dangers de la forêt est un miracle de chaque instant. A travers les pages de ce témoignage, le lecteur découvre quelles forces insoupçonnées surviennent lorsque l'inévitable semble être la seule issue. L'amour est évidemment un moteur essentiel qui donne de la force au mental. Le témoignage se dévore et ne donne qu'une envie à la dernière page : ne jamais être pessimiste et se renseigner un minimum sur les règles de survie essentielles en milieu hostiles.
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