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Retour à Whitechapel
Stéphane Durand-Souffland (préface de)
Collection : Polar
Date de parution : 03/12/2015
Éditeurs :
10/18

Retour à Whitechapel

Stéphane Durand-Souffland (préface de)
Collection : Polar
Date de parution : 03/12/2015
Londres, 1941. La petite-fille de la dernière victime de Jack L’Éventreur mène l’enquête durant le Blitz pour démasquer le plus célèbre des serial killers.
Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe, infirmière du London Hospital, apprend lamort de son père. Celui-ci lui a laissé... Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe, infirmière du London Hospital, apprend lamort de son père. Celui-ci lui a laissé une lettre posthume lui révélant que sa mère n'est pas morte d'une maladie pulmonaire, comme l'histoire familiale le prétend ;... Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe, infirmière du London Hospital, apprend lamort de son père. Celui-ci lui a laissé une lettre posthume lui révélant que sa mère n'est pas morte d'une maladie pulmonaire, comme l'histoire familiale le prétend ; Mary Jane Kelly a été la dernière victime de Jack L’Éventreur. Amelia Pritlowe avait 2 ans. À compter de ce jour, Mrs Pritlowe va se lancer dans une traque méticuleuse et acharnée, poussée par le besoin vital de découvrir la véritable identité de Jack L’Éventreur. Grâce aux archives d'une pittoresque société savante de riperristes, en confrontant témoins et survivants, elle va reconstruire dans ses carnets les dernières semaines de sa mère et la sanglante carrière  de l'Éventreur. En décryptant des documents d'époque, Michel Moatti recompose l'atmosphère nocturne et angoissante de l'East End du XIXe siècle. En redonnant vie aux victimes, en recomposant leurs personnalités sociales et affectives, il propose une solution à l'énigme posée en 1888 : qui était Jack L’Éventreur ?
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EAN : 9782264067258
Code sériel : 5020
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264067258
Code sériel : 5020
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JeanMichel11430 13/03/2024
    J’ai rencontré Michel Moatti au hasard d’un Salon du livre à Narbonne. Petite discussion et achat de cet ouvrage avec en supplément, une belle dédicace. Le hasard fait donc bien les choses puisque la lecture de Retour à Whitechapel a été plus qu’enthousiasmante. Le style de l’auteur est très agréable à lire et la forme en elle-même passionnante. En effet, s’entrecroisent récits à la 1ère et 3ème personnes, flashback, enquête et psychologie. Un cocktail mené de main de maître. Qui est Jack l’éventreur, car telle est l’intrigue. Pus de 50 ans après les faits, dans le Londres subissant les raids meurtriers de l’aviation allemande en 1941, une infirmière reprend l’enquête. Son père lui a fait parvenir une lettre posthume lui apprenant qu’elle est la fille de Mary Jane Kelly, la dernière victime de Jack l’éventreur. Cette traque à travers le temps va bouleverser sa vie et peut être révéler l’identité d’un des plus célèbres serial killer. Michel Moatti réussit un beau roman d’atmosphère grâce aux documents d’époque, les faits, les témoignages et une belle dose d’intuition et de déduction. Un roman riche te captivant qui donne envie de découvrir l’œuvre de Moatti.
  • latina 02/01/2024
    C’est après avoir vu la série « Jack the ripper » avec Michael Caine en 1988 que j’ai été contaminée par le mystère de Jack l’éventreur. Londres en 1888, l’East End, Whitechapel : un monde de misère absolue, de mort et d’effroi. C’est là qu’un homme a commis 5 meurtres monstrueux dans la nuit noire et les ruelles infestées de rats et grasses de détritus, entre le 31 août et le 9 novembre. Puis plus rien. 4 prostituées indigentes, édentées, malades ont été égorgées et éventrées. Non, 3 uniquement, parce que pour une des 4, ce « monsieur » n’a pas eu le temps d’approfondir son forfait. Et la 5e, la belle et jeune Mary Jane Kelly, a été tuée chez elle, dans son taudis qu’elle louait à Mr Mc Carthy. Son cadavre a été mutilé atrocement, découpé, déchiqueté, pour devenir de la bouillie. C’est ce que tout le monde connait. Mais comme jamais on n’a pu découvrir l’identité du monstre, les imaginations se sont enflammées. Michel Moatti est un journaliste qui, lui aussi, a été contaminé par ce virus de la curiosité : QUI était Jack l’éventreur ? Il s’est documenté de manière quasi exhaustive et s’est forgé une intime conviction, que l’on lira à la fin de son roman. Car oui, c’est un roman : la narratrice est la soi-disant fille de Mary Jane Kelly, qui apprend qui est sa mère à l’âge de 55 ans, révélation donnée par son père dans une lettre posthume. Nous sommes en plein Blitz, elle est infirmière et n’a de cesse de soigner les victimes des bombardements allemands. Mais elle est hantée par ce Jack l’éventreur, complètement bouleversée. Pour cela, elle s’inscrit à la société « Filebox society » (société entièrement imaginée par l’auteur) qui récolte tous les documents à propos de Jack The Ripper. Jusqu’à ce qu’elle découvre l’identité du monstre… Dans une narration alternant le passé et le présent, Michel Moatti nous plonge dans l’Angleterre victorienne et dans la psychologie d’une infirmière de la seconde guerre mondiale. Celle-ci travaille au London Hospital, qui se trouve à Whitechapel, mais les lieux ont bien changé. La vie, cependant, est bien là, au détour d’une ruelle, dans un square, dans un couloir d’hôpital ou dans les salons feutrés de la Filebox society. La vie ? Plutôt la mort. L’atmosphère est glauque. Nous sommes ici auprès des victimes. L’enquête policière n’est qu’évoquée. Mais l’ambiance du Londres miséreux du 19e siècle, elle, stagne à chaque page. Je recommande ce roman se basant sur des faits réels, bien documenté, à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à Jack l’éventreur, pour son originalité narrative, sa rigueur journalistique et sa faculté de nous précipiter dans les bas-fonds d’une ville où se côtoient sans se toucher les plus riches et les plus pauvres. C’est après avoir vu la série « Jack the ripper » avec Michael Caine en 1988 que j’ai été contaminée par le mystère de Jack l’éventreur. Londres en 1888, l’East End, Whitechapel : un monde de misère absolue, de mort et d’effroi. C’est là qu’un homme a commis 5 meurtres monstrueux dans la nuit noire et les ruelles infestées de rats et grasses de détritus, entre le 31 août et le 9 novembre. Puis plus rien. 4 prostituées indigentes, édentées, malades ont été égorgées et éventrées. Non, 3 uniquement, parce que pour une des 4, ce « monsieur » n’a pas eu le temps d’approfondir son forfait. Et la 5e, la belle et jeune Mary Jane Kelly, a été tuée chez elle, dans son taudis qu’elle louait à Mr Mc Carthy. Son cadavre a été mutilé atrocement, découpé, déchiqueté, pour devenir de la bouillie. C’est ce que tout le monde connait. Mais comme jamais on n’a pu découvrir l’identité du monstre, les imaginations se sont enflammées. Michel Moatti est un journaliste qui, lui aussi, a été contaminé par ce virus de la curiosité : QUI était Jack l’éventreur ? Il s’est documenté de manière quasi exhaustive et s’est forgé une...
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  • mika07 02/09/2023
    Un récit sur les traces du meurtrier le plus célèbre de l'histoire de la criminologie en plein coeur du quartier de Whitechapel à la fin du 19ème siècle. Voilà de quoi m'appâter et aiguiser ma curiosité! J'avoue que j'ai, d'abord, été un peu déconcerté par le format, cette reconstitution historique imaginée par l'auteur avec un personnage principal, Amelia Pritlowe, la fille de Mary Jane Kelly, dernière victime de Jack l'Eventreur, sorti de son esprit pour remonter les pistes, récolter les indices et vérifier les hypothèses dont il a lui-même eu l'intuition lors de ses recherches. L'histoire se lit ainsi au travers des passages du carnet personnel de l'héroïne dans lequel elle retranscrit ses rencontres (avec notamment un club « d'experts » sur l'affaire), ses sensations, ses (re)sentiments et son opinion sur le drame qui a touché se propre mère plus de 50 ans auparavant et qui continue à la tourmenter. Ces éléments s'inspirent directement de la « matière » débusquée par l'auteur lors de sa plongée dans les archives de l'époque: photos, coupures de presse, témoignages, rapports de police… Il réunit ces pièces à conviction dans son carnet d'enquête dont les extraits, assez éloquents, sont insérés à la fin du roman. Elles lui servent de fil rouge pour poser ses hypothèses sur le déroulement du crime de Mary Jane Kelly, et développer un scénario bâti selon ses convictions personnelles sur le mystérieux tueur. Ce carnet constitue déjà en lui-même un fascinant recueil d'informations sur cette célèbre et sordide affaire. Et puis, face à son intensité et au travail minutieux engagé par l'auteur, j'ai été totalement absorbé par le récit. Je l'ai suivi dans son enquête, tel le témoin ou juré aux premières loges, choqué, comme figé, mais en même temps irrémédiablement attiré, nourri de cette curiosité morbide qui accompagne les pires faits divers, sur les traces de ce meurtrier qui a fait trembler les quartiers pauvres de l'East End londonien en 1888. L'auteur déroule son investigation de manière captivante grâce à la richesse de sa reconstitution et la finesse les détails qu'il livre sur les lieux, les protagonistes, le contexte économique et social, les doutes et témoignages devant le jury d'enquête, les coupables ou présumés, jusqu'à fournir l'inventaire exhaustif des modestes biens que possédaient ces femmes massacrées et dénom(mem)brer, d'un point de vue médico-légal cette fois, les parties du corps que l'assassin leur a ôté. Il y ajoute, en prenant comme personnage principal fictif la fille de la dernière victime, un côté émotion et place le lecteur dans le drame quotidien de ces femmes pauvres laissées à la merci d'un tueur qui les avait pris pour cible. En évoquant leurs conditions de vie et de travail, leur lutte quotidienne pour survivre et l'injustice de leur situation et de leur sort, il redonne une âme à ces cinq femmes qui, par delà les siècles, sont seulement restées dans les mémoires comme les victimes dites "canoniques" de Jack l'Eventreur, comme si ce mythe sombre rempli de mystères avait totalement mis dans l'ombre leur identité, leurs rêves et leurs désirs. Grâce à cette reconstitution, Michel Moatti, tel un fin limier, propose un retour à la fois glauque et incisif dans Whitechapel pour retrouver la trace du meurtrier mais aussi et surtout pour faire connaitre les conditions de vie insalubres et le calvaire innommable vécu par les femmes qui ont eu le malheur de le croiser, par une nuit où la noirceur était profonde, dans les bas-fonds de Londres, là-même où elles y abandonnaient leur corps et leur âme tandis que leur assassin y perdait son humanité en laissant parler sa froide cruauté. Un récit sur les traces du meurtrier le plus célèbre de l'histoire de la criminologie en plein coeur du quartier de Whitechapel à la fin du 19ème siècle. Voilà de quoi m'appâter et aiguiser ma curiosité! J'avoue que j'ai, d'abord, été un peu déconcerté par le format, cette reconstitution historique imaginée par l'auteur avec un personnage principal, Amelia Pritlowe, la fille de Mary Jane Kelly, dernière victime de Jack l'Eventreur, sorti de son esprit pour remonter les pistes, récolter les indices et vérifier les hypothèses dont il a lui-même eu l'intuition lors de ses recherches. L'histoire se lit ainsi au travers des passages du carnet personnel de l'héroïne dans lequel elle retranscrit ses rencontres (avec notamment un club « d'experts » sur l'affaire), ses sensations, ses (re)sentiments et son opinion sur le drame qui a touché se propre mère plus de 50 ans auparavant et qui continue à la tourmenter. Ces éléments s'inspirent directement de la « matière » débusquée par l'auteur lors de sa plongée dans les archives de l'époque: photos, coupures de presse, témoignages, rapports de police… Il réunit ces pièces à conviction dans son carnet d'enquête dont les extraits, assez éloquents, sont insérés à la fin du roman. Elles lui servent...
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  • CamiSi 23/07/2023
    Je n'avais encore jamais lu de livre concernant l'un des tueurs en série les plus tristement célèbre de l'histoire : Jack l'éventreur, auquel on impute cinq assassinats épouvantables de prostituées dans le Londres de la fin du 19ème siècle. Avec le livre de Michel Moatti, on va suivre l'enquête de Mary Amelia Pritlowe, qui vient d'apprendre par une lettre laissée par son père décédé qu'elle est la fille de Mary Jeannette Kelly, dernière victime du monstre. Elle se lance sur les traces du criminel, bien décidée à découvrir son identité avec l'aide des enquêteurs amateurs d'un club de "ripperologues", la Filebox Society. Cet ouvrage ne m'a pas tant passionnée par son sujet que par ce que l'auteur a fait de l'un des plus grand mystère de l'histoire criminelle. A travers de nombreux documents, archives de journaux, jurys d'enquêtes, Michel Moatti s'est livré à un remarquable travail d'enquêteur. L'alternance entre l'année 1888 pendant laquelle a sévit le criminel et le récit de Mrs Pritlowe qui se déroule également à Londres mais en 1941, donne rythme et fluidité au roman. L'auteur restitue de façon très convaincante et précise les conditions de vie dans le quartier misérable et mal famé de Whitechapel, la pauvreté des petites gens entre alcool, misère, maladies... le réel et la fiction s'entremêlent parfaitement. La peinture est très réaliste. Autre centre d'intérêt du livre : l'importance des traces laissées, le rapport à la mémoire, Mrs Pritlowe peut-elle retrouver certains souvenirs d'enfance qu'elle pensait définitivement effacés? "Je construis doucement la passerelle instable qui me ramène à elle". Avec beaucoup d'humanité, Michel Moatti fait avancer son héroïne sur le fil fragile de sa mémoire et nous livre à travers elle sa théorie sur l'identité du coupable, théorie très convaincante et étayée. Un autre des points remarquable du récit est le fait que l'auteur redonne une vie à ces pauvres femmes, même si ce n'est que brièvement, et les sort du néant dans lequel le statut de "victimes de ..." les avait cantonnées. Il existe un autre livre qui fait suite à celui-ci (Blackout Baby) et dans lequel l'auteur reprend le personnage de Mrs Pritlowe, livre que j'ai très envie à présent de découvrir,tant j'ai apprécié celui-ci. Je n'avais encore jamais lu de livre concernant l'un des tueurs en série les plus tristement célèbre de l'histoire : Jack l'éventreur, auquel on impute cinq assassinats épouvantables de prostituées dans le Londres de la fin du 19ème siècle. Avec le livre de Michel Moatti, on va suivre l'enquête de Mary Amelia Pritlowe, qui vient d'apprendre par une lettre laissée par son père décédé qu'elle est la fille de Mary Jeannette Kelly, dernière victime du monstre. Elle se lance sur les traces du criminel, bien décidée à découvrir son identité avec l'aide des enquêteurs amateurs d'un club de "ripperologues", la Filebox Society. Cet ouvrage ne m'a pas tant passionnée par son sujet que par ce que l'auteur a fait de l'un des plus grand mystère de l'histoire criminelle. A travers de nombreux documents, archives de journaux, jurys d'enquêtes, Michel Moatti s'est livré à un remarquable travail d'enquêteur. L'alternance entre l'année 1888 pendant laquelle a sévit le criminel et le récit de Mrs Pritlowe qui se déroule également à Londres mais en 1941, donne rythme et fluidité au roman. L'auteur restitue de façon très convaincante et précise les conditions de vie dans le quartier misérable et mal famé de Whitechapel, la pauvreté des petites...
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  • Elborak 15/05/2023
    Un peu déçu par ce livre. L'ambiance de l'époque est bien retransmise ainsi que le dossier contenant les témoignages et les faits sur les meurtres perpétrés par Jack l'éventreur.Non ce qui m'a un peu gêné c'est le fait de changer constamment d'époque et sur des chapitres très courts. En effet l'héroïne apprend suite au décès de son père qu'elle est la fille de la dernière victime de l'éventreur. Du coup elle décide de se lancer dans l'enquête afin de démasquer le tueur en série. L'héroïne est à Londres et travaille à l'hôpital en tant qu'infirmière pendant la seconde guerre mondiale et soigne les blessés qui arrivent suite aux bombardements allemands à répétition. Nous sommes en 40,41. Elle s'inscrit dans un club très fermé qui est passionné par le tueur en série et qui a compilé des tonnes de documentation sur l'affaire (coupures de presse de l'époque, des copies des pièces du procès etc... Bref toute la documentation possible d'avoir sur l'affaire qui n'était pas classé top secret. Du coup on passe constamment de l'époque de Jack l'éventreur à celle de la seconde guerre mondiale ou l'héroïne passe une bonne partie de son temps libre à lire les pièces d'archives de l'époque des meurtres. Du coup c'est un peu mou. J'ai eu l'impression de découvrir des tas d'informations intéressantes sur les 5 meurtres, sur l'ambiance et conditions de vie de l'époque mais pas vraiment de faits et où preuves qui conduisent au résultat de l'enquête de notre héroïne. Finalement en fin de livre, l'auteur nous explique comment il y a écrit son roman et pourquoi il est arrivé à cette conclusion mais dans le roman en lui même ces informations n'apparaissent pas. Du coup on a pas l'impression de suivre une véritable enquête sur le tueur en remontant des pistes potentielles et pour moi ça a un peu manqué. Dans un style différent j'avais lu un livre qui s'intitulait Jack l'éventreur démasqué (me semble t'il) qui m'avait plus plus car il y avait la construction d'une théorie par rapport aux faits de l'époque qui pouvait apparaitre comme crédible et qui avait l'intérêt de faire plus enquête que ce livre qui reste un roman avant tout même s'il y a énormément d'informations sur l'époque des faits. Un peu déçu par ce livre. L'ambiance de l'époque est bien retransmise ainsi que le dossier contenant les témoignages et les faits sur les meurtres perpétrés par Jack l'éventreur.Non ce qui m'a un peu gêné c'est le fait de changer constamment d'époque et sur des chapitres très courts. En effet l'héroïne apprend suite au décès de son père qu'elle est la fille de la dernière victime de l'éventreur. Du coup elle décide de se lancer dans l'enquête afin de démasquer le tueur en série. L'héroïne est à Londres et travaille à l'hôpital en tant qu'infirmière pendant la seconde guerre mondiale et soigne les blessés qui arrivent suite aux bombardements allemands à répétition. Nous sommes en 40,41. Elle s'inscrit dans un club très fermé qui est passionné par le tueur en série et qui a compilé des tonnes de documentation sur l'affaire (coupures de presse de l'époque, des copies des pièces du procès etc... Bref toute la documentation possible d'avoir sur l'affaire qui n'était pas classé top secret. Du coup on passe constamment de l'époque de Jack l'éventreur à celle de la seconde guerre mondiale ou l'héroïne passe une bonne partie de son temps libre à lire les pièces d'archives de...
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